La semaine passée, nous nous sommes rappelés que l'Écriture insiste sur le fait que Dieu ne ment pas et qu'il ne mentira jamais de la même façon que son Fils, le Seigneur Jésus, ne pourra jamais nous induire en erreur.

Quel appui merveilleux de connaître cette vérité et de pouvoir se lever le matin en disant dans son coeur : DIEU NE MENT PAS !
Ainsi toutes les promesses qui ont été faites en faveur de ceux qui marchent dans le chemin étroit se réaliseront dès l'instant où toutes les conditions seront requises pour leur accomplissement : DIEU NE MENT PAS !

Par contre, puisque Dieu ne ment pas, n'oublions pas de tenir compte qu'il dit aussi la vérité lorsqu'il s'adresse à des personnes qui ne veulent pas suivre ses instructions.

Dieu ne ment pas lorsqu'il dit que les vierges folles trouveront la porte fermée !

Plus tard, les autres vierges (les folles) vinrent, et dirent : Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit : Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. Matthieu 25 : 11 : 12

Dieu ne ment pas lorsqu'il dit que des gens de SA maison, seront jetés dehors, là où il y aura des pleurs et des grincements de dents, parce qu'ils auront été inutiles dans SA maison, dans SON Église, n'ayant jamais travaillé pour SON Royaume.

Et le serviteur inutile (et aussi la servante inutile), jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Matthieu 25. 30

Dieu ne ment pas lorsqu'il dit que les chrétiens tièdes seront vomis de sa bouche, c'est-à-dire.... CHASSÉS DE SA PRÉSENCE !

Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Apocalypse 3 : 16

Avez-vous notez que ce sont les paroles du Seigneur et uniquement les paroles du Seigneur ?
Savez-vous que c'est à lui que TOUT JUGEMENT A ÉTÉ REMIS ? « Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils » (Jean 5 : 22).

Avez-vous compris que vous venez d'avoir un aperçu de son jugement pour ce qui est des vierges folles, des serviteurs et des servantes inutiles ainsi que des chrétiens tièdes ?

Avez-vous bien compris que le Fils de Dieu ne ment pas et que, s'il a donné certains avertissements ou certaines paraboles, c'était pour nous faciliter la compréhension de SA Parole afin que nous agissions avec sagesse pour ne pas perdre le bénéfice de tout ce qu'il a accompli en notre faveur ?

Malheureusement, il est à craindre que plusieurs aient compris le message sans que cela ne les fasse changer de comportement !
Ainsi, par exemple, les vierges folles, parce que justement elles se conduisent comme des insensées, elles ne changeront pas d'idée.

Pour qu'elles en changent, il faudrait qu'elles deviennent sages !
Et pour qu'elles deviennent sages..., il faudrait qu'elles demandent de la sagesse !
Mais là encore, n'ayant pas un brin de sagesse il ne leur viendrait pas à l'idée d'en faire la demande étant donné que, malgré les différences visibles d'avec leurs consoeurs (les sages), elles se croient bien équipées pour entrer dans le Royaume des Cieux !

Nous savons qu'il y a des vierges folles au milieu de nous, c'est incontestable puisque c'est le Fils de Dieu qui le dit, lui qui sonde les coeurs et les reins !

Nous savons aussi qu'il y a des serviteurs et des servantes, dans la maison du Maître, dans l'Église de Jésus-Christ, qui sont inutiles. Le Fils de Dieu n'a pas besoin de le dire puisque nous le voyons de nos propres yeux.
De la même façon, nous constatons qu'il y en a plusieurs qui se sont attiédis dans leur engagement avec Dieu et que, s'ils restent dans cet état, ils seront... vomis !

Il était bon de faire cette mise au point avant de retourner dans les paraboles que le Seigneur nous a laissées pour notre instruction. Plusieurs d'entre elles sont extrêmement précises pour tout ce qui touche à la vie éternelle dans le Royaume de Dieu ou dans le lieu de perdition éternelle, raison pour laquelle nous ferions bien d'y prêter une grande attention : DIEU NE MENT PAS !

Pour reprendre en douceur l'étude de ces paraboles, j'ai eu a coeur de vous proposer celle qui va suivre et qui fera un lien parfait avec ce qui vient d'être dit et ce qui viendra dans les autres semaines afin que NOUS RÉAPPRENIONS LA CRAINTE DE DIEU.

Je vous invite donc à ouvrir vos Bibles à Matthieu 21 : 28-31a :

Que vous en semble ? Un homme avait deux fils ; et, s’adressant au premier, il dit : Mon enfant, va travailler aujourd’hui dans ma vigne.
Il répondit : Je ne veux pas. Ensuite, il se repentit, et il alla.

S’adressant à l’autre, il dit la même chose. Et ce fils répondit : Je veux bien, seigneur. Et il n’alla pas.
Lequel des deux a fait la volonté du père ?

En s'adressant à chacun d'entre nous, le Seigneur Jésus nous invite à réfléchir afin de lui donner une réponse ; une réponse qui devra nous amener à réfléchir aussi sur notre vie.
S'il agit ainsi, c'est pour que nous soyons capables de nous examiner sérieusement afin que la réponse que nous allons rendre ne devienne pas un jugement qui nous condamne.

Toi qui juges, tu es donc inexcusable ; car, en jugeant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui juges, TU FAIS LES MÊME CHOSES. Romains 2 : 1

Il est évident que nous ne prendrons pas le contexte de ce dernier verset, nous en prendrons seulement le message central (celui du jugement) pour le faire correspondre avec le texte de Matthieu que nous venons de lire.

Ce texte de l'Évangéliste nous place à la fois en tant que juge - « que vous en semble » - et en même temps à la place des enfants de Dieu à qui il est demandé de travailler dans la vigne du Maître afin d'accomplir les oeuvres qui ont été préparées d'avance afin que nous les fassions (Éphésiens 2 : 10).

Voyons d'abord le premier fils.
Afin de bien le démarquer de son frère, nous prendrons la liberté de dire que c'est l'aîné tout en prenant conscience que la Bible ne le précise pas.
Tout d'abord, nous pouvons relever que le Père, en l'occurrence le SEIGNEUR, ne demande pas l'avis de son enfant ; il lui commande d'aller travailler dans sa vigne ; c'est normal..., il est SEIGNEUR ! « Mon enfant, va travailler aujourd’hui dans ma vigne. »

De la même façon il nous est ordonné :
- d'être des témoins,
- de raconter tout ce que le Seigneur a fait pour nous ;
- il nous est ordonné aussi de nous instruire,
- de nous exhorter les uns, les autres, de prier les uns pour les autres et les uns AVEC les autres, etc., etc.

En aucun cas il nous est demandé notre avis ! La seule liberté que nous avons c'est de choisir entre l'obéissance et la désobéissance !
Que voyons-nous, qu'entendons-nous ? Le fils « aîné » a fait son choix : il a dit NON ! Il a refusé d'obéir !

Non, je ne veux pas aller dans ta vigne !
Non je ne veux pas témoigner dans ma famille !
Non, je ne veux pas m'instruire concernant les choses de Dieu !
Non, non et non... JE NE VEUX PAS !

Et là, surprise !
Pas un mouvement de colère de la part du Père ! Pas de menace ! Pas de demande réitérée non plus !
L'obéissance doit être volontaire autrement ce n'est plus de l'obéissance qui vient du coeur ; cette obéissance qui fait chaud au coeur de Dieu parce qu'elle est accomplie dans l'amour.
Nous voyons que cet enfant ne se met pas sous la loi en s'obligeant à faire ce qui est commandé parce qu'il faut le faire.
Il jouit de sa pleine liberté de décision ; une liberté donnée par notre Dieu qui ne contraint personne à faire sa volonté, même s'il avertit des conséquences éternelles qu'il y aura à mépriser SA parole !

Ce garçon, disons-le, a parlé avec précipitation sous l'impulsion de sa chair. Il est sorti de sa bouche une pensée provenant d'une vieille nature qui a montré qu'elle avait encore son mot à dire.

La chair a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez. Galates 5 : 17

Je pense que beaucoup se sont reconnus dans ce comportement en se rappelant certains épisodes de leur vie où ils ont dit, pour un instant, un NON catégorique à leur Sauveur et Seigneur qui leur demandait de servir à un moment particulier pour accomplir une mission particulière.

Ah... ! Oser dire NON à Dieu avec droiture de coeur ! Et ensuite laissé l'Esprit du Seigneur travailler ce coeur pour le conduire à la repentance ! Voilà un chemin qui ne nous est certainement pas inconnu !

Il répondit : Je ne veux pas. Ensuite, IL SE REPENTIT... 21 : 29

Lorsque nous avons fait des mauvais choix, que nous avons été interpellés par le Seigneur, par des frères ou des soeurs dans la foi, ou par un serviteur de Dieu, sommes-nous capables d'accepter la réprimande et de nous repentir devant Dieu d'avoir mal agi, mal répondu ?
Prenons-nous le temps de réfléchir ou faisons-nous volte-face en mettant en avant nos excuses ou nos bonnes oeuvres pour cacher une vérité que nous REFUSONS DE VOIR et qui pourtant a touché notre coeur ?

Je ne doute pas que nous ayons tous eu du regret d'avoir mal agi envers notre Père céleste, je ne doute pas que nous lui ayons demandé pardon, par contre... (et je ne m'oublie pas) :
Il n'est pas sûr que nous nous soyons toujours humiliés devant lui afin de faire valoir une repentance véritable qui porte du fruit !

Produisez donc du fruit digne de la repentance ! Matthieu 3 : 8.

Mais quels fruits dignes d'une repentance sincère dois-je produire ?
Pour le savoir, revenons à notre texte de Matthieu 21 : 29 et lisons les TROIS derniers mots : « ET IL ALLA ! »

Voilà une repentance digne de ce nom ! Une repentance qui a beaucoup à nous apprendre !
Elle nous montre qu'elle prend le contre-pied de la désobéissance en conduisant l'enfant désobéissant à entrer dans la pleine volonté de son Dieu.

À quoi servirait-il de se repentir et de ne rien changer à sa vie ?
De laisser en plan le travail qui nous a été demandé de faire, le témoignage que nous devions rendre dans notre famille, dans notre entourage ou à la personne à qui nous devions parler ?
De ne pas chercher à s'instruire alors que, justement nous avions péché par ignorance, par manque d'instruction ?

Ce n'est pas parce que le sang de Jésus nous purifie de tout péché (1 Jean 1 : 7) que nous sommes dégagés de l'obligation de faire ce qui nous avait été demandé de faire et que nous avions alors refusé d'accomplir !

Les désirs de sa chair n'ont pas réussi à prendre le dessus pas plus que les aspirations de cette vieille nature qui montre qu'elle a toujours honte de Jésus-Christ et que, si elle en avait le pouvoir, elle retournerait dans le monde d'où elle est venue en fuyant la lumière qui éclaire tout homme (Jean 1 : 9).

Puissions-nous toujours nous souvenir de ces paroles de l'apôtre Paul adressées aux Romains, nous en souvenir lorsque la chair fera des appels du pied pour que l'on s'écarte de la voie droite ou que l'on minimise la portée d'un commandement de Dieu pour ne pas avoir à le mettre en pratique :

Si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si par l’Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Romains 8 : 13-14

Passons maintenant au second fils.
Aux yeux de son entourage, il donne l'apparence qu'il est un enfant obéissant qui doit faire les délices de son Père.
Il semble d'autant plus sympathique que, contrairement à son frère, non seulement il va dire OUI, mais en plus il ajoutera le qualificatif de SEIGNEUR !

S’adressant à l’autre, il (le Père) dit la même chose. Et ce fils répondit : Je veux bien, SEIGNEUR. Matthieu 21 : 30

Quel garçon admirable !
Pensez donc, il veut bien aller travailler sans discuter et, de surcroît, il souligne l'autorité de son Père !
Franchement..., il y aurait de quoi être émerveillé si la Parole de Dieu ne nous révélait pas le revers de la médaille, si elle ne mettait pas en lumière les sentiments profonds de son coeur qui vont nous faire changer d'opinion à son égard !

Quel garçon méprisable !
Il ose reconnaître l'autorité, « je veux bien SEIGNEUR » mais il va se conduire comme l'hypocrite qu'il est !

Voilà, le décor est planté !
Le Seigneur Jésus nous a dépeint le comportement de ces deux frères par rapport à l'ordre qu'a donné leur Père.
Et, pour ne pas oublier l'interrogation du début de sa narration : « que vous en semble ? » il nous repose sa question avec plus de précision : « Lequel des deux a fait la volonté du Père ? »
Si j'ai mis une majuscule à « Père », c'est pour vous rendre attentifs que vous êtes concernés, vous qui savez aussi employer le nom du Seigneur !

Certes, il n'y a aucun mal à employer son nom s'il est employé avec sincérité de coeur.
Non pas cette sincérité qui est conséquente à... l'ambiance d'un moment durant laquelle on donnerait tout à Dieu aussi facilement qu'on reprendrait tout..., une fois que la température est retombée.
Non ! Il est question de cette sincérité qui provient d'un coeur qui a été régénéré et qui fait réellement ses délices de la Parole de Dieu (Psaume 119 : 47) au point d'en chercher toujours plus de saveur tout en profitant de toutes les occasions pour en faire connaître le goût autour de soi.

« Lequel des deux a fait la volonté du Père ? »
Comme la question est posée..., il faut bien y répondre !
Il faut y répondre même si la réponse que l'on va donner va nous condamner comme elle a condamné les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple à qui elle était posée (Matthieu 21 : 23)

« Vous n’avez pas cru en lui », disait Jésus en parlant de Jean-Baptiste qui avait prêché la repentance et la venue de l'Agneau de Dieu.

Vous n’avez pas cru en lui. Mais les publicains et les prostituées ont cru en lui ; et vous, qui avez vu cela, vous ne vous êtes pas ensuite repentis pour croire en lui. Matthieu 21 : 32

Alors... Lequel des deux a fait la volonté du Père à votre avis ?
Ne me répondez pas maintenant, car avant, je vous invite à comparer votre comportement à celui d'un des deux enfants dont nous avons mentionné la conduite.
En effet, si vous voulez tirer profit de la prédication de ce jour, vous devez vous regarder dans le miroir de la Parole de Dieu.
Vous devez prendre conscience que votre vie ressemble à la vie de l'un ou de l'autre de ces deux frères.

Votre attitude, par rapport aux divers commandements de Dieu et instructions, correspond-elle avec celle du frère « aîné » qui a laissé parler sa vielle nature ?
Cette vieille nature qui, non seulement ne veut pas obéir, mais qui, de surcroît, ne veut pas reconnaître la seigneurie du Père (céleste) sur la façon de gérer la vie qu'il nous a donnée !
Mais..., fort heureusement ce témoignage ne s'arrête pas sur une défaite !
C'est maintenant l'instant où l'on va se rendre compte que l'on a devant nous une personne née de nouveau qui, après réflexion et travail du Saint-Esprit, se repentira de sa mauvaise conduite et mettra en pratique ce qui lui a été commandé.

Si vous ressemblez à ce fils « aîné », alors merci Seigneur ! Vous marchez de progrès en progrès en cherchant à plaire à Dieu !

Par contre, si votre conduite est la même que celle du second fils..., et je sais que dans l'Église de la fin des temps cette conduite va devenir de plus en plus la norme, je ne voudrais pas changer ma place dans l'éternité contre la vôtre.

Qu'en est-il exactement de cette conduite dans l'Église de Laodicée, cette Église de notre siècle ?
Si nous voyons clair, nous remarquerons qu'il y a toujours plus de personnes qui ont une vie superficielle.
De leur bouche elles acceptent de changer, d'obéir, mais dans la réalité, elles ne font rien et ne veulent rien faire pour changer !

Ce sont des personnes qui chantent : « Jusqu'au bout je veux te suivre... » ; ou qui chante « entre tes mains j'abandonne tout ce que j'appelle mien..., oui prends tout Seigneur », mais qui, dans la réalité, se dégonflent comme un ballon de baudruche et ne veulent pas honorer les engagements qu'elles ont pris devant celui qui les a enregistrés. « Elles disent connaître Dieu, mais elles le renient par leurs oeuvres, étant rebelles et incapables de bonnes oeuvres (préparées d'avance par Dieu)” Tite 1 : 16

Des bonnes oeuvres... ! Bien sûr, il y en a !
Des oeuvres bien souvent produites par un coeur charnel qui n'est pas sensible à l'Esprit de Dieu !
Des bonnes oeuvres qui peuvent être faites en faveur des enfants de Dieu, des missions, etc... ; très certainement ! Des bonnes oeuvres charnelles pour le Seigneur qui ne leur avait rien demandé !
Des bonnes oeuvres qui reçoivent quand même leurs récompenses ici-bas : « quiconque donnera seulement un verre d’eau froide à l’un de ces petits parce qu’il est mon disciple, je vous le dis en vérité, il ne perdra point sa récompense » (Matthieu 10 : 42)

Des bonnes oeuvres qui ne seront pas forcément mises en compte dans le trésor du Ciel, là où s'entasse tout ce qui a été fait pour la gloire de Dieu – selon SA volonté – et qui n'ont pas forcément reçu une récompense ici-bas.

Un OUI, de la bouche par laquelle il sort un peu de tout... « la bouche parle de l'abondance du coeur » (Matthieu 12 : 34).
Et un NON qui provient d'un coeur rebelle, d'un coeur qui ne veut pas se soumettre quoiqu'il ait reconnu la seigneurie de celui qui a commandé !
Un NON que la bouche n'ose pas exprimer, mais que la conduite de tous les jours met en évidence !

Alors..., à votre avis, lequel des deux a fait la volonté du Père ?
Bien sûr, vous ne pouvez pas hésiter en donnant votre réponse !
Comme les sacrificateurs et les anciens vous savez bien que c'est le fils « aîné » qui a obéi.

Ils ne pouvaient pas contester l'évidence même s'ils étaient aveugles pour ce qui concernait leur propre vie. Ce n'est qu'après plusieurs autres paraboles qu'ils comprendront que le message leur était destiné.
Un message qui n'était pas fait pour les condamner, mais pour mettre en évidence le fait qu'ils devaient réformer leurs voies ; qu'ils devaient se convertir afin de devenir de nouvelles créatures !
Jésus n'est pas encore LE Juge..., mais pour combien de temps ?

Si quelqu’un entend mes paroles et ne les garde point, ce n’est pas moi qui le juge ; car je (Jésus) suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde.
Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j’ai annoncée, c’est elle qui le jugera au dernier jour. Jean 12 : 47-48

La Parole annoncée est donc celle qui nous jugera avec droiture.
Par rapport à cette Parole, nous n'aurons qu'une réponse à donner selon que nous aurons mis en pratique ou non cette Parole ! Il n'y a pas plus simple comme jugement !

Maintenant..., plutôt que de vous demander lequel de deux a fait la volonté du Père puisque de toute façon vous connaissez la réponse, je vais plutôt, en tant que serviteur de Dieu qui aura à rendre compte de vos âmes, je vais vous demander :

Et vous... faites-vous la volonté de Dieu ?

La faites-vous en obéissant à la Parole de Dieu ? Sachez bien qu'il n'y a pas d'autres moyens pour faire la volonté de Dieu !
Peu importe que vous disiez Seigneur, Seigneur !
Peu importe que vous chantiez des cantiques de tout votre coeur !
Ce n'est pas la question du jour !

Dieu ne ment pas..., les vierges folles trouveront la porte fermée !
Dieu ne ment pas..., des gens de SA maison, serviteurs et servantes inutiles, seront jetés là où il y aura des pleurs et des grincements de dents !
Dieu ne ment pas..., les chrétiens tièdes seront vomis de sa bouche !

Repentez-vous, pendant que Dieu use encore de patience...., c'est le moment où jamais ! L'éternité se rapproche et elle se rapproche de plus en plus particulièrement pour ceux et celles qui, comme moi, bénéficient de la retraite ; une retraite qui nous crie dans les oreilles que nous sommes dans l'antichambre de l'éternité !
L'éternité..., c'est là notre avenir ! Que l'on soit jeunes ou vieux !

Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous (qui avez accepté Jésus comme Sauveur et Seigneur), ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que TOUS arrivent à la REPENTANCE. 2 Pierre 3 : 9

Il répondit : « Je ne veux pas. Ensuite, il se repentit, et il alla. »
L'autre répondit : « Je veux bien, seigneur. Et il n’alla pas. »
Lequel des deux a fait la volonté du père ?

J-M Ravé 14 janvier 2012 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse
Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.

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