Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

l'Abécédaire pour une vie bénie

(26) (Mem)

Un choix qui fait et maintient des différences

Choisissez aujourd'hui qui vous voulez servir ! Josué 24: 15 (v. L. S)

La liberté que Dieu a donnée est une liberté qui met l'homme devant ses responsabilités face à son Créateur. D'emblée, il faut comprendre que
cette liberté n'a jamais mis tous les feux au vert pour que l'individu puisse s'engager, sans conséquence, dans les voies que son coeur désire, qu'il soit devenu enfant de Dieu ou non.

La liberté est souvent bien plus contraignante que certains se l'imaginent, raison pour laquelle les hommes cherchent souvent à calquer leur conduite sur celle de l'un de leurs semblables qui semble avoir réussi dans la vie (sans pour autant avoir réussi sa vie), tandis que d'autres voudraient être conduits comme des moutons afin de ne pas être responsables de leurs actes.

La liberté que Dieu nous donne est bonne car elle est assortie de conseils afin que personne ne s'engage à la légère dans un chemin où il pourrait compromettre son éternité,
une éternité qui sera toujours conséquente aux choix, aux décisions prises sur cette Terre.

Vois, je mets aujourd'hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal... Deutéronome 30: 15 (v. L. S)

(Moi) Je choisis la voie de la vérité, Je place tes lois sous mes yeux. Psaume 119: 30 (v. L. S)
(Et toi l'as-tu choisie cette voie ?)

Ces choix étant continuellement devant nous, nous devons nous rappeler, selon l'expression populaire, que si "tous les chemins mènent à Rome", il n'en est pas de même en ce qui concerne le Royaume de Dieu.
Au contraire, nous pourrions plutôt dire que tous les chemins mènent à la perdition, excepté UN SEUL qui mène à la Vie éternelle !

Si nous sommes entrés dans ce chemin en passant par Jésus-Christ, faut-il encore rester dans ce chemin et
écarter de sa vie tout ce qui pourrait compromettre notre marche, tout ce qui pourrait nous tirer hors de ce chemin. (C'est toujours une question de choix !)

Être dans le chemin de la Vérité libère l'enfant de Dieu de bien des contraintes. Toutefois cette liberté
acquise par Jésus-Christ est elle-même conditionnelle afin que personne ne retombe dans l'esclavage de ses passions anciennes.
La liberté rend esclave, soit de Dieu, soit du prince des ténèbres !

Frères, vous avez été appelés à la liberté, seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair... Galates 5: 13 (v. L. S)

Cet avertissement solennel vient à point afin de nous rappeler que nous ne sommes pas libres de jouir de la vie comme nous le voulons. La véritable liberté dont nous bénéficions est celle d'être
libres à l'égard du péché et non à l'égard des commandements de Dieu.

Quiconque se livre au péché est esclave du péché. Jean 8: 34 (v. L. S)

Vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l'obéissance qui conduit à la justice. Romains 6: 16 (v. L. S)

... maintenant,
étant affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle. Romains 6: 22 (v. L. S)

Le chrétien étant donc devenu une nouvelle créature, il ne doit plus avoir les comportements qu'il avait autrefois (2 Corinthiens 5: 17). Voilà pourquoi il appartient à chacun de préserver son identité chrétienne en conservant les choix de la première heure, ceux qui nous avaient conduits à accepter Jésus comme Seigneur de notre vie parce qu'il était devenu d'abord notre Sauveur !
Non seulement il nous faudra les conserver, mais en plus nous appliquer à mieux connaître la pensée de celui nous a fait passer des ténèbres à "son admirable lumière" (
1 Pierre 2: 9).

Si notre coeur est bien disposé, si nous sommes devenus "esclaves de Dieu", esclaves consentants, il va de soi, alors nous aurons du plaisir à sonder les Écritures. Nous en aurons d'autant plus que nous serons sérieux dans l'application de ce que nous aurons compris. Ainsi, avec l'auteur du Psaume 119, nous pourrons dire sans mentir (
v. 97) :

Combien j'aime ta loi !

Il va de soi qu'un enfant de Dieu ne saurait détester la Parole de Dieu ! Toutefois l'amour que nous pourrions avoir pour elle pourrait bien être un amour platonique ! Un amour de pure forme qui n'enrichit pas celui qui lit les Saintes Écritures parce qu'il le ferait uniquement pour se donner bonne conscience sans chercher à en puiser ce qu'il y a de bon pour sa vie.

L'auteur du Psaume 119 nous montre que son amour pour la loi de Dieu est bien réel, que cette loi est dans son coeur
et qu'il la médite afin de conformer sa vie à ce qu'elle prescrit (v. 97) :

Elle est tout le jour l'objet de ma méditation.

Tout le jour, il pense à ce qu'il aime, et, parce qu'il agit ainsi, toute sa conduite s'en ressent. Ses actes sont en conformité avec ce qu'il croit, en conformité avec ce qu'il a déjà compris de la Parole de Dieu.
Une telle attitude va produire un profond changement intérieur qui va le différencier de ceux et celles qui n'ont pas le même amour que lui pour ce qui est sorti de la bouche de Dieu.

Rien que dans les huit versets du paragraphe concernant la lettre "Mem" (celle que nous étudions aujourd'hui), nous relevons pas moins de 4 affirmations qui démontrent qu'à cause de la Parole de Dieu mise en pratique, il est conscient que sa vie est différente de celle de son entourage.

Sommes-nous conscients que nous devons être différents du monde qui nous entoure ? Le sommes-nous ? Vivons-nous différemment que lui ?

Quant au Psalmiste, il constate qu'en respectant ce que l'Éternel a dit, il a bénéficié de :

1) Plus de sagesse (
v. 98).
2) Plus d'instruction (
v. 99).
3) Plus d'intelligence (
v. 100).
4) Et d'un désir toujours plus grand de s'instruire dans les voies de Dieu (
v. 102).

Alors que nous venons d'entrevoir l'influence bénéfique que l'observation des lois divines peut avoir dans une vie, nous devons encore prendre en considération que cet effet bénéfique permet d'avoir de l'assurance dans la prière parce que le coeur ne condamne pas celui qui s'adresse à Dieu d'un "coeur pur".

Bien-aimés, si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu.
Quoi que ce soit que nous demandions,
nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. 1 Jean 3: 21-22 (v. L. S)

Cette assurance n'est pas de l'effronterie, elle est respectueuse ! Elle s'appuie autant sur les promesses du Seigneur que sur notre fidélité, une fidélité qui, répétons-le une fois de plus, est
une fidélité qui se démontre par l'observation de la Parole de Dieu.

Décharge-moi... car j'observe tes préceptes. (v.22)
Conduis-moi...
car je l'aime (le sentier de tes commandements). (v.35)
Que tes compassions viennent sur moi...
car ta loi fait mes délices. (v.77)
Sauve-moi...
car je recherche tes ordonnances. (v. 94)
Délivre-moi...
car je n'oublie point ta loi. (v. 153)
Que ta main me soit en aide...
car j'ai choisi tes ordonnances. (v. 173)
Cherche ton serviteur...
car je n'oublie point tes commandements. (v. 176)

Nous voulons tous être bénis, n'est-ce pas ?
Nous désirons obtenir des réponses à nos prières, voir la main de Dieu dans notre vie et dans celles de ceux qui nous sont proches ? Mais notre engagement permet-il au Seigneur d'agir comme il l'a promis ?
Pouvons-nous faire les demandes du Psalmiste et
présenter les mêmes arguments que lui ?

Le fait de vivre sous la grâce, d'avoir bénéficié d'un si grand amour, devrait nous pousser à avoir,
au minimum, le même comportement que le Psalmiste à l'égard des enseignements que Dieu nous a transmis dans les Saintes Écritures et plus particulièrement dans le Nouveau Testament !

Reprenons les versets qui correspondent à la lettre "Mem" et profitons de l'occasion pour nous examiner nous-mêmes afin de tirer les conclusions qui s'imposent pour notre vie, jugeons-nous nous-mêmes afin que nous ne soyons pas jugés (
1 Corinthiens 11: 31).

Sans parler d'ennemis comme l'a fait notre Psalmiste, venons en directement au point important qu'il met en avant pour justifier le fait qu'il soit plus sage que ses adversaires (
v. 98) :

(tes commandements...) Je les ai toujours avec moi

Il ne fait aucun doute que l'expression employée suggère que les commandements de Dieu étaient dans le coeur de notre homme, qu'ils avaient la place principale et qu'en raison de cette place, son comportement était bien différent de ceux qui le persécutaient.
La Parole de Dieu a-t-elle autant de place en nous ?
Est-ce que je l'emmène partout avec moi ?
Est-ce qu'elle me suit dans chacun de mes déplacements, c'est-à-dire :

Reste-t-elle celle qui dictera ma conduite même lorsque je serai loin de mon entourage familial ou chrétien ?

"J'ai toujours ta Parole avec moi" pouvait dire le Psalmiste. "C'est elle, et elle seule qui a autorité dans ma vie ! "
S'il en est ainsi pour moi, c'est donc en écoutant son conseil que je ferai ou ne ferai pas telle chose, que je me joindrai ou ne me joindrai pas à telle compagnie.
Il va de soi que si nous n'avons pas pris l'habitude de la respecter à la maison, si nous négligeons certaines recommandations, certaines exhortations, jamais nous ne pourrons prétendre que nous l'avons toujours avec nous, en nous !
Certes nous aurons, comme bien des gens du monde, certains traits du caractère chrétien, certaines attitudes morales, mais qui ne seront jamais suffisants pour démontrer que nous aimons Dieu comme il désire que nous l'aimions : "
Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui m'aime..." (Jean 14: 21) ; "Celui qui ne m'aime pas ne garde point mes paroles." Jean 14: 24

Deux comportements décrits par le Fils de Dieu, deux comportements qui sont opposés l'un à l'autre et qui dépeignent le coeur de l'homme. Seul le premier permet de constater qu'il marche bien dans la voie sainte, cette voie où nul impur ne peut passer (Esaïe 35: 8).
C'est donc parce que les commandements de Dieu sont dans le coeur, que la conduite d'un homme est différente de celui qui n'a pas (suffisamment) la crainte de l'Éternel.

Vais-je agir en insensé en bravant le Roi des rois, en m'opposant sciemment à sa Parole sous prétexte qu'elle m'empêche de satisfaire les besoins d'une vieille nature qui réclame toujours sa part ?
Non ! Et je prie que Dieu, dans sa grâce, m'interpelle chaque fois que j'aurai la mauvaise idée de me détourner de sa Parole ! Qu'il le fasse aussi chaque fois que je serai tenté de la détourner, d'en changer le sens pour excuser ma conduite.

Par son comportement, l'auteur du Psaume 119 nous montre qu'il tient à cette Parole et que c'est grâce à elle qu'il peut affirmer (
v.99 &100) :

Je suis plus instruit que tous mes maîtres...
J'ai plus d'intelligence que les vieillards...

Ce n'est point de la vantardise ! C'est un constat ! C'est la vérité ! C'est aussi ce que nous devrions tous et toutes dire !
L'apôtre Paul ne s'attend-il pas à ce que les enfants de Dieu grandissent dans la foi et dans la connaissance du Seigneur Jésus : "
Croissez dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ" (2 Pierre 3: 18) ?
Aussi s'étonne-t-il de ce que certains en soient encore restés au biberon ! Qu'ils aient toujours besoin de lait spirituel alors qu'ils devraient être des maîtres, des personnes exercées dans la compréhension des Écritures. (
Hébreux 5: 12)
Un chrétien adulte dans la foi n'a pas besoin de revenir sans cesse au fondement établi une fois pour toute (
Hébreux 5: 12) et de s'interroger toujours sur les mêmes questions.

Cette instruction et cette intelligence dont nous parle le Psalmiste, dépendent essentiellement de l'étude que nous ferons ou ne ferons pas de l'Écriture, de sa mise en pratique ou non !
Je me répète, c'est vrai ! Mais ces répétitions sont aussi indispensables que celles que l'on retrouve dans l'Écriture !
Ce sont simplement des rappels qui mettent en valeur le commandement et qui vont nous permettre de nous en souvenir chaque fois que le tentateur insinuera que tel ou tel objet de l'Écriture n'est pas bien important (
v.99 &100) !

Tes préceptes sont l'objet de ma méditation.
J'observe tes ordonnances.

Voilà la formule qu'il me faut absolument apprendre par coeur quoique je vive sous la grâce de Dieu.
En effet, nulle part dans le Nouveau Testament je ne peux trouver un seul texte qui puisse m'exempter de cette façon de procéder !
Au contraire l'amour que j'ai pour Dieu doit me pousser à mieux chercher le fond de sa pensée dans les Écritures. L'amour que je dis avoir pour lui devant aussi se démontrer par l'obéissance à ses saints commandements.
Comment pourrais-je prétendre l'aimer si je me détourne de lui chaque fois qu'il m'appelle à respecter tel ou tel point des Écritures ?

À moi donc de réfléchir à ce que dit l'Écriture et pourquoi elle le dit !
À moi de prier afin que tout ce qui me freine pour mettre en pratique ce qu'elle m'enseigne soit retiré de mon chemin pour que je puisse courir avec persévérance jusqu'au bout de ma carrière terrestre et que je reçoive la "couronne de justice" ! Cette même couronne qui fut réservée pour l'apôtre Paul, cette même couronne qui est mise de côté pour tous ceux et toutes celles qui ont combattu le bon combat et qui vivent dans l'attente du retour du Seigneur (
2 Timothée 4: 7-8).

Ce "bon combat" existe et il commence d'abord par une bonne conduite qui ne supporte pas des écarts volontaires !
S'il est vrai qu'un accident est vite arrivé, que chacun peut trébucher dans le chemin qui conduit à la vie éternelle, surtout lorsqu'il détourne la tête de l'objectif à atteindre, nous savons aussi que : "
si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste." (1 Jean 2: 1)

Étant invités à ne plus pécher, nous péchons encore souvent par inadvertance !
En dehors de ces "accidents" de parcours quasi inévitables (Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous faisons Dieu menteur -
1 Jean 1: 10), il y a une règle de conduite à suivre à laquelle personne ne peut échapper s'il veut progresser dans la foi et dans la sainteté (v. 101a) :

Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin...

C'est le B.A. BA de toute vie consacrée au Seigneur !
On ne va quand même pas se jeter volontairement dans la gueule du loup !
On ne va pas faire exprès d'aller sur le terrain de l'ennemi !
On ne va pas se mettre de plein gré dans des chemins où le Seigneur ne nous accompagnera JAMAIS !
Boirais-tu volontairement un poison violent pour t'assurer une bonne santé ? Non ! Alors retiens ton pied, empêche-le d'aller dans un chemin mauvais !

L'auteur du Psaume 119 nous montre bien qu'il a de la sagesse, cette sagesse que seul le Saint-Esprit peut donner. Il est conscient que
toute marche en dehors du chemin étroit l'éloignera de la Parole de Dieu !

Certains penseront peut-être que c'est exagérer, que l'on peut fort bien savoir se tenir en compagnie du monde et garder dans notre coeur la Parole de Dieu.
C'est exactement le raisonnement de ceux qui n'ont point de sagesse !

C'est faux ! Archifaux de croire que l'on peut garder avec soi les commandements de Dieu comme le fait le Psalmiste ! (Psaume 119: 98)
C'est faux, car
le premier pas fait volontairement, dans un chemin autre que celui tracé par Jésus, est déjà un acte de désobéissance !
Qui oserait dire au Juge suprême qu'après s'être engagé dans la mauvaise voie, il va être vigilant pour veiller sur sa conduite et marcher dans l'obéissance !
N'est-ce pas un non-sens que prétendre que l'on va se garder alors que déjà nous avons fait
le choix de désobéir ?

L'obéissance ne consiste pas à se préserver des souillures du monde dans le chemin de la désobéissance, mais
l'obéissance première eut été de ne JAMAIS quitter le chemin étroit. Quant à la "seconde obéissance", elle consiste à revenir dans ce chemin étroit et non à s'enfoncer plus loin en priant d'être gardé par le Seigneur !

Heureux l'homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s'arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s'assied pas en compagnie des moqueurs, Mais qui trouve son plaisir dans la loi de l'Éternel, Et qui la médite jour et nuit ! Psaume 1: 1-2 (v. L. S)

... nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres...
... nous qui étions morts par nos offenses, (Dieu) nous a rendus à la vie avec Christ...
Éphésiens 2: 3 et suivants (v. L. S)

L'auteur du Psaume 119 précise bien
pourquoi il ne veut pas s'engager dans un chemin autre que celui du Seigneur.
Il n'a qu'un seul argument à faire valoir, mais quel argument ! Quel témoignage puissant qui prouve bien que Dieu a la place centrale dans son coeur et qu'il est déterminé à ce que rien ni personne ne le détrône !
Puissions-nous toujours avoir la même attitude, la même détermination que lui, le même engagement afin de montrer que Christ est véritablement notre VIE (
v. 101) !

Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin,
Afin de garder ta parole.

S'il n'y a qu'un seul chemin qui conduise à la Vie éternelle, il va de soi que les autres mènent tous à la perdition !
Alors... franchement ! Allons-nous nous engager volontairement dans un autre chemin ? Ce serait du suicide !
Allons-nous nous laisser séduire par des gens du monde qui, sous prétexte d'entretenir de bonnes relations de voisinage, vont nous mener par le bout du nez, vont nous aveugler par leur gentillesse et nous faire préférer leur compagnie à celle des croyants ? Des croyants pas toujours fraternels, il faut bien le dire !

Mon fils, si des pécheurs veulent te séduire, Ne te laisse pas gagner. Proverbes 1: 10 (v. L. S)

Examinez ce qui est agréable au Seigneur ; et ne prenez point part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les.
Éphésiens 5: 10-11 (v. L. S)

Si nous avons été mis au bénéfice de l'oeuvre de la Croix, nous l'avons été par grâce sans qu'il ne nous en ai rien coûté. Si nous avons changé de père en devenant "enfant de Dieu" au lieu d'être des "enfants de colère comme les autres", conduisons-nous donc d'une manière digne afin d'être agréables au Seigneur (Colossiens 1: 10).

Pour ce faire, quoi de mieux que de retenir ces trois pensées qui, mises en pratique, parleront bien plus fort que tous nos beaux discours :

- Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin, afin de garder ta parole. (
v. 101)
- Je ne m'écarte pas de tes lois, Car c'est toi qui m'enseignes. (
v. 102)
- Je hais toute voie de mensonge
. (v. 104)

Seigneur Jésus, tu as accompli en ma faveur ce que personne n'aurait jamais pu faire pour me sauver de la perdition éternelle. Je suis conscient que tu as donné ta vie pour moi afin que je puisse m'engager dans le chemin qui me conduira jusqu'à la vie éternelle.
C'est un don que
je ne veux pas mépriser, aussi je réclame ton secours afin de tenir ferme dans la foi.
Je te supplie de me rendre toujours plus sensible à ton Saint-Esprit afin que je ne me détourne jamais de TA Parole pour courir dans les chemins du monde. "Tu veux que la vérité soit au fond du coeur : Fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi !"(Psaume 51: 6) C'est ma prière. Amen !

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Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier.
(v. 105)

Qu'il en soit toujours ainsi afin que je sache où je mets les pieds !

 

© J-M Ravé 13 octobre 2007 -
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