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DES PALESTINIENS TIRÈRENT SUR LE GARÇON DE 12 ANS À GAZA Des enfants comme armes de l'Intifada
Quand, plus tard, des livres et des articles seront écrits sur les soulèvements de l'automne 2000 en Israël, les auteurs en viendront à cette évidente conclusion: L'«Intifada El-Aqsa», comme les Palestiniens appellent les débordements de violence du mois dernier, est pour les médias une nouvelle édition de la guerre du Yom Kippour. Exactement comme jadis, il ne fait aucun doute qu'Israël remportera la victoire au plan militaire. Mais ce pays devra encore et toujours livrer un dur combat sur le champ de bataille de la propagande et de l'information, car il se trouve ici dans la position du faible. Quand un blindé avance vers des gens armés de pierres, l'opinion publique est prise de compassion pour celui qui a les moindres chances de gagner. Ce principe vaut beaucoup plus encore quand, en outre, les gens se trouvant devant le tank sont des jeunes et des enfants.
Les Palestiniens l'ont fort bien compris. Il suffit de penser à la tragédie survenue à ce garçon de douze ans. Mohammed Aldura, accroupi contre un mur, à côté de son père, dans un carrefour de la bande de Gaza. Ils s'étaient abrités derrière un tonneau en métal, alors qu'ils se trouvaient sous le feu croisé de l'armée israélienne et des policiers palestiniens. Un caméraman de la télévision française, qui avait braqué son objectif sur les deux personnes, immortalisa le moment où le jeune garçon fut tué d'une balle dans la tête.
Ces images ont profondément touché le monde entier. L'armée israélienne accepta la responsabilité de ce fait tragique et s'en excusa. Mais il s'avéra par la suite que le garçon n'avait pas perdu la vie à cause d'une balle israélienne, mais sous les tirs des policiers palestiniens. Cependant, cela ne fut connu que beaucoup trop tard; l'enfant était devenu depuis longtemps un symbole, un moyen de propagande contre Israël. Depuis la mort de ce jeune, les Palestiniens ont expressément envoyé en première ligne des enfants. Des milieux de l'armée israélienne informent qu'ils sont pris en charge directement à la sortie de l'école pour être conduits, non pas à la maison, mais sur les scènes de violence, et cela en compagnie de leurs professeurs, qui veillent à ce que les élèves se mettent en rangs et «s'avancent vers le front» en se suivant, tandis que les adultes restent en arrière. Les Palestiniens ont très bien compris qu'un enfant dans la ligne de feu constitue un spectacle très médiatique; et depuis la mort de Mohammed Aldura, un jeune tué est un instrument de propagande beaucoup plus efficace.
Les soldats israéliens se sont efforcés de ne pas atteindre les enfants; mais derrière ceux-ci se cachaient souvent des tireurs d'élite ayant des cibles bien précises, de sorte que les militaires israéliens n'avaient pas d'autre choix que d'ouvrir le feu ou de riposter. Quelques dizaines d'enfants furent ainsi blessés, et il y eut aussi des morts. Les Palestiniens tirèrent profit de cette situation, car ils ne se contentèrent pas des chiffres réels d'enfants morts ou blessés, mais ils y ajoutèrent des jeunes adultes. Il y eut d'autres interprétations intentionnellement fausses. Ainsi, par exemple, on ajouta au nombre des victimes un bébé de 18 mois qui mourut dans la maison de ses parents, et une jeune fille qui perdit la vie par une balle provenant d'une arme qu'elle nettoyait pour un combattant des milices Tanzim.
Quand les Israéliens percèrent à jour cette campagne de propagande palestinienne, il était déjà trop tard. L'opinion publique mondiale s'était fait une religion. Pour elle, Israël est un exemple de cruauté sans pareille, et ses soldats s'appliquent à blesser et à tuer des enfants. Quelques personnalités renommées seulement sont d'un avis différent; parmi elles, il y a la reine de Suède, qui a demandé de s'arrêter un moment pour se poser les questions suivantes: Pourquoi des enfants se trouvent-ils dans la ligne de feu? Que font-ils donc là? Et qu'en est-il de leurs parents? Comment permettent-ils à leurs enfants d'aller à des endroits où les armes parlent? Pourquoi ne gardent-ils pas leurs enfants à la maison, ne ferment-ils pas les portes pour attendre que le danger soit passé, comme le feraient la plupart des parents responsables?
Commentaire:
Le monde croit toujours au mensonge, l'important étant que ce soit au détriment d'Israël. Quelques voix comme celle de la reine de Suède sont étouffées par les nombreuses autres. Que l'on se représente ce qui arriverait si les rôles étaient inversés, si Israël envoyait des enfants au front (ce qui est naturellement absolument impensable)! La question de savoir pourquoi des mères sont capables d'envoyer leurs enfants à une mort certaine ne trouve que cette réponse: ces gens sont séduits par l'Adversaire de toujours, le diable. On ne peut expliquer autrement la haine illimitée que les Palestiniens vouent à Israël. C'est aussi la raison pour laquelle de nombreuses personnes sous nos latitudes déclarent détester les Juifs, alors que, personnellement, elles n'ont jamais vécu une expérience malheureuse avec eux. Comme déjà dit, la responsabilité d'une telle attitude est à attribuer au prince de ce monde, le diable. Il est écrit en Ephésiens 6, 12: «Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.» Notre combat de la foi est un combat pour la cause de notre Dieu et du Dieu d'Israël! CM
Nouvelles d'Israël Décembre 2000