Comment le Seigneur Dieu, en accomplissement de la Parole prophétique, bénit Israël à travers ses ennemis
Pour une meilleure compréhension de ce thème, j'aimerais, en guise d'introduction, citer un exemple biblique: Sous la domination du roi de Perse Assuérus, Haman, un des princes les plus élevés du pays, jouissait tout particulièrement de la faveur royale. Dans le livre d'Esther, cet homme est à plusieurs reprises appelé «l'ennemi des Juifs». Quand son inimitié à l'égard du peuple juif commença-t-elle? La réponse à cette question nous est donnée par le premier paragraphe du chapitre 3: «Après ces choses, le roi Assuérus agrandit Haman, fils d'Hammedatha, l'Agaguite, et l'éleva, et plaça son siège au-dessus de tous les princes qui étaient avec lui; et tous les serviteurs du roi qui étaient à la porte du roi se courbaient et se prosternaient devant Haman: car le roi l'avait ainsi commandé à son égard. Mais Mardochée ne se courbait pas et ne se prosternait pas. Alors les serviteurs du roi qui étaient à la porte du roi dirent à Mardochée: Pourquoi transgresses-tu le commandement du roi? Et il arriva que, comme ils lui parlaient jour après jour et qu'il ne les écoutait pas, ils informèrent Haman, pour voir si les affaires de Mardochée se maintiendraient; car il leur avait déclaré qu'il était Juif. Et Haman vit que Mardochée ne se courbait pas et ne se prosternait pas devant lui; et Haman fut rempli de fureur. Mais c'eût été une chose méprisable à ses yeux que de mettre la main sur Mardochée seul, car on lui avait appris quel était le peuple de Mardochée, et Haman chercha à détruire tous les Juifs qui étaient dans tout le royaume d'Assuérus, le peuple de Mardochée» (v. 1-6; version Darby). Mais il voulait tout d'abord tuer Mardochée. Il suivit, dans cette affaire, le conseil de sa femme et de ses amis: dresser un gibet pour que l'on y pende son ennemi; nous lisons: «Zéresh, sa femme, et tous ses amis lui dirent: Qu'on prépare un bois haut de cinquante coudées, et demain matin demande au roi qu'on y pende Mardochée; puis tu iras joyeux au festin avec le roi. Cet avis plut à Haman, et il fit préparer le bois» (Esther 5, 14). Haman était tout à fait certain que le roi agirait dans le sens de sa demande: il ferait pendre le Juif Mardochée.
Mais que fit l'Eternel, dont le nom n'est pas une seule fois mentionné dans le livre d'Esther?
Il bénit Mardochée en se servant d'Haman, son ennemi mortel, et cela de la façon que voici: «Cette nuit-là, le roi ne put pas dormir, et il se fit apporter le livre des annales, les Chroniques. On les lut devant le roi, et l'on trouva écrit ce que Mardochée avait révélé au sujet de Bigthan et de Théresch, les deux eunuques du roi, gardes du seuil, qui avaient voulu porter la main sur le roi Assuérus (Cf. Esth. 2, 21-23). Le roi dit: Quelle marque de distinction et d'honneur Mardochée a-t-il reçue pour cela? Il n'a rien reçu, répondirent ceux qui servaient le roi. Alors le roi dit: Qui est dans la cour? - Haman était venu dans la cour extérieure de la maison du roi, pour demander au roi de faire pendre Mardochée au bois qu'il avait préparé pour lui. - Les serviteurs du roi lui répondirent: C'est Haman qui se tient dans la cour. Et le roi dit: Qu'il entre! Haman entra, et le roi lui dit: Que faut-il faire pour un homme que le roi veut honorer? Haman se dit en lui-même: Quel autre que moi le roi voudrait-il honorer? Et Haman répondit au roi: Pour un homme que le roi veut honorer, il faut prendre le vêtement royal dont le roi se couvre et le cheval que le roi monte et sur la tête duquel se pose une couronne royale, remettre le vêtement et le cheval à l'un des principaux chefs du roi, puis revêtir l'homme que le roi veut honorer, le promener à cheval à travers la place de la ville, et crier devant lui: C'est ainsi que l'on fait à l'homme que le roi veut honorer! Le roi dit à Haman: Prends tout de suite le vêtement et le cheval, comme tu l'as dit, et fais ainsi pour Mardochée, le Juif, qui est assis à la porte du roi; ne néglige rien de tout ce que tu as mentionné. Et Haman prit le vêtement et le cheval, il revêtit Mardochée, il le promena à cheval à travers la place de la ville, et il cria devant lui: C'est ainsi que l'on fait à l'homme que le roi veut honorer!» (Esth. 6, 1-11). Nous voyons là nettement comment Dieu peut changer toutes choses radicalement. La bénédiction, l'honneur et la gloire que Haman voulait s'attribuer lui furent ôtés et accordés à son ennemi mortel, le Juif Mardochée. Contre sa volonté, Haman a ainsi amené la bénédiction sur Mardochée. Le Seigneur agit de la même manière avec nos adversaires!
«Compté, compté, pesé et trouve manquant de poids»
Belshatsar, le dernier roi babylonien (ca. 550 avant Jésus-Christ), était, tout comme Haman, un ennemi mortel d'Israël. Son père Nebucadnetsar avait détruit Jérusalem, incendié le Temple (la maison de Dieu) et emmené le peuple en exil à Babylone; lui, Belshatsar, fit davantage encore. Nous lisons en Daniel 5, 1-4: «Le roi Belshatsar fit un grand festin à mille de ses grands, et but du vin devant les mille. Belshatsar, comme il buvait le vin, commanda d'apporter les vases d'or et d'argent que son père Nebucadnetsar avait tirés du temple qui était à Jérusalem, afin que le roi et ses grands, ses femmes et ses concubines y bussent. Alors on apporta les vases d'or qu'on avait tirés du temple de la maison de Dieu, qui était à Jérusalem; et le roi et ses grands, ses femmes et ses concubines y burent. Ils burent du vin, et "Ils louèrent les dieux d'or et d'argent, d'airain, de fer, de bois et de pierre» (version Darby). Belshatsar, qui savait pourtant que son royaume était sur le point de s'écrouler, eut une attitude de bravade:
1. Il fit étalage de son apparente puissance en organisant un important festin avec «mille de ses grands».
2. Alors que son père lui avait dit combien le Dieu d'Israël était saint, puissant et terrible, il ne s'humilia pas; bien au contraire: il provoqua Dieu et blasphéma Son nom en utilisant les vases d'or sacrés du Temple pour se saouler avec toute son impie compagnie. Ce fut là un affreux effet de l'état de son coeur endurci, ce que Daniel nous rapporte de la manière que voici: «Et toi, son fils Belshatsar, tu n'as pas humilié ton coeur, bien que tu aies su tout cela. Mais tu t'es élevé contre le Seigneur des cieux; et on a apporté devant toi les vases de sa maison, et toi et tes grands, tes femmes et tes concubines, vous y avez bu du vin; et tu as loué les dieux d'argent et d'or, d'airain, de fer, de bois et de pierre, qui ne voient, et n'entendent, et ne comprennent point; et le Dieu en la main duquel est ton souffle, et à qui appartiennent toutes tes voies, tu ne l'as pas glorifié. Alors a été envoyée de sa part l'extrémité de la main, et cette écriture a été tracée. Et voici l'écriture qui a été tracée: ... » (Dan. 5, 22-25; version Darby). Et Daniel de donner l'interprétation des mots mystérieux écrits sur la muraille de la salle du festin: «Mené, Mené, Thekel, Upharsin! Voici l'interprétation des paroles. Mené: Dieu a compté ton royaume, et y a mis fin. Thekel: Tu as été pesé à la balance, et tu as été trouvé manquant de poids. Pérès: Ton royaume est divisé, et donné aux Mèdes et aux Perses» (v. 26-28; version Darby).
A quel moment Dieu commença-t-Il à bénir Son peuple Israël à travers ce mortel ennemi babylonien? Daniel 5, 30 nous répond: «Cette même nuit, Belshatsar, roi des Chaldéens, fut tué. » Par qui? Par les forces années médo-perses qui, en cette dernière nuit de la fête à Babylone, avaient complètement encerclé la ville. Belshatsar devait le savoir; mais avec une audace tout empreinte d'orgueil, il «prit congé du Dieu vivant» et périt: «Compté, compté, pesé et trouvé manquant de poids.» Chose remarquable, sur la première page du magazine allemand «Der Spiegel» du 15 juin dernier figuraient ces mots: «Prendre congé de Dieu». On pouvait y lire écrit en gros caractères: «Plus qu'un individu sur quatre est un chrétien.
La République fédérale est devenue un pays païen avec quelques vestiges chrétiens. Six millions de personnes ont perdu la foi en Dieu; il y a davantage de gens sans confession religieuse que de fidèles; dix pour cent seulement se rendent encore régulièrement à l'église le dimanche - résultats d'un sondage réalisé par le <Spiegel> sur la foi des Allemands.»
Etonnant: «Six millions de personnes ont perdu la foi en Dieu ... »! De plus, il y a en Allemagne six millions de malades psychiques. Combien de Juifs périrent en Allemagne nazie pendant le fameux Holocauste? Six millions! Actuellement, le Seigneur prononce ces mots sur le quatrième Reich (voir le No de mars 1992 de l'«Appel de Minuit», p. 4 et suiv.): «Compté, compté, pesé et trouvé manquant de poids.» Oui, malgré une puissance politique qui va croissant, l'Allemagne est en train de s'effondrer, et cela en raison de son paganisme grandissant, des vagues de la criminalité qui en résulte et de sa totale immoralité. Par contre, Israël se trouve béni! Rappelons-nous comment la ruine de Belshatsar, c'est-à-dire Babylone, en cette fameuse nuit, a été pour le peuple de Dieu promesse de bénédiction! En effet, le roi Cyrus, la troisième année de son règne (536 avant Jésus-Christ), fit passer une loi par laquelle il «rassemblait tous les exilés et les renvoyait chez eux»! Cyrus autorisait également les Juifs à regagner leur pays. Tous les ustensiles qui avaient été pris dans le Temple leur furent rendus (Esdras 1, 1-8); et ils purent reconstruire la maison de l'Eternel (Cf. Esdras 6, 3). N'est-ce pas une merveille de la Parole prophétique que 270 ans auparavant, Esaïe ait abondamment parlé de ce roi Cyrus et des mesures qu'il prendrait en faveur d'Israël, alors que ce peuple n'avait pas encore été déporté à Babylone? Nous lisons, a ce sujet, en Esaïe 44,26-28:
«Je confirme la parole de mon serviteur, et j'accomplis ce que prédisent mes envoyés; je dis de Jérusalem: Elle sera habitée, et des villes de Juda: Elles serons rebâties; et je relèverai leurs ruines. Je dis à l'abîme: Dessèche-toi, je tarirai tes fleuves. Je dis de Cyrus: Il est mon berger, et il accomplira toute ma volonté il dira de Jérusalem: Qu'elle soit rebâtie! et du temple: Qu'il soit fondé!» Il est écrit en Esaïe 45, 1-5: «Ainsi parle l'Eternel à son oint, à Cyrus, qu'il tient par la main, pour terrasser les nations devant lui, et pour relâcher la ceinture des rois, pour lui ouvrir les portes, afin qu'elles ne soient plus fermées: Je marcherai devant toi, j'aplanirai les chemins montueux, je romprai les portes d'airain, et je briserai les verrous de fer. Je te donnerai des trésors cachés, des richesses enfouies, afin que tu saches que je suis l'Eternel qui t'appelle par ton nom, le Dieu d'Israël. Pour l'amour de mon serviteur Jacob, et d'Israël, mon élu, je t'ai appelé par ton nom, je t'ai parlé avec bienveillance, avant que tu me connaisses. Je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre, hors moi il n'y a point de Dieu; je t'ai ceint, avant que tu me connaisses. »
2 Chroniques 36, 22-23 nous parle également de la merveilleuse bénédiction que le nouveau roi de Perse apporterait au peuple d'Israël sur les ruines de Babylone: «La première année de Cyrus, roi de Perse, afin que s'accomplisse la parole de l'Eternel, prononcée par la bouche de Jérémie, l'Eternel réveilla l'esprit de Cyrus, roi de Perse, qui fit faire de vive voix et par écrit cette publication dans tout son royaume: Ainsi parle Cyrus, roi de Perse: L'Eternel, le Dieu des cieux, m'a donné tous les royaumes de la terre, et il m'a commandé de lui bâtir une maison à Jérusalem, en Juda. Qui d'entre vous est de son peuple? Que l'Eternel, son Dieu, soit avec lui, et qu'il monte!»
La «solution finale du problème juif» il y a des millénaires
Ainsi que nous l'avons mentionné au début de cet article, une menace mortelle pesait sur Israël quand il se trouvait sous la domination des Perses. Haman, l'ennemi des Juifs, un favori du roi Assuérus, voulait déjà réaliser la fameuse «solution finale». En clair: il se proposait de faire disparaître l'ensemble du peuple juif. Nous lisons en Esther 3, 8-9a: «Alors Haman dit au roi Assuérus: Il y a dans toutes les provinces de ton royaume un peuple dispersé et à part parmi les peuples, ayant des lois différentes de celles de tous les peuples et n'observant point les lois du roi. Il n'est pas dans l'intérêt du roi de le laisser en repos. Si le roi le trouve bon, qu'on écrive l'ordre de les faire périr. » Assuérus réagit dans ce sens, car, à la tête d'un empire gigantesque ne comptant pas moins de 127 provinces, il ignorait qui étaient les Juifs et quels crimes ils pouvaient avoir commis. Il faisait aveuglément confiance à Haman. C'est ainsi que la terrible menace prit corps.
Mais le Seigneur Dieu, à travers ce mortel ennemi des Juifs, Haman, commença à sauver et à bénir Israël par le moyen d'une faible femme juive, la reine Esther. Dieu incita le puissant Assuérus à demander à Esther quel bien il pourrait lui faire - et conséquemment à son peuple: «Le roi et Haman allèrent au festin chez la reine Esther. Ce second jour, le roi dit encore à Esther, pendant qu'on buvait le vin: Quelle est ta demande, reine Esther? Elle te sera accordée. Que désires-tu? Quand ce serait la moitié du royaume, tu l'obtiendras» (Esth. 7, 1-2).
Ainsi est notre Dieu! Lui, notre céleste Assuérus, vous pose, à vous également, cette question dans la présence de tous vos ennemis: «Que désires-tu que je te donne?» David, déjà, avait vécu cette expérience, d'où ce psaume: «Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires, tu oins d'huile ma tête, et ma coupe déborde. Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront tous les jours de ma vie, et j'habiterai dans la maison de l'Eternel jusqu'à la fin de mes jours» (Ps.23, 5-6).
Revenons-en à Haman! Nous nous sommes demandé au début où sa haine des Juifs avait pris naissance. Esther 3, 1-6 nous donne la réponse à cette question: Mardochée le Juif refusait carrément de s'incliner devant lui; d'où son désir de faire périr tout d'abord Mardochée, et ensuite tous les autres Juifs résidant dans le royaume d'Assuérus. Mais Dieu tourna ce funeste dessein en bien pour Son peuple!
Lorsque la courageuse reine Esther se mit à la brèche devant Assuérus en faveur des siens, trois choses se produisirent:
1. «Au douzième mois, qui est le mois d'Adar, le treizième jour du mois, jour où devaient s'exécuter l'ordre et l'édit du roi, et où les ennemis des Juifs avaient espéré dominer sur eux, ce fut le contraire qui arriva, et les Juifs dominèrent sur leurs ennemis» (Esth. 9, 1). La suite du texte nous apprend comment la chose se fit.
2. Alors qu'Haman avait dressé un gibet dans son jardin pour y faire pendre Mardochée avec l'autorisation royale, il se fît que cet ennemi des Juifs fut démasqué par Esther devant Assuérus. Nous lisons au chapitre 7 de ce même livre: «Le roi Assuérus prit la parole et dit à la reine Esther: Qui est-il et où est-il celui qui se propose d'agir ainsi? Esther répondit: L'oppresseur, l'ennemi, c'est Haman, ce méchant-là! Haman fut saisi de terreur en présence du roi et de la reine. Et le roi, dans sa colère, se leva et quitta le festin pour aller dans le jardin du palais. Haman resta pour demander grâce de la vie à la reine Esther, car il voyait bien que sa perte était arrêtée dans l'esprit du roi. Lorsque le roi revint du jardin du palais dans la salle du festin, il vit Haman qui s'était précipité vers le lit sur lequel était Esther, et il dit: Serait-ce encore pour faire violence à la reine, chez moi, dans le palais? Dès que cette parole fut sortie de la bouche du roi, on voila le visage d'Haman. Et Harbona, l'un des eunuques, dit en présence du roi: Voici, le bois préparé par Haman pour Mardochée, qui a parlé pour le bien du roi, est dressé dans la maison d'Haman, à une hauteur de cinquante coudées. Le roi dit: Qu'on y pende Haman! Et l'on pendit Haman au bois qu'il avait préparé pour Mardochée» (v. 5-10a).
3. C'est ainsi que la nouvelle éclata tout à coup: «Haman est mort! » Quel soulagement, quelle joie ce fut pour le peuple juif sur lequel pesait une menace mortelle! Il est écrit en Esther 8, 15-17: «Mardochée sortit de chez le roi, avec un vêtement royal bleu et blanc, une grande couronne d'or, et un manteau de byssus et de pourpre. La ville de Suse poussait des cris et se réjouissait. Il n'y avait pour les Juifs que bonheur et joie, allégresse et gloire. Dans chaque province et dans chaque ville, partout où arrivaient l'ordre du roi et son édit, il y eut parmi les Juifs de la joie et de l'allégresse, des festins et des fêtes. Et beaucoup de gens d'entre les peuples du pays se firent Juifs, car la crainte des Juifs les avait saisis.»
Voilà brièvement esquissé comment les Juifs éparpillés dans l'empire médo-perse furent extraordinairement bénis, délivrés et glorifiés par Dieu à travers les ruses de leurs mortels ennemis. D'où cette parole de l'Ecriture: «Aimez vos ennemis!» (Matth. 5, 44a), car Dieu les utilise comme instruments de bénédiction pour nous. Cette exhortation du Seigneur Jésus vaut tout particulièrement dans le sens néo-testamentaire spirituel: Aimez ceux qui vous offensent le plus gravement, qui vous font le plus souffrir! Car ils sont les «pierres à aiguiser» dont Dieu use pour vous transformer à l'image de Jésus. La chose est absolument indispensable; Paul nous dit en Galates 4, 19: «Mes enfants, pour qui j'éprouve de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'à ce que Christ soit formé en vous ... », et en Romains 8, 29: «Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils soit le premier-né de plusieurs frères. »
Wim Malgo
Nouvelles d'Israël 09 / 1992