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Israel : Menace de barrière douanière L'Union Européenne relance la menace de révoquer les accords de libre circulation de biens avec Israël. Cette sanction frappera les importations des marchandises israéliennes fabriquées en territoires occupés. Cette mesure, décidée dès le début de cet intifada, n'est actuelle suivie que très partiellement par l'Allemagne, la Grèce et la Hollande. Les échanges avec l'Union Européenne représentent $5891m, soit environ 37% des exportations israéliennes. La production sur les territoires étant estimée à $200m, selon l'Ambassade israélien auprès de l'UE, cet incident est donc de nature plus politique qu'économique. (Wall Street Journal) ajouté le 21/11/2001 |
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Antisémitisme: La Finlande, l'Irlande et la Hollande financent des manuels scolaire palestiniens antisémites La Finlande, l'Irlande et la Hollande ont donné, entre 1999 et 2001, environ 10 mil-lIons d'euros pour la production de livres scolaires palestiniens au contenu antisémi-te. (Appel de Minuit) ajouté le 20/11/2001 |
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Antisémitisme: La Belgique affirme que Jérusalem fait partie des territoires occupés et octroira une aide financière aux institutions de la ville Il semble que ce pays tente d'effacer l'ignominie de ses crimes colonialistes et de sa complicité dans le meurtre de Patrice Lumumba, en volant au secours des dirigeants négationnistes du peuple palestinien, qui s'acharnent à détruire tout lien entre le peuple juif, la Ville Sainte, et les lieux saints. Navrant et... dangereux. Mais comment réagir? Voyez aussi, à la suite de ce communiqué, des extraits du récent article de l'ex-ministre des Affaires Etrangères d'Israël, Shlom Ben Ami. Il jette sur le front du refus palestinien une lumière crue et presque désespérante, surtout lorsque l'on considère que ces propos sont ceux d'un homme de gauche. Menahem Macina (CJEE:www.chretiens-et-juifs.org)
13 novembre 2001, traduction française par Menahem Macina L'agence de Presse palestinienne, WAFA, fait état de ce que le Secrétaire d'Etat belge au Développement de la Coopération, M. Eddy Boutmans, a déclaré hier, 12 novembre, que l'Union Européenne (EU) appuie la création d'un État palestinien indépendant, avec Jérusalem-est comme capitale. La déclaration de M. Boutmans a eu lieu après sa rencontre, hier, avec le Dr. Sari Nuseibeh, haut-fonctionnaire Palestinien responsable des Affaires de Jérusalem, à l'hôtel American Colony de Jérusalem-est occupée. Au cours de leur entretien, le Dr. Nuseibeh et son invité belge ont discuté de plusieurs problèmes, dont la situation tragique qui affecte les institutions palestiniennes à Jérusalem-est occupée. Le Dr. Nuseibeh a déclaré aux journalistes que le blocus israélien a eu des conséquences négatives pour tous les secteurs de la ville. Il a ajouté : "Nous avons dit au Secrétaire d'Etat que l'Union Européenne devrait rouvrir les portes de l'aide européenne à Jérusalem-est occupée. C'est une chose dont la ville, et spécialement les villages environnants, ont instamment besoin". M. Boutmans a exprimé ses inquiétudes devant la souffrance et les difficultés auxquelles sont confrontés les Palestiniens aux points de contrôle israéliens. Il a précisé qu'il était témoin de la souffrance à laquelle les Palestiniens font face pour traverser le point de contrôle de Qalandia entre Ramallah et Jérusalem. Le haut-fonctionnaire belge a également confirmé que son pays considère Jérusalem-est comme une partie du Territoire palestinien occupé. Et d'ajouter : "Le gouvernement belge concrétisera sa prise de position politique - qui considère Jérusalem comme une partie du Territoire palestinien occupé -, par une aide financière aux institutions de la ville". M. Boutmans a également insisté sur le fait que revenir aux négociations est la seule issue à la crise actuelle dans la région. Et d'ajouter : "L'Union européenne n'épargnera aucun effort pour aider les deux parties à parvenir à une paix longtemps désirée, qui sera la seule base de développement et de prospérité futurs de la région, et qui aura des répercussions positives sur le monde entier". (Chrétien et Juifs) ajouté le 18/11/2001 |
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Une première chaîne de télévision chrétienne dans le pays ! Salutations dans le Christ Jésus. Je m'appelle Maxim Maximov. Je suis le directeur de la chaîne de télévision chrétienne CNL. En novembre 2000, nous avons ouvert la première chaîne câblée de télévision chrétienne CNL en langue russe à Alma-Ata, au Kazakhstan. Notre audience s'élève dans l'ensemble à 300 mille personnes. Après un an de travail sur la chaîne, le Seigneur a attiré à la vie une multitude de personnes qui ne le connaissaient pas comme leur Sauveur personnel. Tous les jours, les gens nous téléphonent et nous demandent de les aider par la prière pour qu'ils soient guéris de leur maladie ou infirmité. Nous recevons de nombreux messages de remerciement de gens qui regardent notre chaîne et qui trouvent une réponse à leurs questions. Aujourd'hui, le Seigneur nous amène à étendre la diffusion de la CNL et à partir d'avril 2002, nous diffuserons à l'aide du satellite HotBird. Ce sera la première chaîne de télévision chrétienne par satellite en russe. Notre objectif est de toucher par l'Evangile une population russophone de plus de 300 millions de personnes à travers le monde. L'audience de la CNL est une population russophone répartie dans 74 pays , en Europe, en CEI, au proche Orient, en Asie centrale et en Afrique du Nord. La population de 33 pays parle en partie ou en totalité le russe. Plusieurs serviteurs de Dieu reconnus ont déjà béni notre chaîne télévisée: Peter Wagner (USA), Roger Foster (GB), Luis Bush (USA), Mel Millen (Canada), Ulf Ekman (Suède), Karl Gustav Severin (Suède), entre autres. Nous vous demandons de nous soutenir dans la prière pour le lancement de la chaîne CNL par sattellite. Si vous désirez organiser des réunions de prière ou créer un groupe d'intercession dans le but de soutenir la première chaîne de télévision chrétienne par satellite ou si vous désirez recevoir plus de renseignements sur notre activité, Ecrivez-nous au centre de prière : praycenter@hotbox.ru Visitez notre site internet: www.cnl.info Que le Seigneur vous bénisse! Maxim Maximov Directeur de CNL Le texte nous a été aimablement traduit du russe par les bons soins des responsables du site de Bethanie : http://www.bethanie-be.com/ Une autre traduction nous a été donnée par le biais d'un site chrétien polonais : http://www.wiatr.pl (CNL/www.wiatr.pl) ajouté le 18/11/2001 |
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Grande-Bretagne: vague de violence contre les églises Les statistiques des assureurs britanniques montrent que les agressions contre les gens d'Eglise se multiplient. En 1999, ce ne sont pas moins de 462 personnes - parmi elles des pasteurs et des prêtres - qui ont été agressées. Ce chiffre sous-estime la réalité dans la mesure où plusieurs crimes ne sont pas signalés à la police. Un sondage effectué par des chercheurs de l'Université de Londres a révélé que 12 % du clergé anglican, soit quelque 1300 prêtres, ont été agressés en 2000. Les infractions contre les églises et bâtiments ecclésiastiques - incendies criminels, actes de vandalisme et vols - ont elles aussi atteint un niveau élevé: il y a en moyenne 10 attaques d'églises par jour. La principale cause serait les problèmes de drogue, le clergé représentant une proie facile pour les toxicomanes en manque d'argent. Nick Tolson, coordinateur national de Churchwatch, spécialistes de la sécurité, a déclaré que d'autres groupes professionnels comme les médecins et les enseignants n'habitent plus dans les quartiers défavorisés où ils travaillent, de sorte que les pasteurs et les prêtres son souvent "les seuls représentants officiels à y résider encore", attirant ainsi ceux qui essaient de se procurer de l'argent. (Protestinfo/eni) ajouté le 13/02/2001 |
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Persécution en Albanie. Des malfaiteurs armés ont récemment essayé de chasser un pasteur de la ville de Shkoder (Albanie) . La famille du pasteur de L'Eglise des Disciples du Christ, Gregor Menga, a été menacée deux fois en trois jours. Cette église charismatique indépendante fut fondée en 1993 et compte environ 130 membres. Lors du premier incident, deux hommes masqués et armés d'une mitrailleuse sont entrés de force dans la maison familiale en profitant d'une coupure de courant. Un des malfaiteurs a attrapé le père de Menga tandis que le second le menaçait d'une arme. Mais le vieil homme parvenait à se libérer et à faire fuire les deux malfaiteurs. Deux jours plus tard, Menga (qui n'était pas chez lui lors de l'attaque) trouva une note près de sa porte qui lui ordonnait de payer 2500 dollars s'il ne voulait pas voir lui et sa famille tués. Menga a dit qu'il ne sait pas si ces menaces viennent d'extrémistes religieux opposés à son ministère ou de criminels ordinaires. "Habiter en Albanie et évangéliser dans le nord est une chose dangereuse", a-t-il dit. Nous avions déjà été menacés dans les villages, nos églises et nos maisons avaient été détruites. Mais c'était il y a longtemps. Dans un sens spirituel, je sais que l'attaque vient de l'ennemi." (Charisma) ajouté le 13/02/2001 |
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Vietnam: les églises évangéliques interdites La vague de manifestations sur les Hauts-Plateaux au moment où Washington va se pencher sur les violations de la liberté religieuse au Vietnam menace d'entraîner des objections fondées sur les droits de l'homme à la ratification par le parlement américain de l'accord commercial signé l'année dernière entre les deux pays. Les deux semaines de manifestations des minorités ethniques du centre du Vietnam ont mis en relief l'interdiction maintenue par les autorités communistes vietnamiennes de plusieurs groupes religieux, y compris d'églises évangéliques qui comptent de nombreux fidèles au sein des ethnies minoritaires du pays. La Commission américaine sur les libertés religieuses qui doit se réunir mardi à Washington pour étudier notamment le cas du Vietnam doit entendre de nombreux témoignages d'experts et de dissidents vietnamiens exilés. Selon les analystes, les résultats des travaux de cette commission pourraient fournir des arguments aux opposants à l'accord commercial bilatéral signé en juillet dernier par Hanoï et Washington et qui devra être ratifié par le nouveau Congrès (parlement) issu des élections américaines. "Toutes la publicité donnée au fait que les autorités communistes s'en prennent à des minorités protestantes et à leur églises risque d'avoir des répercussions dans l'opinion américaine", a estimé un diplomate occidental en poste à Hanoï. "L'une des questions qui se posera est de savoir s'il n'est pas plus important de prendre des sanctions que de ratifier un accord commercial", a indiqué de son côté à l'AFP le professeur Carl Thayer, spécialiste du Vietnam de l'Institut des études stratégiques de Hawaï. "Le fait que les membres des minorités ethniques soient des protestants rend les choses plus difficiles", a-t-il ajouté. Les manifestations qui ont lieu au cours des deux dernières semaines dans la principale région productrice de café du Vietnam ont été motivées, outre les problèmes de confiscations de terres, par la saisie par les autorités de bâtiments servant de lieux de culte et par l'interruption de services religieux de congrégations évangéliques ou pentecôtistes, ont indiqué des résidents de la région. Washington a fréquemment critiqué le traitement infligé par les autorités vietnamiennes aux minorités protestantes de la région. "De nombreux protestants qui pratiquent leur culte dans des maisons tenant lieu d'églises dans les régions où vivent les minorités ethniques ont été détenus arbitrairement par des responsables locaux qui ont interrompu des offices religieux", notait un rapport du Département d'Etat (ministère des Affaires étrangères) américain publié l'année dernière. Il existe cependant assez de soutien à l'accord commercial tant au sein du camp Démocrate que du camp Républicain au sein du Congrès pour éviter que l'accord commercial avec le Vietnam ne soit mis totalement en péril, "mais il ne serait pas surprenant d'assister à un effort concerté pour y imposer des conditions concernant les droits de l'homme", a conclu le professeur Thayer. (AFP) ajouté le 13/02/2001 |
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France: Les embryons humains en chiffres... Chaque année, les 101 équipes agréées pour conserver des embryons humains sont tenues de rendre compte de leur activité auprès des services du ministère de la santé. Au 31 Décembre 1997, date du dernier recensement analysé, 61067 embryons étaient conservés dans l'azote liquide, dont 12921 depuis plus de cinq ans. Sur ces 61067 embryons, 37901 faisaient e,core l'objet d'un "projet parental", 9327 n'étaient plus inclus dans un tel projet. Pour les 13839 embryons restant, les équipes soit ne disposaient pas d'informations (8735 couples perdus de vue), soit ne les ont pas données (5104 non-réponses). Au cours de cette même année 1997, il y a eu 6473 tranferts d'embryons congelés (NDLR: 6473 tentatives de fécondation à partir d'embryons congelés) qui ont abouti à la naissance de 674 enfants. On estime qu'une femme entrant dans un cycle de FIV a 14% de chances d'obtenir un bébé par tentative. (La Croix) ajouté le 10/02/2001 |
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L'Egypte lance un double avertissement à Israël L'Egypte a lancé jeudi un double avertissement au Premier ministre israélien élu Ariel Sharon, le mettant en garde contre le danger d'abandonner les acquis des négociations de paix, et s'affirmant prête à faire face en cas d'agression. Le premier avertissement est venu du président Hosni Moubarak, qui a mis en garde le nationaliste Sharon contre "une multiplication des dangers, si les négociations de paix échouent ou si l'on tente d'ignorer les réalisations des négociations acquises sur tous les volets". M. Sharon a exclu toute reprise des négociations avec les Palestiniens "sur la base de ce qui a été discuté" en janvier à Taba (Egypte) avec le gouvernement (de son prédécesseur) Ehud Barak, ainsi que les conditions posées par la Syrie pour une reprise des pourparlers avec Israël, a affirmé à l'AFP son conseiller diplomatique, Zalman Shoval. "L'Egypte estime que les efforts déployés dans les négociations (d'Israël) avec la Syrie, le Liban et les Palestiniens, ainsi que les accords et les ententes réalisées dans le cadre des négociations israélo-palestiniennes doivent servir de base aux prochaines négociations", a affirmé le président égyptien, deux jours après l'élection de M. Sharon, dans un communiqué. "Ces négociations ont pour but de parvenir à une paix juste et permanente et à la sécurité au Proche-Orient, dans le cadre du principe de l'échange de la terre contre la paix et du respect des engagements et des droits mutuels", ajoute M. Moubarak. Le deuxième avertissement de l'Egypte, principal médiateur régional dans le processus de paix, est venu du ministre de la Défense Mohammad Hussein Tantaoui, qui a averti que si son pays oeuvrait pour la paix, il ne devait pas "oublier d'être bien préparé pour une guerre". "Nous vivons aujourd'hui une étape extrêmement importante pour la réalisation de la paix que nous avons toujours souhaitée et pour laquelle nous oeuvrons (...). Mais ceci ne nous fait pas oublier d'être bien préparés pour une guerre", a déclaré le ministre lors d'une cérémonie militaire, selon l'agence gouvernementale égyptienne MENA. Le maréchal Tantaoui a par ailleurs souligné "la capacité des forces armées égyptiennes à dissuader quiconque envisagerait de mener une agression contre l'Egypte". "Toute personne doit se rappeler la guerre d'octobre 1973 avant de penser à parler d'une agression contre l'Egypte", a ajouté le ministre, rappelant la traversée victorieuse du canal de Suez par l'armée égyptienne, au début de cette guerre contre Israël. Un député israélien d'extrême droite, allié de M. Sharon, avait lancé le 21 janvier des menaces contre l'Egypte, le Liban et les Palestiniens. "Si l'armée égyptienne entre dans le Sinaï, elle franchirait une ligne rouge, casserait toutes les règles du jeu et tout serait possible", avait averti le chef du parti russophone Israël Beitenou Avigdor Lieberman. L'accord de paix israélo-égyptien, signé en 1979, comporte toute une série de clauses sur la démilitarisation de la péninsule du Sinaï conquise par Israël en 1967 et récupérée par l'Egypte en 1982. La presse gouvernementale égyptienne a lancé des attaques contre M. Sharon dès son élection, le qualifiant jeudi de "malfaiteur". Le précédent Premier ministre israélien de droite Benjamin Netanyahu, dont l'arrivée au pouvoir en mai 1996 avait entraîné le gel du processus de paix, était devenu la cible privilégiée de la presse cairote, qui rappelait à l'envi la signification en dialecte égyptien de son nom de famille ("Regarde ce pourri"). M. Netanyahu avait cependant été reçu par le président Moubarak dès juillet 1996. (AFP) ajouté le 9/02/2001 |
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