Que devons-nous faire pour être entendu du
monde afin qu'il soit attentif au message que nous
désirons lui apporter ?
Faut-il que l'Église de Jésus-Christ
devienne une agence de marketing pour promouvoir le
message de l'Évangile ?
Faut-il qu'elle se mondialise afin qu'aujourd'hui
elle ait un taux d'écoute qui rivalise avec
les médias les plus importants de notre
monde ?
Le monde et ses méthodes peuvent-ils nous
servir d'exemple ?
Et moi..., en tant que membres de cette
Église, comment dois-je adapter cette parole
de l'apôtre Paul « se faire tout
à tous »
(1 Corinthiens 9 : 22) pour
en sauver quelques-uns de la perdition
éternelle (l'enfer) ?
Devrais-je participer au péché
d'autrui afin de semer la Parole de Dieu là
où le péché abonde ?
Si nous voulons une réponse qui ne torde pas
le sens de l'Écriture, nous devons
prêter une grande attention à ce
qu'elle dit elle-même pour nous
enseigner.
Nous devons chercher des textes qui
s'éclaireront mutuellement et qui
contribueront tous à faire de nous des
témoins de Jésus-Christ que Dieu
approuvera dans leur démarche.
Notons tout de suite que la Parole de Dieu est
vivante et qu'elle le reste
indépendamment de la bouche de celui qui
l'annonce.
Que ce soit la bouche d'un saint ou du
pécheur le plus endurci qui l'exprime, la
Parole de Dieu reste la vérité.
C'est d'ailleurs ce que le Seigneur Jésus
faisait comprendre à son auditoire en
démontrant que des pécheurs ont
obtenu des résultats en prenant le nom
de Jésus et SA Parole comme appui :
Seigneur, Seigneur,
n’avons-nous pas prophétisé par
ton nom ? n’avons-nous pas chassé
des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait
beaucoup de miracles par ton nom ?
Alors je
(Jésus) leur
dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus,
retirez-vous de moi, vous qui commettez
l’iniquité. Matthieu 7 : 22-23
« Se faire tout à
tous », comme le disait
l'apôtre Paul en parlant de son
ministère, exclu le fait de partager les
mauvaises oeuvres de ceux et celles à qui
nous voulons présenter le salut. Si nous
osions le faire, nous rentrerions dans la
catégorie de ceux « qui commettent
l'iniquité » et qui la commettent
VOLONTAIREMENT !
Jamais nous ne pourrons pécher pour la
bonne cause !
La vérité n'a pas besoin du
mensonge pour se défendre tout comme la
vertu n'a pas besoin du péché pour
faire valoir ses qualités.
L'apôtre est catégorique !
Le Saint-Esprit qui l'a inspiré est
catégorique !
DIEU est
catégorique (1 Timothée 5 :
22) !
En dehors de l'interdiction qui est
donnée - ne pas participer aux
péchés d'autrui - nous devons veiller
attentivement sur notre conduite afin de rester
nets du péché.
Ce texte laisse clairement sous-entendre qu'il fut
un temps où nous avons été
« lavés, sanctifiés,
justifiés au nom du Seigneur
Jésus-Christ »
(1 Corinthiens 6 : 11) et que,
désormais, il nous appartient de
préserver cette pureté, cette
sainteté qui nous a été
accordée : CONSERVE-TOI PUR !
C'est donc en recherchant continuellement la
sanctification, en nous détournant sans
cesse du mal, que nous arriverons à nous
conserver purs. Ayant cet objectif au fond de notre
coeur, il deviendra facile de confesser notre
péché (accidentel) dès qu'il
sera mis en lumière.
Pour se conserver pur, il est évident que
l'environnement dans lequel nous CHOISISSONS de
vivre aura un impact considérable sur notre
vie.
De la même façon que je serai
imprégné de la fumée de
cigarette si je m'attarde dans des fumoirs...
... de la même façon l'odeur du
monde collera à ma peau, à ma
conduite, à mon langage si je participe
à ses oeuvres !
Des oeuvres qui ne seront jamais à la
gloire de Dieu puisque le monde, dans tout ce
qu'il renferme, vit en opposition avec Dieu
étant donné qu'il ne veut pas et
qu'il ne voudra JAMAIS se soumettre à SA
volonté.
Cette opposition est tellement flagrante que
l'apôtre Jacques, inspiré par le
Saint-Esprit, dira
(Jacques 4 : 4) :
Autrefois nous étions ennemis de Dieu
(Romains 5 : 10), mais, nous
avons été réconciliés
avec lui par la mort de son Fils.
Cette réconciliation ayant une
portée éternelle, pourquoi
prendrions-nous le risque de redevenir ennemis de
Dieu en nous acoquinant de nouveau avec le
monde ?
Le monde n'a rien à nous offrir de fiable
qui puisse contribuer à affermir notre foi
en Jésus-Christ. La seule chose qu'il puisse
nous apporter de bénéfique est le
dégoût de tout ce qu'il peut
étaler sous nos yeux.
Malheureusement ce dégoût ne se trouve
pas suffisamment en nous, et c'est parce que nous
avons encore quelques affinités avec lui que
l'Écriture nous commande de ne pas suivre
ses voies, de ne pas nous affectionner à ce
qu'il
propose (Romains 12 : 2) !
Se conformer, c'est : se mettre en harmonie
avec - se mettre en accord avec - se soumettre.
C'est aussi s'adapter, s'accommoder. En
résumé, c'est en quelque sorte,
faire plier notre volonté à celle du
monde !
Sans doute le terme de « faire
plier » est-il exagéré dans
le sens où il n'y a pas besoin de faire
beaucoup d'efforts pour suivre le monde ;
il suffit de se laisser aller, de passer le
commandement à notre vieille nature.
Néanmoins, nous garderons en mémoire
que c'est quand même un acte
volontaire, une décision de notre part
de nous conformer ou non au siècle
présent. Personne ne peut nous contraindre
à vivre pour le monde si nous avons
décidé de vivre pour
Jésus-Christ.
Le rapport de force sera toujours en notre faveur,
car si nous sommes seuls avec le Seigneur contre
tous, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui
nous a aimés
(Romains 8 : 37) et rien,
absolument RIEN ne pourra nous séparer de
SON amour
(Romains 8 : 38-39).
Que devons-nous comprendre par « le
siècle présent » en
dehors de la centaine d'années qui le
compose ?
Cette centaine d'années où le mal a
pris tant de vitesse que nos dirigeants ne sont
plus en mesure de le contrôler
efficacement ! Ne pouvant plus le
réfréner une grande majorité
des hommes et des femmes ont choisi d'appeler BIEN
ce que nos ancêtres appelaient MAL !
Ce tour de passe-passe n'est que de la poudre aux
yeux, car ce que le mal à ensemencer –
même si aujourd'hui il est appelé
BIEN – ne l'empêchera pas de
produire des fruits amers ; il suffit de
regarder ce qu'à rapporté la
liberté sexuelle pour comprendre ce que je
viens de dire.
Ajoutons encore que le salaire du
péché reste la mort
(Romains 6 : 23) et que la mort
éternelle conduit dans l'étang ardent
de feu et de soufre.
Restons donc à l'écoute de la Parole
de Dieu qui ne cherche que notre bien.
N'hésitons pas à la mettre en
pratique sans craindre d'appeler les choses comme
Dieu les appelle. Ce n'est pas en changeant le
nom d'un champignon mortel que vous parviendrez
à le rendre comestible !
Bien-aimé,
n’imite pas le mal, mais le bien.
Celui qui fait le
bien est de Dieu ; celui qui fait le mal n’a
point vu Dieu. 3 Jean 1 : 11
Que devons-nous comprendre par
« le siècle
présent » étant
donné que cet avertissement a
été donné depuis la
naissance de l'Église ?
En nous posant cette question nous comprenons
aisément qu'il n'est pas question pour nous
de recommencer à vivre comme au Moyen
Âge, d'abandonner la technologie
d'aujourd'hui dans ce qu'elle a de bon.
Même en admettant que ce soit possible, en
admettant que nous refusions le modernisme comme
certains Amishs le font, le problème
resterait inchangé étant donné
qu'à cette époque (le Moyen
Âge), tout comme à celle des
apôtres, les enfants de Dieu ne devaient pas
se conformer au siècle
présent !
Malgré ce qui vient d'être dit, et
aussi étrange que cela puisse
paraître, nous avons quand même la
liberté de choisir dans quel siècle
nous voulons vivre sans avoir besoin de revenir
en arrière quant à l'évolution
de la technologie.
Pour faire ce choix, en toute connaissance de
causes, nous devons d'abord découvrir ce
qui caractérise « ce siècle
présent » au point qu'il
faille s'en écarter continuellement.
Pour que nous ne nous fassions aucune illusion
quant à la qualification de ce
« siècle
présent » en s'imaginant qu'il
contient quelque chose de bon en lui qui soit
agréable au Seigneur, écoutons ce que
Paul – inspiré par le Saint-Esprit -
dit aux Galates :
... que la grâce et la
paix vous soient données de la part de Dieu
le Père et de notre Seigneur Jésus-Christ, qui s’est
donné lui-même pour nos
péchés, afin de NOUS ARRACHER DU
PRÉSENT SIÈCLE MAUVAIS, selon la volonté de notre
Dieu et Père... Galates 1 : 3-4
C'est en tournant le dos à ce siècle
présent que nous aurons en vue un autre
siècle : « le siècle
à venir »
(Luc 20 : 35) !
Un siècle qui n'a rien à voir avec
notre calendrier puisqu'il est question de ce temps
d'éternité où le temps ne sera
plus compté. Un temps
d'éternité qui sera
réservé à ceux qui en seront
trouvés dignes pour avoir
persévéré dans la foi
jusqu'à la fin de leur vie..., sans se
conformer au siècle
présent !
Qu'est-ce qui attire encore certains
chrétiens vers ce « siècle
présent » ?
Démas m’a abandonné, PAR AMOUR
POUR LE SIÈCLE
PRÉSENT, et
il est parti pour Thessalonique. 2 Timothée 4 :
10
Démas ! Un compagnon d'oeuvre de
l'apôtre qui était avec Marc,
Aristarque et Luc ! Un frère qui
était au service de Paul alors que ce
dernier était en prison à Rome !
(Philémon 1 : 23 -
24 ;
Colossiens 4 : 14).
S'il peut y avoir une foule de choses attirantes
qui soient susceptibles de détourner
l'enfant de Dieu du chemin étroit, nous
ne devons pas nous arrêter sur les
objets en pensant que telle ou telle chose
est néfaste pour notre vie spirituelle.
Certes, certains de ces objets serviront
d'appâts pour en séduire quelques-uns,
mais n'oublions pas que l'appât est
manipulé dans l'ombre par l'ennemi de nos
âmes : le tentateur !
Ainsi donc, il nous appartient bien plus de porter
notre attention sur L'ESPRIT DE CE
SIÈCLE que sur les objets qu'il
propose.
L'esprit de ce siècle, un esprit qui
traverse les âges indépendamment de la
technologie dont il peut d'ailleurs se servir pour
nous détourner du but à
atteindre.
Quel a été, et quel est toujours le
but du prince des ténèbres, du
tentateur, si ce n'est celui de nous
détourner de Dieu ?
N'est-ce pas lui qui a poussé nos premiers
parents à se rebeller contre
l'Éternel ?
C'est un fait accompli que nous ne pouvons pas
discuter ! Un fait accomplit dont nous
supportons les conséquences, car nous
avons été créés
à la ressemblance d'Adam :
« Adam... engendra
un fils à sa ressemblance, selon son
image »
(Genèse 5 : 3).
Comme vous le voyez, le fils d'Adam n'a pas
été fait à la ressemblance de
Dieu pas plus que ses autres enfants, pas plus que
nous qui sommes leurs descendants !
Seul Adam a été créé
à l'image de Dieu, mais il a perdu cette
ressemblance à cause de son
péché et n'a pas pu la communiquer
à ses enfants.
Cette chute de l'homme a pour conséquence
qu'aujourd'hui nous avons constamment un choix
à faire :
Comme nous ne pouvons pas servir deux
maîtres en même temps
(Matthieu 6 : 24) ni passer de
l'un à l'autre pour les satisfaire tour
à tour, nous devons choisir qui nous voulons
servir :
... si vous ne trouvez pas
bon de servir l’Éternel, choisissez
aujourd’hui qui vous voulez servir...
Josué 24 : 15
Trouvons-nous bon de servir celui qui nous a
sauvés de la perdition
éternelle ?
Trouvons-nous cela suffisamment bon pour
que, désormais nous nous trouvions dans
l'impossibilité de servir d'autres dieux que
celui qui nous a accordé son
pardon ?
Dernièrement je lisais dans un ouvrage
ancien la réflexion que faisait l'auteur sur
l'attitude de Jacob à l'égard de
Rachel, sa bien-aimée ; je vous la
livre telle quelle !
« Les sept années pendant
lesquelles il dut travailler pour obtenir la main
de Rachel lui parurent comme peu de jours parce
qu'il l'aimait.
Si telle est la puissance des affections naturelles
pour faciliter le travail et les sacrifices de tout
genre, à plus forte raison encore nous
trouverons dans l'amour pour Dieu la force de
pratiquer ses commandements. »
(Commentaire sur la Genèse d'Armand de
Mestral 1863 - Suisse)
Alors..., nous ferions bien de nous reposer les
questions auxquelles nous n'avons peut-être
pas répondu dans notre coeur :
Trouvons-nous bon de servir celui qui nous a
sauvés de la perdition
éternelle ?
Trouvons-nous cela suffisamment bon pour
que, désormais nous nous trouvions dans
l'impossibilité de servir d'autres dieux que
celui qui nous a accordé son
pardon ?
Celui que nous devrions aimer de tout notre
coeur, de toute notre âme, de toutes nos
pensées
(Matthieu 22 : 37-38) ?
Se conformer au siècle présent,
c'est SERVIR UN AUTRE DIEU que l'auteur de notre
salut !
Peut-être allez-vous penser que
j'exagère ? Suivez-moi dans la 2e
épître aux Corinthiens et vous verrez
alors ce que l'Écriture dit de ce
siècle présent :
Si notre Évangile est
encore voilé, il est voilé pour ceux
qui périssent ; pour les
incrédules dont LE DIEU DE CE
SIÈCLE a
aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne vissent pas
briller la splendeur de l’Évangile de
la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu.
2 Corinthiens 4 :
3-4
Souvenez-vous... : nous n'avons à
choisir qu'entre deux siècles !
Cela a toujours été ainsi depuis la
fondation de l'Église !
Un choix à faire entre le siècle
présent ou le siècle à
venir.
Comme il nous est demandé de ne pas nous
conformer au siècle présent, il
va de soi que nous devons nous intéresser
au siècle à venir en gardant les
yeux sur lui et non sur celui dans lequel nous nous
trouvons actuellement.
Allons-nous obéir au Seigneur en suivant ses
avertissements ?
Satan est donc le dieu de ce siècle, un dieu
qui aveugle l'intelligence, c'est ce que nous
venons de lire.
Voulons-nous redevenir aveugle au point de ne plus
avoir d'intelligence pour comprendre les
Écritures et oublier ce que
représente la Vie
éternelle ?
Ne vous conformez pas au siècle
présent, car le dieu de ce siècle
aveugle l'intelligence de ceux qui
périssent..., de ceux qui sont aussi en
train de périr et qui ne s'en rendent pas
compte !
Ne vous conformez pas au
siècle présent, mais soyez transformés par le
renouvellement de
l’intelligence, afin que vous discerniez quelle
est la volonté de Dieu, ce qui est bon,
agréable et parfait. Romains 12 : 2
« Ne vous conformez pas au
siècle présent » (aux
habitudes de ce monde... - v. Français
courant).
Ce monde étant sous la puissance de Satan
(le dieu de ce siècle), en nous
conformant, en nous adaptant à ce
siècle présent, nous finirons par
nous laisser séduire d'autant plus
facilement que le dieu de ce siècle
ne verra aucun inconvénient à ce que
nous gardions certaines formes de vie
chrétienne.
L'habit de la religiosité, « l'habit
du dimanche » ne le dérange pas.
Il nous aidera même à l'enfiler si
nous nous sommes laissés attraper par le
monde, l'important pour lui c'est que nous restions
insensibles au Saint-Esprit.
Ne pouvant servir deux maîtres..., ne pouvant
vivre en même temps dans deux siècles
différents, prenons garde à ce que
nous faisons et...
... « laissons Dieu nous transformer et nous donner une intelligence
nouvelle ». (v. Français
courant)
Quoique nous ayons donné notre vie au
Seigneur, nous sommes toujours invités
à laisser Dieu agir en nous afin que nous
ayons toujours plus d'intelligence de sa Parole et
plus envie de faire SA volonté.
Qui ne s'est jamais laissé surprendre
à suivre les conseils des gens du monde, de
ce monde qui vit sans Dieu ? À suivre
les conseils de personnes que nous ne voulions
pas blesser en les contredisant.
Combien de fois n'avons-nous pas attrister le
Seigneur en ayant plus la crainte des hommes que de
Dieu ?
Sans aucun doute, nous avons besoin d'être
transformés dans notre
intelligence !
Ce n'est pas pour rien que nous sommes tenus de
marcher de progrès en progrès en
restant à l'école du Seigneur, cette
école où nous apprendrons
CONTINUELLEMENT à déjouer les ruses
du diable.
Quoique en dise le monde, jamais il ne nous
encouragera à suivre les voies de Dieu,
jamais il ne nous montrera ce qui est
agréable à Dieu, même lorsqu'il
aura un langage religieux, un langage qu'il a
toujours utilisé dans ce siècle
présent, un siècle dont nous devons
nous garder.
Par contre, si nous nous intéressons au
siècle à venir, si vous vous y
intéresser....
... vous pourrez alors discerner ce que Dieu
veut : ce qui est bien, ce qui lui est
agréable et ce qui est parfait. (v.
Français courant)
Nous pouvons donc vivre dans le siècle
présent sans en subir l'influence
néfaste, sans nous y
conformer.
C'est possible en ayant une vie disciplinée,
en ayant des pensées
disciplinées : « nous amenons toute pensée
captive à l’obéissance de
Christ »
(2 Corinthiens 10 : 5).
En restant serviteurs et servantes de
Jésus-Christ à plein-temps (il
n'est pas prévu dans le plan de Dieu des
temps où nous pouvons vivre sans Dieu), nous
avons l'assurance qu'il sera suffisant et que son
conseil sera sans pareil !
Ainsi donc le siècle présent n'a
d'intérêt pour nous qu'en fonction du
témoignage que nous devons rendre, que des
semences que nous allons semer.
Peu importe si nos méthodes ne correspondent
pas à celles du monde qui s'y entend bien
pour propager ses idées, car nous...
... nous n’avons pas
reçu l’esprit du monde, mais l’Esprit qui vient de
Dieu, afin que nous connaissions les choses que
Dieu nous a données par sa grâce.
1 Corinthiens 2 : 12
Si nous n'avons pas reçu l'esprit du monde,
mais l'Esprit qui vient de Dieu, alors il sera
facile de réclamer le secours du Seigneur
pour être délivré lorsque la
tentation de nous conformer au monde, de nous
accommoder de sa façon de vivre deviendra
trop forte !
Quel est l'esprit qui conduit NOTRE vie ? Qui
conduit TA vie ? Qui conduit MA vie ?
La grâce de Dieu...
nous enseigne
à renoncer
à l’impiété et aux
convoitises mondaines, et à vivre DANS le
siècle présent (et non
pour) selon la sagesse, la
justice et la piété en attendant la bienheureuse
espérance, et la manifestation de la gloire
du grand Dieu et de notre Sauveur
Jésus-Christ... Tite 2 : 12-13
Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond.
J-M Ravé le 27 août 2011 - CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse