Tout ce que vous demanderez en mon nom
(au nom de
Jésus), je le ferai, afin que le
Père soit glorifié dans le Fils.
Jean 14: 13 (v. L. S)
En
vérité, en vérité, je
vous le dis, ce que vous demanderez au
Père, il vous le donnera en mon nom
(au nom de
Jésus). Jean 16: 23 (v. L. S)
Derrière cette
parole du Seigneur Jésus, mise en pratique
par une multitude de chrétiens, se cachent
de nombreuses
déceptions qui servent la cause de
l'adversaire de nos âmes !
Combien de prières non exaucées
n'ont-elles pas été utilisées
par Satan, le prince des ténèbres,
pour rappeler à tort, mais aussi à
raison, que Dieu reste souverain et que, dans cette
souveraineté, il exaucerait simplement selon
son bon plaisir ?
À
tort, parce que c'est
trop souvent une
excuse servant à maquiller certaines
vérités difficiles à
reconnaître,
telles que les manques de foi ou de
persévérance de la part de celui qui
s'adresse au Seigneur !
À
raison, parce qu'il
est Dieu et qu'il est le seul à savoir que
la même action, venant de sa part, pourrait
avoir des effets
différents selon les
individus. Sa
souveraineté fait donc qu'il peut accorder
à l'un ce qu'il refusera à l'autre,
afin d'agir pour le bien de chacun.
De déception en déception, plusieurs
ont fini par croire que certaines bontés du
Seigneur ne leur étaient pas
destinées.
D'autres ont simplement pensé que, les
siècles passants, Dieu n'avait plus besoin
de manifester sa gloire comme dans les temps
apostoliques. Des temps où le paganisme
était tellement répandu, qu'il
fallait bien des oeuvres extraordinaires pour que
l'on prête attention qu'il n'y avait qu'un
seul Dieu vivant.
Mais... sérieusement ne sommes-nous pas dans
des temps identiques ?
Ne sommes-nous pas entourés d'une foule de
non-croyants, ou du moins de personnes qui
acceptent tout, qui croient en tout et en n'importe
quoi, sauf dans ce que le Dieu de la Bible a
dit ?
Alors..., les temps étant semblables
à ceux du passé, Jésus-Christ
étant le même "hier, aujourd'hui et
éternellement"
(Hébreux 13: 8), nos déceptions ne peuvent
donc pas être causées par
l'infidélité de Dieu, une
infidélité qui serait contraire
à sa Parole !
- Dieu
est fidèle !
1 Corinthiens 1: 9 .
- Aussi
vrai que Dieu est
fidèle...
2 Corinthiens 1: 18.
- Ce
Dieu fidèle garde son alliance et
sa miséricorde jusqu'à la millième
génération envers ceux qui
l'aiment et qui observent ses
commandements
Deutéronome 7:9.
En raison de sa fidélité, nous devons
donc regarder ailleurs afin de trouver les causes
qui l'empêchent d'agir dans notre vie
comme il l'a
promis.
Comme nous le faisons
régulièrement, nous allons ouvrir le
psaume 119, ce psaume qui a le mérite de
nous encourager afin que nous ayons de
l'intérêt pour la Parole de Dieu,
cette Parole qui, aujourd'hui encore, est
"une
lampe à nos pieds et une lumière sur
notre sentier"
(v. 105).
Si nous avons été attentifs au
parcours du Psalmiste, nous n'avons pas
manqué de relever, qu'à de nombreuses
reprises, il a mis en
avant ce que Dieu a dit : "TA PROMESSE".
Ce n'est pas par insolence qu'il a osé
rappeler à l'Éternel ce qu'il avait
promis ! Nous
n'entendons aucun reproche dans la bouche de celui
qui attend
patiemment la
concrétisation de la foi qu'il a
placée dans son Seigneur.
Nous ne percevons pas
plus un soupçon de doute.
Nous découvrons plutôt une foi qui ne
cesse de rappeler que ce que Dieu a dit est
immuable et qu'en
conséquence, il peut (nous pouvons) avoir la
ferme assurance que CE QUE DIEU A DIT NE MANQUERA
PAS DE S'ACCOMPLIR !
Résistons donc à la pression du
doute, gardons la foi dans tout ce qui a
été écrit comme le Psalmiste
l'a fait (v. 116) :
Comme lui, nous avons le
droit de rappeler le contenu des Écritures
dans nos prières. Nous avons le droit de rappeler la Parole
même du Seigneur Jésus qui s'est
engagé
à accomplir ce qui serait demandé en
son nom.
Jésus étant toujours le même,
il va de soi qu'il ne
peut pas agir d'une manière
différente de celle qu'il avait lorsqu'il
marchait sur la Terre.
Ne guérissait-il pas TOUS les malades ?
N'avait-il pas une parole de réconfort,
d'encouragement, n'avait-il pas un conseil pour
chacun ?
Il nous serait bien difficile de trouver une seule
personne dans le Nouveau Testament qui, au jour du
jugement, puisse accuser Jésus de ne pas
l'avoir entendu. Oserions-nous être les
premiers à l'accuser d'un manquement
à sa Parole ? Espérons que
non !
Loin de
là ! Que Dieu, au contraire, soit
reconnu pour vrai, et tout homme pour
menteur, selon qu'il est
écrit : Afin que tu sois trouvé
juste dans tes paroles, Et que tu triomphes
lorsqu'on te juge. (Juger Dieu !!!) Romains 3: 4 (v. L. S)
En vérité, Jésus tient encore
sa Parole maintenant comme il la tenait
autrefois !
Il tient aussi son
témoignage et
ne saurait
adhérer aujourd'hui à ce qu'il
condamnait hier ! De ce côté-là, il
est aussi "le même hier, aujourd'hui et
éternellement !"
Toujours prêt à aller vers les
pécheurs, les gens de mauvaise vie pour les
sauver et non pour participer à leurs
mauvaises oeuvres ou pour les cautionner par sa
simple présence !
Sachant cela, nous
pouvons déjà donner un grand coup de
balai dans les prières non exaucées
en éliminant toutes celles qui sont en nette
opposition avec ce que l'Écriture nous
enseigne, avec ce que Jésus a vécu.
Il est toujours le même, toujours aussi saint, toujours aussi
juste !
Notons encore qu'il y a des domaines dans lesquels
le Seigneur ne veut même pas entrer en
matière, c'est-à-dire qu'il ne
prêtera pas attention aux demandes des hommes
ou des femmes qui sont dans cette catégorie.
Un exemple :
Maître, dis à mon
frère de partager avec moi notre
héritage. Jésus lui
répondit : O homme, qui m'a
établi pour être votre juge, ou pour
faire vos partages ? Luc 12: 13-14 (v. L. S)
Combien de demandes, semblables à celle-ci,
sont-elles à classer dans les prières
non exaucées ? Des demandes où
l'intérêt
particulier
veut prévaloir, alors que
le Fils de Dieu n'a jamais cherché son
intérêt personnel : "Que personne ne
cherche son propre intérêt, mais que
chacun cherche celui d'autrui" (1 Corinthiens 10: 24)
Sachons encore que Jésus ne se compromettra JAMAIS
avec le péché ou avec toute action qui serait
susceptible de conduire quelqu'un dans le
péché !
Connaissant les motivations de chacun, les
pensées plus ou moins secrètes qui
poussent quelqu'un à prier, notre
bien-aimé Sauveur - qui nous aime comme
personne ne nous a jamais aimés - se garde
la liberté de ne pas répondre
favorablement à certaines prières
faites en son nom afin qu'un bienfait
inapproprié ne devienne une pierre
d'achoppement par la suite.
Les prières non
exaucées ne sont donc pas des
punitions et encore
moins la manifestation de sautes d'humeur du
Seigneur qui ne nous exaucerait plus comme il
l'avait fait auparavant.
Elles ne sont pas plus l'indication que nous sommes
désapprouvés parce que notre vie
n'est pas en ordre. (Quoique que ce dernier cas est
un motif suffisant pour retenir la main de
Dieu.)
Petite question :
Et si nos dernières prières
non
exaucées
étaient simplement en cours
d'exécution ? Si la "commande"
était en préparation, voire en
chemin, ne devrions-nous pas garder la foi,
attendre patiemment et prendre à notre
compte ce qui avait été dit à
Habakuk concernant une prophétie ?
Elle
marche vers son terme, et elle ne mentira
pas ; Si elle tarde, attends-la, Car elle
s'accomplira, elle s'accomplira certainement.
Habakuk 2: 3 (v. L. S)
Patience et persévérance sont des
alliées fidèles qui ouvrent la route
à l'exaucement des prières
lorsqu'elles sont faites au nom de Jésus,
c'est-à-dire, de celles qu'il pourrait faire
à notre place pour les mêmes
causes.
La maturité de notre foi, la justesse de nos
prières, toujours faites au nom de
Jésus, auront un tel impact que le Fils de
Dieu n'aurait pas besoin d'appuyer nos demandes
pour qu'elles soient exaucées.
Dans nos prières..., sommes-nous vraiment en
accord avec le Fils de Dieu au point qu'il nous
dise :
... vous demanderez en mon nom, et je ne vous dis pas que
moi je ferai des demandes au Père pour
vous... Jean 16: 26 (v. D)
Sommes-nous suffisamment mûrs, suffisamment
en Christ, suffisamment semblables à lui,
pour qu'il n'ait pas besoin de faire de demandes
à son Père en notre faveur ?
Sans vouloir retourner le couteau dans la plaie ni
tourner la page précipitamment sur un sujet
aussi brûlant que l'exaucement des
prières, allons plus en avant et revenons
à l'auteur du Psaume 119 qui sait exprimer la
nécessité absolue qu'il y a pour lui que Dieu
réponde à sa demande (v. 117) :
D'abord il exprime, une fois
de plus, son désir que l'Éternel, et
personne
d'autre, soit son
appui, son secours dans la
détresse !
En cela, il nous invite à faire le
même choix pour que nous ne nous placions pas
sous la malédiction de Dieu en choisissant
d'être secourus par les hommes plutôt
que par le Seigneur !
Ainsi
parle l'Éternel : Maudit soit l'homme
qui se confie dans l'homme, Qui prend la chair pour
son appui, Et qui détourne son coeur de
l'Éternel ! Jérémie 17:
5 (v.
L. S)
... dont le coeur se retire de
l'Éternel ! (autres versions)
Malheur,
dit l'Éternel, aux enfants rebelles, Qui
prennent des résolutions sans moi...
Esaïe 30: 1 (v. L. S)
Sans être extrémistes..., ne
sommes-nous pas sous la grâce ? Relevons
quand même que c'est bien ennuyeux de se
tourner vers les hommes sous prétexte que
Dieu ne semble pas avoir répondu à
notre attente !
Bien ennuyeux parce que l'ennemi de nos âmes
pourra toujours saisir cette opportunité
pour semer de nouveaux doutes dans notre coeur
chaque fois que nous voudrons faire un pas de
foi !
Bien ennuyeux aussi parce que nous allons nous
trouver dans une situation embarrassante face
à ceux et celles qui ont
expérimenté la délivrance
alors que nous sommes restés prisonniers de
notre problème.
Comment pourrions-nous, sans mentir, ajouter nos
voix à ceux qui témoignent ou qui
exhortent leurs semblables si notre confiance en
Dieu est mesurée ?
Approchons-nous donc
avec
assurance du trône de la grâce,
afin d'obtenir miséricorde et de trouver
grâce, pour être secourus dans nos
besoins. Hébreux 4: 16 (v. L. S)
Comme le Psalmiste, nous avons tout à gagner
à nous approcher de Dieu, à mettre
notre confiance en celui qui ne change pas, "chez
lequel il n'y a ni changement ni ombre de
variation." (Jacques 1: 17)
Il est très facile de dire que
"Dieu
peut", par contre
c'est une autre
affaire que d'empoigner les promesses du Seigneur
et d'y avoir foi au
point de ne pas s'en détourner. Il y a un
abîme profond entre la croyance et la
foi !
La
croyance : "Je
crois que Dieu peut faire...."
La
foi : " Je crois
que Dieu va faire..." ; "je crois que Dieu
fait...."
La foi du Psalmiste, quant à elle, se
démontre non seulement par les incessantes
demandes, mais aussi par le fait que, pour lui,
c'est une question de vie ou de mort !
(v. 117)
Il n'y a pas d'autres
alternatives : "Ou tu me sauves, ou je suis
perdu ! Ou tu interviens ou mon état va
empirer parce que ma foi sera amputée !
C'est pour moi une affaire d'Etat que tu sois mon
appui, mon espérance ! Seigneur, il est
capital pour moi que je puisse continuer à
m'appuyer sur ta Parole !"
Ceux qui ont eu l'occasion d'exercer leur
ministère en ne comptant que sur la
grâce de Dieu pour subvenir aux besoins de
leur famille, se sont souvent trouvés
à la croisée de deux chemins,
acculés à prendre de graves
décisions lorsque la farine et l'huile
étaient à leur plus bas niveau.
Fallait-il continuer
à placer sa confiance dans le Seigneur
ou prendre une
activité dans le monde de sa propre
initiative ?
Et l'ennemi, l'adversaire de nos âmes de
citer, une fois de plus, la Parole de
Dieu pour
détourner le serviteur de Dieu de son
chemin : "Si quelqu'un n'a pas soin des
siens, et principalement de ceux de sa famille, il
a renié la foi, et il est pire qu'un
infidèle"
(1 Timothée 5: 8), et d'ajouter encore :
"L'ouvrier mérite son
salaire" (Luc 10: 7), ou encore : "Dieu n'est pas
injuste, pour oublier votre travail..." (Hébreux 6: 10)
Parole de Dieu,
oui ! Mais paroles données dans le but
de troubler l'âme qui passe par
l'épreuve ! Ce n'est pas ainsi que
l'Écriture doit être utilisée,
ce n'est pas de cette manière que le
Saint-Esprit parle au coeur de l'homme. Ne tombons
pas dans les pièges d'un diable qui manipule
la Parole de Dieu !
Quand c'est une question de vie ou de mort,
plutôt que de se laisser aller en
écoutant n'importe quelle voix, il faut
"prendre le taureau par les cornes". Il faut
démontrer que ce que l'on demande, on le
désire absolument, d'abord parce que c'est
en accord avec la Parole de Dieu, ensuite parce
qu'une non-réponse pourrait être
catastrophique et salir le nom du Seigneur par un
témoignage désastreux, et enfin, tout
simplement parce qu'il n'y a pas d'autre solution
qui soit acceptable pour celui qui s'est
jeté dans les bras de son Père
céleste.
Mon Père
pourrait-il me repousser si je viens à lui
comme il me demande de le
faire ?
"Sois pour moi
celui que tu as promis
d'être ! C'est le cri de mon coeur lorsqu'il
est dans la détresse, lorsque je ne vois
plus ta main et que je crains de m'égarer
loin de tes commandements. C'est le cri de mon
coeur lorsque je m'attends à toi comme tu
demandes qu'on le fasse ! C'est le cri de ceux
et celles qui reconnaissent que leurs
destinées sont dans ta main (Psaume 31: 15) et qui veillent sur leurs pas,
sachant bien que tu n'exauceras pas les
pécheurs, ceux qui se détournent de
ta Parole."
En reprenant notre marche dans le Psaume 119, en
revenant au verset 117, nous
allons découvrir un 3e point qui,
ajouté aux deux premiers, pourrait bien
donner une réponse à certaines
prières non exaucées.
Revoyons notre
verset :
Jusque-là, nous pourrions presque dire que ce sont les intérêts personnels qui priment, mais en allant plus loin nous nous rendons vite compte que ce n'est pas le cas puisque le but avoué de cette demande est le point No 3 qui, aux yeux de Dieu pourrait bien devenir No 1 tant il peut réjouir son coeur :
Par cette dernière
portion du verset 117, nous venons de franchir une
étape importante puisqu'elle va
nous permettre de
revoir les motivations qui nous conduisent à
prier le Seigneur
pour qu'il intervienne dans nos vies.
Ce dernier trait de caractère
démontre l'intérêt que l'auteur
de ce Psaume avait pour les commandements de Dieu.
"Avoir toujours les yeux sur les statuts de Dieu",
selon d'autres traductions, est un argument qui ne
peut pas laisser insensible ni notre Père
céleste, ni son Fils, notre Seigneur
Jésus qui disait lui-même :
Ne
saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des
affaires de mon Père ? Luc 2 : 49 (v. L. S)
Qu'en est-il de mes priorités ?
Quel argument vais-je pouvoir avancer pour que Dieu
soit touché par ma prière ?
Est-ce que j'ai vraiment le désir de
m'occuper des affaires de mon Père
céleste ?
En admettant que ma prière soit
exaucée, que Dieu me relève de
maladies, qu'il me guérisse de certains maux
qui me handicapent, qu'il pourvoit avec
générosité à mes
besoins, qu'il me fasse le bien que je lui demande,
qu'est-ce que je vais
faire de ce bénéfice
immérité ?
"Pour que je m'occupe sans cesse de tes statuts",
que je travaille
à l'avancement du Royaume de Dieu ?
Ou pour que j'aie
simplement une meilleure condition de vie qui me
permettra de jouir encore un peu du temps qui reste
avant de partir dans
l'éternité ?
Les secrets de nos coeurs étant connus du
Seigneur, sans doute est-il
préférable que, dans certaines
occasions, il ne réponde pas à nos
demandes afin que ses bénédictions ne
deviennent pas des bienfaits qui servent de signes
d'accusation en raison de notre manque de
reconnaissance.
Pensons aux 10 lépreux qui furent tous
guéris ! Un seul a changé de vie
et a suivi Christ, les autres n'en n'ont pas
éprouvé le besoin.
Conséquence ? Un seul a entendu : "Ta foi t'a
sauvé !"
(Luc 17: 19) Quant aux autres...
Sois mon appui, pour
que je sois sauvé, Et que je m'occupe
sans
cesse de tes
statuts !
Puissions-nous toujours joindre notre voix à
celle du psalmiste afin de ne pas attrister le
Saint-Esprit. Prenons la ferme décision
d'être des serviteurs et des servantes qui
pourront être utilisés jusqu'à
la fin de leur pèlerinage.
Puissions-nous avoir SANS CESSE à coeur l'oeuvre de
Dieu ! Ce sera, sans aucun doute, un point
fort qui permettra au Seigneur Jésus
d'honorer les prières que nous ferons en son
nom car il verra que nous ne cherchons pas notre
propre intérêt, mais plutôt les
intérêts du Royaume de Dieu !
"Sois pour moi celui
que tu as promis
d'être !"
C'est ce que nous demandons à Dieu pour
qu'il exauce SA Parole selon ce qu'il est
écrit.
"Sois pour moi celui
que tu as promis
d'être !"
C'est ce que Dieu veut aussi nous rappeler afin
qu'il ait la liberté d'agir en notre faveur
comme il l'a promis à ceux et celles qui
craignent son nom et qui mettent en pratique ses
commandements.
Pourquoi,
ô Éternel ! te tiens-tu
éloigné ? Pourquoi te caches-tu
au temps de la détresse ? Psaume 10: 1 - v. L. S.
("Sois pour moi celui
que tu as promis d'être !")
Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom
s'humilie, prie, et cherche ma face, et s'il se
détourne de ses mauvaises voies, - je
l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son
péché, et je guérirai son
pays. 2 Chroniques 7: 14 - v. L. S.
("Sois pour moi celui
que tu as promis d'être !")
Humiliez-vous donc sous la
puissante main de Dieu, afin qu'il vous
élève au temps convenable; et
déchargez-vous sur lui de tous vos
soucis, car lui-même prend soin de vous.
1 Pierre 5: 6-7 (v. L.
S)
© J-M
Ravé 3 novembre 2007 -
CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse