Bannis
l'inquiétude, car tu
n'as rien à craindre !
Pourquoi avez-vous ainsi peur?
Maître, ne
t'inquiètes-tu pas de ce que nous
périssons ?
... Pourquoi
avez-vous ainsi peur ? Comment n'avez-vous
point de foi ?
Marc
4. 38 & 40
(v. L. S)
Les tempêtes n'épargnent personnes.
Que l'on soit croyant ou non, que l'on ait
donné notre vie à Christ ou non, les
tempêtes qui bouleversent le monde touchent
chacun d'entre nous.
De plus, chacun subit des épreuves
personnelles. Mais si nous avons le Seigneur
Jésus comme Sauveur et Seigneur de notre
vie, la façon d'appréhender la
difficulté sera différente !
Elle le sera pour autant que nous mettions notre
confiance en lui - ce qui est une autre
affaire !
Ai-je confiance en Dieu au point de lui
abandonner ma vie ?
Alors que Jésus avait invité ses
disciples à traverser le lac de
Génésareth (appelé aussi mer
de Galilée ou mer de Tibériade), ils
furent surpris par une tempête dont l'ampleur
les effraya. L'expérience des pêcheurs
professionnels qui se trouvaient présents ne
rassura personne, bien au contraire !
Il s'éleva un grand
tourbillon, et les flots se jetaient dans la
barque, au point qu'elle se remplissait
déjà. Marc
4: 37 (v. L.
S)
... ils étaient en péril. Luc
8. 23 (v. L.
S)
Leurs vies étaient en
danger, c'est ce que l'Écriture
précise. Elles étaient en danger pas
seulement à cause de la tempête, mais
parce que leur foi n'était pas à la
hauteur de la situation ! C'est d'ailleurs ce
que le Seigneur leur fera remarquer un peu
plus tard : "Comment
n'avez-vous point de
foi ?"
(Marc
4: 40)
Il est vrai que, lorsque la foi se laisse
submerger par les flots du doute, le coeur de
l'homme (et de la femme) s'affole. Dans son
désarroi, il se croit oublié de Dieu
et cherche alors des solutions humaines pour sortir
de l'épreuve au lieu de regarder à
celui qui nous a sauvés de la condamnation
éternelle.
Dans le cas présent, les disciples n'avaient
pas d'autre solution que de se tourner vers
Jésus pour lui faire part de leur
détresse. Il n'y avait personne dans les
alentours qui puisse leur tendre la main ou leur
donner le moindre conseil.
Personne d'autre que Jésus ne
pouvait les secourir.
Dans les épreuves qui viennent nous
toucher, souvent nous cherchons d'abord des
solutions humaines en frappant à droite
et à gauche pour réclamer une
aide.
Oh si seulement nous pouvions avoir un petit noyau
de frères et soeurs dans la foi avec lequel
nous partagions nos soucis ! Si seulement nous
pouvions frapper à leur porte pour
réclamer uniquement le secours de la
prière !
Sans aucun doute, les tempêtes qui grondent
dans nos coeurs seraient vite apaisées,
"et la paix de Dieu qui
surpasse toute intelligence garderait nos coeurs et
nos pensées en Jésus-Christ"
(Philippiens
4: 6) et non sur les
vagues menaçantes qui s'approchent pour nous
engloutir.
Les apôtres n'avaient pas le choix ! Il
n'y avait personne autour d'eux qui soit à
même de les aider ! De même il n'y
a personne autour de nous qui puisse nous apporter
le VÉRITABLE SECOURS, sinon le
Seigneur.
Certes, toute tentative d'être secouru par
quelqu'un d'autre n'est pas forcément
vouée à un échec, mais ce
comportement ne fera que repousser un peu plus
loin la victoire qui doit être prise au
nom de Jésus-Christ.
"L'épreuve de notre
foi, plus précieuse que l'or",
nous dit Pierre
(1
Pierre 1: 7), est destinée
à ce que nous placions notre confiance
en Dieu, et en lui seul !
Non dans les personnes qu'il est susceptible
d'utiliser ou qu'il a déjà
utilisées pour nous secourir dans le
passé, mais en celui qui a promis de
pourvoir à TOUS NOS BESOINS selon SA
richesse
(Philippiens 4: 19).
Les personnes qui ont été
appelées à vivre en comptant
exclusivement sur la grâce de Dieu pour
recevoir leur pain quotidien (et ce qui va avec)
comprennent bien cette pensée. Elles savent
qu'elles doivent être vigilantes afin de ne
pas tomber dans le piège de l'ennemi qui les
pousserait à regarder aux instruments que
le Seigneur a déjà
utilisés pour les secourir
plutôt qu'au Seigneur lui-même
qui a dit : "Je ne te
délaisserai point, je ne t'abandonnerai
point
(Hébreux 13: 5).
"L'épreuve de notre
foi, plus précieuse que l'or" est
un passage obligé !
S'en détourner pour chercher un secours
humain ne fait que repousser un peu plus loin le
contrôle divin de notre confiance en lui.
Repousser ce pas de foi qui est proposé par
le Seigneur sera d'autant plus pénible
à accomplir que nous aurons laissé
passer un temps plus ou moins long durant lequel
nous nous sommes attendus plus aux hommes
qu'à Dieu pour être secourus.
Par la suite, la tentation sera toujours plus
grande de continuer à vivre en cherchant
l'assistance de notre prochain comme cela se fait
de plus en plus dans certaines organisations
chrétiennes qui ont pris l'habitude de
réclamer un soutien par des appels
réguliers de dons.
Apprenons à nous enfermer dans le secret de
notre chambre pour demander au Père
céleste de pourvoir à nos besoins ou
aux besoins de l'oeuvre qu'il a placée entre
nos mains
(Matthieu 6: 6).
Dieu a les réponses à tous les
examens, tous les tests, toutes les épreuves
qu'il nous fait passer ! De plus, il ne se
trompe pas de matière lorsqu'il nous place
devant un exercice de foi. Il sait, par avance,
qu'il est dans nos possibilités de
résister à la tentation de baisser
les bras.
Dieu, qui est
fidèle, ne
permettra pas que vous soyez tentés au
delà de vos forces ; mais avec la
tentation il préparera aussi le moyen d'en
sortir, afin que vous puissiez la supporter.
1 Corinthiens 10: 13 (v. L. S)
Les plans de Dieu dépassent notre
compréhension quand lui-même nous
place dans ce qui ressemble à des impasses.
Mais quelle grâce, quel émerveillement
lorsque tout à coup la montagne s'aplanit,
lorsque le voile se lève et que
l'épreuve de la foi laisse place à
une bénédiction dont nous ne
pouvions même pas soupçonner
l'existence dans la forme qu'il nous la
présente.
Un exemple parmi tant d'autres :
Pensez simplement à Élie qui fut
nourri par des corbeaux parce que
l'Éternel l'avait commandé !
"J'ai
ordonné aux
corbeaux de te nourrir"
(1
Rois 17: 4), des oiseaux impurs
selon la loi de Moïse
(Lévitique 11. 13-15) !
des oiseaux impurs obéissant à la
volonté de l'Éternel en apportant
pain et viande deux fois par jour.
Pensez aussi que, lorsque l'eau du torrent de
Kerith fut tarie (lieu choisi par le Seigneur pour
Élie), les instruments employés par
l'Éternel n'avaient plus la mission de
nourrir le prophète (lire
1 Rois chapitre 17).
Situation désespérée pour lui,
penserions-nous !
Situation désespérée pour nous
lorsque les portes ouvertes autrefois se
referment et que la source bénie
n'apporte plus rien !
Dieu n'est jamais pris au dépourvu !
" Va à
Sarepta... j'y
ai
ordonné
à une femme veuve de te nourrir" (
1 Rois 17: 9).
Dieu ordonne encore aujourd'hui ! Il ordonne
sans que l'on en soit conscient ! Mais il
ordonne quand même à la
délivrance d'accomplir son oeuvre.
Regardons les bénédictions
passées, et voyons si le Seigneur ne nous a
pas surpris en employant des moyens, des personnes
connues, inconnues ou anonymes pour nous apporter
le réconfort dont nous avions besoin
à l'époque !
Qu'avait cette veuve ? Qu'a-t-elle
déjà reçu comme aide pour que
l'Éternel lui ordonne de prendre soin de son
serviteur ?
Un sac de 50 kg de farine ? Une ou deux jarres
d'huile ?
Non..., elle n'avait rien qu'une poignée de
farine et un peu d'huile, mais... :
... pendant longtemps elle eut de quoi manger,
elle et sa famille, aussi bien qu'Élie.
La farine qui était dans le pot
ne
manqua
point, et
l'huile
qui était dans la cruche ne
diminua point...
1
Rois 17: 15-16
Le peu qu'elle avait dans les mains devint une
"fortune" entre celles du Dieu tout-puissant qui
multiplie quasiment à l'infini ce qui lui
est confié.
Le "peu" qu'il nous donne parfois au
compte-gouttes, n'est pas fait pour nous effrayer,
mais bien pour nous montrer qu'il s'occupe de
nous : "ainsi parle
l'Éternel, le Dieu d'Israël : La
farine qui est dans le pot ne manquera point et l'huile qui est dans la cruche
ne
diminuera
point"
(1 Rois 17: 14).
Jamais le pot ne fut rempli à
raz-bord ! Cependant il a toujours contenu ce
qui était nécessaire pour faire vivre
la famille de cette veuve et Élie !
C'est Satan qui mettra en relief le peu que Dieu
donne à la fois (et à la
foi) !
C'est lui qui fera tout son possible pour
démontrer qu'il est préférable
de se tourner vers les hommes qui savent être
généreux lorsque l'occasion se
présente.
Ne tombons pas dans ce piège !
Pensons que le "un peu" provenant de la main de
Dieu, mais arrivant continuellement, est
préférable au "beaucoup" du monde
donné en une seule fois !
Dieu promet de nous accorder le pain de chaque jour
à notre demande, pas de nous faire une
réserve de pain jusqu'à nos vieux
jours ! Il serait bien trop rassis pour
être apprécié ! Il en est
de même pour l'argent qui, non seulement perd
de sa valeur au fil des mois, mais peut aussi
être volé !
"L'épreuve de notre
foi, plus précieuse que l'or"...
Mais cette foi est parfois paralysée lorsque
les sombres nuages qui accompagnent la
tempête nous cachent le soleil de Justice et
nous font oublier que "tout
est possible à celui
qui croit"
(Marc
9: 23).
Cette foi est parfois paralysée lorsque nous
ne savons même pas ce qu'il faut demander au
maître qui dort au fond de la barque, ce
Maître qui, aujourd'hui, semble être
loin de nos préoccupations terrestres alors
qu'en réalité il a promis
d'être "avec nous
jusqu'à la fin du monde"
(Matthieu 28: 20).
"Que veux-tu que je te
fasse ? " demandait Jésus
à un aveugle.
"Que veux-tu que je te
fasse ? " pourrait-il nous
demander.
Que voulaient les disciples dans la
barque ? Qu'attendait-il de
Jésus ?
Certainement pas qu'il calme la tempête
puisqu'ils furent saisis de frayeur lorsque la
tempête se tut après que le Seigneur
lui ait ordonné de faire silence.
En réalité ils ne savaient pas quoi
demander face à ce problème insoluble
à leurs yeux ! Pas quoi demander de
raisonnable ! Ils l'ont simplement
réveillé pour lui poser une
question : "ne
t'inquiètes-tu pas de ce que nous
périssons ?"
(Marc
4: 38).
La barque se remplissait d'eau ; une paire de
bras supplémentaires pour écoper
cette eau aurait certainement été la
bienvenue. Mais Jésus n'est pas venu pour
maintenir notre barque à flots chaque fois
que nous essuyons un coup de vent.
En effet..., il faut d'abord savoir si la
tempête est consécutive à un
mauvais choix, dans ce cas il faudra virer de bord
pour retrouver le calme,
Par contre, si elle est destinée à
tester notre foi, gardons le cap, continuons dans
la même direction, celle que le Seigneur
nous a donnée.
Les disciples, quant à eux, étaient
à leur place, allant dans la bonne
direction, Jésus leur ayant demandé
de changer de pays, de passer vers l'autre rive du
lac.
Ils étaient à la bonne place, et
JÉSUS ÉTAIT AVEC EUX DANS LA
BARQUE et DANS LEUR TEMPÊTE !
Suis-je dans la bonne direction ?
Suis-je à la place où Dieu m'a
demandé d'être ?
Est-ce bien le Seigneur qui m'a conduit pour me
retrouver au point où j'en suis
actuellement ?
Prenons le temps de réfléchir lorsque
nous passons par des difficultés.
Si nous pouvons répondre affirmativement
à ces questions, alors Jésus est dans
"la barque" de notre vie, il est avec nous.
Il est présent, quoique invisible !
Présent, assis à la droite de Dieu et
intercédant auprès du Père en
notre faveur
(Romains 8: 34).
Bannis
l'inquiétude, car tu n'as rien à
craindre...
Esaïe
54. 14 (v. L.
S)
Éloigne de toi l'angoisse... (v. Bible
annotée)
Ne
crains rien,
car
je suis
avec toi ; Ne promène pas des regards
inquiets, car :
- Je
suis ton
Dieu ;
- Je te
fortifie,
- Je
viens à ton
secours,
- Je te
soutiens de
ma
droite triomphante. Esaïe
41: 10 (v. L.
S)
Alors que Jésus était
réveillé (nous retournons dans la
barque avec les disciples), la première
chose qu'il fit, c'est de s'occuper du
problème, "il
menaça le vent et les flots qui
s'apaisèrent, et le
calme revint" (Luc 8:
24) : "il menaça
le vent, et dit à la mer :
Silence ! tais-toi ! Et le vent cessa, et
il y eut un
grand
calme" (Marc 4: 39).
Le calme revint... la paix après
l'épreuve de la foi !
Et pour nous..., la paix pendant
l'épreuve de la foi !
La paix pendant... si nous nous rappelons
que tout pouvoir lui a été
donné dans le Ciel et sur la Terre (Matthieu
28: 18).
La paix du coeur, même si au dehors rien ne
semble avoir changé, même si la
situation semble s'aggraver et qu'à vues
humaines, c'est la catastrophe assurée,
le naufrage garanti !
Une paix qui ne pourra s'installer que si nous nous
sommes déchargés sur
Jésus-Christ de notre fardeau, que si nous
crions à l'Éternel plutôt
qu'aux hommes.
La tempête... souleva
les flots de la mer. Ils montaient vers les cieux,
ils descendaient dans l'abîme ; Leur
âme était éperdue en face du
danger.
Saisis de vertige, ils chancelaient comme un homme
ivre, Et toute leur habileté était
anéantie.
Dans
leur
détresse, ils crièrent à
l'Éternel,
Et il les délivra de leurs angoisses ;
Il arrêta la tempête, ramena le calme,
Et les ondes se turent.
Ils se réjouirent de ce qu'elles
s'étaient apaisées, Et
l'Éternel les conduisit
au port désiré.
Psaume
107: 25 - 30
(v. L. S)
Comment va-t-il ramener le calme dans nos
tempêtes lorsqu'il n'y a ni vent, ni flots
qui viennent nous malmener ? Comment va-t-il
s'y prendre pour solutionner des
problèmes consécutifs à la vie
de tous les jours qui n'ont rien à voir avec
les éléments de la
nature ?
La question n'est pas de savoir comment il
pourrait agir, mais plutôt :
- Savoir si je veux bien le laisser
agir !
- Savoir si je suis (encore) prêt
à lui faire confiance..., les yeux
fermés.
Mes oreilles n'entendront pas forcément les
ordres qu'il a donnés, pas plus que mes yeux
ne verront les anges qu'il utilise pour changer les
situations en faveur des saints. L'important n'est
pas de voir ou d'entendre, mais de croire ce qu'il
a dit : DE PRENDRE DIEU AU MOT !
Les disciples ne pensaient pas un seul instant
qu'un homme de leur époque ait
l'autorité sur la nature comme l'avait eu
Josué qui, autrefois, avait commandé au
soleil et à la lune de s'arrêter
(Josué
10: 12) ou à
Élie qui commanda à la pluie de ne
plus tomber.
Même s'ils avaient déjà vu le
Seigneur accomplir des miracles en faveur des
hommes, ils ne le connaissaient pas encore (Le
connaissons-nous mieux qu'ils ne le
connaissaient ?). "Ils
se dirent les uns aux
autres : Quel est donc celui-ci, à qui
obéissent même le vent et la
mer ?"
(Marc
4: 41)
Où est ma foi dans
l'épreuve ?
Où est ma confiance en Dieu lorsque je me
retrouve dans ce qui me semble une
impasse ?
Qu'en est-il des enseignements reçus dans le
passé ?
Jésus n'est-il plus le même qu'hier
lorsqu'il m'a béni, lorsqu'il t'a
béni (e) ?
Jésus ayant fait l'inimaginable pour ses
disciples, ne nous tordons pas les méninges
à chercher comment il pourrait faire pour
nous sortir de nos difficultés. Ne lui
suggérons pas des solutions pour nous
secourir, il est encore capable de nous
surprendre, (non par sa fidélité,
car il est Dieu et il ne peut mentir, mais) par
sa façon de nous sortir de notre
tempête.
Alors, mon âme... ne t'affole plus devant
mes impossibilités, reste en repos.
S'il nous a surpris dans le passé en nous
bénissant, en nous exauçant par un
moyen auquel nous n'avions pas pensé,
restons dans l'attente et dans la foi. Nous serons
certainement, une fois de plus,
émerveillés par la façon dont
il conduit la vie des hommes et répond
à leurs prières..., à notre
prière, à notre foi."
J'ai cherché
l'Éternel, et il m'a répondu ;
Il m'a délivré de toutes mes
frayeurs.
... Rien ne
manque
à ceux qui le craignent.
Psaume
34. 4 & 9
(v. L. S)
"Pourquoi avez-vous peur ?" demanda le
Seigneur Jésus.
Pourquoi avons-nous peur ?
Pourquoi as-tu peur alors qu'il est
écrit :
Ne
crains rien,
car je suis avec toi;
Ne promène pas des regards inquiets, car je
suis ton Dieu ;
Je te fortifie, je viens à ton
secours...
Esaïe
41: 10 (v. L.
S)
SI TU
CROIS, TU
VERRAS LA GLOIRE DE DIEU.
Jean
11: 40 (v. L.
S)
***
Trop souvent je murmure
Quand la route est obscure
Oh ! ma foi faiblira.
Et pourtant la promesse
Est là pour ma faiblesse
L'Éternel pourvoira !
L'Éternel pourvoira !
Refrain:
Oui mon Dieu pourvoira,
Il ne mentira pas
Oui mon Dieu pourvoira,
Il l'a dit l'a dit
Il le fera.
Je ne veux plus me plaindre,
Je ne veux plus rien craindre,
Car pour moi Dieu sera.
En avant et courage !
Jusqu'au bout du voyage
L'Éternel pourvoira !
L'Éternel pourvoira !
Et la mer mugissante,
Soudain obéissante,
Sous mes pas s'ouvrira.
Plus le danger menace,
Plus puissante est la grâce
L'Éternel pourvoira !
L'Éternel pourvoira !
Chant adapté d'un poème de Frank
Thomas tiré de la brochure: la souffrance.
A suivre: (2) Disciples de Jésus-Christ, ne vous inquiétez donc point! Nos destinées sont dans SA main!
J-M Ravé 28 février 2009 - CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse
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