Choisissez
aujourd'hui qui vous voulez
servir ! Josué 24: 15 (v. L. S)
La liberté que Dieu a donnée est une
liberté qui met l'homme devant ses
responsabilités face à son
Créateur. D'emblée, il faut
comprendre que cette
liberté n'a jamais mis tous les feux au
vert pour que
l'individu puisse s'engager, sans
conséquence, dans les voies que son coeur
désire, qu'il soit devenu enfant de Dieu ou
non.
La liberté est souvent bien plus
contraignante que certains se l'imaginent, raison
pour laquelle les hommes cherchent souvent à
calquer leur conduite sur celle de l'un de leurs
semblables qui semble avoir réussi dans la
vie (sans pour autant avoir réussi sa vie),
tandis que d'autres voudraient être conduits
comme des moutons afin de ne pas être
responsables de leurs actes.
La liberté que Dieu nous donne est bonne car
elle est assortie de conseils afin que personne ne
s'engage à la légère dans un
chemin où il pourrait compromettre son
éternité, une éternité qui sera
toujours conséquente aux choix, aux
décisions prises sur cette
Terre.
Vois, je
mets aujourd'hui devant toi la vie et le bien, la
mort et le mal... Deutéronome 30:
15
(v. L. S)
(Moi) Je choisis la voie de
la vérité, Je place tes lois sous mes
yeux. Psaume 119: 30 (v. L. S)
(Et toi l'as-tu
choisie cette voie ?)
Ces choix
étant continuellement devant nous, nous
devons nous rappeler, selon l'expression populaire,
que si "tous les chemins mènent à
Rome", il n'en est pas de même en ce qui
concerne le Royaume de Dieu.
Au contraire, nous pourrions plutôt dire que
tous les chemins mènent à la
perdition, excepté UN SEUL qui mène
à la Vie éternelle !
Si nous sommes entrés dans ce chemin en
passant par Jésus-Christ, faut-il encore
rester dans ce chemin et écarter de sa vie tout ce qui
pourrait compromettre notre marche,
tout ce qui
pourrait nous tirer hors de ce
chemin. (C'est
toujours une question de
choix !)
Être dans le chemin de la
Vérité libère l'enfant de Dieu
de bien des contraintes. Toutefois cette
liberté acquise
par Jésus-Christ est elle-même conditionnelle afin que personne ne retombe dans
l'esclavage de ses passions anciennes.
La liberté rend esclave, soit de Dieu, soit
du prince des ténèbres !
Frères, vous avez
été appelés à la
liberté, seulement ne faites pas de cette
liberté un prétexte de vivre selon la
chair... Galates 5: 13 (v. L. S)
Cet avertissement solennel vient à point
afin de nous rappeler que nous ne sommes pas libres
de jouir de la vie comme nous le voulons. La
véritable liberté dont nous
bénéficions est celle
d'être libres
à l'égard du péché et
non à l'égard des commandements de
Dieu.
Quiconque
se livre au péché est esclave du
péché. Jean 8: 34 (v. L. S)
Vous
êtes esclaves de celui à qui vous
obéissez, soit du péché qui
conduit à la mort, soit de
l'obéissance qui conduit à la
justice. Romains 6: 16 (v. L. S)
... maintenant, étant affranchis du
péché et devenus esclaves de
Dieu,
vous
avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie
éternelle. Romains 6: 22 (v. L. S)
Le chrétien
étant donc devenu une nouvelle
créature, il ne doit plus avoir les
comportements qu'il avait autrefois (2 Corinthiens
5: 17). Voilà pourquoi il appartient
à chacun de préserver son
identité chrétienne en conservant les
choix de la première heure, ceux qui nous
avaient conduits à accepter Jésus comme
Seigneur de notre vie
parce qu'il était devenu d'abord notre
Sauveur !
Non seulement il nous faudra les conserver, mais en
plus nous appliquer à mieux connaître
la pensée de celui nous a fait passer des
ténèbres à "son admirable
lumière" (1 Pierre 2: 9).
Si notre coeur est bien disposé, si nous
sommes devenus "esclaves de Dieu", esclaves
consentants, il va de soi, alors nous aurons du
plaisir à sonder les Écritures. Nous
en aurons d'autant plus que nous serons
sérieux dans l'application de ce que nous
aurons compris. Ainsi, avec l'auteur du Psaume 119,
nous pourrons dire sans mentir (v. 97) :
Il va de soi qu'un enfant de
Dieu ne saurait détester la Parole de
Dieu ! Toutefois l'amour que nous pourrions
avoir pour elle pourrait bien être un amour
platonique ! Un amour de pure forme qui
n'enrichit pas celui qui lit les Saintes
Écritures parce qu'il le ferait uniquement
pour se donner bonne conscience sans chercher
à en puiser ce qu'il y a de bon pour sa
vie.
L'auteur du Psaume 119 nous montre que son amour
pour la loi de Dieu est bien réel, que cette
loi est dans son coeur et qu'il la médite afin de
conformer sa vie à ce qu'elle
prescrit
(v. 97) :
Tout le jour, il pense
à ce qu'il aime, et, parce qu'il agit ainsi,
toute sa conduite s'en ressent. Ses actes sont en conformité
avec ce qu'il croit, en conformité avec ce
qu'il a déjà compris de la Parole de
Dieu.
Une telle attitude va
produire un profond changement intérieur qui
va le différencier de ceux et celles qui
n'ont pas le même amour que lui pour ce qui
est sorti de la bouche de Dieu.
Rien que dans les huit versets du paragraphe
concernant la lettre "Mem" (celle que nous
étudions aujourd'hui), nous relevons pas
moins de 4 affirmations qui démontrent
qu'à cause de la Parole de Dieu mise en
pratique, il est conscient que sa vie est
différente de celle de son entourage.
Sommes-nous conscients que nous devons être
différents du monde qui nous entoure ?
Le sommes-nous ? Vivons-nous
différemment que lui ?
Quant au Psalmiste, il constate qu'en respectant ce
que l'Éternel a dit, il a
bénéficié de :
1) Plus de sagesse (v. 98).
2) Plus d'instruction (v. 99).
3) Plus d'intelligence (v. 100).
4) Et d'un désir toujours plus grand de
s'instruire dans les voies de Dieu (v. 102).
Alors que nous venons d'entrevoir l'influence
bénéfique que l'observation des lois
divines peut avoir dans une vie, nous devons encore
prendre en considération que cet effet
bénéfique permet d'avoir de
l'assurance dans la prière parce que le
coeur ne condamne pas celui qui s'adresse à
Dieu d'un "coeur pur".
Bien-aimés, si notre coeur
ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance
devant Dieu.
Quoi que ce soit que nous demandions,
nous
le recevons de lui, parce que nous gardons ses
commandements et que nous faisons ce qui
lui est agréable. 1 Jean 3: 21-22 (v. L. S)
Cette assurance n'est pas de l'effronterie, elle
est respectueuse ! Elle s'appuie autant sur
les promesses du Seigneur que sur notre
fidélité, une fidélité
qui, répétons-le une fois de plus,
est une
fidélité qui se démontre par
l'observation de la Parole de Dieu.
Décharge-moi...
car j'observe tes préceptes.
(v.22)
Conduis-moi... car je l'aime (le sentier de tes
commandements). (v.35)
Que tes compassions viennent sur moi...
car ta loi fait mes délices.
(v.77)
Sauve-moi... car je recherche tes ordonnances.
(v. 94)
Délivre-moi... car je n'oublie point ta loi.
(v. 153)
Que ta main me soit en aide... car j'ai choisi tes
ordonnances. (v. 173)
Cherche ton serviteur... car je n'oublie point tes
commandements. (v. 176)
Nous voulons tous
être bénis, n'est-ce pas ?
Nous désirons obtenir des réponses
à nos prières, voir la main de Dieu
dans notre vie et dans celles de ceux qui nous sont
proches ? Mais notre engagement permet-il au
Seigneur d'agir comme il l'a promis ?
Pouvons-nous faire les demandes du Psalmiste et
présenter les
mêmes arguments que
lui ?
Le fait de vivre sous la grâce, d'avoir
bénéficié d'un si grand amour,
devrait nous pousser à avoir,
au
minimum, le
même comportement que le Psalmiste à
l'égard des enseignements que Dieu nous a
transmis dans les Saintes Écritures et plus
particulièrement dans le Nouveau
Testament !
Reprenons les versets qui correspondent à la
lettre "Mem" et profitons de l'occasion pour nous
examiner nous-mêmes afin de tirer les
conclusions qui s'imposent pour notre vie,
jugeons-nous nous-mêmes afin que nous ne
soyons pas jugés (1 Corinthiens 11: 31).
Sans parler d'ennemis comme l'a fait notre
Psalmiste, venons en directement au point important
qu'il met en avant pour justifier le fait qu'il
soit plus sage que ses adversaires (v. 98) :
Il ne fait aucun doute que
l'expression employée suggère que les
commandements de Dieu étaient dans le coeur
de notre homme, qu'ils avaient la place principale
et qu'en raison de cette place, son comportement
était bien différent de ceux qui le
persécutaient.
La Parole de Dieu a-t-elle autant de place en
nous ?
Est-ce que je l'emmène partout avec
moi ?
Est-ce qu'elle me suit dans chacun de mes
déplacements, c'est-à-dire :
Reste-t-elle celle qui
dictera ma conduite même lorsque je serai
loin de mon entourage familial ou
chrétien ?
"J'ai toujours ta Parole avec moi" pouvait dire le
Psalmiste. "C'est elle, et elle seule qui a
autorité dans ma vie ! "
S'il en est ainsi pour moi, c'est donc en
écoutant son conseil que je ferai ou ne
ferai pas telle chose, que je me joindrai ou ne me
joindrai pas à telle compagnie.
Il va de soi que si nous n'avons pas pris
l'habitude de la respecter à la maison, si
nous négligeons certaines recommandations,
certaines exhortations, jamais nous ne pourrons
prétendre que nous l'avons toujours avec
nous, en nous !
Certes nous aurons, comme bien des gens du monde,
certains traits du caractère
chrétien, certaines attitudes morales, mais
qui ne seront jamais suffisants pour
démontrer que nous aimons Dieu comme il
désire que nous l'aimions :
"Celui
qui a mes commandements et qui les
garde, c'est celui qui
m'aime..." (Jean 14: 21) ; "Celui qui ne m'aime pas
ne
garde point mes paroles." Jean 14: 24
Deux comportements décrits par le Fils de
Dieu, deux comportements qui sont opposés
l'un à l'autre et qui dépeignent le
coeur de l'homme. Seul le premier permet de
constater qu'il marche bien dans la voie sainte,
cette voie où nul impur ne peut passer
(Esaïe 35: 8).
C'est donc parce que les commandements de Dieu sont
dans le coeur, que la conduite d'un homme est
différente de celui qui n'a pas
(suffisamment) la crainte de l'Éternel.
Vais-je agir en insensé en bravant le Roi
des rois, en m'opposant sciemment à sa
Parole sous prétexte qu'elle m'empêche
de satisfaire les besoins d'une vieille nature qui
réclame toujours sa part ?
Non ! Et je prie que Dieu, dans sa
grâce, m'interpelle chaque fois que j'aurai
la mauvaise idée de me détourner de
sa Parole ! Qu'il le fasse aussi chaque fois
que je serai tenté de la détourner,
d'en changer le sens pour excuser ma conduite.
Par son comportement, l'auteur du Psaume 119 nous
montre qu'il tient à cette Parole et que
c'est grâce à elle qu'il peut affirmer
(v.99 &100) :
Ce n'est point de la
vantardise ! C'est un constat ! C'est la
vérité ! C'est aussi ce que nous
devrions tous et toutes dire !
L'apôtre Paul ne s'attend-il pas à ce
que les enfants de Dieu grandissent dans la foi et
dans la connaissance du Seigneur
Jésus : "Croissez dans la grâce et
dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur
Jésus-Christ"
(2 Pierre 3: 18) ?
Aussi s'étonne-t-il de ce que certains en
soient encore restés au biberon !
Qu'ils aient toujours besoin de lait spirituel
alors qu'ils devraient être des
maîtres, des personnes exercées dans
la compréhension des Écritures.
(Hébreux 5: 12)
Un chrétien adulte dans la foi n'a pas
besoin de revenir sans cesse au fondement
établi une fois pour toute (Hébreux 5: 12) et de s'interroger toujours sur les
mêmes questions.
Cette instruction et cette intelligence dont nous
parle le Psalmiste, dépendent
essentiellement de l'étude que nous ferons
ou ne ferons pas de l'Écriture, de sa mise
en pratique ou non !
Je me répète, c'est vrai ! Mais
ces répétitions sont aussi
indispensables que celles que l'on retrouve dans
l'Écriture !
Ce sont simplement des rappels qui mettent en
valeur le commandement et qui vont nous permettre
de nous en souvenir chaque fois que le tentateur
insinuera que tel ou tel objet de l'Écriture
n'est pas bien important (v.99 &100) !
Voilà la formule qu'il
me faut absolument apprendre par coeur quoique je
vive sous la grâce de Dieu.
En effet, nulle part dans le Nouveau Testament je
ne peux trouver un seul texte qui puisse m'exempter
de cette façon de procéder !
Au contraire l'amour que j'ai pour Dieu doit me
pousser à mieux chercher le fond de sa
pensée dans les Écritures. L'amour
que je dis avoir pour lui devant aussi se
démontrer par l'obéissance à
ses saints commandements.
Comment pourrais-je prétendre l'aimer si je
me détourne de lui chaque fois qu'il
m'appelle à respecter tel ou tel point des
Écritures ?
À moi donc de réfléchir
à ce que dit l'Écriture et
pourquoi elle le dit !
À moi de prier afin que tout ce qui me
freine pour mettre en pratique ce qu'elle
m'enseigne soit retiré de mon chemin pour
que je puisse courir avec
persévérance jusqu'au bout de ma
carrière terrestre et que je reçoive
la "couronne de justice" ! Cette même
couronne qui fut réservée pour
l'apôtre Paul, cette même couronne qui
est mise de côté pour tous ceux et
toutes celles qui ont combattu le bon combat et qui
vivent dans l'attente du retour du Seigneur
(2 Timothée 4: 7-8).
Ce "bon combat" existe et il commence d'abord par
une bonne conduite qui ne supporte pas des
écarts volontaires !
S'il est vrai qu'un accident est vite
arrivé, que chacun peut trébucher
dans le chemin qui conduit à la vie
éternelle, surtout lorsqu'il détourne
la tête de l'objectif à atteindre,
nous savons aussi que : "si quelqu'un a
péché, nous avons un avocat
auprès du Père, Jésus-Christ
le juste." (1 Jean 2: 1)
Étant invités à ne plus
pécher, nous péchons
encore souvent par inadvertance !
En dehors de ces "accidents" de parcours quasi
inévitables (Si nous disons que nous n'avons
pas péché, nous faisons Dieu menteur
- 1 Jean 1: 10), il y a une règle de conduite
à suivre à laquelle personne ne peut
échapper s'il veut progresser dans la foi et
dans la sainteté (v. 101a) :
C'est le B.A. BA de toute
vie consacrée au
Seigneur !
On ne va quand même pas se jeter
volontairement dans la gueule du loup !
On ne va pas faire exprès d'aller sur le
terrain de l'ennemi !
On ne va pas se mettre de plein gré dans des
chemins où le Seigneur ne nous accompagnera
JAMAIS !
Boirais-tu volontairement un poison violent pour
t'assurer une bonne santé ? Non !
Alors retiens ton pied, empêche-le d'aller
dans un chemin mauvais !
L'auteur du Psaume 119 nous montre bien qu'il a de
la sagesse, cette sagesse que seul le Saint-Esprit
peut donner. Il est conscient que toute marche en dehors du chemin
étroit l'éloignera de la Parole de
Dieu !
Certains penseront peut-être que c'est
exagérer, que l'on peut fort bien savoir se
tenir en compagnie du monde et garder dans notre
coeur la Parole de Dieu.
C'est exactement le raisonnement de ceux qui n'ont
point de sagesse !
C'est faux !
Archifaux de croire que l'on peut garder avec soi
les commandements de Dieu comme le fait le
Psalmiste ! (Psaume 119: 98)
C'est faux, car le
premier pas fait volontairement, dans un chemin autre que celui
tracé par Jésus, est déjà un acte de
désobéissance !
Qui oserait dire au Juge suprême
qu'après s'être engagé dans la
mauvaise voie, il va être vigilant pour
veiller sur sa conduite et marcher dans
l'obéissance !
N'est-ce pas un non-sens que prétendre que
l'on va se garder alors que déjà nous
avons fait le choix de
désobéir ?
L'obéissance ne consiste pas à se
préserver des souillures du monde dans le
chemin de la désobéissance, mais
l'obéissance
première eut été de ne JAMAIS
quitter le chemin étroit. Quant à la "seconde
obéissance", elle consiste à revenir
dans ce chemin étroit et non à
s'enfoncer plus loin en priant d'être
gardé par le Seigneur !
Heureux
l'homme qui ne marche pas selon le conseil des
méchants, Qui ne s'arrête pas sur la
voie des pécheurs, Et qui ne s'assied pas en
compagnie des moqueurs, Mais qui trouve son plaisir
dans la loi de l'Éternel, Et qui la
médite jour et nuit ! Psaume 1: 1-2 (v. L. S)
... nous
vivions autrefois selon les convoitises de notre
chair, accomplissant les volontés de la
chair et de nos pensées, et nous
étions par nature des enfants de
colère, comme les autres...
... nous qui étions morts par nos offenses,
(Dieu) nous a rendus à la vie avec Christ...
Éphésiens 2: 3 et
suivants (v. L. S)
L'auteur du Psaume 119 précise bien
pourquoi il ne veut
pas s'engager dans un chemin autre que celui du
Seigneur.
Il n'a qu'un seul argument à faire valoir,
mais quel argument ! Quel témoignage
puissant qui prouve bien que Dieu a la place
centrale dans son coeur et qu'il est
déterminé à ce que rien ni
personne ne le détrône !
Puissions-nous toujours avoir la même
attitude, la même détermination que
lui, le même engagement afin de montrer que
Christ est véritablement notre VIE
(v. 101) !
S'il n'y a qu'un seul chemin
qui conduise à la Vie éternelle, il
va de soi que les autres mènent tous
à la perdition !
Alors... franchement ! Allons-nous nous
engager volontairement dans un autre chemin ?
Ce serait du suicide !
Allons-nous nous laisser séduire par des
gens du monde qui, sous prétexte
d'entretenir de bonnes relations de voisinage, vont
nous mener par le bout du nez, vont nous aveugler
par leur gentillesse et nous faire
préférer leur compagnie à
celle des croyants ? Des croyants pas toujours
fraternels, il faut bien le dire !
Mon fils,
si des pécheurs veulent te séduire,
Ne te laisse pas gagner. Proverbes 1: 10 (v. L. S)
Examinez ce qui est agréable au
Seigneur ; et ne prenez point part aux oeuvres
infructueuses des ténèbres, mais
plutôt condamnez-les. Éphésiens 5:
10-11
(v. L. S)
Si nous avons
été mis au bénéfice de
l'oeuvre de la Croix, nous
l'avons été par grâce sans
qu'il ne nous en ai rien coûté. Si
nous avons changé de père en devenant
"enfant de Dieu" au lieu d'être des "enfants
de colère comme les autres",
conduisons-nous
donc d'une manière digne afin d'être
agréables au Seigneur (Colossiens 1: 10).
Pour ce faire, quoi de mieux que de retenir ces
trois pensées qui, mises en pratique,
parleront bien plus fort que tous nos beaux
discours :
- Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin,
afin de garder ta parole. (v. 101)
- Je ne m'écarte pas de tes lois, Car c'est
toi qui m'enseignes. (v. 102)
- Je hais toute voie de mensonge. (v. 104)
Seigneur Jésus,
tu as accompli en ma faveur ce que personne
n'aurait jamais pu faire pour me sauver de la
perdition éternelle. Je suis conscient que
tu as donné ta vie pour moi afin que je
puisse m'engager dans le chemin qui me conduira
jusqu'à la vie éternelle.
C'est un don que je ne
veux pas mépriser, aussi je réclame ton secours
afin de tenir ferme dans la foi.
Je te supplie de me rendre toujours plus sensible
à ton Saint-Esprit afin que je ne me
détourne jamais de TA Parole pour courir
dans les chemins du monde. "Tu veux que la
vérité soit au fond du coeur :
Fais donc pénétrer la sagesse au
dedans de moi !"(Psaume 51: 6) C'est ma
prière. Amen !
Qu'il en soit toujours ainsi afin que je sache où je mets les pieds !