Nous vivons dans une civilisation post-chrétienne caractérisée par une abondance de biens matériels assortie d'une grande insatisfaction et d'une angoisse existentielle croissante. Le sentiment d'insécurité est encore aggravé par l'augmentation de la violence, de l'injustice et du désordre, contre lesquels les autorités semblent impuissantes.
Dans ce contexte difficile on constate un accroissement des maladies psychosomatiques au point que la remarque plaisante du Docteur Knock devient une réalité: «Un homme en bonne santé est un malade qui s'ignore.» (1)
Il n'est pas étonnant que, dans ces conditions, le coût de la santé croisse exponentiellement et que tous ceux qui ont un pouvoir réel ou imaginaire de soulager l'humanité trouvent abondance de clients.
Dans les Églises, les études bibliques sont désertées au profit de réunions où «l'ambiance» devient primordiale. Ceux qui s'occupent de «relation d'aide» sont largement sollicités. Diverses organisations religieuses offrent quantité de conférences et de séminaires en relation avec les problèmes sociaux, conjugaux, familiaux, éducatifs, etc. Ceux qui les donnent, comme ceux qui les suivent, ont le souci d'aider à résoudre les problèmes du prochain et parfois aussi les leurs. C'est très bien quand l'enseignement donné est essentiellement basé sur la Bible et que les sciences humaines ne sont que des moyens de mettre en valeur ce qu'elle dit. Hélas, ce n'est pas toujours le cas et il arrive fréquemment que la psychologie prenne une place démesurée dans la relation d'aide.
On sait que les fondateurs de cette science, Freud, Jung, Adler et bien d'autres, n'étaient pas chrétiens et que, sous un langage presque religieux (Jung) (2), ils distillent souvent un poison subtil. C'est d'autant plus dangereux qu'une partie de la psychologie est utile, par exemple, comme auxiliaire de la pédagogie. Le Seigneur Jésus, dans son enseignement, a toujours fait preuve d'un grand sens psychologique. Il suffit pour s'en convaincre de relire, dans les Évangiles, les entretiens qu'il a eus avec diverses personnes. L'apôtre Paul exhorte les Colossiens à faire preuve de ce même sens psychologique lorsqu'il écrit: « Que votre parole soit toujours accompagnée de grâce, assaisonnée de sel, afin que vous sachiez comment vous devez répondre à chacun. » (Col 4:6).
Une psychologie dangereuse
Aujourd'hui, la psychologie a une très grande audience. Il y a seulement 50 ans, on ne trouvait des psychologues que dans les grandes villes. Ils représentaient une infime minorité du corps médical. Maintenant, les cabinets des psychologues abondent partout. C'est un signe du mal-être général de la population, d'une part, et de l'importance exagérée que cette science a prise dans notre culture occidentale déchristianisée, d'autre part.
Ce sont des psychologues eux-mêmes qui tirent la sonnette d'alarme, car ils connaissent mieux que personne les limites de leur science et les abus qu'elle engendre (3).
La psychologie est dangereuse quand elle se présente comme une alliée de l'enseignement biblique. Dans un livre intitulé « Séduction psychologique», le psychologue William Kirk Kilpatrick (4) écrit:
«La véritable difficulté est de distinguer la foi en Dieu et la foi en la psychologie. En fait, quand les gens apprennent que je m'occupe à la fois de psychologie et de christianisme, ils présument généralement que je travaille à une synthèse destinée à les réunir, à rassembler les quelques différences restantes possibles. - La psychologie et la religion ne sont-elles pas simplement deux façons d'arriver à la même chose? - C'est là une question que j'entends souvent. Il est vrai que la psychologie moderne a beaucoup de points communs avec la religion orientale; en fait, une fusion est en train de s'opérer. Mais si vous parlez de christianisme, il est beaucoup plus juste de dire que la psychologie et la religion sont deux fois rivales. Si l'on tient sérieusement à l'un de ces ensembles de valeurs, il faudra logiquement rejeter l'autre... L'attrait que la psychologie exerce sur les chrétiens et sur les non-chrétiens est complexe. Il est difficile de s'en rendre compte si on ne comprend pas que c'est fondamentalement un attrait religieux, car il est vrai que la psychologie possède un vernis de christianisme. Non pas de christianisme doctrinal, bien entendu. La plupart des psychologues y sont hostiles et assez naturellement les non-chrétiens le sont également. Néanmoins, il existe une certaine note de christianisme dans ce que dit et fait la psychologie: échos d'amour pour son prochain comme pour soi-même, la promesse d'une plénitude de l'être entier, le soin d'éviter de juger les autres. Ces idées sont attirantes pour bien des personnes quelle que soit leur foi. Mais comme bien des contrefaçons, la psychologie populaire ne tient pas ses promesses. Au contraire, elle éloigne à la fois les chrétiens et les non-chrétiens de ce qui est leur devoir ou leur conduite. C'est une séduction selon le sens étymologique du mot (lat. seducere, conduire à l'écart.) » (fin de citation) (5).
Après l'avis d'un psychologue, voici celui de deux pasteurs: « Notre époque est marquée par l'influence de la psychologie séculière dans l'Église. Contrairement à 2 Tim. 3:16-17, la Bible n'est plus suffisante pour servir de base à la relation d'aide. On a besoin de la psychothérapie. On ne compte plus sur le Saint-Esprit pour qu'il produise les changements nécessaires dans la vie des croyants. Les anciens ne sont plus compétents pour conseiller. Ils doivent envoyer les chrétiens à des psychothérapeutes. Cela en dépit du fait que Dieu nous a donné dans sa Parole et par le Saint-Esprit, tout ce qui est nécessaire à la vie et à la piété (2 Pierre 1 :3). » (6)
«Certains enseignent qu'il faut prendre ce qui est bon chez les psychologues incrédules et l'adapter à la Bible. Mais ceux qui agissent ainsi oublient qu'il ne suffit pas de citer quelques textes bibliques, qui donnent une saveur évangélique à un enseignement provenant d'incrédules, pour que cet enseignement soit conforme à la pensée de Dieu.
Ce qui est grave, c'est que cette psychologie au goût du jour n'est au fond que de l'humanisme déguisé. L'homme veut être au centre et occuper ainsi la place qui revient à Dieu. » (7)
Comme nous l'avons dit plus haut, tout n'est pas mauvais dans la psychologie. Elle constitue un des éléments de la pédagogie, et l'Ecclésiaste, comme l'auteur des Proverbes, ont fait de la bonne psychologie sans le savoir et bien avant ceux qui prétendent en être les inventeurs.
Le danger de la psychologie provient justement du mélange entre le bon et le mauvais.
Ce qui est bon en elle représente l'appât destiné à attirer le poisson. Encore faut-il savoir, quand on parle de psychologie, de quelle psychologie il est question, car il est impossible de faire le tour de tous les procédés psychologiques imaginés à ce jour. En 1978, une statistique américaine en recensait plus de 4000 (8).
Comment alors s'y retrouver quand, comme l'auteur de cet article, on n'est pas un spécialiste? En tant que chrétiens dont la foi est fondée sur la Bible seule, nous pouvons comparer les enseignements de la psychologie à ceux de l'Écriture Sainte et rejeter purement et simplement tout ce qui est en contradiction avec ce que Dieu nous dit dans sa Parole. Nous serons sans doute traités d'intégristes, de fondamentalistes, d'obscurantistes, de vieilles barbes réactionnaires, et de bien d'autres épithètes malsonnantes. Ce sont les «éloges» que le monde décerne habituellement à ceux qui prennent la Bible pour référence.
Enseignements psychologiques inacceptables
La théorie psychologique de «l'estime de soi» est un des principaux chapitres qu'on trouve généralement sous une forme ou sous une autre dans la plupart des techniques psychologiques destinées à nous assurer l'équilibre et le bonheur.
La psychologie humaniste qui place l'homme au centre de ses préoccupations souligne l'importance du MOI. La réalisation de soi est le but recherché et l'estime de soi en est le chemin. C'est la nouvelle terre promise.
Plus l'Église donne de place à la psychologie, plus son centre de référence passe de Dieu au MOI.
Il y a environ 35 ans que, pour la première fois, j'ai entendu un pasteur dire que pour aimer son prochain comme soi-même, il est nécessaire de commencer par s'aimer soi-même. À l'époque j'avais cru à une plaisanterie, tellement il me paraissait absurde de modifier le commandement de Dieu de cette manière. Il m'avait toujours semblé, et je persiste à le croire encore, qu'aimer son prochain comme soi-même, c'est faire pour lui dans tous les cas ce qu'on ferait pour soi. La Bible ne dit-elle pas que «Personne n'a jamais haï sa propre chair; mais il la nourrit et en prend soin.» (Eph 5:29) ?
La psychologie objecte que beaucoup de personnes sont malheureuses parce qu'elles ne s'estiment pas assez et qu'elles se considèrent incapables de faire ce que font les autres. En un mot, elles s'auto-dénigrent. Ce manque d'estime de soi, disent les psychologues, est la cause de la plupart des problèmes de comportement.
C'est un fait que la plupart des personnes qui suivent un traitement psychologique se plaignent d'être malheureuses et incomprises, négligées par les autres du fait de leur insignifiance. Mais, est-ce là l'indice d'un manque d'estime de soi? N'est-ce pas plutôt un désir d'être reconnu, félicité, flatté? En proclamant sa propre nullité, n'est-ce pas un moyen de susciter des éloges: «Mais non, tu n'es pas rien. Tu es quelqu'un de très bien. Des milliers de personnes aimeraient savoir ce que tu sais et avoir les capacités que tu as, etc.»
Le manque d'estime de soi n'est souvent rien d'autre qu'une collection de pensées centrées sur soi-même et même un excès d'estime de soi camouflé sous des apparences d'humilité.
Les enseignants - qui brassent la pâte humaine - côtoient tous les genres et ont plus de soucis avec les élèves trop pleins d'eux-mêmes, qui compensent leur médiocrité par des prétentions exagérées et des revendications continuelles. L'excès de modestie, si ça se trouve, est plus supportable et bien moins dommageable que l'excès d'estime de soi.
Dans ce domaine, l'équilibre est atteint quand la personne connaît à la fois ses potentialités et ses limites. Satan n'a pas péché par manque d'estime de soi, mais par l'opposé: l'orgueil (Ezéch. 28:15-18). L'orgueil est le péché primordial, celui auquel on échappe avec peine. C'est pourquoi Paul ordonne de ne pas nommer comme ancien un nouveau converti, de peur qu'enflé d'orgueil il ne tombe sous le même jugement que le Diable (1 Tim. 3:6). Or l'estime exagérée de soi n'est rien d'autre que de l'orgueil. Ne dit-on pas en plaisantant que, pour faire fortune, il faudrait acheter les gens pour ce qu'ils valent et les vendre pour ce qu'ils s'estiment? La sagesse populaire est plus réaliste que celle de certains psychologues.
Dans Romains 12:3, Paul déclare: «Je le dis à vous tous: n'ayez pas une opinion de vous-mêmes plus haute qu'il ne faut. Ayez au contraire des pensées modestes, que chacun de vous s'estime d'après la part de foi que Dieu lui a donnée. »
Voir aussi Galates 6:3: «Si quelqu'un pense être quelque chose, alors qu'il n'est rien, il s'illusionne lui-même.»
Corollaires de l'estime de soi exagérée.
Les psychologues qui encouragent le développement de l'estime de soi incitent les gens à affirmer leur MOI.
Jacques Poujol, pasteur et psychologue, a dit, lors d'un culte à l'Église Libre de la Chaux-de-Fonds:
«Le but à atteindre est de devenir chaque jour nous-mêmes, de devenir sujet, de devenir JE. Pouvoir dire très fort JE par rapport au Seigneur. Dieu ne veut pas faire de nous des zombies. Nous devons donc nous appliquer à devenir ce que nous sommes. Le but à atteindre de toute ma vie est devenir MOI-MEME. Si je passe ma vie à vouloir mourir à moi-même, qui va exister à la place de MOI? (une voix dans l'Église a crié: JÉSUS)... Jésus a déjà existé. Excusez-moi, non, c'est MOI qui dois exister. C'est JE qui doit exister» (9).
Voilà un très bon exemple du mélange de vérité et de mensonge. Il est vrai que Dieu ne veut pas faire de nous des zombies et que nous devons nous appliquer à devenir ce que nous sommes. Tout le reste est faux, et la partie vraie ne l'est que si nous sommes nés de nouveau. On trouve dans les paroles de Jacques Poujol citées plus haut l'écho subtil de la voix du tentateur: « vous serez comme des dieux». C'est la tentation toujours répétée de l'autonomie par rapport à Dieu. Comment concilier ses propos avec les Paroles de Jésus: « Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix et qu'il me suive. Quiconque en effet voudra sauver sa vie la perdra, mais quiconque perdra sa vie à cause de moi la trouvera.» (Mat. 16:24-25)? ou encore: « Vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu. Quand le Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire. Faites donc mourir votre nature terrestre... » (Col. 3:3-5) «Je suis crucifié avec Christ, et ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de Dieu.» (Gal. 2:20).
D'autre part, la Bible nous présente Jésus comme un modèle à imiter. C'est dans la ressemblance à Christ que nous nous réalisons pleinement! Ceux que Dieu a connus d'avance, il les a prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin qu'il soit le premier-né d'un grand nombre de frères (Rom. 8:29). C'est quand nous sommes esclaves de Satan que nous sommes des zombies, mais l'esclave de Dieu est libre. «Vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l'obéissance qui conduit à la justice... Mais maintenant libérés du péché et esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sanctification et pour fin la vie éternelle. » (Rom 6:16 et 22).
Le but à atteindre, c'est de ressembler à notre modèle, c'est-à-dire à Christ. Notre personnalité est accomplie à partir du moment où nous lui ressemblons totalement et où nous pouvons dire: Ce n'est plus moi qui vis. Cela arrive progressivement. En effet, «nous tous qui, le visage dévoilé, reflétons comme un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par l'Esprit du Seigneur.» (2 Cor 3:18). C'est donc tout autre chose que ce que propose la psychologie humaniste qui préconise le développement du MOI.
Des blessures qui ne guérissent pas
La psychologie humaniste nous informe que nous sommes blessés et traumatisés par toutes sortes d'agressions extérieures. D'après Jacques Poujol, notre expulsion de l'utérus maternel est la première blessure grave qui nous est infligée. Cette expulsion créerait en nous une névrose dont on ne se remet jamais complètement. De plus, notre guérison est freinée par toutes les blessures que nous infligent notre entourage, parents, frères et soeurs, instituteurs, patrons, etc.
Il y a une part de vérité dans ces affirmations parce que nous vivons dans un monde marqué par le péché. Nous ne pouvons éviter d'en subir les conséquences.
L'erreur principale de la psychologie humaniste dans ce domaine est de croire que l'homme naît bon et que c'est la société mauvaise qui nous rend mauvais et méchants. Si c'était vrai, nous ne serions en rien responsables du péché et des blessures dont nous souffrons.
Pour ce système, ce sont les autres qui sont coupables. Nous sommes des victimes dégagées de toute responsabilité, de sorte que ces blessures nous font d'autant plus mal.
Il ne vient pas à l'idée de ces psychologues que l'excès d'estime de soi et l'hypertrophie du MOI aggravent notre sensibilité à ce que nous considérons comme des injustices.
Aucune blessure ne fait souffrir un mort, mais la moindre égratignure est terriblement douloureuse pour un écorché vif. Il en est de même dans le domaine spirituel. Plus nous sommes morts à nous-mêmes, moins nous sommes sensibles aux blessures d'amour-propre. Plus nous nous estimons nous-mêmes, plus nous souffrons de n'être pas reconnus à notre prétendue vraie valeur. Finalement, la psychologie présentée ci-dessus ne fait qu'augmenter le malaise des gens en proposant des remèdes pires que le mal.
En d'autres termes, c'est un «autre Évangile » (Gal 1 :8 et 9).
1) Réplique célèbre du docteur Knock tirée d'une pièce de théâtre de Jules Romains (1885-1972), intitulée « Knock» (1923).
2) Karl-Gustav JUNG, médecin et psychologue suisse né à Kesswil (1875-1961). Fils de pasteur, familier du langage biblique, il a fait de la psychologie une espèce de nouvelle révélation dans laquelle le MOI est la nouvelle divinité. Voici un court passage d'un livre intitulé « L'idolâtrie du moi»: Dès les années 1940, l'image jungienne de Dieu «améliorée» (c'est-à-dire le MOI), incluait en elle non seulement le mal, mais la matière et le féminin, sous prétexte qu'ils forment une sorte de «trinité inférieure» exclue de la Divinité par le patriarcat. Ces concepts ont fini par trouver un écho dans les théologies modernes prétendument chrétiennes, sous forme d'adoration de la nature («la terre est le corps de Dieu»), de liturgies, de «cultes aux déesses» (adoration du féminin), et de tolérance à l'égard de styles de vie alternatifs en bref, tout cela correspond au monde, à la chair et au diable (page 43).
Ce livre est une étude intéressante de la psychologie de Jung. «L'idolâtrie du moi», par Jeffrey Satinover, Éditions Raphaël, case postale 1, CH-1801 Le Mont-Pèlerin, 84 pages.
3) Lors d'attentats ou d'accidents impliquant plusieurs personnes, les rescapés sont « aidés» par des psychologues. Par exemple, après la chute du MD 111 de Swissair dans l'Atlantique, à proximité des côtes du Canada, cette compagnie d'aviation a invité les proches des victimes à visiter les lieux du drame. Des psychologues se tenaient à disposition des personnes endeuillées et ont remis à chacune d'entre elles un ours en peluche à serrer sur son coeur pour les aider à supporter l'émotion du moment. Chacun de nous a pu lire cet épisode dans nos journaux ou le voir à la télévision. N'est-ce pas une illustration dramatique des limites de la psychologie?
4) « Séduction psychologique » est un livre de William Kirk Kilpatrick qui est professeur associé de psychologie éducative à Boston Collège. Ce livre de 284 pages est chaudement recommandé à ceux qui s'intéressent à l'échec de la psychologie moderne. Édition en français par le Centre Biblique Européen, case postale 2386, CH1222 Lausanne.
5) Séduction psychologique, citations extraites des pages 12 et 14.
6) Citation tirée de « L'invasion de la psychologie dans l'Eglise» par William Mac Donald et Rany Amos, page 5. Il s'agit d'un traité de 24 pages donnant un aperçu du problème. C'est le minimum de ce qu'il faudrait avoir lu sur le sujet. Éditeurs: Service d'orientation biblique, Plaza Laval, 2750, chemin de Sainte-Foy, Sainte-Foy, Québec GIV IV6.
7) Citation tirée de la préface du livre «La psychologie et la Bible... un bien triste mariage», par M. et D. Bobgan, page 6. Cet ouvrage de 118 pages en gros caractères se lit facilement et traite de plusieurs aspects de la psychologie. Recommandé à ceux qui veulent avoir une bonne idée des dangers de la psychologie. Mêmes éditeurs que ci-dessus.
8) Renseignement tiré du livre «Psychothérapie ou cure d'âme biblique» par R Antholzer, page 53. Ce livre de 71 pages fait une comparaison intéressante entre la psychothérapie et la cure d'âme biblique. L'auteur, Roland Antholzer, est psychologue diplômé de l'université de Tubingen, où il se convertit à Jésus-Christ. Éditeurs: La Maison de la Bible, Genève.
9) Extrait d'une cassette du message donné le dimanche le 1er novembre 1998 à l'Eglise Évangélique Libre de la Chaux-de-Fonds par le pasteur Jacques Poujol.
J.-C. Nicolet
La Bonne Nouvelle No 1 / 2000
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