Je
(l'Éternel) suis attentif, et
j'écoute: ils ne parlent pas comme ils
devraient ; Aucun ne se repent de sa
méchanceté, Et ne dit : Qu'ai-je
fait ? Tous reprennent leur
course, Comme un cheval qui
s'élance au combat.
Même la cigogne connaît dans les cieux
sa saison ; La tourterelle, l'hirondelle et la
grue observent le temps de leur
arrivée ; Mais mon peuple ne connaît
pas la loi de l'Éternel. Jérémie 8:
6-7
(v. L. S)
"Regardez
les oiseaux du ciel..."
disait le Seigneur Jésus à ses
disciples (Matthieu 6: 26) ! En quelque sorte :
"Faites la comparaison entre ces créatures
de Dieu et les fils d'Adam !"
Regardez les oiseaux du ciel..., ces
créatures inférieures à
l'homme et qui, cependant, connaissent et
respectent les lois que leur Créateur a
inscrites en chacune d'elles.
"Tous reprennent leur
course", remarque le Seigneur par le biais de
son serviteur, tous continuent à vivre comme
si de rien n'était ! Personne ne semble
interpellé par les dernières
catastrophes !
Mamon, le dieu de l'argent et tous ses adeptes,
continuent à mener le bal et se frottent les
mains à cause de tous les
bénéfices qu'ils vont pouvoir
engranger suite aux malheurs qui ont frappé
certaines régions de notre Terre. (le
malheur des uns fait (hélas) le bonheur des
autres !)
"Aucun ne se repent de
sa méchanceté" !
Triste constat qui, loin de sanctionner le monde
païen comme nous pourrions le penser,
condamne le peuple des
"croyants", le peuple
de Dieu, celui de l'époque de
Jérémie.
Les générations se suivent et se
ressemblent quant à leur nature
pécheresse, mais diffèrent de plus en
plus quant à la conduite qu'elles devraient
avoir suite aux divers malheurs qui les
frappent.
Allez faire un saut dans le livre des juges, dans
cette époque où "chacun faisait ce qui
lui semblait bon"
(Juges 17: 6 ; 21: 25) et
voyez les conséquences catastrophiques de
leurs "libertés" !
Regardez aussi comment ceux qui sont sortis
indemnes de ces temps difficiles ont reconnu leurs
péchés
devant Dieu et comment
le Seigneur a pris en considération leur
repentir en les délivrant de leurs
épreuves ! Ne pourrait-il pas intervenir en
faveur des peuples si ces derniers se repentaient
de leurs mauvaises voies ?
Qu'en est-il pour nous, hommes et femmes du 21e
siècle ?
Connaissons-nous la loi de l'Éternel mieux
que ne la connaissaient les contemporains de
Jérémie et si oui, qu'en
faisons-nous ?
Savons-nous nous repentir sincèrement et
changer de voie ou devons-nous
réentendre le même message que les
Israélites ? "Aucun ne se repent de sa
méchanceté... tous reprennent leur
course..."
L'actualité est là pour nous rappeler
la fragilité de nos vies, pour nous crier
que nous devons être prêts à
rencontrer notre Dieu à n'importe quel
moment !
Suis-je prêt ?
- Est-ce que je me
préoccupe de l'état de santé
de mon âme plus
que de celui de mon corps qui, reconnaissons-le,
demande quand même une certaine
attention ?
- Est-ce que par hasard je ne passerais pas plus de
temps devant le miroir de la salle de bain que
devant le miroir de la
Parole de Dieu ?
- Est-ce que je ne m'inquiéterais pas plus
d'un petit bouton sur mon visage, d'une ride
naissante, d'un cheveu blanc, que de
l'état de mon
âme qui aurait pu être malmenée
et défigurée par mes choix contraires
à la volonté de
Dieu ?
Nos inquiétudes, d'après ce que nous
dit le Seigneur Jésus, ne sont pas souvent
classées dans le bon ordre. Les
inquiétudes que nous pouvons avoir
concernant notre avenir terrestre nous poussent
trop souvent à nous écarter de
l'essentiel.
Qui de
vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une
coudée à la durée de sa
vie ? Luc 12: 25 (v. L. S)
... tu t'inquiètes et tu t'agites pour
beaucoup de choses. Une seule chose est
nécessaire... Luc 10: 41-42 (v. L. S)
Cette chose nécessaire, dont parle
Jésus à Marthe (UNE SEULE CHOSE), est
celle d'écouter la Parole du Seigneur en
priorité afin de la mettre en pratique par
la suite.
Non pas que les autres choses soient à
abandonner, mais lorsque Dieu parle, il est temps
de s'arrêter, d'écouter, de
réfléchir afin de ne pas perdre le
bénéfice de son message, de ses
avertissements, de ses conseils. Lorsque Dieu
parle, c'est qu'il a quelque chose à nous
dire qui est ESSENTIEL pour notre vie.
Hélas... : "Dieu parle une fois, même
deux, mais on n'y prend pas garde" (Job 33. 14, v. Bible annotée ; v.
D ; v. Ostervald).
Marthe était occupée à divers
soins domestiques, nous dit la version Segond.
Cette version laisserait supposer que son
activité était essentiellement
centrée sur son ménage afin de faire
honneur à l'hôte de marque qui parlait
avec Marie.
Or en consultant d'autres versions, la
majorité d'entre elles ne disent pas que
Marthe était occupée, mais qu'elle était
"distraite par divers soins ...." (Luc 10: 40, v. D ; v. D. M ; v. Bible
annotée ; v. Ostervald).
Ainsi la place de Marthe aurait dû être
au pied du Seigneur, elle aurait dû
participer à cette rencontre, cet entretien,
mais les soucis de la vie quotidienne avaient pris
le dessus et c'est de
loin qu'elle percevait quelques bribes de paroles
divines.
N'étant pas aux pieds du Seigneur comme
l'était sa soeur, l'importance des paroles qu'elle
pouvait percevoir durant ces activités
ménagères lui
échappait,
tout comme elle pourrait bien nous échapper
si nous n'avons pas de discipline ou si nous nous
laissons distraire par d'autres
pensées !
"Mon peuple ne
connaît pas la loi de
l'Éternel !"
Est-ce étonnant
lorsqu'une partie de ce peuple néglige les
instructions du Seigneur, lorsqu'il partage sa vie
entre Dieu et le monde ?
Certes, il peut y avoir des circonstances où
nos obligations nous empêcheront certains
rendez-vous avec le Seigneur, avec notre famille
spirituelle, mais avouons que bien des absences
sont injustifiées, que bien des rendez-vous
pourraient être différés.
Tandis que le monde va faire tourner des
têtes avec les prochains spectacles qu'il va
proposer : l'Euro foot et les jeux olympiques,
il est à peu près sûr qu'il y
aura un peu plus de chaises vides dans les
Églises, certaines ouailles
préférant se nourrir provisoirement
d'une autre nourriture. Un mélange qui
pourrait dépeindre l'état d'un coeur
partagé.
Quel va être mon
comportement ?
À quelle (s) table (s) vais-je m'installer
pour nourrir mon âme ? Quel (s) Dieu ou
dieux vais-je honorer par ma présence ?
Le Dieu véritable ou les dieux du
stade ?
Sachant que je ne puis m'asseoir qu'à un
seul endroit à la fois, il serait bon que je
sois là où le Seigneur s'attend
à me voir ! Il y a un choix à
faire! "FILS D'ADAM OU ES-TU ?"
Vous ne
pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des
démons ; vous ne pouvez participer
à la table du Seigneur, et à la table
des démons.
Voulons-nous provoquer la jalousie
du Seigneur ? 1 Corinthiens 10: 21-22 (v. L.
S)
Sache
que, dans les derniers jours, il y aura des temps
difficiles..., les hommes seront
égoïstes, amis de l'argent..., aimant
le plaisir plus que Dieu..., ayant l'apparence de
la piété, mais reniant ce qui en fait
la force. Éloigne-toi de ces
hommes-là. 2 Timothée 3: 1-5 (v. L. S)
Afin de ne pas provoquer la jalousie du Seigneur,
sachons prendre des positions claires et nettes en
portant nos regards sur les enseignements des
Saintes Écritures qui, si elles parlent de
stades et d'athlètes...
... le font uniquement pour que nous prenions exemple sur
leur discipline afin
que nous obtenions une couronne incorruptible
à la fin de notre course terrestre.
Si les sportifs savent s'imposer toutes
espèces d'abstinences (1 Corinthiens 9: 25), à combien plus forte raison
le disciple de Jésus-Christ doit-il
être sensible à la qualité de
sa "nourriture" afin de ne pas donner à son
âme n'importe quoi.
À ce propos, et puisque le Seigneur
Jésus invitait ses disciples à
regarder les oiseaux du ciel pour les encourager
à ne pas avoir d'inquiétude, pourquoi
ne les regarderions-nous pas aussi quant
à leur nourriture ?
Pourquoi ne profiterions-nous pas de l'occasion
pour regarder si nous avons une mentalité de
"chrétien colombe" ou une mentalité
de "chrétien corbeau" ?
"Chrétien
colombe" nourrissant
son âme de la bonne semence qu'est la Parole
de Dieu tout comme la colombe se nourrit
exclusivement de graines...
"Chrétien
corbeau" nourrissant
son âme aussi avec de la bonne semence, mais
en y associant d'autres nourritures que, ni le Fils
de Dieu, ni les apôtres ne choisiraient au
détriment de la
précédente !
Il est clair que je n'ai rien contre les
corbeaux ! Dieu ne les a-t-il pas
utilisés pour nourrir Élie lorsqu'il
lui ordonna de se cacher au torrent de Kerith
après qu'il eut annoncé la
sécheresse au roi Achab?
Tu boiras
de l'eau du torrent, et j'ai ordonné
aux corbeaux de te nourrir là.
1 Rois 17: 4 (v. L. S)
Comme quoi, même un oiseau catalogué
comme "impur" dans la loi mosaïque peut servir
à la gloire de Dieu en obéissant
à sa Parole. Il peut aussi servir d'exemple
pour mettre en avant la bonté de
l'Éternel aussi bien envers les justes que
les injustes !
Considérez les
corbeaux : ils ne sèment ni ne
moissonnent, ils n'ont ni cellier ni grenier ;
et Dieu les nourrit... Luc 12: 24 (v. L. S)
Néanmoins ces
exemples ne nous disent pas que nous devons avoir
une mentalité de corbeaux, même de
corbeaux obéissants ! Contrairement
à la colombe, la Bible n'a jamais
présenté cet oiseau sous un angle
favorable ! Sa nature n'étant pas
d'avoir la douceur et la sensibilité d'une
colombe.
Reportons-nous au temps
de Noé, là, nous verrons la
différence de comportement qu'il y a entre
le corbeau et la colombe.
Alors que les eaux recouvraient la Terre suite au
déluge, le temps vînt où le
sommet des montagnes commençant à
apparaître (Genèse 8: 5), Noé attendit encore 40 jours
avant d'envoyer des éclaireurs pour
connaître si la Terre avait
séché.
Il
lâcha le corbeau, qui sortit, partant et
revenant, jusqu'à ce que les eaux eussent
séché sur la terre. Genèse 8: 7 (v. L. S)
Il lâcha aussi la colombe... Mais la colombe
ne trouva aucun lieu pour poser la plante de son
pied, et elle revint à lui dans l'arche...
Il avança la main, la prit, et la fit
rentrer auprès de lui dans l'arche....
Genèse 8: 8 et
suivants (v. L. S)
Suite à cette lecture nous constatons deux
comportements différents qui
dépeignent le contraste qu'il pourrait y
avoir entre des chrétiens à la
mentalité de corbeau ou de colombe.
Nous voyons notre corbeau partir en mission, il
quitte l'arche, le lieu de son salut, mais il ne
revient près de "la maison" que parce qu'il
n'a pas encore trouvé un autre endroit.
Je l'imagine en train de virevolter de droite
à gauche, de s'agiter, d'aller et venir sans
cesse en tous sens sans rentrer à
l'intérieur de l'arche (le corbeau, qui
sortit, partant et revenant). Il ne tient plus en place, il part, il
revient et ainsi de suite jusqu'au moment
où, ayant trouvé ce qui convenait
à sa nature, on ne le verra plus !
Ainsi, après avoir
bénéficié de l'asile
protecteur, cet oiseau-là ne se
préoccupera pas de celui qui l'a
sauvé et ne l'avertira pas que la terre a
séché. Point de reconnaissance
quoiqu'il fût mis à part contrairement
à la grande majorité de ses
congénères : "Tout ce qui se mouvait
sur la terre périt, tant les
oiseaux que le bétail et les
animaux" (Genèse 7: 21).
Notre corbeau va donc vivre pour lui-même, il
a été sauvé et c'est ce qui
compte pour lui. Peu importe les autres !
(Ai-je la même
indifférence ?)
Bien sûr il fait partie de la famille des
oiseaux et son comportement n'est pas un
comportement d'homme, tout comme celui de la
colombe d'ailleurs. Néanmoins le Seigneur
Jésus nous demande de les observer et d'en
tirer des conclusions utiles pour notre vie tout
comme il nous demande de regarder la nature dans ce
qu'elle a de plus majestueux - les montagnes - ou
dans ce qui semble insignifiant - les
fourmis ! "Va vers la fourmi, paresseux ;
Considère ses voies, et deviens
sage..." (Proverbes 6: 6)
Ai-je une mentalité de corbeau ?
Ayant été sauvé de la
condamnation, vais-je vivre pour moi-même
sans me soucier de mes contemporains ?
Et, pour en revenir à ce qui a
été dit plus haut, vais-je manger
à plusieurs tables (Le corbeau n'est pas
délicat pour la nourriture ! "Tout ce
qui rentre fait ventre" selon l'expression
populaire !)
Daniel
résolut (arrêta dans son coeur - v. D)
de ne pas
se souiller par les mets du roi et par le vin dont
le roi buvait. Daniel 1:8 (v. L. S)
Écoutez-moi donc, et vous
mangerez ce qui est bon, Et votre âme se
délectera de mets
succulents. Esaïe 55. 2 (v. L. S)
Regardons maintenant le comportement de la
colombe.
Comme le corbeau, elle revint vers l'arche parce
qu'elle ne trouva pas d'endroit sec, mais
contrairement à lui, elle revînt vers
Noé (elle revint à lui - v. 9) et il
lui tendit la main afin de la faire rentrer
à l'intérieur.
Ensuite c'est Noé qui prit l'initiative de
la renvoyer en mission ; le corbeau,
souvenons-nous, partait et revenait de
lui-même jusqu'au jour où il ne
revînt plus.
La colombe étant donc repartie en mission,
elle revint avec un message d'espérance en
tenant dans son bec une feuille
d'olivier. Noé conclut alors que les eaux
avaient fortement baissé puisque l'olivier
ne pousse pas en altitude.
(L'arche s'était arrêtée sur le
mont Ararat qui culmine à plus de 5000
mètres. L'olivier, se plaît à
une altitude moyenne de 300 mètres)
N'est-il pas surprenant qu'un oiseau granivore se
saisisse d'une feuille d'olivier pour la ramener
à Noé ?
Le corbeau ne pouvait-il pas faire la même
chose ?
N'avait-il pas été envoyé en
mission lui aussi ?
Alors que le corbeau touche à tout, pourquoi
n'a-t-il pas aussi pris une feuille
d'olivier ?
Entre le corbeau et la
colombe, il y a donc manifestement deux types de
conduite très différents. À
nous d'en tirer profit !
- Le corbeau ne cherche que son
intérêt, n'en fait qu'à sa
tête et mange à tous les
râteliers, y compris à celui de la foi
(la bonne semence) et n'apporte aucun
"bénéfice" au corps de Christ. Le
corbeau n'est ni missionnaire, ni ambassadeur de
Christ, il profite de toutes les
opportunités pour satisfaire son
égoïsme.
- La colombe, nous venons de le voir, est utile
pour la communauté. Discrète, elle se
nourrit exclusivement de semence et non de
"charognes" occasionnelles. Elle sait obéir
à celui qui lui a donné le souffle de
vie et changer, s'il le faut, ses habitudes pour
remplir la mission qui lui a été
confiée.
Dès lors, il est facile de comprendre
pourquoi elle est le symbole du Saint-Esprit, de ce
Saint-Esprit, messager de Dieu, ce Saint-Esprit qui
ne force pas les portes et qui, comme la colombe de
Noé attend qu'on lui tende la main pour
entrer.
Il est facile de comprendre pourquoi le corbeau,
qui est loin d'avoir la même
sensibilité, est présenté
comme un signe confirmant la désolation
(Esaïe 34: 11) et comme celui qui perce l'oeil
de celui qui méprise ses parents.
L'oeil
qui se moque d'un père Et qui
dédaigne l'obéissance envers une
mère, Les corbeaux du torrent le perceront,
Et les petits de l'aigle le mangeront. Proverbes 30: 17
Sommes-nous des
chrétiens à la mentalité de
corbeau ou des chrétiens à la
mentalité de colombe ?
- Chrétien “
corbeau” va
picorer à droite et à gauche sans se
soucier de la qualité de la nourriture.
- Chrétien “corbeau” marche selon
ses sentiments et non selon la volonté de
celui qui l’a créé.
- Chrétien “corbeau” vit
dangereusement en dévorant de la nourriture
non contrôlée, de la nourriture
avariée, de la nourriture dont il ne soucie
pas de l’origine !
- Chrétien
“colombe”,
tout comme le Saint-Esprit dont elle est
l’image, n’agit que sur ordre du
Créateur, et reste dans l’attente sans
aller voleter de droite à gauche pour passer
le temps.
- Chrétien “colombe” ne se nourrit
pas de n’importe quoi, il prend la Parole de
Dieu, et exclusivement la Parole de Dieu, pour
nourrir son âme.
Alors... ? À quelle table allons-nous
manger prochainement ?
Où le Seigneur va-t-il nous trouver pendant
les festivités (Euro foot et les jeux
olympiques) que le monde païen propose au
monde entier ?
Un monde païen qui, dans un premier temps, a demandé à ce que
tous les
athlètes respectent
l'athéisme du
parti communiste en se conformant à la liste
des objets n'ayant pas la permission de rentrer en
Chine, dont la Bible !
Comprenons bien qu'il n'est pas question de
condamner le sport, mais de savoir si Dieu sera
servi en premier ou s'il sera mis sur la touche
pendant un certain temps au profit des dieux du
stade !
Jésus revient bientôt ! Et s'il
revenait durant cette période, où
nous trouvera-t-il ?
...
l'exercice corporel est utile à peu de
chose, tandis que la piété
est utile à tout, ayant la promesse de
la vie
présente et de celle qui est à
venir. 1 Timothée 4: 8 (v. L. S)
© J-M
Ravé 24 mai 2008 -
CP 474 -
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