http://www.chez.com/labible/histoire_et_archeo.htm

L'ORIGINE DE LA FETE DE NOËL

 

Avertissement : L'étude qui suit s'attache à considérer l'origine de la fête de Noël dans son évolution historique. Nous n'analyserons pas, par conséquent, tous les symboles qui gravitent autour de cette célébration : arbre de Noël, échanges de cadeaux, Père Noël, bûche (1) ... symboles qui n'apparaîtront que bien des siècles plus tard.

 

La fête de Noël n'a pas toujours été célébrée le 25 décembre car aucune trace de la date de naissance de Jésus-Christ n'est présente dans la Bible. C'est ce que nous confirme la New Catholic Encyclopedia (2):

"On ignore la date de la naissance du Christ, les Evangiles n'en révèlent ni le jour ni le mois" (3).

Aussi devant tant d'incertitudes et en l'attente de tout document établissant le jour de naissance de Jésus-Christ, les chrétiens ont tout d'abord hasardé les hypothèses les plus fantaisistes et les plus contradictoires. Puis à partir du Ill ème siècle, soit plus de 150 ans après la mort de Jésus-Christ, toutes les Eglises d'Orient se sont mises à fêter la Nativité le jour de l'Epiphanie, le 5-6 janvier. Enfin, à partir du IV ème siècle, l'Eglise de Rome a pris un autre jour pour fêter la Nativité, à savoir le 25 décembre, jour de la fête du soleil, et cette date s'est imposée peu à peu à toute la chrétienté.

 

Les premiers chrétiens n'avaient même pas l'idée de célébrer l'anniversaire de la naissance de Jésus; l'anniversaire de sa mort, ou commémoration, selon le principe biblique : "Mieux vaut le jour de la mort que le jour de la naissance," (4) les intéressait beaucoup plus, ainsi que celui de sa résurrection, c'est-à-dire de sa victoire sur la mort. Voilà pourquoi la Pâque était pour eux la grande fête annuelle.

En ce sens, l'apologète chrétien Arnobe, vers 296, raille les païens qui célèbrent le jour de naissance des dieux. Clément d'Alexandrie également, vers 200, se moque de ceux qui recherchent, non seulement l'année, mais encore le jour de naissance du Christ.

C'est cette horreur des fêtes païennes que Tertullien exprime avec force dans son De Idolatria :

"Et nous, pour qui n'existent plus ces sabbats, ces nouvelles lunes, ces solennités que Dieu chérissait autrefois, néanmoins nous assistons aux Saturnales et aux fêtes de Janvier et aux Brumalia et Matronalia ! Nous échangeons des présents : nous donnons et recevons des étrennes : les jeux, les banquets retentissent pour nous ! Ô que la foi des gentils est bien plus conséquente ! Ils ne revendiquent, eux, aucune des solennités chrétiennes." (5)

 

Ailleurs le même auteur tonne contre la célébration des anniversaires. C'est pour lui une coutume païenne et il laisse percer son amertume contre ceux qu'on célèbre publiquement, et en particulier ceux de l'Empereur et de sa maison, en ajoutant:

"Quant à nous nous ne trouvons dans aucun écrit d'allusion à un jour de naissance, sinon à propos d'Hérode et Pharaon qui se valaient quant à l'impureté." (6)

 

Il est donc nécessaire à ce stade de notre analyse de citer les quelques témoignages que nous avons sur l'introduction de la fête de Noël qui sont aujourd'hui reconnus comme étant en réalité des données douteuses pour que la science historique puisse les considérer avec égards.

Ainsi, nous n'insisterons donc pas sur le témoignage de Clément d'Alexandrie à propos des Basilidiens. Rappelons qu'il est très improbable qu'il s'agisse d'autre chose que d'une fête du Baptême, et ceci célébrée le 6 janvier.

 

Nous trouvons, d'autre part, dans le Liber Pontificalis ce passage à propos de l'évêque de Rome Télesphore (125-139) : "Hic fecit natalem domini nostri Jesu Christi nocta missas celebrarentue", passage universellement reconnu comme étant, en fait, une interpolation tardive, sans aucune valeur historique.

 

Un écrivain arménien du Il ème siècle (Paul de Taron contre Théophiste) raconte que la fête de Noël fut "inventée" par Artémon, hérétique Romain de la fin du Il ème siècle. Mais il ne dit pas sur quoi il s'appuie pour affirmer cela.

Hippolyte semble bien, lui, être arrivé le premier à la date du 25 décembre comme anniversaire de la naissance du Christ. Et cela dans la première partie du Ill ème siècle.

Mais nous ne pouvons déduire de cette supputation chronologique l'existence d'une célébration ecclésiastique de la fête à cette époque.

Ce serait d'ailleurs en absolue contradiction avec le mépris universel dont les chrétiens des premiers siècles entouraient la célébration des anniversaires.

Nous pouvons affirmer que parmi les fêtes célébrées vers 245, comme à Césarée et certainement aussi dans toute la Palestine et en Egypte il n'y a pas plus de fêtes de Noël que de fête de l'Epiphanie.

En fait, nous ne trouvons aucun témoignage quelconque sur l'existence d'une fête de Noël avant le IV ème siècle comme le confirme 0. Cullmann :

 

"Notre fête de Noël, célébrée le 25 décembre, a été ignorée des chrétiens des trois premiers siècles. Jusqu'au début du IV ème siècle, ce jour qui, par la suite, constituera une date centrale dans l'Eglise chrétienne, a passé inaperçu pour les chrétiens : ils ne s'assemblaient pas pour un culte, et la naissance du Christ n'était même pas mentionnée." (7)

Même son de cloche sous la plume d'Alexandre Hislop, qui en plus nous livre quelques renseignements intéressants sur l'improbabilité d'une telle date pour justifier bibliquement la naissance de Jésus-Christ (8) :

"Il n'y a pas dans l'Ecriture un seul mot sur le jour précis de sa naissance [celle de Jésus-Christ], ou sur l'époque de l'année où il naquit. Ce qui y est rapporté montre que quelle que soit l'époque de sa naissance, ce ne peut avoir été le 25 décembre. Lorsque l'ange annonça sa naissance aux bergers de Bethléem, ils paissaient leurs troupeaux pendant la nuit au milieu des champs. Sans doute, le climat de la Palestine n'est pas si rigoureux que le nôtre, mais bien que la chaleur du jour soit considérable, le froid de la nuit, de décembre à février, est très vif, et les bergers n'avaient pas l'habitude de garder les troupeaux dans les champs après la fin d'octobre. Gill (Commentaire sur Luc 11, 8) s'exprime ainsi : Les juifs ont deux sortes de bétail : le bétail domestique qui se trouve dans la ville; le bétail des champs qui demeure dans les pâturages. Là-dessus un de leurs commentateurs, (Maimonide, dans Misu-Betza, chap. 5, sect. 7.) fait remarquer ceci : Ces derniers demeurent dans les pâturages qu'on trouve dans les villages, tous les jours de froid et de chaleur, et ne se rendent dans les villes que lorsque la pluie survient. La première tombe au mois de Marchesvan, qui correspond à la dernière partie de notre mois d'octobre, et à la première partie de notre mois de novembre. Il résulte de là que Christ doit être né avant le milieu d'octobre, puisque la première pluie n'était pas encore tombée. Kitto, Deut. XI, 14 (Commentaire illustré, vol. 1, p. 398) dit que la première pluie tombe en automne, c'est-à-dire en septembre ou octobre. Ceci nous ramènerait pour le retour des troupeaux à une époque un peu plus reculée que celle que j'indique dans le texte; mais il est hors de doute que ce ne pouvait être plus tard que l'époque dont je parle, suivant le témoignage de Maimonide, dont la compétence à propos des coutumes juives est bien connue."

 

Par conséquent, comment peut-on expliquer alors les raisons du choix de la date du 25 décembre pour la fête de Noël ?

 

L'Eglise romaine commença par célébrer la naissance en même temps que le baptême de Jésus le jour de l'Epiphanie; ce n'est qu'au IV ème siècle, comme nous venons de le voir, qu'elle fit passer la Natavité le 25 décembre. Dans le choix du 25 décembre, il y eut substitution d'une fête chrétienne à une fête païenne comme le souligne L'Encyclopédie Universalis (9):

"Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Eglises chrétiennes depuis le IV ème siècle. Cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d'hiver appelée "Naissance (en latin, Natale) du soleil", car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s'allongent à nouveau. A Rome, l'Eglise a adopté cette coutume fort populaire d'origine orientale, qui venait de s'imposer dans le calendrier civil, en lui donnant un sens nouveau : celui du Natale (origine du mot français Noël) du Sauveur, que la Bible désigne comme le 'Soleil de justice' et la 'Lumière du monde'. Cette institution allait dans le sens du syncrétisme de Constantin (les fidèles des deux cultes chômaient le même jour) et dans celui du concile de Nicée, qui venait de réaffirmer la divinité du Christ."

Cette fête païenne était donc celle du soleil. Cet astre fut l'objet d'un culte important dans l'empire romain, peu après le début de l'ère chrétienne. C'est ce que confirme La Nouvelle Encyclopédie Catholique:

"Le 25 décembre 274, [l'empereur romain] Aurélien proclamait le dieu-soleil [Mithra] principal dieu protecteur de l'empire [ ... ]. La Noël est née à une époque où le culte du soleil était particulièrement florissant à Rome."

Le soleil passait pour présider au sort des rois; c'est lui qui les élève sur le trône ou les en fait descendre, c'est lui qui les conduit ou permet leur défaite. Dans ce courant d'idées, l'empereur romain ne tarda pas à être regardé comme l'émanation du soleil. C'est ce qui amena l'empereur Aurélien à faire ériger un Temple au Soi invictus, c'est-à-dire au dieu solaire qui triomphe chaque matin de la nuit, celui-là même qui lui avait donné la victoire en Syrie.

Le culte du Soleil à Rome a été favorisé par l'introduction en Occident du culte de Mithra, originaire de l'Iran au bord de l'Euphrate. C'est la vieille religion mazdéenne des ancêtres des Perses. Mithra, le génie de la lumière céleste, fut, sous l'influence des Chaldéens, assimilé au Soleil.

 

(représentation du dieu Mithra.

Musée du Louvre, département des antiquités Romaines)

 

 

Importé en Italie par les esclaves et les soldats, la religion de Mithra s'établit dès 181 avant notre ère au coeur même de Rome. Elle obtint la faveur impériale : Commode se fit initier aux mystères mithriaques; Dioclétien, Galère et Licinius témoignèrent de leur dévotion à Mithra en lui construisant un temple à Carnuntum en 307 et Julien l'Apostat fut un fidèle fervent de Mithra qu'il fit adorer dans son palais de Constantinople.

 

Le temple d'Aurélien fut inauguré le 25 décembre 274. C'était le 25 décembre que la Rome païenne célébrait la naissance annuelle du Soleil, parce que, d'après le calendrier Julien, le 25 décembre était considéré comme le solstice d'hiver (10), donc le moment de l'année à partir duquel les jours commencent à s'allonger et le soleil à briller avec plus d'éclat. C'était une des grandes fêtes du paganisme où des jeux solennels et fastueux étaient donnés par le prince en l'honneur de l'Invincible. En cette occasion, les vingt-cinq courses habituelles, au cirque, étaient portées à trente pour rappeler le nombre mensuel des courses solaires autour de la terre.

 

L'absence de documents établissant la date de la naissance du Christ a laissé à l'Eglise romaine toute la latitude pour faire coïncider cet anniversaire avec le solstice d'hiver du calendrier romain, c'est-à-dire avec le 25 décembre. En procédant ainsi, elle ne fut pas fâchée d'opposer à Mithra, Celui qu'elle adorait comme le "Soleil de justice" prédit par Malachie IV, 2.

Du reste, la littérature chrétienne primitive parlait le même langage : Cyprien (- 258) appelle le Christ le "vrai Soleil". "Celui-ci est notre soleil nouveau", proclame Ambroise (- 397). Et des expressions semblables abondent chez Grégoire de Nazianze (-389), Jean Chrysostome (-407) et bien d'autres rédacteurs chrétiens des Ill ème-V ème siècles.

 

Ainsi, St-Augustin fait allusion à l'origine païenne de Noël quand il exhorte ses frères chrétiens à ne pas célébrer en ce jour solennel le soleil, comme les païens, mais bien Celui qui a créé le soleil. De même, Léon le Grand blâme la croyance funeste consistant à fêter Noël à cause de la naissance du Soleil nouveau, comme on l'appelait, et non à cause de la naissance du Christ.

Il apparaît en fait clairement que le 25 décembre, comme anniversaire de la naissance du Christ, est attesté à Rome en 336, selon la Chronographie de Filocalus de 354, un ancien calendrier romain. Furius Filocalus est le nom du calligraphe et enlumineur que l'on suppose avoir édité ce calendrier.

D'après celui-ci, l'usage était déjà passé à Rome de considérer le 25 décembre comme l'anniversaire de la naissance de Jésus. Mais ce n'est qu'en 353, sous le pape Libérius, que la fête de Noël fut instituée à Rome.

 

Quel fut l'expansion géographique de cette fête ?

Partie de Rome, d'individu à individu, de foyer à foyer la date du 25 décembre se répandit rapidement. Or il est difficile de vénérer un anniversaire sans bientôt lui donner le caractère d'une fête. C'est ce qui advint à un moment de la première partie du quatrième siècle qu'il est impossible de préciser. La vue des païens célébrant une fête semblable à la même époque dut contribuer à renforcer la tendance naturelle des Chrétiens. C'est donc vers le début du quatrième siècle que l'Eglise s'appropria définitivement à Rome la fête que déjà chacun célébrait individuellement. Ainsi, en peu de temps, elle réussit à prendre autant d'importance que les plus vieilles solennités chrétiennes puisque en 336 elle est en tête de l'année ecclésiastique.

De Rome, capitale de l'occident, elle allait bientôt passer en orient. C'est en effet au milieu du quatrième siècle que Rome prend définitivement la tête de l'Eglise catholique et orthodoxe. Ce n'est pourtant qu'en 375 que l'on en signale la première apparition dans ce grand centre religieux qu'était Antioche, où elle arriva couronnée du prestige que lui donnait la sanction papale et de sa popularité dans les pays de l'Ouest et du Nord. C'est d'ailleurs ce qui lui suscita le plus d'obstacles. Nombreux furent ceux qui virent dans cette nouvelle fête qu'une "machine de guerre" lancée par Rome contre l'Epiphanie symbole de leur indépendance ecclésiastique et dogmatique. Il fallut aussi dix ans de luttes, de discussions, de progrès pas à pas, pour que cette fête puisse être pleinement acceptée.

C'est également aux environs de 375 qu'elle s'introduisit en Cappadoce. Il est probable qu'il y eut là plus qu'une coïncidence, mais bien plus un plan concerté entre Flavien l'évêque d'Antioche et les célèbres soutiens de l'orthodoxie que furent les trois Pères de l'Eglise surnommés les Grands Cappadociens.

C'est en effet sur l'initiative probable de Basile de Césarée et certainement de Grégoire de Nysse, que, dès cette date, la Cappadoce accepta la nouvelle fête sans que celle-ci eut à vaincre les mêmes obstacles qu'à Antioche.

Saint Grégoire de Naziance arriva en 379 à Constantinople, venant de Cappadoce, où ses amis avaient depuis peu introduit la Noël, et se préparait à relever la cause trinitaire en face d'un arianisme triomphant. Il est possible qu'il apportait parmi ses projets cet instrument merveilleux pour ramener à l'orthodoxie la christologie des gens de Byzance que devait être la nouvelle fête de la Nativité. Et de fait, l'année même de son arrivée, alors que la lutte qui devait amener le rapide succès de sa cause n'était pas achevé, il introduisit la Noël dans sa petite communauté de l'Anastasie.

Ce fut alors comme une épidémie. Les grands centres ayant été gagnés la fête se répandit partout. L'adopter constitua d'autant plus un rempart pour réprouver l'arianisme et tous les autres mouvements considérés comme dissidents vis-à-vis de l'Eglise; c'était se mouler définitivement dans les cadres de fer dont l'évêque de Rome d'une main habile et inflexible, dotait l'Eglise qu'il voulait faire sienne; c'était finalement répondre aux voeux d'un peuple qui aimait de plus en plus les festivités païennes et souhaitait se fabriquer les siennes en puisant dans le creuset d'un christianisme altéré et dénaturé. L'Encyclopédia Universalis (11) résume bien ce fait :

"Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Eglises chrétiennes depuis le IV ème siècle. Cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d'hiver appelée 'Naissance (en latin, Natale) du soleil', car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s'allongent à nouveau. A Rome, l'Eglise a adopté cette coutume fort populaire, en lui donnant un sens nouveau".

 

Face à ce courant, seules purent s'opposer pendant un certain temps les quelques églises régionales. Mais la pression de la grande Eglise fut si forte que l'une après l'autre ces diverses régions finirent par accepter la fête de Noël.

L'Egypte dès le début du V ème siècle. La Palestine, après un essai infructueux, au Vll ème ou au Vlll ème siècle. A ces quelques exceptions éparses, dès le début du V ème siècle, tout le monde chrétien avait accepté bon gré mal gré la nouvelle fête romaine.

--------------------------------------------------------------------------------

.

1) La plupart des coutumes associées à Noël - la bûche de Noël, le gui, l'arbre de Noël, le père Noël, l'échange de cadeaux, les festivités - ont leur racine dans le paganisme et non dans le christianisme. Ce fait poussa, par exemple, en 1642, le pasteur Dannhauer de Strasbourg à condamner, auprès de ses catéchumènes, l'arbre de Noël, ses parures et ses futilités, comme les détournant du Christ et le Parlement anglais, en 1643, de proscrire l'observance de la fête de Noël à cause précisément de ses origines païennes. Elle fut également interdite, quelques années plus tard, en 1659, au Massachusetts (Etats-Unis), mais on la rétablit par la suite.

.

2 Volume 11, p. 656.

.

3 C'est moi qui souligne.

.

4 Ecclésiaste Vll, 1

.

5 De Idol. XIV - Trad. Genoud : Les Pères de l'Eglise. Tertullien, t. VI-VII.

.

6 Com. in Matthieu X/22 De même voir Levit. Hom. VIIl,

.

7 CULLMANN Oscar - La nativité et l'arbre de Noël - Paris, Ed. du Cerf, p. 19.

.

8 Les Deux Babylones - Ed. Fischbacher, 1972, p. 134.

.

9 voir la bibliographie en fin d'article.

.

10 Le mot solstice vient de deux mots latins: soi (le nom d'un dieu-soleil) et sistere (stopper).

.

11 Ed. 1968, volume 19, p. 1375.

 

--------------------------------------------------------------------------------

Bibliographie:

 

CULLMANN Oscar - La nativité et l'arbre de Noël - Paris, Ed. du Cerf, Coll. Les origines historiques, 1993, 95 p.

Noël, in Encyclopédia Universalis, p. 2576 dans le Thesaurus.

Noël, in New Catholic Encyclopedia, Volume 11, p. 656.

HISLOP Alexandre - Les Deux Babylones - Ed. Fischbacher, 1972, pp. 133-150.

HOLLARD Auguste, Les origines de la fête de Noël, in Revue d'Histoire et de Philosophie Religieuses n°3, Mai-Juin 1931.

--------------------------------------------------------------------------------

© Christophe Kieken, 1998.

http://www.chez.com/labible/histoire_et_archeo.htm

 

ACCUEIL