Islam: Le pouvoir familial dans
l'islam, l'histoire de Yousef Yousef Chalder (nom fictif)
était à la tête de l'une des plus
importantes entreprises du Koweït productrices de
programmes de télévision. Devenu
chrétien, il a voulu partager sa foi au sein de sa
famille. Encore jeune homme, il avait appris
par coeur de longs extraits du Coran. Il se montrait
généreux avec les pauvres et à sept
reprises il avait entrepris le pèlerinage à La
Mecque. Malgré tout, il n'a jamais trouvé la
paix dans son coeur. Alors qu'il était en voyage
d'études dans un pays de l'Ouest, lors de la
dernière semaine du ramadan, il n'arrivait pas
à s'endormir. Il a crié à Allah et lui
a dit: «Dieu, pourquoi me punis-tu?» Dans sa
chambre d'hôtel, il a trouvé une Bible
(Gédéon). Au travers des Ecritures et par des
rêves, Jésus s'est révélé
à lui. Heureux de sa découverte, Yousef a
reconnu que Jésus est vraiment le Fils de Dieu et le
seul chemin qui conduit au Père. Quiconque quitte son père et sa
mère pour l'amour de moi & Peu après sa conversion, Yousef
a eu à coeur de partager sa foi aux membres de sa
famille. «Tu racontes des histoires!», lui a dit
son père. «Non, papa, ce n'est pas une
plaisanterie.» «Renonce donc à
Jésus!», a insisté le père.
«Jamais!», a été la réponse
de Yousef. «Alors, à partir de maintenant, nous
n'avons plus rien en commun; nous ne voulons plus entendre
parler de toi. Ne nous écris pas, ne nous
téléphone pas!» Là-dessus, sa
famille a confisqué toute la fortune de Yousef et son
entreprise. Il ne possédait plus rien. Quelques mois
plus tard, il a reçu une lettre: «Maman est
malade, tu es en train de la tuer à petit feu;
renonce à ta foi.» Peu après cet
événement, Yousef s'est marié. Douze
mois plus tard, il a appris que sa soeur allait se marier
à son tour et qu'il était invité aux
festivités. Alors qu'il se tenait en prière,
il a entendu la voix de Dieu qui lui disait: «Ne prends
pas ta femme avec toi!» En lieu et place, il a pris son
beau-frère Abdallah. Arrivé chez ses parents,
Yousef a été accueilli avec empressement et,
pendant la première demi-heure, tout s'est
merveilleusement déroulé. Tout à coup,
les choses ont mal tourné. Les membres de la famille,
même sa mère, se sont mis à le frapper
et à le piétiner. Yousef était
tombé dans le piège. «Maintenant, tu vas
renoncer à Jésus-Christ et
réintégrer l'islam!», a ordonné le
père. Gémissant, Yousef a
déclaré: «Je ne peux pas.» «Qui
va te délivrer de ma main?» , a crié le
père. «Mon Dieu a le pouvoir de me
protéger; mais je préfère mourir avec
Jésus que de vivre sans lui!» , a
répliqué Yousef. «Alors, meurs!»,
s'est écrié le père. Saisissant son
fusil, il a voulu tirer. «Es-tu devenu fou?», a
crié l'oncle de Yousef. Pris de colère, il a
pris le père dans ses bras quelques secondes avant
que le coup ne soit tiré. Yousef raconte: «J'ai alors
été capturé comme un prisonnier;
partout ils avaient placé des gardes qui ont
détruit mes Bibles, mes photos de mariage et tous mes
livres; mon beau-frère a été
chassé de la ville». Dans son désespoir,
la prière était son seul secours. De temps en
temps, la famille l'emmenait en visite. Un jour,
Jésus lui a parlé ainsi: «Aujourd'hui, il
est temps que tu quittes ta famille, pars...» En effet,
le moment était propice. Yousef a pris un taxi, s'est
enfui et est retourné vers sa femme. «Maintenant, je sais que Dieu
existe!» Quelques années plus tard,
Yousef a contacté sa mère par
téléphone. L'enfant de sa soeur était
mourant. La famille avait été à la
mosquée et avait prié... en vain. Les
médecins ne pouvaient plus rien faire pour la
fillette. «Que puis-je faire?», a demandé
Yousef. «Prie», lui a répondu sa
mère. Yousef lui a conseillé de prier à
son tour pour la petite, et le Seigneur la guérirait.
«Mais ne te fais pas attraper!», a-t-il
ajouté. La mère a commencé à
prier et, d'une manière miraculeuse, l'enfant s'est
complètement rétablie. Récemment,
Yousef a eu l'occasion de parler à son père.
Ce dernier a déclaré: «Je sais maintenant
que ton Dieu est vivant et que tu le connais
personnellement.» «Comment le sais-tu,
papa?», a demandé Yousef. «Parce que depuis
dix ans, tous les plans que nous avons
élaborés pour te liquider n'ont pas
abouti.» Plus tard, Yousef pouvait dire:
«Le prix à payer pour suivre le Dieu vivant est
élevé, mais c'est Jésus qui l'a
payé!» (Voix des Martyrs) ajouté le
13/12/2001
L'Eglise orthodoxe russe et le
mouvement oecuménique - Le père Hilarion Alfeyev, 34
ans, membre de la délégation de l'Eglise
orthodoxe russe au comité central du conseil
oecuménique des Eglises (COE), a affirmé
mercredi à Potsdam (nord-est) l'engagement de son
Eglise dans le mouvement oecuménique. L'Eglise russe
est la plus importante des Eglises orthodoxes. Q -
Comment se porte l'Eglise orthodoxe russe près de dix
ans après la chute du communisme? En dix ans, le nombre de prêtres
et de paroisses a plus que doublé, les
monastères sont passés de 18 à 500, on
compte 50 écoles théologiques, contre trois
auparavant. Mais après les premières
années, marquées par des manifestations
externes du renouveau spirituel, on est entré dans
une période de renouveau interne, ce qui est beaucoup
plus difficile. Il est plus facile de construire une
église que de faire d'une paroisse une
communauté de croyants, de restaurer un
monastère que d'y faire renaître une vie
spirituelle et de construire une école
théologique que de faire revivre une tradition
théologique. Dans les prochaines années,
l'Eglise va se concentrer sur cette tâche.
Q -
Cela signifie-t-il que dans sa recherche d'identité,
l'Eglise orthodoxe russe va abandonner le dialogue avec les
autres confessions chrétiennes? Non. Le synode des
évêques orthodoxes russes a adopté le 14
août 2000 un document qui réaffirme
l'engagement oecuménique de l'Eglise et sa
participation au dialogue avec les autres confessions
chrétiennes. Il est vrai qu'une partie significative
de l'Eglise s'exprime pour critiquer cet engagement et
pousser à la rupture avec le COE et à la
rupture du dialogue avec l'Eglise catholique, et on ne peut
pas simplement l'ignorer. Pour certains, c'est une
façon démagogique de critiquer la direction de
l'Eglise. Mais les critiques à l'encontre du
mouvement oecuménique ont aussi des fondements
réels. Q -
Lesquels? Il est vrai que si
l'oecuménisme en reste à son niveau actuel, la
participation orthodoxe sera de plus en plus difficile. Au
COE, le fossé entre les orthodoxes d'un
côté et beaucoup de protestants occidentaux de
l'autre s'est élargi. Nous partageons de moins en
moins de choses. Alors que pour les orthodoxes, le respect
de la tradition de leur Eglise, de son
intégrité, est essentiel, pour beaucoup de
non-orthodoxes le plus important est d'être en phase
avec la société civile, d'adapter la
théologie à la modernité. Nous avons
fait des propositions à la commission spéciale
sur la participation des orthodoxes au COE pour clarifier le
débat. (AFP) ajouté le
2/02/2001
Grèce: L'Eglise Orthodoxe
ferme les portes d'Athène au Pape L'Église orthodoxe grecque
refuse pour le moment de laisser Jean-Paul II se rendre en
visite à Athènes. C'est ce qu'a
déclaré son patriarche dans une interview
accordée hier à une radio locale. L'archevêque Christodoulos a
expliqué que les orthodoxes et les catholiques
devaient résoudre certaines difficultés avant
que le Pape puisse venir en Grèce. Il a
précisé que si le Pape se rendait à
Athènes avant que les problèmes soient
résolus, la visite ne résoudrait rien, elle ne
ferait qu'aggraver la situation. L'archevêque a expliqué
que la principale source de friction entre orthodoxes et
catholiques dans son pays est la présence de
catholiques de rite oriental. Il s'agit de
communautés chrétiennes qui ont
conservé la liturgie et les traditions orthodoxes
mais qui obéissent au pape. Certaines communautés
orthodoxes, spécialement du patriarcat de Russie et
de Grèce, estiment que ces chrétiens sont une
sorte "d'intrusion" catholique en terre orthodoxe.
"Le dialogue entre les Églises
a commencé il y a vingt ans, mais ce dialogue a
manifesté des signes de lassitude au cours des dix
dernières années", a déclaré
Christodoulos. Les gréco-catholiques ont subi
de terribles persécutions dans les pays communistes.
Staline les obligea à devenir orthodoxes. Ceux qui
refusaient étaient emprisonnés, voire
condamnés à mort. Dans des pays comme la
Roumanie ou l'Ukraine, les biens de l'Église
catholique furent confisqués et donnés
à l'Église orthodoxe. La communauté
gréco-catholique renaît peu à peu de ses
cendres, ce que les orthodoxes voient d'un assez mauvais
oeil, considérant cette résurrection comme une
sorte de "prosélytisme" de la part de Rome, parmi les
siens. Hier, le Pape a rendu publique sa
décision de nommer cardinal Mgr Lubomyr Husar, qui
venait d'être élu archevêque majeur des
gréco-catholiques d'Ukraine. Jean-Paul II a
expliqué que ce geste était une manière
d'honorer ces communautés qui "notamment au cours du
XX siècle ont été durement
éprouvées et qui ont donné au monde
l'exemple de tant de chrétiens et chrétiennes
qui ont su témoigner de leur foi malgré des
souffrances en tout genre, allant souvent jusqu'au sacrifice
de leur vie". Le 24 janvier dernier, le
président grec, Costis Stephanopoulos avait
invité Jean-Paul II à se rendre en visite
à Athènes pour que celui-ci puisse
réaliser le rêve qu'il aurait tant voulu
réaliser pendant le Jubilé : faire un
pèlerinage sur les pas de saint Paul. Dans sa lettre publiée le 29
juin 1999 sur le pèlerinage dans les lieux
liés à l'histoire du salut, Jean-Paul II
déclarait qu'il aurait voulu se rendre dans deux
villes liées à la vie de saint Paul : Damas
(Syrie), un voyage qu'il réalisera prochainement,
comme il l'a lui-même confirmé le 25 janvier,
et Athènes. Jean-Paul II fut le premier pape
à se rendre dans des pays à majorité
orthodoxe (Roumanie, Géorgie). Les Églises
orthodoxes sont séparées de l'Église de
Rome depuis le schisme d'Orient (1054) provoqué par
des divergences en matière théologique,
touchant à la doctrine de la Trinité
(maintenant résolues), ainsi que l'acceptation du
primat de Rome dans l'Église universelle, authentique
motif de divergence à l'heure actuelle. (Zenit) ajouté le
1/02/2001
Le pape demande la reconnaissance
juridique de l´embryon humain La science, déclare-t-il, a
démontré qu´il s´agit d´un
individu humain qui possède une identité
propre dès la fécondation. Dans son allocution prononcée
avant la prière de l´Angélus, le pape a
aujourd´hui demandé que l´embryon humain
soit reconnu sur le plan juridique et que l´on respecte
les droits des personnes incapables de se défendre
seules. Le pape parlait de la fenêtre de sa
bibliothèque qui donne sur la place Saint Pierre
où étaient réunies plusieurs milliers
de fidèles, dont de nombreux membres du Mouvement
pour la Vie italien. Le pape Jean-Paul II a
déclaré que la "science a désormais
démontré" que l´embryon est "une personne
humaine qui possède une identité propre
dès la fécondation". "Il est par
conséquent logique d´exiger que cette
identité soit aussi reconnue sur le plan juridique,
surtout en ce qui concerne son droit fondamental à la
vie". L´Eglise italienne
célébrait aujourd´hui la Journée
pour la Vie, qui avait cette année pour thème:
"reconnaître la vie". "Reconnaître" la vie, disait le
pape, c´est "garantir à chaque être humain
le droit de se développer selon sa propre
potentialité, en lui assurant
l´inviolabilité, de la conception
jusqu´à la mort naturelle". "Personne n´est
maître de la vie; personne n´a le droit de
manipuler, d´opprimer ou même d´ôter
la vie, celle des autres ou sa propre vie", poursuivait-il.
"Il ne peut encore moins le faire au nom de Dieu, qui est
l´unique Seigneur et le celui qui aime la vie le plus
sincèrement", ajoutait-il, en faisant allusion aux
attentats kamikazes. "Le fait de reconnaître la
valeur de la vie comporte des applications cohérentes
dans le domaine juridique, surtout en ce qui concerne le
soutien des êtres humains qui ne sont pas en mesure de
se défendre seuls comme les nouveau-nés, les
handicapés mentaux, les malades les plus gravement
atteints ou en phase terminale", déclarait le Saint
Père. Le pape a été
chaleureusement applaudi lorsqu´il a donné sa
bénédiction, spécialement aux femmes
enceintes présentes dans la foule. (Zenit) ajouté le
6/2/2002
Deux jeunes gens assassinent sur
ordre de Satan Les deux satanistes qui ont
poignardé à mort un de leurs amis, parce que
Satan leur aurait demandé de le faire, sourient d'un
air moqueur aux parents de la victime juste avant
d'être envoyés en unité
sécurisée de traitement psychiatrique.
Daniel Ruda, 26 ans, et sa femme
Manuela Ruda, 23 ans, qui déclare avoir appris le
satanisme en Angleterre et en Ecosse, ont été
condamnés respectivement à 15 ans et 13 ans
d'emprisonnement. Ils ont accueilli cette sentence sans
réagir, au tribunal de Bochum, dans la Ruhr en
Allemagne. Le juge Arno Kersting-Tombroke a
indiqué qu'ils ont commis un "crime effroyable" en
assassinant leur ami, Frank Hackert, 33 ans, en le
poignardant à 66 reprises. Les deux jeunes gens ont reconnu le
meurtre mais ont prétendu ne pas être
responsables car ils agissaient sur les ordres du diable.
"Tuez, sacrifiez, apportez des coeurs", voici la description
de la commande. Le couple explique qu'ils ont choisi
"Hacki", comme ils l'appellent, pour le sacrifice parce
qu'il était "si drôle qu'il ferait un parfait
bouffon pour Satan". La première preuve du crime
était contenue dans une lettre que Manuela Ruda
écrivit à sa mère peu après le
meurtre. "Je ne suis pas de ce monde; je dois libérer
mon âme de cette chair mortelle" écrivait-elle.
Sa mère est alors aller trouver
la police et a accompagné les officiers à
l'appartement du couple le 9 juillet 2001. Du sang
éclaboussé recouvrait les murs de la chambre,
et sur le sol de la pièce principale une flaque de
sang. Le corps de M.Hackert gisait, ses bras et son visage
sauvagement déchiquetés par une machette, un
pentagramme taillé au cutter sur son crâne.
Une liste, probablement celle des 15
victimes suivantes projetées, traînait.
Le juge rapporte que le couple
s'était formé trois ans auparavant
après que Daniel Ruda ait passé une petite
annonce: "vampire cherche princesse des
ténèbres qui déteste tout et tout le
monde". Ils se sont mariés en noir, le 6ème
jour du 6ème mois, et ils décidèrent de
tuer le 6ème jour du 7ème mois, ce qui leur
donnait le nombre 666, le symbole biblique du diable.
Après le meurtre atroce, ils
burent le sang de leur victime en invoquant Satan. Manuela
décrit sa déception lorsqu'elle a
constaté qu'elle ne se transformait pas en vampire.
Son parcours a commencé
dès 13 ans lorsqu'elle adopta la coiffure punk, puis
à l'âge de 16 ans en allant vivre à
Londres où elle rencontrait des satanistes dans des
soirées spéciales où les participants
se mordent mutuellement pour boire le sang des autres. De
retour en Allemagne, elle continua en se faisant arracher
des dents et implanter des crocs d'animaux. Lors de la nuit
d'Halloween 1999, elle dédicaça son âme
à Satan et promit de le servir par-delà la
mort. Quant à Daniel Ruda, il affirme
éprouver depuis l'âge de 12 ans un désir
particulier pour le sang. (The Telegraph (London)) ajouté
le 15/2/2002
Recherches sur le Méthodisme
américain de la première heure Après avoir
négligé le méthodisme américain,
les historiens se penchent à nouveau avec passion.
les Méthodistes et l'Amérique
Révolutionnaire est la dernière étude
en date sur ce sujet. Il est exhaustivement le fruit de
recherches et d'une écriture élégante.
Son auteur, Hatch, a initié une
nouvelle ligne de recherches sur le rapport du
méthodisme avec la culture américaine. Sa
Democratization of American Christianity (New Haven: Yale
University Press, 1989) (Démocratisation de
Christianisme américain) lui a valu de nombreuses
récompenses dont le prix SHEAR pour le meilleur livre
publié en 1989 sur la Première
République américaine. John Wigger, qui a
étudié avec Hatch à Notre Dame, Taking
Heaven by Storm: Methodism and the Rise of Popular
Christianity in America (New York: Oxford University Press,
1997). Cynthia Lynn Lyerly a contribué à cette
réflexion par son livre Methodism and the Southern
Mind, 1770-1810 (New York: Oxford University Press, 1998) .
Ce sont tous deux des livres excellents. Ensemble, ils
présentent les Méthodistes comme les
précurseurs d'une nouvelle force dans la religion
américaine au cours de la génération
qui a suivi la Révolution américaine. Comme
les quatre autres groupes religieux évoqués
dans le livre d'Hatch (Baptistes, Baptistes Noirs,
Chrétiens et Mormons) les Méthodistes
étaient populaires et démocratiques.
Leurs responsables n'étaient
pas des élites instruites dans des Universités
comme l'étaient les élites de l'Eglise
Anglicane, des Eglises Congrégationnalistes ou
Presbytériennes, mais étaient souvent des
garçons de ferme à l'éducation
réduite et formelle. Ils ont parlé (et
chanté) le langage des gens. En même temps, ils
ont défié l'ordre social en convertissant un
grand nombre de femmes, de jeunes et de Noirs. Ils ont
même condamné l'institution de l'esclavage,
bien que brièvement. Pour Hatch, le Méthodisme
Américain de la première heure était en
partie un produit de la Révolution américaine;
pour tous les trois chercheurs, le méthodisme leur
semblait révolutionnaire. Le méthodisme "est
devenu la religion américaine" au cours du
dix-neuvième siècle (p. 5). .... Vous retrouvez cet article en anglais
qui fait le point sur les recherches historiques quant au
méthodisme américain à l'adresse
d'H-Net (EMMNI) ajouté le
21/2/2002
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