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La haine d'Arafat à l'égard de Barak UN ABÎME DE MÉFIANCE Pour Yasser Arafat, une chose est claire depuis des mois: le Premier ministre Ehud Barak qui ambitionnait de mettre fin au conflit au Proche-Orient une fois pour toutes «est pire que son prédécesseur, (Benjamin Netanyahou)». Le chef palestinien ne fait pas un mystère de son aversion pour l'ancien général. Toujours tout à nouveau, il affirme ne pas faire confiance à son vis-à-vis. Par ses exigences maximales sans cesse réitérées (le retrait israélien de tous les territoires occupés, la souveraineté palestinienne sur tout Jérusalem-Est, le droit au retour des réfugiés palestiniens en Israël), Arafat s'est mis dans une situation où il n'y a pas de place pour des compromis. Qu'il ait encore le contrôle de ses policiers armés, des milices du Fatah et d'autres groupes armés, seuls quelques-uns de ses proches le savent peut-être. Arafat a réaffirmé sa position à l'égard de Barak après le sommet arabe du Caire. Lorsque Barak repoussa la déclaration finale dudit sommet et qu'il réagit en prononçant une pause dans le processus de paix, la réponse d'Arafat faite à Gaza en anglais sans citer directement son vis-à-vis fut selon Jerusalem Post: « Notre peuple continue sa marche sur Jérusalem, la capitale de notre Etat palestinien indépendant. Qu'il (Barak) le veuille ou non; qu'il aille au diable! » Commentaire: Imaginons ce qui arriverait, si Barak proférait des propos semblables à l'égard d'Arafat: le monde entier pousserait des cris de protestation et se demanderait quelle mouche a piqué le Premier ministre pour prononcer de telles paroles! Mais comme ces mots viennent du chef de l'OLP, Yasser Arafat, on n'y fait pas trop allusion. Pratiquement toute la presse du monde entier se met à mentir et prend parti contre Israël, Il est donc de toute importance que les véritables chrétiens se tiennent derrière Israël. Une mission essentielle de ce journal est de répandre la vérité concernant Israël et d'interpeller le plus grand nombre possible de personnes! CM Nouvelles d'Israël Novembre 2000 |
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Mettre fin au sionisme SADDAM HUSSEIN PREND LA PAROLE Le dictateur irakien, Saddam Hussein, a prononcé de dures critiques à l'endroit des dirigeants du monde arabe et menacé Israël de destruction. Devant des professeurs d'université à Bagdad, il a, selon un communiqué du journal israélien Haaretz, critiqué l'«inertie» du monde arabe concernant la révolte en Israël. Selon lui, cette nation pratique un «massacre» sur la population arabe. L'Irak veut maintenant «mettre fin au sionisme». «Si les dirigeants arabes ne le peuvent pas, ils doivent nous donner un coin de terre à proximité d'Israël. Ils pourront voir alors comment nous mettons fin au sionisme», dixit Hussein. Un des politiciens les plus influents de l'Irak dispose même d'un terrain en Israël. Taraek Aziz, un chrétien, doit, selon des informations, posséder une terre non loin de la ville arabe de Kafr Kana. Il a aussi de la famille là-bas. Commentaire: Depuis l'Irak, c'est-à-dire l'Euphrate, une terrible guerre éclatera dans le monde entier (voir Apoc. 9, 13 et suiv.); un tiers de l'humanité périra. Quand nous entendons les discours particulièrement menaçants de Saddam Hussein, c'est comme si nous percevions le cliquetis des chaînes retenant encore les anges qui, une fois libérés, frapperont la terre entière d'affreux malheurs. Mais Dieu veillera sur les Siens ainsi que sur Son peuple Israël! CM Nouvelles d'Israël Novembre 2000 |
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Corée du Nord: Kim Il-sung et le culte de la personnalité Sources: http://www.extraweb.qc.ca/coree/chap4.htm Dès que son règne fut solidifié et sécurisé, Kim II-sung a mis en place une série de mesures visant au culte de sa personnalité dans le but de raffermir son autorité. Il a fait fabriqué des histoires disant que ces ancêtres étaient des combattants anti-japonais. Lui même n'a jamais vraiment participé a des combats militaires avant de faire partie de l'armée rouge. Il disait avoir participé pendant 15 ans a plus de 100 000 batailles (logiquement plus de 20 par jour). Il racontait même des histoires où il avait transformé le sable en riz pour nourrir le peuple affamé et qu'il avait traversé des rivières en marchant sur l'eau. Pour justifier ce passé fabriqué, il créa des sites historiques de la révolution (7 sites) et des sites historiques (34 sites) partout en Corée du Nord. Chaque année, le peuple devait entreprendre une marche à un de ces endroits. Il ordonna la construction de 40 000 salles d'études révolutionnaires pour l'endoctrinement des masses. Plus, il avait, à son effigie, 70 statues de bronze et plus de 20 genres de badges faits et portés par la population - selon la classe - ainsi qu'un portrait de lui dans chaque maison. D'autre part, il ordonna que 12 000 arbres et pierres importantes furent gravés de son nom et de ses écrits qui représentaient d'ailleurs, l'essentiel de la littérature du pays. Il fit de son anniversaire, la fête nationale, la qualifiant de " plus grande fête nationale " et organisant des défilés militaires monstres totalisant plusieurs centaines de millions de dollars. Même après sa mort, les autorités nord-coréennes ont fait momifié son corps et il fut entreposé dans un couffin semblable au mausolée de Lénine. Kim Jong-II et culte de la personnalité. Le processus de déification du fils est le même que celui du père. En fait, Kim Jong-II est né a Vyatsk dans la région de Khabarovsk, à l'extrême Est de l'ancienne URSS. Toutefois cela fut falsifié et officiellement Kim Jong-II est né dans un " milyong " (camp secret) sur le mont Paekdu, dans la province de Yanggang. Depuis, le camp secret en question est aujourd'hui considéré comme une terre sacrée dont le peuple est encouragé a visiter tous les ans. Même un département " Kim Jong-II " est constitué dans chaque université et les programmes scolaires du primaire et du secondaire contiennent des leçons sur son enfance fabriquée de toutes pièces. En 1972, quand il fut officiellement nommé successeur de facto de son père, Kim Jong-Il, commença a être appelé " le centre du Parti ", puis " le cher leader " (1975), " Ryongdoja " (le guide, 1983), " le grand Ryongdoja " (le grand guide, 1986), " le grand homme sans précédent " (1994) et plus récemment le " Suryong incroyable " (1997). La Corée du Nord a aussi inventé une variété de légendes et anecdotes pour idoliser Kim Jong-Il. Par exemple: " Lors de sa naissance, un grand glacier du mont Paedku se mit a émettre un son mystérieux, puis le son s'arrêta et le glacier se brisa. Un arc-en-ciel s'éleva alors dans le ciel ". " A l'âge de 4 ans, Kim Jong-Il renversa un pot d'encre sur une carte du Japon. Quelques jours plus tard, un ouragan s'abattit sur le Japon ". " Par un touché de la main de Kim Jong-Il, la mer se transforma en une terre fertile et la vallée profonde en un paradis ". Les autorités ont publié entre 1992 et 1994, plus de 300 poèmes et plus de 400 chansons. Toutes glorifiant Kim Jong-Il. D'un autre point de vue, Kim Jong-Il possède plusieurs résidences luxueuses, dont plusieurs sous la mer construites en plusieurs endroits (32 résidences en tout), d'un coût de plus de 2,5 milliards de dollars. Il a aussi fait de son anniversaire une institution: " le plus grand jour du peuple " qui est célébré a travers tout le pays. Le budget total pour la propagande autour du culte de Kim Jong-Il est estimé a 900 millions de dollars, soit 4% du PIB total du pays. (Bible et Nombres) ajouté le 2/1/2003 |
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La Corée du Nord se retire du Traité de non-prolifération nucléaire La Corée du Nord continue de défier la communauté internationale. Pyongyang a annoncé vendredi qu'elle se retirait du Traité de non-prolifération nucléaire. "Bien que nous nous retirions du Traité de non-prolifération nucléaire, nous n'avons pas l'intention de produire des armes nucléaires et nos activités nucléaires seront limitées à des objectifs pacifiques comme la production d'électricité", affirme toutefois l'agence de presse centrale coréenne. Aussitôt cette annonce, et alors que les Etats-Unis et la Chine n'ont pas réagi dans l'immédiat, la France, le Japon, la Russie, l'Australie et la Corée du Sud ont condamné ce retrait. La France par la voix de son ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin a vivement réagi en estimant qu'"en se retirant du Traité de non-prolifération, la Corée du Nord prend une décision grave, lourde de conséquence". "Notre objectif est clair, il s'agit d'amener la Corée du Nord à respecter l'engagement de non-prolifération", a dit M. de Villepin à Shanghaï au deuxième jour d'une visite en Chine, le dernier allié majeur de la Corée du Nord. "C'est une exigence essentielle pour la sécurité dans la péninsule, dans la région et dans le monde. Nous allons dans les prochaines heures nous concerter avec l'ensemble de nos partenaires au sein du Conseil de sécurité, mais également avec la Corée du Sud où je me rendrai demain et avec le Japon, et nous allons nous concerter pour faire face à cette nouvelle situation", a encore dit Dominique de Villepin. De son côté, la Russie, un autre allié traditionnel de Pyongyang, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a déclaré que Moscou ne cachait pas son inquiétude et était en "contact étroit avec toutes les parties". L'Australie, elle, a annoncé l'envoi d'une mission diplomatique à Pyongyang, la semaine prochaine. Le Japon a réagi en exigeant de la Corée du Nord qu'elle revienne sur sa décision. "Notre pays exige fortement de la Corée du Nord qu'elle revienne rapidement sur sa déclaration et qu'elle ait une attitude positive pour résoudre la crise des armes nucléaires. De son côté, la Corée du Sud par la voix de son président sortant Kim Dae-jung, qui a consacré l'essentiel de son mandat à essayer d'établir des ponts avec la Corée du Nord, a souligné que la péninsule devait rester exempte de nucléaire et demandé "de la patience pour résoudre la crise pacifiquement". Vendredi, la Corée du Nord a expliqué que ce retrait lui permettait de se libérer de ses obligations à l'égard de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), l'organisme de surveillance des programmes nucléaires des Nations unies. Cette annonce est intervenue alors que les Etats-Unis attendaient une réponse de Pyongyang à son offre de dialogue concernant le développement du programme nucléaire nord-coréen. La Corée du Nord a rejoint le traité de non-prolifération nucléaire en 1985, et avait menacé de s'en retirer en 1993, en raison de tensions que faisaient naître des soupçons sur son programme d'armement nucléaire. La crise s'était dénouée en 1994, la Corée ayant accepté de geler son complexe nucléaire de Pyongyang en échange d'un accord énergétique avec les Etats-Unis. (Associated Press) ajouté le 10/1/2003 |
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L'ONU hausse le ton à l'égard de la Corée du Nord La pression internationale à l'égard de la Corée du Nord, qui a annoncé en décembre le redémarrage de son programme nucléaire proliférant, s'est considérablement renforcée. Le conseil des 35 gouverneurs de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA) a adopté hier soir une résolution exigeant le retour sur site de ses inspecteurs, expulsés fin décembre par Pyongyang. Celle-ci est assortie d'une réprobation sans détour : «Cette situation est clairement intolérable et constitue un dangereux précédent» en terme de prolifération de l'arme nucléaire, a remarqué le directeur général de l'AIEA, Mohamed el-Baradei. «La communauté internationale n'est pas prête à négocier sous le chantage», a-t-il tonné. Une allusion sans fard aux méthodes habituelles du régime communiste nord-coréen, qui cherche à monnayer sa capacité de nuisance - nucléaire, missiles - auprès de la communauté internationale en exigeant des compensations sonnantes et trébuchantes. L'agence de l'ONU, qui s'est gardée de donner un ultimatum, dit octroyer à Pyongyang une «nouvelle chance» de revenir au respect de ses engagements antérieurs selon les termes du traité de non-prolifération (TNP). Le régime nord-coréen, qui a menacé le 31 décembre de se retirer du TNP, risque toutefois de s'offusquer de tant de propos acrimonieux... Les Etats-Unis se sont aussitôt félicités de la réprimande onusienne en qualifiant les actions de Pyongyang de «dangereuses, sans précédent, irresponsables et unilatérales». «La Corée du Nord est le premier pays de l'histoire à s'affranchir unilatéralement des mesures préventives de l'AIEA», a expliqué John Wolf, le secrétaire d'Etat adjoint pour la non-prolifération. Plus tard hier, le président George Bush a tenu à préciser que les Etats-Unis n'ont «aucune intention» d'envahir la Corée du Nord. Washington va continuer à s'entretenir de la situation nord-coréenne avec ses alliés, a-t-il précisé en évoquant des rencontres hier à Washington entre Américains, Sud-Coréens et Japonais. Séoul, qui est partie prenante mais aussi médiateur dans cette crise, souhaiterait que les Etats-Unis fournissent une garantie pour la sécurité de la Corée du Nord, en échange d'un engagement de Pyongyang à renoncer à son programme nucléaire militaire. (AFP) ajouté le 7/1/2003 |
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Vers un retour des écoles chrétiennes au Pakistan? Le président Pervez Musharraf a assuré à la communauté chrétienne, ce vendredi 17 janvier, qu'une décision sur la question du retour des écoles chrétiennes au Pakistan serait bientôt prise. "Je suis avec vous concernant le retour des écoles chrétiennes nationalisées. Je suis sûr que le gouverneur et le premier ministre ont entendu votre appel", a-t-il déclaré. Il s'est adressé aux journalistes dans la Maill Cathedral, suite à son discours à la cérémonie de clôture du 125 ème anniversaire du diocèse de Lahore. Le président a affirmé qu'il était encourageant de voir que tous les responsables des attaques menées sur les églises - notamment à Daska - et autres institutions chrétiennes avaient été arrêtés ou "éliminés". "Nous sommes reconnaissants auprès des organismes responsables du maintien de l'ordre pour leur action efficace contre le terrorisme." Selon lui, leur travail de surveillance s'est nettement amélioré et ils sont bien mieux entraînés. Maintenant, il espère qu'ils continueront à accomplir leur devoir de façon toujours plus efficace. Le gouvernement prendrait des mesures pour protéger les chrétiens et leurs institutions. Le président a ajouté qu'il était rassurant de constater que tout le peuple pakistanais était uni pour condamner les méprisables actes de terrorisme contre les chrétiens. Il a également souligné la patience de la communauté chrétienne pendant ces moments difficiles et douloureux. Le général Musharraf considère que le Pakistan est à la pointe de la guerre globale contre le terrorisme, mais qu'il en est avant tout une victime: "Nous condamnons le terrorisme et ne serons pas arrêtés par des actes aussi lâches. Nous poursuivrons les terroristes et éliminerons toute menace." "Ceux qui se livrent à de tels actes ne sont pas les amis du Pakistan, ils veulent créer des conflits au sein du pays pour le déstabiliser." (Hi Pakistan/ TopInfo) ajouté le 30/1/2003 |
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ONU, l'Irak prendra cette année la présidence tournante de la Conférence sur le désarmement Hasard ou ironie de l'alphabet, l'Irak devrait assumer au mois de mai la présidence de la Conférence des Nations unies sur le désarmement. Le siège, actuellement occupé par l'Inde, en sera successivement attribué dans les mois prochains à l'Indonésie, l'Iran, l'Irak, l'Irlande et Israël. "L'ironie est renversante", a commenté Richard Grenell, porte-parole de l'ambassadeur américain auprès des Nations unies John Negroponte. La Conférence sur le désarmement, basée à Genève, compte 66 pays et constitue le plus grand forum mondial sur le désarmement. Elle se réunit tous les ans pour 24 semaines en trois sessions. La Conférence créée en 1979 a négocié des traités majeurs comme le Traité de non-prolifération nucléaire. (Associated Press/ CID) ajouté le 30/1/2003 |
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