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La Suède met hors-la-loi la prédication de la Parole de Dieu sur l'homosexualité Le gouvernement suédois fait un pas de plus pour empêcher les chrétien évangéliques de mentionner le point de vue biblique sur l'homosexualité. Le Parlement suédois vient de faire un pas de plus en modifiant la constitution du pays pour interdire les discours ou la littérature s'opposant à l'homosexualité ou à n'importe quel style de vie alternatif. Si l'amendement devient réalité, ceux qui le violeront pourraient être passibles de peines de prison. Les législateurs suédois ont approuvé la semaine dernière cet amendement. Selon Annalie Enochson, un chrétien membre du Parlement, le lobby homosexuel en Suède est peu nombreux mais très influant. Elle fait remarquer que, "contrairement à l'habitude, la mesure est passée avec seulement 56% des voix. Généralement, la constitution est amendée lorsqu'il y a 80 à 90% de voix pour. 56%, c'est vraiment très peu." L'amendement sera voté après les élections en septembre. S'il était définitivement adopté, il prendrait effet en janvier prochain. Selon Enochson, des chrétiens prêchant dans leur assemblée pourraient même être arrêtés. "Cela signifie que des membres du lobby homosexuel pourraient venir dans nos églises avec un magnétophone, enregistrer tout ce qui se dit, et dire: 'ce que vous dites est contre notre Constitution'." Toute personne coupable d'avoir violé l'amendement constitutionnel est passible de 6 mois à 4 ans d'emprisonnement. Les spécialistes américains estiment que les USA vont eux aussi rapidement se doter d'une loi similaire. Le cas de la Suède montre qu'à l'évidence, le but réel de ces lois est de rendre le christianisme hors-la-loi. (Family News) ajouté le 11/6/2002 |
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Le Québec instaure "l'union civile" et accorde aux couples homosexuels les mêmes droits qu'aux couples mariés L'Assemblée nationale du Québec a approuvé à l'unanimité un projet de loi autorisant le mariage entre homosexuels au moyen d'une "union civile" qui donne aux conjoints les mêmes droits que ceux de sexe opposé, y compris en matière d'adoption et de procréation assistée. Le Québec devient ainsi la seconde province au Canada, après la Nouvelle-Ecosse, à instaurer l'union civile entre personnes de même sexe ou de sexe opposé. (AOL News) ajouté le 8/6/2002 |
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Erythrée : Le gouvernement ferme des lieux de cultes Selon un rapport de Mission Network News, du 28 mai, le gouvernement érythréen a fermé toutes les églises dans le pays autre qu'orthodoxe, catholiques et luthériennes. Il a été rapporté par une source anonyme en Erythrée que le ministre des affaires religieuses a appelé tous les dirigeants d'églises évangéliques ensemble et leur a annoncé que leurs églises seraient fermées et qu'ils devraient alors obtenir un enregistrement du gouvernement. Les raisons derrière cette action sont incertaines, mais la source en Erythrée a suggéré que cela puisse être le résultat d'évangélisation couronnée de succès pendant la guerre entre l'Erythrée et l'Ethiopie. Priez pour que cette action soit complètement renversée et qu'il y ait une liberté d'adoration en Erythrée. (Voice Of the Martyrs) ajouté le 30/5/2002 |
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Grande-Bretagne: Un enfant sur quatre transgresse la loi... La délinquance juvénile vient d'atteindre un nouveau record: un jeune sur quatre admet avoir commis un délit dans les derniers 12 mois. Environ les deux tiers des enfants exclus de l'école l'ont été pour délinquance. Les enfants exclus de l'école ont commis une moyenne de 44 infractions dans l'année écoulée, c'est ce qui vient d'être publié par le service judiciaire des mineurs du gouvernement britannique. Ils ont basé leurs recherches sur l'interview de 5167 enfants scolarisés et 577 élèves exclus de l'école, âgés de 11 à 16 ans. L'étude montre un accroissement de la délinquance juvénile, ainsi que du nombre des exclusions d'école. Celle-ci sont majoritairement dues au vol d'objet, essentiellement des téléphones portables. Le nombre d'enfants avouant avoir été en possession d'armes augmente lui de 5% par rapport à l'an dernier. Ces actes ne sont pas forcément le fait d'un nombre toujours plus grand d'enfants, mais plutôt de récidivistes endurcis. (Indépendant.co.uk) ajouté le 21/5/2002 |
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Euthanasie des maladies psychologiques incurables, la Belgique fait pire que la Hollande et choque les protestants allemands Selon les églises protestantes d'Allemagne, « l'Europe est sur la mauvaise voie ». La loi belge autorisant le suicide médicalement assisté a suscité de nombreuses réactions chez les chrétiens de la nation allemande voisine. Les principales églises protestantes espèrent encore qu'une action juridique ou politique empêchera cette loi de prendre effet. La chambre basse du Parlement Belge a voté la loi le 16 mai, à la majorité des voix de la coalition socialistes/libéraux/verts. Le parti des Démocrates Chrétiens, opposé à cette loi, envisage de présenter l'affaire à la Cour Européenne des Droits de l'Homme à Strasbourg. Si les Pays-Bas disposent déjà d'une loi légalisant l'euthanasie, la France et la Grande-Bretagne y songent également. En Allemagne, le sujet reste particulièrement épineux, en raison du parallèle avec les pratiques nazies de la dernière guerre. Thomas Krueger (Hanovre), porte-parole des Eglises Protestantes d'Allemagne, s'inquiète de ce que d'autres nations puissent suivre l'exemple de la Hollande et de la Belgique. « L'Europe est sur la mauvaise voie », dit-il. « Tu ne tueras point », est un des commandements fondamentaux, nul ne le niera. La loi belge semble en réalité plus libérale encore que celle adoptée par les Pays-Bas, car elle étend la notion d'euthanasie aux maladie psychologiques incurables. Elle ne se limite plus aux malades qui sont en phase terminale de maladies incurables. Les activistes pro-vie ont réagi avec une profonde consternation. Selon Hartmut Steeb (Stuttgart), porte-parole de la Plate-Forme des Groupes Chrétiens Pro-Vie en Allemagne, la Belgique a définitivement quitté le fondement moral de l'Occident chrétien. Le Parlement de Bruxelles n'a pas seulement violé les droits de l'homme, mais il a aussi violé la loi. Aucun juge n'aura à examiner le sérieux d'une demande d'euthanasie, c'est la porte ouverte à tous les abus. Harmut Steeb est aussi secrétaire de l'Alliance Evangélique Allemande. (Idea) ajouté le 18/5/2002 |
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La Belgique a adopté une loi légalisant partiellement l'euthanasie Les députés belges ont adopté jeudi soir une loi faisant de la Belgique le deuxième pays au monde, après les Pays-Bas, à légaliser partiellement l'euthanasie, a constaté l'AFP. Le texte a été adopté par 86 voix pour, 51 voix contre et 10 abstentions. Après l'entrée en vigueur de la loi, d'ici environ trois mois, la pratique de l'euthanasie restera strictement encadrée et, pour éviter les abus, les pouvoirs publics belges devront en outre assurer le développement dans les hôpitaux du pays de programmes de "soins palliatifs". Le médecin qui procédera à une euthanasie "ne commettra pas d'infraction", dès lors que son patient, affligé d'une "souffrance physique ou psychique constante et insupportable" des suites d'une "affection accidentelle ou pathologique incurable", "se trouve dans une situation médicale sans issue". Le praticien devra aussi s'assurer que le patient est "majeur et conscient", que sa demande est "formulée de manière volontaire, réfléchie et répétée" et qu'elle "ne résulte pas d'une pression extérieure". Ce vote constituait la dernière étape d'un parcours législatif entamé en 1999, après l'arrivée au pouvoir d'une coalition "arc-en-ciel" (libérale, socialiste, écologiste) ayant rejeté pour la première fois en quarante ans dans l'opposition les partis chrétiens. (AFP/CPDH) ajouté le 17/5/2002 |
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L'Union Européenne impose son éthique aux Etats-membres Le 15 mai 2002, aucun amendement éthique n'a été adopté lors du vote en plénière du Parlement Européen. La position commune du Conseil est donc maintenue : "Toutes les activités de recherche menées au titre du sixième programme-cadre doivent être réalisées dans le respect des principes éthiques fondamentaux". Ceci a été interprété par la Commission Européenne de la façon suivante : " La Commission estime qu'il ne faut pas, à ce stade où les connaissances sont encore limitées, s'interdire d'explorer les possibilités associées à toutes les sources potentielles de cellules souches, autres que les embryons humains explicitement produits à cette fin. Ceci recouvre les cellules souches humaines de l'adulte, mais aussi celles provenant du sang du cordon ombilical ou issues d'interruptions de grossesse ainsi que de cellules issues d'embryons humains surnuméraires. Ces recherches pourraient donc être soutenues (...)Dans les domaines où la Communauté a formellement compétence, et c'est le cas dans celui de la recherche, une législation nationale ne devrait en effet pas contraindre une action au niveau proprement communautaire, qui aurait été décidée par la procédure institutionnelle impliquant le Conseil et le Parlement."! ; (18-04-2002 - Réponse commune de la Commission Européenne). Etant donné qu'aucun amendement n'a été adopté lors de la plénière du 15 Mai 2002, le Parlement Européen a confirmé la position commune du Conseil ci-dessus et une procédure de conciliation n'est donc plus nécessaire. Ceci signifie en outre que tous les Etats Membres, y compris l'Irlande, l'Allemagne, l'Autriche, le Portugal, l'Italie et l'Espagne devront financer la recherche destructive d'embryons humains, au titre de leur participation au financement communautaire du 6e programme cadre de recherche. Pour la première fois, court-circuitant toutes les règles démocratiques de l'Union Européenne dans ce domaine, certains secteurs du programme communautaire de recherche et de développement technologique sont imposés à tous les Etats Membres. Ceci, sans compléter les actions entreprises dans les Etats Membres (violation de l'article 164 du Traité CE), sans être conforme au principe de subsidiarité (violation de l'article 5 du Traité CE) sans respecter l'identité nationale de ses Etats membres (violation de l'article 6 du traité EU ). De plus, la Commission déclare que "c'est aux Etats membres et aux futurs Etats membres qu'il revient aujourd'hui d'établir la réglementation dans ce domaine. C'est le processus démocratique dans chaque Etat qui permettra de définir cette dernière." Un message clair est ainsi donné aux Etats Membres concernant les législations à venir, ainsi qu'aux pays candidats à l'Union qui se proposaient de légiférer en la matière. Cette situation aurait pu être évitée si le gouvernement irlandais avait aussi bien voulu se joindre à la déclaration du 10 décembre 2001 faite par les gouvernements allemand, autrichien et italien, qui stipule que : "la recherche dans les domaines ci-après ne peut être financée au titre du 6ème programme-cadre de la CE : - les travaux de recherche concernant le clonage reproductif, - les travaux de recherche en matière de thérapie génétique germinale, - la production d'embryons à des fins de recherche ou pour obtenir des cellules souches, y compris la méthode du transfert de noyaux ("clonage thérapeutique"). (...) Bien que les dispositions proposées prévoient que de tels travaux ne peuvent être effectués que dans les États membres où cela est autorisé, tant qu'un accord ne sera pas intervenu au niveau européen les travaux de recherche sur les embryons surnuméraires ne doivent pas être financés dans le cadre du 6ème programme-cadre de la CE." Ceci aurait créé une minorité de blocage qui aurait pu stopper cette évolution très inquiétante. On voit difficilement maintenant ce qui pourrait empêcher la réalisation des voeux du rapporteur : suite au vote de première lecture, l'année dernière, Gérard Caudron avait annoncé que plus de 300 millions d'euros seront bientôt disponibles pour la recherche européenne sur les embryons humains issus d'avortements et des embryons "surnuméraires" produits dans le cadre de la fécondation in vitro. (Euro-fam/CPDH) ajouté le 16/5/2002 |
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Les premiers mariages homosexuels au monde viennent d'être célébrés Quatre couples homosexuels ont échangé leurs consentements et leurs anneaux samedi à l'Hôtel de ville d'Amsterdam, inaugurant ainsi les premiers mariages civils homosexuels. Le maire de la ville, Job Cohen, a célébré ces unions à minuit, dès l'entrée en vigueur de la loi, adoptée en décembre. . Les quatre couples, réunis autour d'une table semi-circulaire ont tous répondu ''oui'', la main levée, quand le maire d'Amsterdam leur a demandé d'accepter leur partenaire. ''Et maintenant, nous avons le mariage de deux hommes et de deux femmes'', a déclaré M. Cohen avant de marier les deux derniers couples. Un tonnerre d'applaudissements a accueilli les paroles du maire, les huit mariés ne sachant trop que faire avant que l'édile ne les incite à s'embrasser. M. Cohen a ensuite donné les alliances et à demandé aux mariés d'apposer leur signature sur le registre des mariages. ''Aux Pays-Bas, nous avons permis qu'une institution aussi importante que le mariage soit ouverte à tout le monde'', a-t-il conclu. ''Je suis gay, mais je vais quand même devoir m'habituer à ça'', déclarait un témoin, Philip Vos, à l'issue de la cérémonie. Avant de devenir maire d'Amsterdam il y a deux mois, Job Cohen, alors secrétaire d'Etat à la Justice, avait fait passer la loi sur le mariage homosexuel. Selon lui, la loi hollandaise va permettre à d'autres pays d'avancer dans le même sens. Avant la cérémonie, quelques opposants aux mariages homosexuels s'étaient rassemblés devant la mairie en signe de protestation. ''Nous espérons que ces gens vont choisir de retourner vers le Christ'', déclarait l'un d'entre eux, Cor de Vries. Ces mariages renforcent la réputation libérale des Pays-Bas. L'année dernière, les députés néerlandais ont légalisé les maisons de passe et dépénalisé l'euthanasie. Dans ce pays, la vente de marijuana et de hashish est tolérée dans les établissements proposant des ''joints'', les coffee-shops. Chaque année, des dizaines de milliers de personnes se réunissent à Amsterdam pour participer à la ''Gay Pride''. (AP) ajouté le 1/04/2001 |
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Le Sri Lanka renoue des relations diplomatiques avec Israël Le gouvernement du Sri Lanka a déclaré ce mois vouloir renouer des relations diplomatiques avec Israël. Le communiqué émanait de la présidente de L'Etat, Chandrika Kumaratunga. Elle insista sur le fait que le Sri Lanka demandera instamment à Israël un soutien militaire et de l'aide économique. La reprise des relations diplomatiques doit être considérée sous l'angle de la situation difficile du gouvernement de Colombo, qui est constamment la cible des rebelles tamouls. Ces derniers temps précisément, ceux-ci ont remporté des succès militaires impressionnants. Il apparaît que le gouvernement du Sri Lanka en est venu, entre-temps, à la conclusion qu'il ne pourra pas résoudre ce problème sans l'aide de l'étranger. Les relations diplomatiques entre Israël et le Sri Lanka ont, dans le passé, été interrompues deux fois par Colombo: la première fois, au début des années 70 dans la foulée de la guerre du Yom Kippour et la deuxième, en 1990, alors qu'une représentation d'intérêts israéliens existait depuis six ans à Colombo. Le terme mis aux relations diplomatiques dans les années 90 répondait manifestement au désir du gouvernement du Sri Lanka, qui souhaitait se montrer bienveillant à l'égard de la minorité musulmane du pays. Commentaire: Une fois de plus, un pays cherche de l'aide auprès d'Israël, même si ce dernier n'aime pas du tout cette situation. Le Sri Lanka n'aurait certainement pas renoué des relations diplomatiques avec Israël, s'il n'avait pas eu des problèmes avec les rebelles tamouls. C'est sous cet éclairage qu'il faut voir la demande d'aide au petit Israël faite par la Russie, ce qui sera le thème de l'article suivant. CM Nouvelles d'Israël Juillet 2000 |
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