Passons vers l'autre bord
80 - La "couleur" des cieux à
venir: Don - Salaire -
Récompenses
Respecter les avertissements
- Prenez donc les armes de Dieu pour faire la
révolution !
7 - La ceinture, la cuirasse, les chaussures, le
bouclier de la foi, le casque du salut...
... et l'épée !
Message
précédent: Respecter les
avertissements (79) -
Spécial Pâques - Cherchez l'intrus ou
les intrus de Pâques : Jésus,
oeufs, lapins en chocolat, colombe,
biscuits.
Nous travaillons, en
effet, et nous
combattons, parce que nous mettons notre
espérance dans le Dieu
vivant, qui est le
Sauveur de tous les hommes, principalement des
croyants.
1 Timothée 4. 10
Le combat dont l'apôtre Paul nous parle n'est
pas un combat quelconque puisqu'il est lié
au travail, à ce travail que nous faisons
pour Dieu et non pour le monde ou pour notre
bien-être terrestre.
Nous sommes tous appelés à
travailler pour l'oeuvre de Dieu, et, parce que
nous travaillons pour sa gloire, il est normal que
nous rencontrions de la résistance.
Est-ce une raison suffisante pour baisser les bras
devant la difficulté en se pliant aux
décisions de l'adversaire de nos âmes
qui veut que personne ne soit sauvé ?
Certainement pas !
Étant au service de celui qui nous a
libérés de la condamnation
éternelle en donnant sa vie pour que nous
obtenions le pardon de nos péchés,
nous avons une motivation suffisante pour
résister à la pression adverse afin
de garder nos positions lorsque, pour un temps,
nous n'arrivons pas à gagner du terrain.
Ce combat se fait aussi bien dans la prière,
que sur le terrain missionnaire ; un terrain
lointain pour certains, même s'il est
à deux pas de chez eux, même s'il se
trouve là où est leur foyer, leur
famille.
Dans ce combat, force est de constater, que les
soldats et les soldates de Jésus-Christ ne
sont pas toujours bien vaillants. Je dis cela parce
que je me rends compte de mes propres
difficultés qui pourraient bien
ressembler aux vôtres.
En effet, n'est-il pas malheureux, qu'en pleine
bataille, nos pensées se détournent
de l'objectif à atteindre ?
Des pensées qui, pendant la prière,
vagabondent sur un autre terrain que celui du
combat au point d'en arriver à dire
"amen" sans avoir compris ce que le frère ou
la soeur demandait à Dieu dans sa
prière ?
Cet endormissement..., cet assoupissement, cette
léthargie, ne viendrait-il pas du fait que
notre travail pour l'oeuvre de Dieu est fait avec
plus ou moins de négligence, avec peu
d'entrain, peu de coeur ? C'est-à-dire,
avec un coeur qui pourrait bien être
partagé !
Tout ce que vous faites,
faites-le de bon coeur, comme pour le Seigneur et
non pour des hommes, sachant que vous recevrez du
Seigneur l'héritage pour récompense.
Servez Christ, le Seigneur. Colossiens 3: 23-24.
Si, en travaillant pour les hommes, nous devons
travailler "comme pour le Seigneur", comment
travaillons-nous pour le Seigneur ?
Dans le monde, il y en a plusieurs qui ne
travaillent rien que pour le salaire sans prendre
en considération la bonne marche de
l'entreprise.
De même, il se pourrait bien que, dans
l'Église de Jésus-Christ, il y en ait
aussi plusieurs qui ne pensent qu'à leur
salut personnel sans se préoccuper de
l'avancement du Royaume de Dieu.
Si nous ne faisons pas de bon coeur l'oeuvre
de Dieu, si nous ne sommes pas zélés
pour son service, il est évident que nous
n'aurons guère envie de prendre des risques
et de combattre pour que l'Évangile
progresse dans notre entourage.
Cette attitude, plus ou moins passive, pourrait
bien être le reflet de la
médiocrité de nos combats personnels
face à l'adversaire de nos âmes, face
à notre vieille nature qui, l'un et l'autre,
ne cessent de revendiquer les droits qu'ils ont
perdus lorsque nous sommes passés des
ténèbres à la
lumière.
Cette "fatigue" qui nous retient dans notre
enthousiasme pour le Seigneur, ce manque de
désir de nous unir ensemble pour marcher en
vainqueur, ne proviendrait-il pas du fait que nous
n'avons pas encore pris les armes..., TOUTES les
armes de Dieu pour résister dans les
mauvais jours
(Éphésiens 6: 13) ?
Sans armes, il est évident que nous
n'aurons aucun désir d'aller au combat,
aucun désir de nous frotter à
l'ennemi.
Les mauvais jours, dont nous parle l'apôtre
Paul, ne sont pas toujours des jours où
l'épreuve vient nous assaillir.
Non... !
Ils sont aussi ces jours où nous n'avons pas
beaucoup de courage, ces jours où l'esprit
à de la peine à s'éveiller aux
choses spirituelles. Ces jours où, sans
le vouloir, nous déposerions facilement une
des armes que Dieu nous a demandée de
prendre.
Des mauvais jours où notre résistance
s'est amoindrie, des mauvais jours que l'adversaire
saura reconnaître et mettre à profit
pour nous assaillir.
Combien d'échecs n'ont-ils pas
été causés par le fait d'avoir
déposé les armes devant
l'ennemi ? Par le fait d'avoir
refusé le combat en acceptant les
compromis proposés par le prince des
ténèbres ou par ceux qui lui sont
soumis par ignorance ou non ?
C'est ainsi que cette ceinture de
vérité - notre première arme -
se dégrafe facilement et que, ne l'ayant
plus autour des reins, les autres armes de Dieu
perdent de leur efficacité, même si
nous les possédons toutes.
Dernièrement encore, je me suis rendu compte
que ce texte de
Colossiens 3. 9 : "Ne mentez pas les uns aux autres,
vous étant dépouillés du vieil
homme et de ses oeuvres..."
... je me suis rendu compte que cette portion de
verset mettait en lumière qu'il y a toujours
des moments où la vieille nature a encore
tendance à se manifester au travers des
relations que nous avons avec nos semblables
lorsqu'il est question d'intérêt (s)
particulier (s).
Le mensonge... ! Non pas le mensonge grossier,
mais la simple idée de chercher à
tirer profit d'une situation en la
présentant sous un angle qui nous sera
particulièrement favorable..., c'est
déjà ne plus être droit, c'est,
presque mentir ouvertement.
Mentir, car, en prenant le risque d'exposer les
faits comme le Seigneur le ferait, nous comprenons
que l'issue ne tournerait plus à notre
avantage :
Que personne ne cherche
son propre intérêt, mais que chacun
cherche celui d'autrui. 1 Corinthiens 10: 24
Bien sûr, dans ce genre de circonstances,
nous ne mentons pas officiellement, nous nous
arrangeons seulement pour présenter
l'affaire en question afin que nous en tirions
un profit personnel au détriment de notre
interlocuteur.
Agissant ainsi en parfaite connaissance de cause,
nous nous rendons coupables devant Dieu de manquer
d'amour à l'égard de notre prochain,
cet amour particulier qui ne cherche jamais son
propre intérêt
(1 Corinthiens 13: 5).
Que chacun de vous, au lieu
de considérer ses propres
intérêts, considère aussi ceux
des autres. Philippiens 2: 4
Je pense spécialement à toutes les
actions qui ont un lien avec l'argent. Un dieu
terrible que ce Mammon ! Un filou qui est
toujours aux aguets afin de nous faire profiter des
bonnes occasions au détriment de notre
prochain.
Mauvais ! mauvais !
dit l'acheteur ; Et en s'en allant, il se
félicite. Proverbes 20: 14
Mauvais, mauvais ! dit l'acheteur : il se
retire et s'applaudit du marché. (v.
Sefarim, Bible du Rabbinat
français)
Comme vous le constater, la ceinture de
vérité peut être défaite
à tout moment lorsque nos
intérêts personnels sont en jeu.
Fort heureusement le Saint-Esprit est vigilant. Il
ne manquera pas d'alerter notre conscience qui, si
elle est sensible, saura détecter le moindre
murmure de cet Esprit et agir en
conséquence.
Mais quelle vigilance ne faut-il pas avoir !
L'Esprit de Dieu n'agit pas toujours comme un
violent coup de tonnerre pour nous arrêter,
il peut aussi se manifester comme une brume
légère qui vient juste "caresser"
notre conscience.
Il suffit alors de ne pas y prêter
suffisamment d'attention pour que cette "brume"
disparaisse, chasser par nos pensées
personnelles qui viennent en coup de vent pour
s'interposer.
Si je reviens encore sur la ceinture de la
vérité, c'est parce qu'elle
est la première arme de Dieu à
prendre et que, sans elle, nous ne pourrons
jamais utiliser la dernière sans nous
blesser nous-mêmes.
La ceinture de la vérité est une arme
à ne jamais abandonner ;
posséder toutes les autres et abandonner sur
le champ de bataille, la vérité...,
c'est être un perdant sur toute la
ligne :
... tous les menteurs, leur part sera dans
l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui
est la seconde mort. Apocalypse 21. 8
Quant à cette dernière arme qui nous
est proposée - l'épée de
l'Esprit - elle fait partie d'un lot qui est
à notre disposition à condition
d'avoir d'abord pris les armes
précédentes :
Prenez TOUTES les armes de Dieu, afin de pouvoir
résister dans le mauvais jour, et tenir
ferme après avoir tout surmonté.
Tenez donc ferme : ayez à vos reins la
vérité pour ceinture ;
revêtez la cuirasse de la justice, mettez
pour chaussure à vos pieds le zèle
que donne l'Évangile de paix ;
PRENEZ
PAR-DESSUS TOUT CELA (vérité, justice,
zèle) ...
1 - le bouclier de la
foi, avec lequel
vous pourrez éteindre tous les traits
enflammés du malin ;
2 - Prenez aussi le
casque du salut ;
3 - Et
l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu.
Éphésiens 6:
13-17
Nous comprenons que cette épée de
l'Esprit, qui est appelé la "Parole de
Dieu", est une arme qui ne peut pas être
confiée à n'importe qui, ni
employée n'importe comment.
Dès lors :
- Si j'ai laissé tomber la ceinture de
vérité...
- Si l'injustice arrive à affaiblir
ma foi...
- Si je ne suis pas zélé pour
faire connaître le salut aux autres alors
que j'en suis le bénéficiaire...
Comment pourrais-je utiliser
efficacement l'épée de la Parole de
Dieu ?
Ne faut-il pas que le témoignage de notre
vie soit en accord avec ce qui sort de notre bouche
lorsque nous parlons du Seigneur ?
Combien de personnes se sont-elles fait reprendre
par des païens lorsqu'elles mettaient en avant
certains passages de l'Écriture afin de les
convaincre de venir à
Jésus-Christ ?
Combien ont-elles été invitées
par ces derniers à balayer d'abord devant
leur porte (la porte de leur coeur) avant de
vouloir faire le ménage dans le coeur des
autres ?
Je ne vous apprends rien, car il n'y rien de
nouveau sous le soleil puisque le Seigneur avait
déjà mis en garde ceux qui le
suivaient :
Faites donc et observez tout
ce qu'ils vous disent (les scribes et les
pharisiens) ; mais
n'agissez pas selon
leurs oeuvres. Car
ils disent, et ne font pas. Matthieu 23: 1-3
Ils font profession de
connaître Dieu, mais ils le renient par leurs
oeuvres,
étant abominables, rebelles, et incapables
d'aucune bonne oeuvre. Tite 1. 16
Si la Parole de Dieu est une
épée plus tranchante qu'une
épée à deux tranchants,
n'oublions pas qu'elle doit d'abord faire son
oeuvre dans notre vie avant que nous
l'utilisions pour qu'elle agisse dans le coeur des
autres.
La parole de Dieu est vivante et efficace, plus
tranchante qu'une épée quelconque
à deux tranchants, pénétrante
jusqu'à partager âme et esprit,
jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les
pensées du coeur (de notre
coeur..., ne l'oublions pas !).
Nulle créature n'est cachée devant
lui, mais tout est à nu et à
découvert aux yeux de celui à qui
nous devons rendre
compte.
Hébreux 4: 12-13
TOUT EST À NU ! Rien n'est
caché !
Raison pour laquelle nous serons jugés
par le Juge suprême qui prendra la
mesure dont nous nous serons servis pour les
autres.
La Parole de Dieu que nous employons pour les
autres, sera aussi employée pour nous ou
contre nous, selon que nous aurons agi avec
dureté ou miséricorde.
On vous jugera ( on
me jugera..., on te jugera...) du jugement dont vous jugez, et
l'on vous mesurera
avec la mesure dont vous mesurez. (C'est Jésus qui
le dit..., pas moi !)
Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'oeil de
ton frère, et n'aperçois-tu pas la
poutre qui est dans ton oeil ? Matthieu 7: 2-3
En ayant la ceinture de vérité
continuellement autour de nos reins, nous agirons
certainement avec vérité et nous
saurons nous examiner nous-mêmes avant
d'exhorter les autres pour qu'ils changent de
vie.
Par contre, si nous n'avons plus cette ceinture de
la vérité, il est évident que
nous allons faire un mauvais usage de
l'épée de la Parole de Dieu et que
cette même Parole nous blessera un jour
où l'autre lorsqu'elle nous reviendra en
pleine figure. ("Faites ce que je dis, mais ne
faites pas ce que je fais" ; une expression
que le monde sait employer contre les
chrétiens plus ou moins charnels qui disent
et qui ne font pas.)
Notre équipement de soldats de
Jésus-Christ est-il toujours en
état ? Est-il toujours au
complet ?
La réponse est intéressante, car,
même après s'être
équipés de toutes les armes, nous
pourrions nous être
débarrassées de celles qui nous
empêchaient de nous défendre comme
nous l'entendions.
Si la ceinture de vérité a
été abandonnée parce qu'elle
nous serrait un peu trop, comment allons-nous
manier l'épée de la Parole de Dieu
sans nous blesser nous-mêmes ?
Cette parole qui EST LA VÉRITÉ, cette
Parole qui est plus tranchante qu'une
épée à deux tranchants,
n'aura-t-elle pas un effet "boomerang" dans notre
vie ?
O homme, qui que tu sois, toi
qui juges, tu es
donc inexcusable ; car, en jugeant les autres,
tu te condamnes toi-même, puisque toi qui juges, tu fais
les mêmes choses. Romains 2: 1
Avec l'épée de la Parole de Dieu
entre les mains, nous sommes en possession d'une
arme dangereusement efficace sur le terrain de
l'ennemi.
Pour que le maniement de cette arme soit sans
danger pour son possesseur, il est impératif
qu'il garde en sa possession TOUTES les autres
armes de Dieu et qu'elles soient utilisées
correctement.
Nous pouvons nous voir revêtus de toutes les
armes de Dieu, de toutes ces armes spirituelles et
nous imaginer partir à la conquête des
âmes perdues qui vivent dans les
ténèbres ; nous pouvons
rêver que, comme les preux chevaliers
d'antan, nous entrerons couverts de gloire dans la
maison de notre Roi.
Belle image d'Épinal qui ne correspond pas
à toute la vérité, car, sur
les champs de batailles du monde ou sur le
champ des batailles spirituelles, il y a des preux
chevaliers qui sont partis tout feu tout flamme,
mais qui sont morts dans le déshonneur pour
n'avoir point su défendre leur drapeau.
Savons-nous défendre la foi que nous
professons ?
Savons-nous honorer le beau nom que nous portons
(Jacques 2: 7) ?
Comment cette épée de la Parole de
Dieu - que je suis appelé à
utiliser sur le champ missionnaire de chaque jour -
pourra-t-elle être efficace si je ne lui
permets de trancher, de retrancher de ma vie tout
ce qui va m'handicaper lorsque je serai face
à l'adversaire ?
La parole de Dieu est vivante
et efficace, plus tranchante qu'une
épée quelconque à deux
tranchants, pénétrante jusqu'à
partager âme et esprit, jointures et
moelles ; elle
juge les sentiments et les pensées du coeur
(de notre coeur..., ne l'oublions
pas !)...
Hébreux 4: 12-13
Suis-je d'accord d'être jugé
par la Parole de Dieu ?
Suis-je d'accord de la laisser faire son oeuvre de
partage ?
Suis-je d'accord qu'elle coupe..., qu'elle mette
une séparation définitive entre deux
sortes de vie, deux sortes de comportements que je
pourrais encore avoir ?
Avant de répondre par l'affirmative,
connaissons-nous les exigences de la Parole de
Dieu ?
Nous pourrions répondre un oui
catégorique sans pour autant connaître
suffisamment les Écritures pour savoir ce
qu'implique l'engagement à suivre
Jésus.
Il en sera alors comme le bouclier de la foi dont
la dimension est proportionnelle aux promesses de
Dieu que nous connaissons et qui peuvent être
mises entre l'ennemi de nos âmes et nous.
Peu de connaissances des promesses de la Parole de
Dieu, peu de protection.
Peu de connaissance de la Parole de Dieu, peu
d'occasion de faire le bon choix et de nous
séparer de ce qui déplaît au
Seigneur.
Lorsque je suis confronté à faire
des choix, ce devrait être la Parole de Dieu
qui tranche, qui coupe, qui sépare et non
mon raisonnement ou celui d'autrui !
Posons-nous la question : Quelles sont mes
connaissances de la Parole de Dieu ?
Sont-elles suffisantes pour trancher efficacement
lorsqu'il a des positions à
prendre ?
Si je ne peux pas utiliser l'épée de
la Parole de Dieu à mon profit pour me
séparer du monde, en raison de mon ignorance
(volontaire), il est à craindre que je ne
sois aspiré par le monde, par les
idées du monde et que j'en souffre à
un moment ou un autre !
À moi de savoir si je veux
être aspiré par le monde ou
inspiré par le Saint-Esprit !
À moi de savoir si je veux prendre et
utiliser toutes les armes que le Père
céleste met à ma
disposition :
1 - La ceinture de vérité qui
est en opposition au mensonge.
2 - La cuirasse de la justice qui nous
protège des conséquences spirituelles
de l'injustice.
3 - Les chaussures du zèle qui nous
permettent d'être des témoins et
d'entretenir notre amour pour le Seigneur.
Et par-dessus tout cela...
4- Le bouclier de la foi - utilisable
à tout moment - pour se cacher
derrière les promesses de notre Dieu qui ne
pourra jamais ni nous tromper, ni nous mentir.
5- Le casque du salut, Le casque de
l'espérance du salut qui va préserver
mes pensées et aussi me permettre de
m'isoler des bruits du monde pour mieux entendre ce
que le Seigneur a à me dire.
6- L'épée de l'Esprit qui est
la Parole de Dieu.
Sans ceinture de vérité, sans
justice, sans zèle, sans connaissance des
promesses de Dieu, sans casque du salut pour
protéger nos pensées et sans
l'épée de la Parole de Dieu, nous
deviendrons une proie facile pour le diable qui...,
"tel un lion rugissant, cherche toujours quelqu'un
à dévorer"
(1 Pierre 5: 8)!
Ferons-nous partie de son festin comme plat de
résistance ou serons-nous invités au
festin des noces de l'Agneau (Apocalypse 19:
9) ?
Pensons-y sérieusement pendant que Dieu use
encore de patience envers ses bien-aimés
(2 Pierre 3. 9).
***
Revêtez-vous de toutes les
armes de Dieu,
afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du
diable.
Éphésiens 6:
11
- ... de résister aux artifices du diable
-
- ... de résister aux embûches du
Démon -
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Prochain message: Handicapé de naissance :
Pourquoi ? Qui a péché ?
* Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond
J-M Ravé le 30 avril 2011 - CP 474 - 2300
Chaux-de-Fonds - Suisse C030611
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