Chaque matin, il venait
narguer le peuple de Dieu. Chaque matin, il venait
faire valoir sa puissance redoutable en
démontrant, par sa taille et par ses armes,
son invincibilité apparente.
Chaque soir, il revenait semer la panique dans le
coeur de ceux qui allaient chercher le sommeil pour
oublier un instant ce géant mal
intentionné. Tremblant 24 heures sur 24, la
peur continuellement au ventre, le peuple de Dieu
ne bénéficiait pas du sommeil doux
que l'Éternel procure à ceux qui
suivent sa Parole :
Mon fils, que ces enseignements ne
s'éloignent pas de tes yeux, Garde la
sagesse et la réflexion...
... Si tu te couches, tu seras sans crainte ;
Et quand tu seras couché, ton sommeil sera
doux.
Ne
redoute ni une terreur soudaine, Ni une attaque de la
part des méchants ; Car
l'Éternel sera ton assurance, Et il
préservera ton pied de toute embûche.
Proverbes 3: 21-26 (v. L. S)
Si l'adversaire n'est pas à négliger,
si sa force et sa méchanceté sont
bien réelles et si nous-mêmes nous ne
sommes que des sauterelles aux yeux des
géants qui nous harcèlent aujourd'hui
parce que nous appartenons à Christ,
nous avons un ami
fidèle et tendre qui est toujours
disposé à secourir ceux qu'il a
rachetés.
Mais entre ce que Dieu désire et la
liberté que nous lui donnons pour intervenir
dans notre vie selon SON conseil, il y a trop souvent un
désaccord qui l'oblige à attendre le
moment favorable pour qu'il agisse
librement.
Il attend le moment où nous
déposerons nos armes !
Il attend l'instant où nous nous mettrons
véritablement à SON service en
obéissant à SA parole, en faisant SA
volonté et non la nôtre, en utilisant
SES moyens et non les nôtres.
Parfois le temps est si long que certains ont
l'impression d'avoir été
oubliés de Dieu, alors qu'en
réalité, ce sont eux qui n'ont pas
laissé la priorité à Dieu.
Notre Père céleste n'oubliera jamais
ses enfants ! Mais s'il lui arrive parfois de
faire silence, n'est-ce pas parce que nous avons
d'abord voulu faire nos propres expériences
pour nous délivrer nous-mêmes
plutôt que de tout "miser" sur
Dieu ?
Durant 40 jours Goliath, le Philistin, se
présenta matin et soir devant une
armée qui s'enfuyait au simple son de sa
voix (1 Samuel 17: 16 & 24). 40
jours interminables, 40 jours durant lesquels pas
un homme n'eût l'idée de se tourner
vers celui qui avait ouvert la mer Rouge, qui avait
abattu les murailles de Jéricho, celui qui
avait déjà combattu pour eux à
de multiples reprises et qui leur avait
donné le pain du ciel (la manne) !
Personne n'eut la pensée de se confier dans
l'Éternel qui avait promis de marcher devant
son peuple, personne, pas même le roi
Saül !
Depuis combien de temps sommes-nous dans la crainte
en raison de nos difficultés, en raison de
l'avenir sombre qui se dessine à
l'horizon ?
Depuis 40 jours ? Depuis plusieurs mois ?
Plusieurs années ? (Je pense à
ceux et celles qui n'ont plus les moyens de se
faire soigner - voir message N° 43).
Depuis combien de temps le peuple du Seigneur
tremble-t-il à la vue IMPRESSIONNANTE de
l'arsenal employé par l'adversaire de nos
âmes ?
Nos Goliaths, ceux qui
nous harcèlent, sont toujours capables de
nous faire peur ! Ils paraissent toujours invincibles
devant les hommes qui n'ont pas ou plus la
foi !
Qu'en est-il de ma foi ?
Le peuple de Dieu s'enfuyait devant un Goliath qui
ne faisait que parler, rien que parler ! Il
n'avait encore ni blessé, ni tué un
Israélite ! Seuls ses paroles et son
aspect redoutable faisaient trembler les fils
d'Israël jusqu'au jour où....
Jusqu'au jour où David vînt lui faire
son affaire en le
combattant au nom de
l'Éternel !
Lui, il connaissait les promesses de Dieu, non
seulement il s'en souvenait, mais, malgré
son jeune âge, il avait déjà
expérimenté diverses
délivrances extraordinaires :
"L'Éternel, qui m'a
délivré de la griffe du lion et de la
patte de l'ours, me délivrera aussi de la
main de ce Philistin..."
(1 Samuel 17: 37)
Ainsi donc rien n'est impossible à celui qui
croit ! Il n'y a rien d'impossible à
celui qui ose marcher au Nom de l'Éternel en
s'appuyant sur ses promesses !
C'est
à cause de toi qu'on nous met à mort
tout le jour (qu'on
nous tourmente en 2008), Qu'on nous regarde
comme des brebis destinées à la
boucherie.
Mais
dans toutes ces choses nous sommes plus que
vainqueurs par celui qui nous a
aimés. Romains 8: 36-37 (v. L. S)
Quelles
persécutions n'ai-je pas (Paul) supportées ? Et
le
Seigneur m'a délivré de
toutes. 2 Timothée 3: 11 (v. L. S)
La victoire est donc possible ! Elle l'est en
tout cas sur la dépression, le
découragement !
Reconnaissons que cette victoire-là est
capitale, car d'elle dépend notre conduite,
d'elle dépend notre bien-être
intérieur. En ayant retrouvé le
courage, nous pourrons plus facilement nous
approprier le bénéfice de la victoire
que le Fils de Dieu a remporté à
Golgotha !
C'est
donc avec assurance que nous pouvons
dire : Le Seigneur est mon aide, je ne
craindrai rien ; Que peut me faire un
homme ? (fut-il un
géant ?) Hébreux 13: 6 (v. L. S)
Ai-je vraiment cette assurance ? Est-ce que je
crois fermement, qu'en ce moment précis, le
Seigneur est mon aide et, qu'en conséquence,
je n'ai rien à craindre ?
L'apôtre Paul l'avait dans son coeur !
Il l'avait CONTINUELLEMENT car, dans le
passé, il avait expérimenté la
fidélité de Dieu et s'attendait
à l'expérimenter jusqu'à la
fin de sa vie. Comme Abraham, il savait que ce que
Dieu promet, il a le pouvoir de
l'accomplir !
... sans faiblir dans la
foi... Il (Abraham) ne douta point, par
incrédulité, au sujet de la promesse
de Dieu ; mais il fut fortifié par la
foi,
donnant gloire à Dieu, et ayant la pleine
conviction que ce qu'il promet il peut aussi
l'accomplir. C'est pourquoi cela lui fut
imputé à justice. Romains 4: 19-22
Dieu honore toujours la foi lorsqu'elle est ferme
et qu'elle s'appuie uniquement sur les promesses
qu'il a faites, et cela quoi qu'il
arrive !
Cette foi particulière provient d'une
espérance saine qui n'a rien à voir
avec l'espoir de ceux qui espèrent en
doutant, qui espèrent sans trop y
croire !
Les promesses de Dieu sont immuables, elles ont
été faites par un Dieu qui ne saurait
mentir ! Promesses sur lesquelles les hommes
de foi, tel l'auteur du psaume 119, n'ont pas
manqué de s'appuyer quoiqu'il leur en coûtât
de larmes et de patience.
"Rends-moi la vie", avait-il dit à plusieurs
reprises ! (v, 154 ; 156 ;
159 ;
pour ce qui concerne la lettre "Resch".)
C'est en s'appuyant sur SA
parole, celle de
Dieu, qu'il pouvait formuler une telle demande.
C'est en s'appuyant
sur SA promesse,
toujours celle de Dieu, qu'il pouvait "harceler"
l'Éternel par des rappels.
Lui aussi avait "la pleine conviction que ce Dieu
que promet il peut aussi
l'accomplir."
Ai-je la même
conviction ?
Il le faudrait ! Car, lorsque Dieu s'engage,
sa sainteté l'oblige à respecter ses
engagements, faute de quoi, il ne serait plus le
Dieu de Vérité !
Mais son engagement
dépend beaucoup DE L'ATTITUDE QUE NOUS
POUVONS AVOIR !
En effet, nous savons que le Seigneur VEUT que tous
les hommes soient sauvés.
Ce vouloir s'appuie sur des promesses qui ont
été faites, des promesses qui ne sont pas plus
limitées par le temps que par le nombre
d'appelés.
"Il y a
beaucoup d'appelés,
mais peu d'élus" disait le Seigneur Jésus
(Matthieu 22: 14).
L'appel est fait continuellement ! La promesse
d'entrer dans le Royaume de Dieu est toujours
proposée, mais il y en a peu qui acceptent
cette offre adressée à
l'humanité toute entière ! Il
suffit de regarder autour de nous, près de
nous peut-être, pour se rendre compte qu'il y
a encore des appelés qui n'ont pas
répondu favorablement à l'appel du
Seigneur !
.... la
promesse est pour vous, pour vos
enfants, et pour tous ceux qui sont au
loin,
en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu
les appellera. Actes 2: 39 (v. L. S)
Cette vie éternelle, qui a été
volée dans le jardin d'Éden, nous est
rendue si nous acceptons les conditions de Dieu
selon SA promesse. C'est toujours LUI qui fixe les
conditions puisque c'est LUI qui est le
Créateur !
Cette promesse est celle sur laquelle se base toute
notre espérance, autant pour la vie à
venir que pour la vie présente ! D'elle
dépend le déroulement de notre vie
et l'accomplissement
des autres promesses destinées à ceux
et celles qui marcheraient dans le chemin
étroit.
Comme nous l'avions dit un peu plus haut, lorsque
Dieu s'engage, il ne peut pas se dégager de
sa Parole. C'est toujours l'homme qui ne respecte
pas les conditions et qui, par son attitude,
contraint le Seigneur à retarder
l'exécution de sa Parole.
Ainsi, si je ne me décharge pas de mes
soucis sur le Seigneur, je ne peux pas m'attendre
à ce qu'il m'en libère ! Si je
ne respecte pas SES règles, il ne peut pas
agir et me laisse avec les fardeaux que je ne veux
pas lui abandonner.
...
déchargez-vous sur lui
(Dieu) de tous vos soucis,
car lui-même prend soin de vous. 1 Pierre 5: 7 (v. L. S)
Venez à moi (Jésus), vous tous qui
êtes fatigués et chargés, et je
vous donnerai du repos. Matthieu 11: 28
Comment cette promesse de repos peut-elle se
concrétiser sinon en agissant de
façon à ce que la promesse puisse
s'accomplir ?
Comment toutes les autres promesses des Saintes
Écritures s'accompliront-elles si ce n'est
en suivant ses ordonnances, ses conseils, en
obéissant à ce qu'il
demande ?
Vous me
chercherez, et vous me trouverez,
SI vous me cherchez de tout votre
coeur. Jérémie 29:
13
(v. L. S)
Demandez, et l'on vous
donnera ; cherchez, et vous
trouverez ; frappez, et l'on vous
ouvrira. Car :
- quiconque demande reçoit,
- celui qui cherche trouve,
- et l'on ouvre à celui qui
frappe. Matthieu 7: 7-8 (v. L. S)
Toutes les promesses de Dieu sont
conditionnelles ! Ma part est donc de remplir
la ou les conditions pour qu'il accomplisse SA
parole en fonction de SES promesses !
N'est-ce pas ainsi que notre Psalmiste faisait, lui
qui s'attachait fermement à
l'Écriture et qui devait déjà
savoir que : "Dieu n'exauce point les
pécheurs ; mais, que si quelqu'un
l'honore et fait sa volonté, c'est
celui-là qu'il exauce." (Jean 9: 31)
Après avoir fait valoir les promesses
divines, après avoir mis Dieu devant ses
responsabilités face à sa Parole (en
les lui rappelant), maintenant il va faire appel au
jugement de Dieu !
Réclamer le jugement
de Dieu peut être une demande à risque
dans le sens où nous-mêmes nous
pourrions d'abord être examinés afin
de savoir si notre requête peut être
prise en considération.
Comment pourrais-je demander à ce que le
Seigneur me justifie et défende ma cause si
de mon côté je ne me comporte pas
selon ce que l'Écriture me
demande ?
Comment pourrais-je réclamer son secours, sa
justice, si je m'oppose à la volonté
de Dieu dans certains domaines de ma vie ? Si
je m'oppose au Saint-Esprit qui a mis en
évidence certains manquements qui doivent
être corrigés ?
"Le salut
est loin des méchants, Car ils ne recherchent pas
tes statuts." Ps. 119: 155 (v. L. S)
Le salut, la délivrance n'est pas faite pour
ceux et celles qui refusent de rechercher la
volonté de Dieu ni pour ceux et celles qui
agissent avec liberté quant à ses
commandements !
On ne peut pas espérer le secours de
l'Éternel si l'on persiste à vivre en
ennemi de Christ ou, tout simplement, à
vivre sans se soucier de SA parole !
Personne ne pourra
faire admettre qu'il a accepté Christ comme
Sauveur et SEIGNEUR de sa vie et, en même temps refuser les "lois
seigneuriales" qu'il a données à son
peuple !
Point n'est besoin d'insister davantage pour
comprendre qu'aux yeux du Seigneur "la désobéissance
est
aussi coupable que la divination, et la
résistance ne l'est pas moins que
l'idolâtrie et les
théraphim"
(1 Samuel 15: 23) et que la
désobéissance nous fait prendre le
risque d'être
rejetés:
"Puisque
tu as
rejeté la parole de
l'Éternel, il te rejette aussi comme
roi." (1 Samuel 15: 23)
Résister à la volonté de Dieu
en ne voulant pas suivre sa Parole, alors que nous
l'avons bien comprise, ne va-t-il pas nous faire
tomber dans le camp des déserteurs, des
traîtres ?
Je vois
avec dégoût des traîtres
qui
n'observent PAS ta parole. Psaume 119: 158 (v. L. S)
Après s'être appuyé sur les
promesses de Dieu, après avoir mis en avant
les jugements de l'Éternel, ceux d'autrefois
(v. 52), après avoir parlé de leur
justesse (v. 75), voilà que l'auteur du
Psaume 119 va maintenant s'appuyer sur la
bonté du Seigneur :
Nous l'avons vu, les
promesses de Dieu sont conditionnelles et les
jugements de Dieu sont justes...
Forts de ces vérités et conscients de
nos faiblesses, sachant que notre chair a toujours
des désirs contraires à l'Esprit
(Galates 5: 17), que nous ne faisons pas le bien que
nous devrions faire et que nous faisons (encore) le
mal que nous ne voulons pas (Romains 7: 19), nous sommes bien obligés de
compter sur la
bonté de Dieu et sur sa
grâce ... selon
ses promesses et ses jugements !
Si nous pouvons faire comme le Psalmiste et
demander à ce que notre engagement soit pris
en considération...
... sachons le faire
en mettant en avant
l'oeuvre parfaite de Christ, car qui pourrait prétendre
avoir mérité quoi que ce soit en
raison de son engagement, de son attachement au
service du Maître ?
Christ a TOUT accompli
pour nous !
C'est à cause
de ce qu'IL a fait, que je puis être au
bénéfice de SES promesses, lui qui a été
sanctionné à cause de MON
péché, lui sur lequel le
jugement
de Dieu est tombé afin que je sois
épargné de la juste colère
divine et que je sois gracié !
Serviteurs inutiles (Luc 17: 10) qui avons (peut-être) accompli
tout ce qui nous a été
ordonné, avons-nous le droit de demander
à notre Père céleste de
prendre en considération notre
obéissance afin qu'il nous débarrasse
de nos Goliaths ?
Notre obéissance, il est vrai, sera prise en
considération puisque Dieu n'exauce pas les
pécheurs, mais, en aucun cas, nous ne
pourrons la faire valoir pour obtenir quelque chose
de Dieu !
C'est notre
foi dans les
promesses de Dieu et notre
persévérance à y croire sans
relâche qui fera mouvoir le bras divin
tandis que nous
continuerons à marcher dans
l'obéissance à SA
parole !
Nous
désirons que chacun de vous montre le
même zèle pour conserver
jusqu'à la fin une pleine
espérance, en sorte que vous ne vous
relâchiez point, et que vous imitiez ceux qui, par la
foi et la persévérance,
héritent des promesses. Hébreux 6: 11-12 (v. L. S)
Quand je
marche au milieu de la détresse,
tu me
rends la vie, Tu étends ta main sur la
colère de mes ennemis, Et ta droite me
sauve. Psaume 138: 7 (v. L. S)
La peur des géants empêcha le peuple
de Dieu de prendre possession du pays de la
promesse, des géants qui n'avaient pas
touché un seul cheveu des douze
espions !
La peur des géants et
l'incrédulité !
N'oublions pas cette dernière qui, en
réalité, tient la première
place puisque c'est elle qui fait passer nos
géants pour plus puissants que
Dieu !
Goliath, quant à lui, n'avait pas
touché à un seul soldat de
l'armée d'Israël et pourtant chacun
tremblait parce que la foi dans les promesses de
Dieu avait laissé place à
l'incrédulité !
Dans ces deux cas, c'est la peur qui fut le
véritable géant et non des hommes de
haute stature ! C'est la peur qui
déforme la réalité, c'est elle
qui paralyse notre foi dans la Parole de Dieu et
qui fait venir sur nous le malheur
redouté !
Ce que je
crains, c'est ce qui m'arrive ; Ce que je
redoute, c'est ce qui m'atteint. Je n'ai ni
tranquillité, ni paix, ni repos, Et le
trouble s'est emparé de moi. Job 3: 25-26 (v. L. S)
La plus grande peur, la plus grande crainte que le
Psalmiste pouvait avoir était celle de
déplaire à Dieu !
"Mon
coeur ne tremble qu'à tes
paroles"
(v. 161) ; "Mes persécuteurs et mes
adversaires sont nombreux ; Je ne m'écarte
point de tes préceptes..." (v. 157)
Une crainte salutaire qui devrait être la
nôtre!
Jamais Dieu ne sera tenu en échecs par nos
géants, par ceux qui nous paralysent et qui
tentent de faire valoir leur
invincibilité.
Rappelons-nous que, quelles que soient les armes
qu'ils emploient, quelles que soient leurs
protections, le Seigneur connaît le
défaut de la cuirasse.
À nous donc de nous appuyer sur les
PROMESSES de Dieu, de croire que ses JUGEMENTS ne
manqueront pas de s'exercer et que sa BONTÉ
est toujours pour ceux et celles qui le craignent
et qui marchent dans SES voies !
ASSIS AVEC
CHRIST. (283 JEM)
Assis avec Christ dans les lieux célestes,
regardons en bas l'ennemi vaincu.
Assis avec Christ dans les lieux célestes,
nous ne craignons rien devant l'ange
déchu.
Car c'est en Jésus-Christ que nous sommes
vainqueurs. Il nous a délivrés de
l'oppresseur !
Car c'est en Jésus-Christ que nous sommes
vainqueurs. Il nous a rachetés, Il est
Seigneur !
1981 Jeunesse en
Mission