La société
raélienne Clonaid annonce le clonage d'un mourant
La société CLONAID,
détenue par la secte raëlienne, annonce le
clonage d'un homme malade en phase terminale qui "a
l'intention de léguer ses biens à la
mère adoptive et d'abandonner le traitement qui le
maintient en vie dès la naissance de l'enfant". La
mère porteuse est l'une des 50 femmes raëliennes
sélectionnées pour prendre part au projet de
clonage reproductif. (4 vérités hebdo)
ajouté le 9/3/2002
USA: L'Union Méthodiste
ordonne le premier pasteur transsexuel Un prédicateur
méthodiste, qui avait subi une opération en
1999 pour devenir une femme, est en passe de devenir le
premier pasteur méthodiste avec une paroisse
assignée. Des responsables du clergé
Méthodiste Uni réunis en assemblée ont
voté hier soir à Washington DC l'acceptation
de Rebecca Steen comme pasteur. Le Washington Times rapporte
aussi que Rebecca Steen se nommait auparavant Richard
Zomastny. Le détail du vote n'est pas
connu, mais un porte-parole du clergé rapporte que
des "questions juridiques" ont été
soulevées durant la réunion qui a duré
4 heures. (Charisma News) ajouté le
7/6/2002
"Le Maire et les sectes", le
franc-maçon Alain Vivien encourage les maires
à se débarrasser des sectes NDLR: Selon nos informations, Alain
Vivien serait membre de la loge maçonnique "Demain".
Sur le site du Grand Orient de France, rubrique Petit livre
blanc de la laïcité, vous pouvez lire noir sur
blanc quels sont les ennemis de la laïcité: tous
les "dogmatismes" religieux... Encore un bel exemple de
manipulation quand on sait ce que les sectes
maçonniques trament en secret de magouilles et de
scandales... que personne en France n'ose
dénoncer. Document complet (pdf) (sur le site de Voxdei)
Editorial Le phénomène sectaire
constitue un des dangers auxquels est confrontée
notre société. Danger d'autant plus complexe
qu'il convient de préserver nos libertés
fondamentales de penser, de croire, de s'associer, tout en
luttant contre ceux qui profitent de la faiblesse humaine
par des procédés d'aliénation
spirituelle et souvent matérielle. Du fait de son rôle
privilégié d'écoute de la population et
de médiation, le maire, confronté à des
informations, parfois des rumeurs, interpellé par ses
concitoyens zélateurs ou apeurés, s'interroge
bien souvent sur ses responsabilités et ses moyens
d'action. Nous avons donc décidé,
d'un commun accord, de soutenir la tâche des maires en
leur apportant des informations simples et concrètes
sur ce sujet difficile et des indications sur les moyens de
vérifier, de contrôler, d'agir ou de se faire
conseiller. Ce petit ouvrage n'a pas, sur un
phénomène aussi grave, la prétention
d'être exhaustif ou définitif. Mais il est,
à notre sens, un outil de sensibilisation, à
destination des premiers magistrats de la commune vers qui
l'on se tourne de plus en plus pour remédier aux
failles de notre société et qui souhaitent
assurer pleinement leurs responsabilités dans le
respect des principes de notre République.
Alain VIVIEN Jean-Paul DELEVOYE
Ancien Ministre Sénateur-Maire
de Bapaume Président de la
Président de Mission Interministérielle
l'Association de Lutte contre les Sectes des Maires
de France Document complet (pdf) (sur le site de Voxdei)
(MILCS/Maires de France) ajouté
le 5/6/2002
Lettonie: Un pasteur
luthérien déclare publiquement son
homosexualité Par Judith Silberfeld le
24/05/02 Tétu.com Le Révérend Maris Sants,
pasteur de l'Eglise du Christ, église
évangélique luthérienne (LELB), de
Riga, a déclaré être gay, lors d'un
entretien à Radio Free Europe mercredi 22 mai.
Immédiatement après la diffusion de
l'émission, le consistoire de la LELB, qui
considère l'homosexualité comme un
péché, a fait savoir au Révérend
Sants qu'il était démis de ses
fonctions. (Tetu.com/CPDH) ajouté le
31/5/2002
La Scientologie condamnée
pour la première fois en France La justice française a pour la
première fois condamné vendredi une
émanation de l'Eglise de scientologie en tant que
personne morale, une décision qui pourrait faire date
pour les opposants à la secte, décidée
pour sa part à poursuivre le combat devant "toutes
les instances" judiciaires. Le tribunal correctionnel de Paris a
condamné l'association spirituelle de l'Eglise de
scientologie d'Ile-de-France (Asesif) à 8.000 euros
d'amende pour violation de la loi informatique et
libertés, en l'occurrence la conservation sur des
fichiers informatiques de données concernant
d'anciens membres de la secte, qui avaient porté
plainte. Marc Walter, son président, a
été pour sa part été
condamné à 2.000 euros d'amende. Le tribunal
les a en revanche tous les deux relaxé de deux autres
chefs d'accusation, tentative d'escroquerie et
publicité mensongère. La 13e chambre correctionnelle est
restée très en deçà des
réquisitions du parquet, qui avait
évoqué lors de l'audience du 21 et 22
février la dissolution de l'Asesif sans pour autant
la réclamer explicitement. La procureure Christine Forey avait
aussi réclamé une amende de 300.000 euros
contre l'Asesif et une peine de douze mois de prison avec
sursis et 12.000 euros d'amende à l'encontre de Marc
Walter, décrivant "un système tendant à
obtenir des fonds toujours plus importants pour des
résultats illusoires et chimériques". "Je me
méfie d'une religion qui n'est pas celle des pauvres
et des simples", avait-elle ajouté, évoquant
le "but essentiellement commercial de l'Asesif". Sans s'attarder sur une condamnation
minimale par rapport à ces réquisitions, les
avocats des parties civiles ont exprimé leur
satisfaction. "C'est une décision importante,
qui est l'ouverture d'une voie pour plus tard, dans d'autres
procès", a notamment estimé Me Olivier Morice,
le conseil de l'Union nationale des associations pour la
défense des familles et de l'individu (Unadfi), l'une
des parties civiles. L'association a clairement
exprimé sa volonté de poursuivre le combat.
"La dissolution peut être prononcée
ultérieurement lorsque deux condamnations seront
acquises. L'Unadfi donne rendez-vous à la
Scientologie dans d'autres tribunaux" a ajouté
l'avocat, estimant qu'"il ne (fallait) pas sous-estimer la
portée symbolique" de cette décision.
Mais l'Eglise de scientologie a
répondu avec une détermination intacte. "En ce
qui concerne cette banale affaire de fichiers
(informatisés), le tribunal ne pouvait faire
autrement, vue l'hystérie politique qui entourait
cette affaire", a ironisé Danièle Gounord, une
des porte-parole de la secte. "Nous allons évidemment faire
appel. Plus qu'un procès, c'est un combat
idéologique du microcosme politico-judiciaire qui
veut détruire tous ceux qui pensent autrement", a
renchéri un de ses confrères, Jean Dupuis.
"Nous irons devant toutes les
instances possibles. La Scientologie existe depuis 50 ans et
son caractère religieux est reconnu", a-t-il
ajouté. Marc Walter, moins sûr de lui,
s'est déclaré "assez satisfait", relevant que
"dans les 20 dernières années, plus de 30.000
plaintes ont été déposées
auprès de la CNIL (Commission nationale informatique
et libertés, ndlr). Seulement 17 ont
été déférées au
parquet". (AFP) ajouté le
18/5/2002
Selon Raël, le clonage va
faire accéder l'humanité à la "vie
éternelle" Avec sa combinaison blanche futuriste
aux larges épaules qui lui donne un vague air
d'astronaute, ses tennis blanches, son crâne
dégarni, ses boucles frisées mal
ficelées dans un chignon, qui tombent sur un visage
enserré dans un collier barbu, Raël raconte sa
prophétie. Son visage s'illumine, ses yeux jubilent.
"Le clonage, c'est la porte qui nous
amènera à avoir la vie éternelle
grâce à la science. On va pouvoir vivre
éternellement. Vous pourrez ne jamais mourir",
assure-t-il dans un entretien à l'AFP, en marge de
son audition par une commission d'enquête du
Congrès américain. Cet ancien journaliste
français, de vrai nom Claude Vorilhon, est le
fondateur des Raëliens, une secte "ufologique" et
areligieuse qui professe que la vie sur Terre fut
établie par des extra-terrestres (les "Elohims" de la
Bible) venus en soucoupe volante il y a 25.000 ans et que
les humains eux-mêmes sont des clones. Raël raconte avoir eu la chance
de rencontrer ces êtres venus d'une autre
planète. C'était en 1973 dans les volcans
d'Auvergne, dans le centre de la France. Deux ans plus tard,
il a fondé le mouvement des Raëliens, avant de
quitter la France au début des années 90,
où il s'estimait persécuté. Il
revendique aujourd'hui 55.000 adeptes à travers le
monde. La société Clonaid,
liée aux Raëliens, a commencé ses travaux
pour reproduire, à la demande d'un couple de parents
américains, un bébé mort à
l'âge de dix mois à la suite d'une
opération chirurgicale du coeur. Selon sa directrice scientifique,
Brigitte Boisselier, 44 ans, professeur de chimie dans une
université de l'Etat de New York et elle-même
adepte du mouvement, quatre personnes - deux biologistes, un
généticien et un médecin - travaillent
sous sa direction depuis le mois de décembre dans un
lieu gardé secret sur le territoire américain.
"Il y a un laboratoire et des
scientifiques qui travaillent dedans. Ce sont tous des
Raëliens. Je ne peux rien vous dire d'autre", affirme
Raël, qui espère pouvoir produire un clone
humain d'ici "24 mois si cela reste légal aux
Etats-Unis". Mais si le Congrès adopte une
loi bannissant le clonage humain, devra-t-il aller ailleurs
? "Certainement pas", explique-t-il. "Nous avons
déjà une équipe d'avocats prête
à aller jusqu'à la Cour suprême. Il
s'agit de faire un exemple aux Etats-Unis pour que ce soit
légal, grâce à la Cour suprême,
pour que les législations du monde entier suivent,
car elles suivront". Raël l'assure dur comme fer: le
clonage n'est que "l'étape de début".
"La deuxième étape,
c'est quand on sera capable d'obtenir la croissance
accélérée qui permettra de cloner
directement un adulte qui sera comme une cassette vierge. Il
n'aura pas de mémoire. Enfin, la troisième
étape consistera à transférer la
personnalité, la mémoire, dans ce corps
nouveau, comme le font les Elohim, ces extraterrestres que
j'ai rencontrés", explique-t-il, sans blaguer.
"Et là vous pouvez vivre
éternellement, vous réveiller dans un corps
tout neuf, en quelques minutes. Vous savez où sont
vos clés de voiture, votre adresse, votre compte en
banque". Sur les bancs de la commission
d'enquête, certains scientifiques de renom ont
protesté de sa présence, alors qu'il exposait
son projet devant des parlementaires américains polis
mais visiblement plus que sceptiques. Favorable au clonage humain mais dans
les mains de professionnels, le directeur de la Human
Cloning Foundation, Randolfe Wicker, lui n'a pas
mâché ses mots, accusant publiquement Raël
et son groupe de "dingos apprentis astronautes avec leur
laboratoire secret" d'orchestrer une "tentative de
fraude". (AFP) ajouté le
1/04/2001
Un blasphème de plus pour
Jean-Paul 2 qui canonise le spirite "Padre Pio"
NDLR: Karol Wojtyla, qui se fait
appeler le "père" (Pape, du syriaque Abba) de tous
les chrétiens, ajoute un blasphème de plus
à la longue liste de ses crimes contre le tout
puissant. Il a ce matin canonisé le Padre Pio, cet
homme qui portait sur lui des "stigmates", et
prétendait porter dans son corps ce qui manquait aux
souffrances de Christ. Pour plus d'informations, lire sur
notre site: Les stigmates sont-elles bibliques? Padre Pio est devenu le 758 ème
saint de l'Eglise Le "capucin aux stigmates", est devenu
officiellement dimanche le 758 ème saint de
l'église catholique au cours d'une
cérémonie de canonisation
célébrée par le pape Jean Paul II place
Saint Pierre. Quelque 300 000 fidèles ont fait le
déplacement. Mis en ligne le 16 juin 2002
C'est une véritable
marée humaine -forte de quelque 300 000
fidèles - qui s'est rendue ce matin au Vatican pour
assister à la canonisation de Padre Pio, l'homme
d'église le plus célèbre après
le pape en Italie. Jean-Paul II, que le masque de la
souffrance ne quitte désormais plus, est
arrivé peu avant 08H00 GMT à bord de sa
papamobile qui l'a conduit près de l'autel
dressé sur le parvis de la basilique Saint Pierre. La
cérémonie a duré trois heures devant la
foule compacte des dévots. Outre sur la place
Saint-Pierre, qui peut contenir près de 40 000
personnes, les fidèles se sont également
répandus sur l'avenue conduisant du Tibre au Vatican
et dans les rues avoisinantes où ont
été disposés une quinzaine
d'écrans géants de télévision.
Le prêtre aux stigmates
Originaire des Pouilles (sud),
né en 1887 et mort en 1968, Padre Pio di Pietrelcina
est l'objet d'une véritable dévotion populaire
dépassant les frontières de la
péninsule. Les fidèles lui vouaient
déjà un véritable culte de son vivant,
lui prêtant des guérisons miraculeuses, et cela
lui a valu à maintes reprises l'inimitié de
l'Eglise. Un décret du Saint Office en 1923 l'a ainsi
assigné à San Giovanni pendant dix ans. Il
subira une nouvelle série de brimades de 1956
à 1962, période pendant laquelle des micros
seront placés dans son confessionnal. Paul VI y
mettra fin. Padre Pio ou Francesco Forgione était le
quatrième des sept enfants d'un couple de paysans. Il
est entré comme novice à 16 ans chez les
capucins, après avoir vu un moine à la longue
barbe blanche mendier un quignon de pain à la porte
de sa ferme. A 23 ans, il a été
frappé par les stigmates, des plaies aux mains, aux
pieds et au thorax évoquant celles du Christ
crucifié et qui n'ont jamais cicatrisé de son
vivant. L'Eglise catholique n'a reconnu officiellement
l'existence de stigmates que dans une dizaine de cas, et les
détracteurs du capucin mettent en doute la
réalité de ses plaies. Mais ils critiquent
surtout le véritable affairisme entourant le
moine. Lire aussi: Les stigmates sont-elles
bibliques? (TF1) ajouté le
16/6/2002
Allemagne: Des chants sacrés
hindouistes dans une église protestante
Des musiques sacrées hindoues
ont rempli l'église protestante de la Sainte Croix,
à Berlin le 24 juin. Le gourou hindouiste Shri Ravi
Shankar y présentait son programme "Le Retour des
Valeurs Humaines". Ulrich Dehn, du Centre Protestant pour
l'Observation des Sectes est préoccupé de ce
que la présence d'une telle manifestation dans une
église risque de diminuer la vigilance des
chrétiens à l'égard de
l'hindouisme. Matthias Linke, pasteur baptiste et
co-responsable de l'Alliance Evangélique de Berlin,
estime quant à lui trouver positif que d'autres
religions parlent des valeurs humaines. Mais
personnellement, il déclare qu'il ne recevrait pas un
gourou hindouiste dans son assemblée pour y
présenter son message. Sigrid Kuestner, la responsable des
affaires culturelles de l'église de la Sainte Croix,
a expliqué que, lors des réunions
préparatoires, Ravi Shankar n'avait pas
mentionné le fait qu'il ferait la promotion de
l'hindouisme. Shankar avait d'ailleurs déjà
présenté son programme dans un rallye
d'églises l'an dernier à Francfort.
(Idea) ajouté le
27/6/2002
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