EN AVANT

ET

CRI DE GUERRE

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CUEILLETTES

POUR GUÉRIR LES BUVEURS.

Très pratiques les Danois I Pour réprimer l’ivrognerie, ils ont imaginé le moyen suivant:

D’après un réglement spécial, les agents doivent faire monter en voiture et conduire soigneusement chez eux les gens qu’ils trouvent en état d’ivresse dans la rue et dans les lieux publics. L’individu incapable de donner des renseignements suffisants, est mené d’abord au poste de police, d’où il est transporté également en voiture, à son domicile, aussitôt qu’il peut faire connaître son adresse.

Après quoi, et c’est là qu’est la particularité curieuse du système, le débitant qui a servi le dernier verre à l’ivrogne, est invité, sous peine d’une contravention, à payer la note, parfois assez élevée, des frais de transport qu’a occasionnés son client.

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DIEU FAIT BIEN CE QU’IL FAIT.

On disait à une femme mourante: «N’aimeriez-vous pas mieux continuer de vivre?»

«Je ne sais pas, répondit-elle; il faut laisser au Seigneur le soin de choisir pour nous ce qui est le meilleur.

Mais, reprit-on, si Dieu vous laissait le choix? ...

Si Dieu me laissait le choix, je le Lui remettrais à Lui-même.»

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Un étranger visitait une fabrique de papier. Au cours de la visite, il demanda au propriétaire, qu’il savait né dans la pauvreté et qu’il voyait si riche, quel était le secret de sa réussite dans les affaires.

«Je ne saurais trop le dire, répondit l’industriel. À seize ans je me suis mis à travailler pour mon compte ; je gagnais alors deux cents francs par an, nourri et logé. Je promis à Dieu de donner aux pauvres ou à des œuvres chrétiennes le dixième de cette somme, soit vingt francs. Je tins parole. Depuis, je n’ai jamais cessé de me conformer à cette règle et mes revenus et mes bénéfices se sont accrus d’une manière continue.»

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DANS UNE BIBLE DÉPOSÉE DANS UN HÔTEL ALLEMAND, on lit sur la première page l’inscription suivante:

«Don de la Société Biblique de Stuttgart.»

Un voyageur écrivit sous la première ligne:

«Ce livre ne devrait pas être étalé dans un hôtel.»

Un autre voyageur répliqua:

«La chère Parole de Dieu doit être étalée partout.»

Un voyageur Hollandais écrivit à son tour:

«L’homme ne doit pas juger la Parole de Dieu, c’est au contraire la Parole de Dieu qui doit juger l’homme.»

Le Japonais Atijaina, secrétaire d’ambassade à Washington, fut converti au christianisme par une Bible qu’il avait trouvée dans un hôtel américain.

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LE DOCTEUR PARKER.

Dans son autobiographie, le docteur Parker, célèbre prédicateur de Londres qui vient de mourir, parle ainsi de sa foi chrétienne:

«Je me croirais ingrat et infidèle, si je pouvais écrire ma vie en laissant de côté ce qui en fait le sang et la moelle.... J’ai cheminé avec Jésus de Nazareth, et II tient la première place dans mon cœur. Je ne demande pas l’opinion des hommes à Son sujet.

Non, je n’écoute pas leurs avis pédantesques, changeants, dont ils sont si fiers, touchant mon Rédempteur, et je n’aime pas que leurs caprices Lui mettent où Lui ôtent Sa couronne de gloire selon que la mode va et vient!

Christ n’est pas un portrait qu’on admire ; Il est un Sauveur à qui l'on croit et que l'on sert.

Christ n’est pas un problème à résoudre: Il est le grand Prêtre, l’Artisan du Salut, qui tend la main à Dieu et à l’homme, et les réconcilie par la vertu de Son sang expiatoire.»

En avant 1903 02 01