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10-02-2002
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Des églises menacées de fermeture

Sur les ordres du ministre de l'intérieur de la Turquie, les autorités locales de neuf provinces ont lancé des poursuites judiciaires contre les chrétiens turcs, remettant en question la légalité des lieux de cultes utilisés par 40 petites communautés protestantes dans le pays.

Depuis fin novembre, la police a déjà averti 23 églises, notant que leurs bâtiments, loués ou achetés, étaient en violation des lois municipales. S'ils continuaient à se réunir sans autorisation légale, des procédures seraient engagées contre eux.

Signée par le ministre de l'intérieur, la directive indique plusieurs lois concernant les plans d'occupation des sols ainsi que des articles du code pénal turc sur l'éducation religieuse et les rencontres publiques. Celles-ci interdisent l'utilisation d'"appartements, magasins et bâtiments indépendants" utilisés comme lieux de cultes par "les protestants, le mouvement Bahaï, les témoins de Jéhovah et d'autres disciples du Christ".

La directive a rappelé les garanties que donne la constitution turque en matière de liberté religieuse pour tous ses citoyens, mais elle a aussi souligné que le fait d'établir des lieux de cultes sans autorisation légale était un crime à l'égard des principes de laïcité de la Turquie.

Prions pour que ces églises puissent trouver un terrain d'entente avec les autorités. Que Dieu leur donne Sa sagesse et Sa force pour garder un bon témoignage en ces circonstances difficiles. Prions que Dieu empêche la fermeture de ces églises.

(Portes Ouvertes) ajouté le 10/2/2002

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23-02-2002
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Le candidat évangélique s'autoproclame président, contre l'avis de l'ONU...

Marc Ravalomanana, le principal opposant au chef de l'Etat sortant Didier Ratsiraka, s'est auto-investi président de Madagascar vendredi à Antananarivo. Ratsiraka a répliqué en décrétant l'état d'urgence.

"Devant Dieu et devant le peuple, j'accepte la charge de président de la République, et je m'engage à donner toutes mes forces et ma sagesse pour l'unité nationale et les droits de l'Homme". C'est par ces mots que Marc Ravalomanana, rival du chef de l'Etat sortant Didier Ratsiraka dans l'élection présidentielle de décembre dernier, s'est autoproclamé vendredi président de Madagascar, devant des centaines de milliers de partisans en liesse. Jusqu'à minuit, la veille, le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, avait tenté en vain de le joindre pour l'en dissuader.

Ravalomanana espère un soutien de la communauté internationale

Sur le moment, ni Didier Ratsiraka, qui se trouvait en province pour accompagner son épouse souffrante, ni le gouvernement n'ont publiquement réagi ; seul un responsable de la présidence, sous couvert de l'anonymat, a qualifié la cérémonie d'investiture de "coup d'Etat" et de "mascarade". Ce n'est que quelques heures plus tard que le président encore en exercice a contre-attaqué en décrétant "l'état de nécessité nationale", c'est-à-dire l'état d'urgence. La mesure a été annoncée en soirée par le Premier ministre, Tantely Andrianarivo. Malgré cette mesure, plusieurs dizaines de milliers de partisans de Marc Ravalomanana ont commencé à manifester ce matin à Antananarivo.

Lors de son "investiture", vendredi après-midi, Marc Ravalomanana, affirmant qu'il allait "commencer à travailler ce soir à la formation d'un gouvernement", a exprimé l'espoir d'un soutien de la communauté internationale. Mais d'ores et déjà, la France a condamné sa "tentative de coup de force" et son "auto-proclamation". Et le secrétaire général de l'Organisation de l'unité africaine (OUA), Amara Essy, a lui aussi "fermement" condamné son initiative.

(TF1) ajouté le 23/2/2002

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20-02-2002
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La BNP rouvre le compte de la synagogue de Blanc-Mesnil

Les mésaventures du compte bancaire de la communauté du Blanc-Mesnil...

Après avoir sommé la communauté juive du Blanc-Mesnil de clore son compte bancaire au plus vite, et cela sans fournir d'explication, la BNP a fait marche arrière. Et vient d'autoriser la réouverture dudit compte. Explications.

Début janvier dernier, Armand Elbazis, en sa qualité de président de la communauté juive du Blanc-Mesnil, reçoit une lettre recommandée de la BNP au sujet du compte que le centre communautaire de la cité possède dans la succursale locale. Il y découvre que sa banque n'estime plus "possible de poursuivre les relations commerciales que nous entretenions avec vous à ce jour." Cela sans l'ombre d'une justification.

Sachant le compte dûment provisionné (environ 50 000 euros sont dans les caisses) et n'ayant eu, jusqu'alors, aucun problème bancaire, le président demande des explications. Mais, toutes ses démarches sont vaines: il se heurte à un silence total à tous les échelons. "Avant d'agir ainsi, dit-il alors, on aurait pu m'appeler, me parler. Je ne comprends pas où est le problème." Tout au plus s'entend-il répondre que l'affaire relève du "secret bancaire." Ce qui est pour le moins curieux étant donné que ledit secret a, entre autres, pour fonction de protéger le titulaire d'un compte.

Incapable de recevoir une explication au niveau local, la communauté décide d'aller frapper plus haut. Armand Elbazis écrit à l'AFUB, l'Association Française des Usagers de Banques tandis que le président du Consistoire de Paris, Moïse Cohen, envoie une lettre au PDG de la BNP, Michel Pebereau. On y lit: "Vous savez sans doute que le Consistoire de Paris, institution officielle du judaïsme français, possède des comptes bancaires au nom de nos synagogues et de nos centres communautaires répartis sur toute l'Ile-de-France. Le nombre des ces comptes ouverts dans vos différentes agences BNP Paribas est considérable."

Toute transaction d'une communauté juive avec l'étranger, en clair avec Israël, est-elle a priori suspecte?

Puis la lettre poursuit, évoquant la fermeture du compte de la communauté du Blanc-Mesnil, "Aucune explication n'est fournie dans la lettre extrêmement brutale que vos services ont adressée... Aussi, je vous prie de bien vouloir instruire une enquête à ce sujet et me tenir informé des motivations exactes qui ont justifié cette résiliation."

Dans l'attente de la réponse, les rumeurs courent. Certains voient dans la clôture du compte une discrimination raciste pure et simple, d'autres soupçonnent des malversations, les troisièmes se demandent si, finalement, ce ne sont pas toutes les transactions avec Israël qui sont visées. On parle de boycott, de procès. Bref, dans un climat où les sensibilités sont à fleur de peau, le pire semble naturellement envisageable.

C'est alors que la BNP se décide, enfin, à s'expliquer lors d'une réunion à laquelle participent un avocat de la banque, un représentant de Michel Pébereau, le directeur départemental de la BNP, et Armand Elbazis. Ce dernier y apprend que la juge chargée de l'affaire du Sentier, Isabelle Prévost-Desprez, s'est intéressée de près au compte de la communauté du Blanc-Mesnil. Entre 1990 et 1999, cette dernière avait en effet envoyé tous les trois mois environ une certaine somme à une oeuvre en Israël. Puis la pratique avait cessé, le responsable de cette collecte agissant, depuis, via des mandats postaux. Procédure aussi légale que la première.

Dans un contexte peu favorable aux banquiers (puisque certains ont été mis sous les verrous par cette même juge), la BNP s'est-elle affolée lorsque la juge a enquêté sur un de ses clients? A-t-elle voulu faire du zèle juste pour montrer sa bonne foi? Quoi qu'il en soit, après avoir obtenu d'Isabelle Prévost-Desprez la levée du secret judiciaire, les responsables de la BNP ont non seulement fourni les explications tant attendues à la communauté juive du Blanc- Mesnil, mais ils ont aussi décidé la réouverture de son compte. De plus, "nous avons établi une charte, explique Armand Elbazis. Toute transaction franco-française sera effectuée par la succursale et les opérations avec l'étranger passeront par le siège de la banque. Lequel aura ainsi le loisir de vérifier à la loupe ce qu'il veut."

Certes, mais cela veut-il dire que désormais, au Blanc-Mesnil ou ailleurs, toute transaction d'une communauté juive avec l'étranger, en clair le plus souvent avec Israël, est a priori suspecte?

© Actu-J, 2002.

(ActuJ) ajouté le 20/2/2002

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20-02-2002
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Des documents officiels attestent le fait de la persécution religieuse

Par SPC, le 13 février 2002

Des documents officiels chinois attestant de la persécution religieuse sont désormais aux mains du Comité d'investigation sur la Persécution religieuse en Chine. Provenant du Ministère de la Sécurité de l'Etat et d'autres organisations de sécurité, ces documents révèlent certains plans échafaudés par le gouvernement destinés à freiner les activités de groupes religieux voire même d'éliminer certains d'entre eux.

C'est le cas notamment de l'Eglise du Sud de la Chine, mouvement d'Eglises de maisons de plus de 50 000 membres dont le leader, Gong Shenliang, a été arrêté en décembre dernier, jugé à huis-clos et condamné à mort sur de fausses accusations.

Dans ces divers documents, les doctrines chrétiennes, comme la prière pour les malades, y sont taxées d'hérésie. De même, des séances de tortures exercées sur certains membres influents de certaines communautés chrétiennes y sont également rapportées.

Pour Stuart Windsor, président de Christian Solidarity Worldwide, "ces documents apportent une preuve concrète quant à la persécution religieuse en Chine. Il est inadmissible que des individus subissent à l'heure actuelle de tels traitements en raison de leur foi.De quel droit un Etat qui se prétend athée s'estime-t-il à même d'émettre un jugement théologique et doctrinal? Ces documents révèlent à quel point la Chine enfreint des lois internationales de protection des Droits de l'homme et de la liberté religieuse. Si la Chine entend être considérée comme un acteur crédible et respecté sur la scène internationale, elle doit urgemment réformer certaines lois et modifier sa ligne politique".

La publication de ces documents intervient alors même que le gouvernement chinois multiplie les déclarations en faveur d'une plus grande liberté religieuse.

(SPC) ajouté le 20/2/2002

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19-02-2002
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La Cour Suprême de l'Alabama estime dans son verdict que l'homosexualité est préjudiciable à l'enfant

Dans un jugement sans équivoque, la Cour Suprême de l'Etat d'Alabama (USA), vient de refuser à une mère lesbienne la garde de son enfant, confiée jusque-là à son ex-mari. Le juge Roy Moore a tranché en déclarant : « La conduite homosexuelle du parent demandeur, j'entends le fait d'avoir des relations sexuelles avec une personne du même sexe, crée une forte présomption d'incompatibilité qui est à elle seule suffisante pour refuser à ce parent la garde de son enfant et lui interdire l'adoption des enfants des autres. »

La Coalition Chrétienne d'Alabama (CCA) a applaudit cette décision. Selon son président, John Giles, qui cite à l'appui de nombreuses études : « Il est statistiquement prouvé que le mode de vie homosexuel et lesbien favorise un cadre de vie instable et dangereux pour les enfants. »

Le Juge Moore fait en outre remarquer les effets désastreux de l'homosexualité sur l'opinion publique : « Le comportement homosexuel est, et a toujours été, considéré comme immoral, malpropre, détestable, anti-naturel et une violation des lois de la nature et de Dieu sur lesquelles notre nation et notre loi sont fondées. Un tel comportement viole les lois civiles et criminelles de cet Etat, et détruit le fondement-même de notre société. La loi de l'Etat d'Alabama ne condamne pas seulement cette conduite, mais la Cour de cet Etat dénonce les dangers de tels comportements destructeurs sur les enfants. C'est un mal duquel il faut songer à protéger les enfants.

ajouté le 19/2/2002

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18-02-2002
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La Banque centrale du Vatican au hit-parade des dix destinations les plus utilisées pour le blanchiment d'argent

Alors que des survivants de la Seconde Guerre mondiale demandent le remboursement de l'or volé par les nazis et récupéré par le Saint-Siège, et après avoir été mise en cause dans les années quatre-vingt pour ses liens avec la mafia et pour sa responsabilité dans l'effondrement du Banco Ambrosiano, la Banque centrale du Vatican est mise en cause pour ses activités actuelles de blanchiment d'argent.

"Inside Fraud Bulletin", cite la Cité du Vatican (1) comme étant un des principaux États "cut out" au même titre que des paradis fiscaux tels que Nauru, Macao et l'Ile Maurice. Un État "cut out" est un État dans lequel la législation sur le secret bancaire rend impossible la traçabilité de l'origine des fonds qui y sont déposés.

La Banque du Vatican tente désespérément de s'opposer à une plainte en justice déposée par des survivants serbes et juifs de la Shoah devant la cour fédérale de San Francisco (Affaire "Alperin contre la Banque du Vatican") et visant à l'obliger à rendre compte de fonds spoliés lors de la Deuxième Guerre Mondiale (2). S'opposant à ces accusations, l'avocat de la Banque du Vatican, Franzo Grande Stevens a déclaré sous serment devant la cour, que la "raison d'être fondamentale [de la Banque du Vatican] est de promouvoir des actes de piété" et que ses clients dépositaires sont "essentiellement des employés de l'État de la Cité du Vatican, des membres du Saint Siège, des congrégations religieuses ainsi que des personnes déposant des sommes destinées pour une part au moins à des Suvres de piété." Stevens a également déclaré à la cour que la Banque du Vatican est sous le contrôle du Pape et que les registres de la banque ne sont pas conservés au-delà d'une période de dix ans.

Il semblerait que la Banque du Vatican utilise l'image positive du Pape Jean Paul II pour masquer une opération de blanchiment d'argent de grande envergure. La Banque du Vatican a déjà été accusée par le passé d'héberger des fonds spoliés par les Nazis et est actuellement soupçonnée d'entretenir des liens avec le milieu du crime organisé, en conséquence le moment où elle devra rendre des comptes semble ne plus être bien loin. Les preuves s'empilent et tendent à démontrer que les activités de la banque s'apparentaient plus à des actes de piraterie que des Suvres de piété (3).

Me Jonathan Levy et Me Thomas Dewey Easton, avocats à la cour fédérale de San Francisco

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(1) À la différence des autres paradis fiscaux, le blanchiment d'argent n'est pas opéré dans l'État de la Cité du Vatican par des banques privées, mais par la Banque centrale (Istituto per le opere di religione). Celle-ci est reconnue par la Banque des règlements internationaux (Bank for International Settlements). À partir du 1er janvier 2002, elle sera autorisée à émettre des euros vaticans, alors même que l'État de la Cité du Vatican n'est pas membre de l'Union européenne (Ndlr).

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(2) Cf. http://www.vaticanbankclaims.com

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(3) Dans les années quatre-vingt, le Saint-Siège, qui avait été gravement mis en cause dans le scandale du Banco Ambrosiano, prétendit avoir été victime d'un aigrefin, Michele Sindona, que le pape Paul VI avait imprudemment nommé conseiller financier du Vatican. L'enquête du juge Ferdinando Imposimato a démontré par la suite que Michele Sindona avait été choisi en connaissance de cause par le Saint-Siège parce qu'il était, depuis 1957, le banquier de Cosa Nostra. Pour financer la lutte contre la théologie de la libération en Amérique latine, Paul VI avait accepté de faire alliance avec la mafia. Après le règlement des dettes de l'Ambrosiano, le Saint-Siège s'est efforcé de faire accroire qu'il avait définitivement assaini sa situation. L'étude publiée par l'Inside Fraud Bulletin montre qu'il n'en est rien (Ndlr).

(Vatican Bank Claims) ajouté le 18/2/2002

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17-02-2002
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Un milliard de chinois sur cartes à puces... made in France ! -

Par Jerome Thorel

ZDNet France

15 février 2002

Thales Identification, filiale du conglomérat français d'électronique de défense Thales, décroche un important contrat en Chine populaire. Aider à administrer les données personnelles de plus d'un milliard d'individus, cela ne se refuse pas.

Les citoyens de la République populaire de Chine ne se sentent peut-être pas assez surveillés par leur gouvernement. Ils pourront féliciter le groupe Thales (ex-Thomson CSF) et le contribuable français par extension.

Thales Identification, dont les technologies sont issues de recherches financées par des fonds publics, se vante depuis le 14 février 2002 d'avoir été choisi par le gouvernement chinois pour son projet de «carte d'identité à puce».

«Ce projet, qui doit démarrer par une phase pilote dans deux régions du pays, sera le plus important au monde dans ce domaine avec un milliard d'utilisateurs potentiels», explique fièrement le communiqué. «Les systèmes d'identification sécurisés de Thales permettront de personnaliser graphiquement les données du porteur (photo, état-civil,...) et les données électroniques de la carte. En outre, sa durée de vie étant plus longue que celle d'une carte à puce à contact, elle permettra à l'État de réduire considérablement ses coûts.»

Laboratoire humain sans précédent

La fourniture aux pays totalitaires de technologies mettant hautement en jeu la vie privée n'a jamais été un obstacle au commerce avec la Chine, et son accession à la sacro-sainte Organisation mondiale du commerce ne va pas changer la donne. Une technologie aussi sensible n'a pourtant pas le même poids dans un pays où la liberté individuelle se réduit à sa plus simple expression. Pour Thales, l'expérience prend des allures de laboratoire humain sans précédent, le plus vaste panel du monde. «Nous sommes très impatients de collaborer avec le ministère chinois de la Sécurité Publique sur ce projet novateur et sommes persuadés que de nombreux pays suivront cet exemple», déclare ainsi dans le communiqué Philippe Karnauch, directeur général de Thales Identification.

Interrogés, les porte-paroles de la compagnie insistent uniquement sur le fait que Thales ne fournit que la technologie de "sécurisation" de la puce, et non la puce elle-même qui contiendra les données personnelles des citoyens. Impossible, par ailleurs, de connaître quelles sont les régions pilotes qui ont été choisies, une information que garde encore jalousement son client. Secret défense aussi sur le montant du contrat de cette double expérience, qui porterait sur «quelques millions de personnes», comme l'estime une porte-parole.

À Paris en novembre dernier, Thales mettait déjà ces compétences en avant lors du dernier salon Milipol, une foire de la surveillance et de la sécurité fréquentée par les services officiels de gouvernements plus ou moins totalitaires.

(ZDNet) ajouté le 17/2/2002

Trouvé sur http://voxdei2.free.fr/infos Point Final - Informations chrétiennes et eschatologiques au quotidien.


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