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L'archevêque anglican de Canterbury considère qu'il faudrait se soumettre à la primauté du Pape, qui est un modèle d'amour chrétien NDLR: La tactique du Vatican est toujours éminament simple, et éminament efficace: on noie le poisson, on cuit le poisson, on fait avaler le poisson, et jamais on ne retire l'hameçon qui est à l'intérieur... Nicolas ><> George L. Carey, archevêque de Canterbury (Grande-Bretagne) a effectué son 6e voyage au Vatican pour y rencontrer Jean-Paul II à l'issue duquel il a déclaré avoir ressenti "de grands espoirs dans la poursuite du voyage vers l'oecuménisme dans lequel tous deux sont engagés". Dans son discours prononcé le 21 juin, Carey a déclaré être très heureux de cette rencontre avec le Pape "avant que je ne quitte mes fonctions", cet automne. "Durant ces 11 dernières années, j'ai été très concerné par le rapprochement croissant, l'affection mutuelle et le respect entre nos églises, qui n'ont cessé de multiplier les contacts approfondis." Carey a aussi dit au Pape: "Votre grand courage, sagesse et sainteté de vie ont touché et inspiré des chrétiens du monde entier... Votre invitation aux responsables d'églises et aux théologiens à s'engager avec vous dans un dialogue fraternel patient sur le ministère et la primauté de Pierre nous a éclairé. Nous avons compris ce qu'un primat qui serait un modèle d'amour pourrait représenter comme don à partager. Bien que nous ne soyons pas dans la pleine communion que le Seigneur souhaiterait, je me réjouis dans notre foi baptismale commune et dans nos liens croissants de fraternité." La Commission Internationale Anglicans-Catholiques Romains a publié un document de 48 pages intitulé "Le Don de l'Autorité", discutant comment l'autorité est exercée dans l'église et par qui, et demandant aux deux églises d'examiner leur structure. Le document examine aussi le rôle de la papauté comme "un don destiné à être reçu par toutes les églises" et défie ces églises à "réfléchir à de nouvelles façons dont l'autorité doit amener toutes choses à être réconciliées avec Christ". (Ecumenical News) ajouté le 27/6/2002 |
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Le mouvement Quaker fête ses 350 ans NDLR: Ce mouvement est actuellement bien loin de ce qu'il était à l'origine (cf. autobiographie du fondateur). Mis à part quelques groupes en Grande-Bretagne et aux USA, tout le mouvement est maintenant plus préoccupé d'écologie et de pacifisme New-Age que d'Evangile véritable... En juin dernier, la Société des Amis ou Quakers a eu 350 ans. Quelque 350'000 Quakers sont aujourd'hui dispersés à dans le monde, dont près de 45% aux Etats-Unis où ils ont fondé l'Etat de Pennsylvanie, et 45% en Afrique. Seuls 6% d'entre eux résident en Europe, pour l'essentiel en Grande-Bretagne. Un peu moins d'un tiers des Quakers, influencés par l'évangélisme, ont rompu avec la tradition du culte silencieux et disposent désormais d'un pasteur. L'une de leurs grandes figures historiques, Elizabeth Fry, qui réforma le système pénal anglo-saxon au XIXe siècle, orne désormais les nouveaux billets de 5 livres. (Protestinfo/TopInfo) ajouté le 17/7/2002 |
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Raël annonce un premier clonage humain en cours Il y a un mois, un embryon cloné aurait été implanté sur une Sud-coréenne. Décidément, la secte des raëliens ne quitte plus le devant de la scène. Après la mise en vente des premières `machines à cloner´, baptisées RMX 2010, BioFusion Tech, la filiale coréenne de Clonaid créée par Raël, affirme qu'une jeune Sud-coréenne s'est faite implantée un embryon cloné il y a un mois de cela. BioFusion a ajouté que le clone naîtrait en Corée du sud si d'ici la naissance rien ne s'y opposait. En effet, ce pays n'a pas encore de réglementation interdisant le clonage humain mais un projet de loi a été rédigé par le ministère de la Santé et doit être discuté par le parlement. Un porte-parole du ministère coréen de la Santé a déclaré que quatre enquêteurs avaient été envoyés inspecter un laboratoire de BioFusion à Daegu. Et le ministère n'exclut pas une enquête pénale s'appuyant sur d'autres législations. Du côté des raëliens, on se veut comme d'habitude optimiste mais on prévient tout de même que l'expérience pourrait être interrompue si des tares étaient décelées par des tests génétiques, une référence au vieillissement précoce de la brebis clonée Dolly, la technique utilisée par Clonaid étant similaire à celle employée pour le célèbre mouton. Rappelons, à cet effet, que depuis la naissance de Dolly en 1997, les scientifiques sont parvenus à reproduire à l'identique des souris, des vaches, des chèvres, des cochons, des lapins et même des chats. Mais aucun singe, animal pourtant considéré comme très proche de l'homme. Outre le fait qu'une tentative sur six, pas plus, aboutit à une naissance, un bon nombre des animaux clonés meure peu après leur venue au monde. Et beaucoup de ceux qui survivent sont handicapés ou affligés de difformités graves.L'agitation raëlienne pourrait donc simplement paraître farfelue si elle n'était aussi inquiétante. `Non seulement nous espérons être les premiers à cloner un être humain mais nous voulons aussi contribuer à ce que les efforts de clonage puissent se multiplier partout dans le monde, afin d'aider à guérir toutes les maladies et à améliorer la race humaine´, a expliqué le fondateur de la secte, Raël. Il s'est, par ailleurs, réjoui que les Etats-Unis n'aient toujours pas adopté une loi interdisant le clonage humain, une `énorme victoire´, selon lui. `Cinq pays sont pleinement engagés dans des efforts de clonage: la Chine, la Suède, la Grande-Bretagne, Israël et l'Arabie Saoudite´, a-t-il en outre affirmé. Selon la société coréenne BioFusion Tech, plusieurs `machines à cloner´, que l'on peut commander via internet pour 9 199 dollars, ont été vendues à des équipes de chercheurs lors du salon Bio Expo Japan, début juillet. L'intérêt porté par Raël au clonage s'explique par le fait que ce Français de 56 ans professe que la civilisation humaine a été créée par des extraterrestres, à l'aide d' une technique semblable, il y a 25 000 ans. (libre belgique) ajouté le 25/7/2002 |
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Bioéthique: Les raéliens mettent en vente la première machine à cloner La société Clonaid, créée par le fondateur de la secte des raëliens, va mettre en vente la première "machine à cloner" afin, dit-elle, de permettre la multiplication des efforts pour cloner des êtres humains partout dans le monde, a-t-on appris lundi auprès de la firme. Cette machine a été mise au point par une équipe de scientifiques coréens, membres de la secte. Baptisée RMX 2010, elle permet de réaliser l'opération de fusion nucléaire afin d'obtenir un embryon de clone humain susceptible d'être implanté dans l'utérus d'une femme pour débuter une grossesse. Elle peut être commandée sur le site internet de la société pour la somme de 9.199 dollars. "Non seulement nous espérons être les premiers à cloner un être humain mais nous voulons aussi contribuer à ce que les efforts de clonage puisse se multiplier partout dans le monde, afin d'aider à guérir toutes les maladies et à améliorer la race humaine", a expliqué le fondateur de la secte, Raël. Raël s'est réjoui par ailleurs que les Etats-Unis n'aient toujours pas adopté une loi interdisant le clonage humain, une "énorme victoire", selon lui. "Cinq pays sont pleinement engagés dans des efforts de clonage: la Chine, la Suède, la Grande-Bretagne, Israël et l'Arabie Saoudite", a-t-il en outre affirmé. La secte des raëliens a été fondée en 1973 par un ancien journaliste français, Claude Vorilhon, dit "Raël". Celui-ci, qui vit au Québec, se présente comme un prophète dans la lignée de Moïse ou Mahomet et affirme que le clonage permettra à l'humanité d'atteindre la vie éternelle. Raël, qui dit avoir 55.000 adeptes dans le monde, professe que la vie sur Terre a été établie par des extra-terrestres arrivés en soucoupes volantes il y a 25.000 ans et que les humains ont été créés par clonage. (AFP/SOS-planete) ajouté le 30/7/2002 |
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L'Eglise de Scientologie présente une exposition vantant les mérites de ses ministres volontaires Les scientologues à Plainpalais La grande tente jaune est installée depuis mardi sur la plaine de Plainpalais. A côté, un camion arborant les couleurs et la croix de la scientologie. Itinérante, l'exposition tourne en Europe. Il y a quelques jours à Lausanne, elle sera présente, la semaine prochaine, à Nice. L'Eglise de scientologie a sorti ses plus beaux sourires pour attirer les passants et, surtout, mise sur la théâtralisation de l'action de certains de ses adeptes après les attentats du 11 septembre à New York et Washington. Une nouvelle arme de séduction redoutable. Tee-shirt jaune avec logo "On peut y faire quelque chose", Achille l'Italien est le responsable de cette exposition de photographies qui présente le travail des ministres volontaires de la scientologie. Il n'y a d'ailleurs que lui qui, apparemment, puisse s'entretenir avec la presse, à l'aide d'un traducteur. Comme de bien entendu, le portrait du fondateur, Lafayette Ron Hubbard, marque le début de l'exposition. Les panneaux suivants montrent une photo dont les scientologues ne sont pas peu fiers: celle de l'ancien maire de New York, Rudolf Giuliani, entouré de ministres volontaires, dans les décombres du World Trade Center. "Suite aux attentats du 11 septembre, la mobilisation a été énorme. A New York, il y avait parmi les secours des policiers, des pompiers, des gens de la Croix-Rouge et des ministres volontaires de la scientologie, un millier au total", indique Achille. "Nous les avons aidés à notre manière: en leur apportant de l'eau, des sandwiches. Aussi en les délassant grâce à notre procédé d'assistance (ndlr. sorte de massage relaxant qui se pratique du bout des doigts)." A l'arrière de la tente, un jeune homme est en train de tester le procédé. Il l'écrira plus tard: "Cela m'a relaxé." Un autre dit se sentir "léger comme un oiseau". Eglise mal aimée Reconnue comme religion aux Etats-Unis, idolâtrée par certaines stars comme John Travolta ou Tom Cruise, la scientologie n'a pas si bonne presse sur le Vieux Continent. Surtout depuis la prise de conscience du public du danger de certaines sectes, comme celle de l'Ordre du temple solaire. A Genève, l'Eglise de scientologie a même dû déménager de ces locaux de la rue Jean-Violette, dont les vitrines étaient régulièrement brisées. Prudente, elle s'est depuis lors installée au premier étage d'un immeuble des Acacias. La scientologie cherche-t-elle aujourd'hui à s'acheter une bonne conduite en allant à la rencontre de la population? Pas du tout, selon Achille. "Nous voulons simplement venir en aide aux gens. Bien sûr et c'est tant mieux, il n'y a pas eu de 11 septembre en Suisse. Mais nous pouvons apporter notre aide morale et spirituelle dans de nombreux autres domaines." Les brochures présentées sous la tente traitent effectivement de secteurs aussi variés que ceux du mariage, des rapports dans le travail ou au sein de la famille, de la drogue, de la restauration des valeurs dans notre société. Sans oublier le fer de lance de la scientologie, les techniques pour étudier. "Regardez, il y a ici un représentant du gouvernement sénégalais. Il s'intéresse beaucoup à cette technologie qu'il veut importer dans son pays", relève notre interlocuteur. Goût du prosélytisme Habituée à affronter la méfiance des médias, voire des hommes politiques, l'Eglise de scientologie a bien entendu sollicité toutes les autorisations nécessaires pour s'installer sur la plaine de Plainpalais. Le service des autorisations du Département de justice et police lui a donné son feu vert pour l'exposition, "en traitant la demande comme n'importe quelle autre", l'assortissant de quelques conditions. C'est ainsi qu'aucune distribution de brochures ou de tracts n'est autorisée en dehors de la tente. Autre recommandation, mais un peu plus ambiguë, "les piétons ne doivent pas être importunés et leur libre circulation préservée". Une invitation à visiter l'exposition n'entre sans doute pas dans cette catégorie, mais un racolage un peu trop insistant, oui. Et comme le prosélytisme est aux scientologues ce qu'est l'essence à une voiture, quelques excès de zèle ne sont jamais exclus. (Tribune de Genève) ajouté le 8/8/2002 |
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Le primat de l'église anglicane a été sacré druide honoraire lors d'une cérémonie controversée Rowan Williams, futur archevêque de Cantorbéry et, de ce fait, primat de l'Eglise anglicane, a été sacré druide honoraire lors d'une cérémonie controversée au Pays de Galles. La presse s'étonne que le futur chef spirituel des 70 millions d'Anglicans dans le monde ait été intronisé dans la confrérie de Gorstedd lors d'une cérémonie organisée à l'intérieur d'un cercle de menhirs. "L'insinuation émanant de certains éléments de la presse britannique selon laquelle le Gorstedd serait associé aux rites païens est profondément choquante", a dit le prélat gallois dans un communiqué, tout en précisant que "les hymnes entonnés sur la Croix et le Saint-Esprit sont tout à fait chrétiens". Par le passé, d'autres personnalités illustres du royaume ont été admises dans la confrérie des druides gallois, notamment l'ancien Premier ministre britannique David Lloyd-George, l'acteur Richard Burton et feu la reine-mère Elizabeth. (Reuters) ajouté le 6/8/2002 |
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