À
celui qui est ferme dans ses sentiments Tu assures
la paix, la paix, Parce qu'il se confie en toi.
Esaïe 26: 3 (v. L. S)
En relisant ce texte, je me souviens des
périodes où mon coeur était
angoissé parce que la crainte me dominait.
Pour en être arrivé dans un pareil
état de délabrement, il faut croire
que ma foi n'avait certainement pas la grosseur
d'un grain de sénevé et qu'en raison
de cet état, je suis passé à
côté de bénédictions que
Dieu avait préparées à mon
intention, des bénédictions conformes
à l'Écriture !
Fort heureusement, les expériences du
passé n'ont été
négatives que par rapport au temps
perdu ! Ce temps où Dieu ne pouvait rien construire de
stable dans une vie qui était
ballottée de tous
côtés,
une vie sensible à toutes les pensées
que le prince des ténèbres pouvait
avancer pour déstabiliser l'enfant de Dieu
passant dans la tourmente de l'épreuve.
Certes ! Il est facile d'incriminer
l'adversaire de nos âmes ! Facile de
tout lui mettre sur le dos et de lui faire porter
la responsabilité de nos
échecs ! Facile d'accuser l'accusateur
alors qu'il ne peut
faire que ce que nous lui permettons de faire dans
notre vie.
Combien de fois n'avons-nous pas été
responsables des destructions qu'il a pu faire dans
nos vies, simplement parce que nous avons
prêté une oreille attentive à
ses discours au lieu d'écouter la voix de
notre Sauveur qui a donné la victoire
à tous ceux et toutes celles qui se confient
en lui ?
Grâces soient rendues
à Dieu, qui nous donne la victoire par
notre Seigneur
Jésus-Christ ! 1 Corinthiens 15: 57 (v. L. S)
Grâces soient rendues à Dieu,
qui
nous fait toujours triompher en
Christ... 2 Corinthiens 2: 14 (v. L. S)
Sachant qu'il est
impossible que Dieu mente (Hébreux 6: 18), comment se
fait-il que son enfant - le racheté que nous
sommes si nous avons accepté Jésus
comme Sauveur et Seigneur - puisse (parfois)
être bousculé dans son assurance et
devenir indécis quand il doit choisir entre
ce que Dieu a dit, ce qu'il a promis et les
pensées négatives qui viennent semer
le trouble dans un esprit complètement
désorienté par
l'épreuve de la foi ?
Reprenons notre texte de départ dans
une autre version afin de mieux réaliser que
notre foi n'aura de la valeur et ne portera du
fruit, que si sa progression n'est pas en dents de
scie.
Au
coeur constant tu assures la paix, la paix, parce
qu'il se confie en toi. Esaïe 26: 3 (v. Bible
annotée)
C'est donc notre
constance, notre fermeté, notre
persévérance, notre obstination
à rester attachés, coûte que
coûte, aux diverses promesses du Seigneur,
qui fait la différence et qui permet
à notre Père céleste de nous
donner la victoire en Christ !
Nos doutes nous "condamnent", non seulement
à ne rien recevoir de Dieu, mais à
nous tourner vers les hommes afin que nous
puissions avoir au moins quelque chose qui nous
rassure un temps !
Celui qui
doute est semblable au flot de la mer, agité
par le vent et poussé de côté
et d'autre. Qu'un tel homme ne s'imagine pas qu'il
recevra quelque chose du Seigneur : c'est un
homme irrésolu, inconstant dans toutes ses
voies. Jacques 1: 6-8 (v. L. S)
L'épreuve
étant indissociable de la vie
chrétienne,
nous devons nous faire une raison et ne plus
paniquer lorsqu'elle se représentera sous
une autre forme ! Le Seigneur a promis les
épreuves et, au minimum, son soutien dans
l'épreuve !
Notre espérance dans les promesses de Dieu
DOIT donc être comme une ancre qui nous
permettra de rester ferme dans nos sentiments au
lieu d'être ballottés de tous
côtés.
En raison de l'oeuvre accomplie par le Seigneur
Jésus à la Croix, nous avons, pour
ainsi dire, bien plus de garanties de recevoir la
paix dans nos afflictions qu'en avait l'auteur du
Psaume 119 qui vivait principalement sous la
Loi.
S'il a pu être ferme dans ses sentiments sans
avoir Christ en lui, combien plus nous pouvons
être rassurés par sa présence
et dire à notre tour (v. 114) :
C'est avec cette
vérité que nous allons entrer dans le
paragraphe de la lettre "Samek", une
vérité qu'il est facile d'exprimer
quand tout va bien, mais qu'il est plus difficile
de vivre lorsque l'adversaire de nos âmes ne
cesse de nous harceler en démontrant,
preuves à
l'appui, que notre
foi en Dieu pourrait bien être
déçue comme l'a été
celle de nombreuses personnes.
Mais, ce qu'il oublie de dire, c'est que ces gens
ne sont pas allés jusqu'au bout de leur foi,
c'est qu'ils n'ont pas
persévéré dans les promesses
de Dieu !
Eh
quoi ! si quelques-uns n'ont pas cru,
leur
incrédulité anéantira-t-elle
la fidélité de
Dieu ? Romains 3: 3 (v. L. S)
... la parole qui leur fut annoncée ne leur
servit de rien, parce qu'elle ne trouva pas de la
foi chez ceux qui l'entendirent. Hébreux 4: 2 (v. L. S)
Que dans les épreuves nous sachions et que
je sache aussi toujours crier : "Au secours
Seigneur - je crois ! viens au secours de
mon incrédulité !" (Marc 9: 24) Que cet aveu de foi en la Parole de
Dieu nous conduise aussi à reconnaître
la faiblesse de notre chair qui tremble à
l'idée de perdre le contrôle de la
situation.
"Tu es
mon asile et mon bouclier ; j'espère en
ta promesse."
C'est
intentionnellement que j'ai commencé par le
verset 114 et non
le 113 afin
que nous réfléchissions d'abord sur
notre conduite par rapport à la Parole de
Dieu. En effet, je crains bien que nous ayons tous
eu des moments de faiblesse où le bouclier
de la foi était trop lourd à porter,
si lourd qu'il fut déposé sur le
bas-côté de la route pendant quelques
instants, pendant quelques jours, quelques mois, si
ce n'est depuis longtemps !
Sans protection, sans ce bouclier de la foi, il
paraît peu probable que l'on puisse atteindre
l'asile protecteur de Dieu, cette forteresse
inébranlable où les pèlerins
reçoivent la récompense de... leur
foi.
Reprenons-nous ! Reprenons ce bouclier !
Désirons ardemment le
récupérer si nous l'avons
laissé tomber. C'est alors que le Seigneur
agira pour que nous puissions retrouver du
goût à marcher en lui faisant
confiance.
En songeant au passé, je peux me rendre
compte que si je suis encore vivant aujourd'hui
quant à la foi, c'est que j'ai
bénéficié d'une patience et
d'un amour infini de mon Sauveur qui n'a pas permis
que l'ennemi m'achève lorsque je suis
tombé dans le doute..., lorsque nous sommes
tombés dans le doute comme bien d'autres
avant nous !
Certainement restait-il encore quelques fils
ténus qui nous reliaient à peine au
Seigneur ! Un minimum qui lui permettait
néanmoins de constater qu'il pouvait encore
rallumer les lumignons fumants que nous
étions devenus en raison de notre manque de
foi.
- "Pourquoi avez-vous peur, gens de
peu de foi ?"
(Matthieu 8: 26 ; 16:8 ; Luc 12: 28) pouvait dire Jésus à
ses disciples.
- "Homme
de peu de foi, pourquoi as-tu
douté ?"
(Matthieu 14: 31)
Dans chacun de ces cas, les remontrances du Seigneur n'ont pas
mis un terme à ses relations avec eux, au
contraire ! Il
continua à les enseigner, les invitant
toujours à avoir foi en Dieu et en
lui !
Étant toujours le même,
hier comme
aujourd'hui, il veut
encore nous encourager comme il a encouragé
ceux qui marchait avec lui. Ses promesses restant
les mêmes, il nous les propose toujours,
même si dans le passé nous avons
été des "gens de peu de
foi" !
Nos échecs, semblables à ceux des
disciples, loin d'être des pierres
d'achoppement pour notre marche dans la foi,
peuvent donc nous propulser en avant si nous savons
en retenir les enseignements.
Espère en
l'Éternel ! Fortifie-toi et que ton
coeur s'affermisse ! Espère en
l'Éternel ! Psaume 27: 14 (v. L. S)
Voilà ce que nous
aurions dû nous dire à l'époque
de nos tremblements et voilà ce que nous nous dirons
la prochaine fois, si nous avons compris la
leçon de nos échecs !
Le Seigneur veut nous fortifier dans notre foi,
mais c'est d'abord à nous de puiser dans la
réserve de ses promesses, d'y croire de tout
notre coeur même si nous devons souffrir
pendant un temps.
C'est d'abord à
nous de nous fortifier :
-
"Fortifiez donc vos mains languissantes et vos
genoux affaiblis ; et suivez avec vos pieds
des voies droites" Hébreux 12: 12-13 (v. L. S)
- "Fortifiez-vous, et ne laissez pas vos mains
s'affaiblir, car il y aura un salaire pour vos
oeuvres." 2 Chroniques 15: 7 (v. L. S)
- "Veillez, demeurez fermes dans la foi, soyez des
hommes, fortifiez-vous." 1 Corinthiens 16: 13 (v. L. S)
Ensuite,
après nous être fortifiés
nous-mêmes en nous nourrissant de la Parole
de Dieu, en la prenant pour appui, c'est notre Père céleste
qui nous fortifiera ! Il le fera APRÈS que nous
ayons souffert un peu de temps !
Le Dieu
de toute grâce, qui vous a appelés en
Jésus-Christ à sa gloire
éternelle, après que vous aurez
souffert un peu de temps, vous perfectionnera lui-même, vous
affermira, vous fortifiera, vous rendra
inébranlables. 1 Pierre 5: 10
En résumé, si nous sommes capables de
tenir fermes dans la foi, nous avons le droit de
nous attendre, APRÈS un certain temps de mise
à l'épreuve, à être merveilleusement
soutenus par le Seigneur qui, rappelons-le, nous
perfectionnera, nous affermira, nous fortifiera,
nous rendra INÉBRANLABLES !
Cette ligne de conduite, dépeinte par
l'apôtre, ne fait que mettre en
évidence la marche glorieuse du croyant qui
avance par la foi, ce croyant qui ne doute pas un
seul instant que Dieu puisse lui faire faux-bond,
c'est-à-dire qu'il puisse agir d'une
façon différente que celle qu'il a
promise.
Nos hésitations à faire confiance
à la Parole du Seigneur risqueraient bien de
démontrer que notre foi en lui a des limites
à ne pas dépasser, des limites qui
prouvent que le terrain de notre coeur a
été ensemencé par des doutes
qui ont pour propriété de faire
balancer notre coeur entre deux options : "
Dieu a-t-il réellement dit... ? "
(Genèse 3: 1).
Assis entre deux chaises, ne sachant plus si nous
devons prendre Dieu au mot ou bien agir selon
d'autres pensées qui sont venues nous
perturber, nous voici placés dans une
catégorie que notre Psalmiste déteste
(v. 113) :
N'allons pas le critiquer
pour son franc parlé et n'utilisons pas
son langage pour mettre en évidence ceux et
celles qui sont torturés par le doute, ceux
et celles qui voudraient bien croire mais qui
hésitent.
Remémorons-nous plutôt ces temps
où nous n'arrivions pas à nous
décider, ces temps où nous aurions
bien voulu croire, mais où nous nous sommes
méfiés de Dieu, ce temps où
nous avons pu imaginer ce qu'il pourrait bien
arriver si Dieu ne répondait pas : "
Dieu a-t-il réellement dit... ? ", Dieu
est-il vraiment toujours le même ? Les
temps n'ont-ils pas changé ?
Quelle peste que ce doute !
Quel pourrait bien être le contrepoison qui
puisse nous immuniser contre lui, afin que son
pouvoir destructeur ne nous atteigne plus et que
l'incrédulité, toujours plus
galopante en ces temps de la fin, ne vienne plus
nous voiler les glorieuses promesses du
Seigneur ?
Bien sûr, nous allons répondre la
foi !
Mais comment alimenter cette foi pour qu'elle
subsiste en tout temps ?
... la
foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend
vient de la parole de Christ. Romains 10: 17 (v. L. S)
Jésus lui dit : Ne t'ai-je pas
dit
que, si tu crois, tu verras la gloire de
Dieu ? Jean 11: 40 (v. L. S)
Si tu
crois...
Le Psalmiste avait entendu la Parole de Dieu,
il croyait à ce
qu'elle disait et
c'est pour cette raison qu'il ne supportait pas les
douteurs qui, en raison de leurs doutes, ne
pouvaient pas aimer ce qui sortait de la bouche de
Dieu (v.113) :
Ainsi, à mon tour je
dois haïr ! Mais je dois haïr la
personne indécise que j'étais !
Je dois détester cette vieille nature qui
m'a fait grandir dans un monde sans Dieu, cette
vieille nature toujours sensible à ce qui
déplaît au Seigneur.
Pour bien lui montrer mon dégoût
à cette vieille nature, je veux aimer la loi
de Dieu comme le Psalmiste l'aimait et
démontrer que cet amour est bien réel
car il m'engagera à placer une totale
confiance en ce qui est écrit.
Encore une fois cet engagement de la bouche, cet
engagement du coeur, sera consolidé par une
conduite qui ne laissera aucun doute quant à
mon appartenance comme l'auteur du psaume 119 l'a
clairement exprimé (v. 115) :
Une détermination qui
révèle :
1) Qu'il y a une
connaissance entre le bien et le
mal, entre ceux qui
servent Dieu et ceux qui ne servent pas,
2) Ensuite, qu'il y a une volonté de ne pas se
laisser influencer par des gens qui minimiseraient
la valeur des enseignements divins.
Loin d'être un conseil pour les temps
anciens, nous retrouvons la même
pensée dans le Nouveau Testament lorsque
l'apôtre Paul avertit les
Corinthiens :
Ne vous
mettez pas avec les infidèles sous un joug
étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la
justice et l'iniquité ? ou qu'y a-t-il
de commun entre la lumière et les
ténèbres ? " 2 Corinthiens 6: 14 (v. L. S)
Le joug étranger, il va de soi, ne nous
permet pas de marcher sous celui de Christ, car on
ne peut pas faire partie de deux "attelages"
différents, de deux "attelages" qui vont
dans des directions opposées.
Ce joug que le Seigneur Jésus nous propose
(Matthieu 11: 29), une
fois mis en place,
une fois SA volonté acceptée, nous
permettra de recevoir
les instructions de
celui qui a promis d'être avec nous tous les
jours jusqu'à la fin du monde.
Porter le joug de Christ est donc la condition
indispensable pour savoir ce qu'il conviendra de
faire dans telle ou telle situation.
Désormais, il apparaît clairement que
les éventuels attachements que nous
pourrions encore avoir avec le monde, ceux que nous
ne voulons pas lâcher, sont amplement
suffisants pour jeter le trouble dans nos
coeurs.
Déjà que nous avons bien de la peine
à nous soumettre à la volonté
de l'Esprit, lorsque la chair réclame sa
part, "la
chair a des désirs contraires à ceux
de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires
à ceux de la chair... (Galates 5: 17), combien plus il nous sera difficile
d'avoir une position juste si nous nous sommes
placés sous un joug
étranger !
Mais nous ne voulons pas insister sur ce dernier
comportement sachant que ceux qui veulent marcher
avec Christ sauront être fermes :
"Éloignez-vous de moi,
méchants, Afin que j'observe les
commandements de mon Dieu !". (v. 115)
"Le juste néanmoins demeure ferme dans sa
voie, Celui qui a les mains pures se fortifie de
plus en plus" Job 17: 9 (v. L. S)
"... que le juste pratique encore la justice, et
que celui qui est saint se sanctifie encore"
Apocalypse 22: 11 (v. L. S)
Pour les autres... !
S'ils ne veulent pas se laisser avertir, ils en
porteront eux-mêmes les
conséquences :
- "Leur
coeur est partagé : ils vont en porter
la peine" Osée 10: 2 (v. L. S)
- "si celui qui entend le son de la trompette ne se
laisse pas avertir... son sang sera sur sa
tête" Ézéchiel 33:
4 (v.
L. S)
Puisque c'est la
Parole de Dieu qui est une lumière sur notre
sentier (Psaume 119: 105), sachons discerner chacun de ces
deux chemins qui viennent d'être
présentés et choisir celui qui
conduit à la Vie éternelle.
Rien de telle qu'une bonne connaissance des
Écritures pour être convaincu d'aller
dans une direction plutôt que dans une autre,
rien de telle que de mettre en avant les promesses
de Dieu pour réclamer ce qu'il a promis
(V. 116) !
Dieu pourrait-il me couvrir
de honte parce que j'ai placé ma confiance
en lui ?
N'est-ce pas moi qui devrais rougir lorsque je
prétends lui avoir donné ma vie et
que j'en garde le contrôle afin d'avoir
quelques sécurités palpables?
Ils
criaient à toi, et ils étaient
sauvés ; Ils se confiaient en toi,
et ils
n'étaient point confus. Psaume 22: 5 (v. L. S)
Celui qui
croit en lui ne sera point confus. Romains 9: 33: 10:11 (v. L. S)
- En prenant appui sur de tels
témoignages,
- En me rappelant des paroles du Seigneur qui
disait qu'il ne fallait pas s'inquiéter,
- En me souvenant de mes temps d'incertitudes qui
n'apportaient que du mécontentement,
- En repensant à toutes les fois où
ma foi n'a pas été à la
hauteur et que j'étais plus enclin à
murmurer qu'à prier...
... Je dois pouvoir maintenant repartir d'un bon
pied et aller de l'avant avec une foi ferme au
moins équivalente à celle de l'auteur
du psaume 119 qui n'a jamais cessé
d'espérer en Dieu, même aux plus
sombres moments de sa vie.
Écoutons notre bien-aimé Seigneur,
pensons à notre Dieu qui a tant aimé
le monde..., qui nous a tant
aimés !
- Pourquoi vous inquiétez-vous
au sujet....
(Matthieu 6: 28)
- Ne vous
inquiétez donc point, et ne dites pas :
Que mangerons-nous ? que boirons-nous ?
de quoi serons-nous vêtus ? (Matthieu 6: 31)
- Ne vous
inquiétez donc pas du
lendemain...
(Matthieu 6: 34)
L'inquiétude, le manque de foi peut nous
conduire à prendre des décisions qui,
par la suite, pourront être des points sur
lesquels Satan pourra revenir pour nous
déstabiliser.
N'écoutons plus ses suggestions, soyons des
hommes et des femmes de foi qui sondent les
Écritures afin d'y trouver les
réponses à nos problèmes.
L'inquiétude dans le coeur
de l'homme l'abat, Mais une bonne parole le
réjouit. Proverbes 12: 25 (v. L. S)
Quoi de mieux que la
bonne Parole du Seigneur qui m'aime, même
lorsqu'il me corrige, lorsqu'il me reprend?
"Seigneur, à qui irions-nous?
Tu as les paroles de la vie
éternelle."
Jean 6: 68
(v. L. S)