Soyez sur vos gardes
1 - Ne méprisons pas les avertissements:
"Si vous entendez sa voix...."L'Éternel envoya
parmi eux des prophètes pour les ramener
à lui, mais
ils n'écoutèrent point les
avertissements
qu'ils en reçurent. 2 Chroniques 24. 19 (v. L. S)
Vous donc, bien-aimés, qui êtes
avertis, mettez-vous sur vos
gardes, de peur
qu'entraînés par l'égarement
des impies, vous ne
veniez à déchoir de votre
fermeté.
2 Pierre 3: 17 (v. L. S)
Une maxime du monde déclare "qu'un homme
averti en vaut deux", c'est-à-dire qu'un
homme qui a été prévenu est
responsable de la façon dont il va se
conduire suite à l'avertissement qui lui a
été donné. À aucun
moment, il ne pourra dire "je ne savais pas" pour
s'excuser de son comportement.
En lisant la Bible, nous constatons que
l'Éternel a donné de nombreux
avertissements à son peuple dans TOUTES
et pour TOUTES les générations.
Nous faisons partie d'une génération
où les avertissements divins devraient
d'autant plus raisonner à nos oreilles que
nous vivons une période où nous
voyons, à l'oeil nu, la réalisation
des prophéties concernant la fin des
temps.
C'est par amour que Dieu a averti les hommes dans
les siècles passés, et c'est toujours
par amour qu'il le fait aujourd'hui afin que nous
ne subissions pas la juste colère
divine.
Cette colère sera aussi réelle que
son amour.
En parlant de l'une et de l'autre, nous devons
comprendre qu'il n'y a aucune raison que
certaines parties de SES paroles ne s'accomplissent
pas. Si Dieu n'était pas fidèle
à SA parole, comment aurions-nous la
certitude de rester au bénéfice de
son amour ?
Sous prétexte que "Dieu a tant aimé le monde en
donnant son Fils unique"
(Jean 3: 16), il y en a qui pensent
qu'il serait inconcevable que ce "si grand amour"
ne s'étende pas, sans condition, sur
tous les hommes, quelle que fut leur
conduite !
Un amour aveugle en quelque sorte, un amour qui
devrait être "garantie à vie", et
l'être d'autant plus quand on a fait un pas
dans la bonne direction ! Un amour qui ne
tiendrait pas compte du comportement de
l'être aimé, de sa
fidélité, de son
engagement !
Ce genre d'amour n'existe pas dans le coeur de Dieu
même s'il est vrai que son amour est
PROPOSÉ à tous !
Mais tous veulent-ils en
bénéficier ?
En regardant autour de nous, nous voyons bien qu'un
nombre toujours plus grand de nos contemporains
veut vivre sans Dieu, sans SA loi, sans SON
amour !
Dès lors nous pouvons comprendre que
l'amour et la colère de Dieu doivent
s'exercer selon l'attitude de l'homme face à
son Créateur :
- L'amour, pour s'être mis à l'abri de
la colère en acceptant de suivre
Jésus.
- La colère, pour avoir
méprisé l'amour, la grâce et le
pardon qui étaient offerts par le Fils de
Dieu.
En dehors de cette ligne de conduite
générale qui trace deux routes bien
distinctes, celle qui mène à la vie
et celle qui mène à la mort, le
peuple de Dieu - quelle que soit son
identité (Israël ou l'Église de
Jésus-Christ) - a toujours
été encadré par divers
avertissements afin qu'il ne s'écarte
pas de la voie qui lui avait été
tracée pour qu'il arrive là où
le Seigneur désirait le mener.
Ainsi parle l'Éternel,
ton rédempteur, le Saint
d'Israël : Moi, l'Éternel, ton
Dieu, je t'instruis
pour ton bien, Je
te conduis dans la
voie que tu
dois
suivre.
Esaïe 48: 17 (v. L. S)
Toute
Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre,
pour corriger, pour instruire dans la
justice, afin que
l'homme de Dieu soit accompli et propre à
toute bonne oeuvre. 2 Timothée 3:
16-17 (v. L.
S)
Il est triste de constater qu'un nombre
considérable des fils d'Adam et de bien des
enfants du peuple de Dieu, n'ont pas voulu
prêter attention aux différentes
paroles qui les avertissaient en les invitant
à venir ou revenir au Seigneur.
Connaissant la Loi, les commandements de Dieu,
certains ont même déclaré
qu'ils suivraient les penchants de leur coeur
plutôt que d'obéir à la Parole
du Seigneur : "ils
disent : C'est en vain ! Car nous suivrons nos
pensées,
Nous agirons chacun selon les penchants de notre
mauvais coeur"
(Jérémie 18: 12).
Sans doute pourrions-nous être
offusqués d'un tel comportement !
Avant de condamner les coupables, regardons si,
nous aussi, nous ne sommes pas, de temps à
autre, des enfants rebelles.
Regardons si nous ne préférons pas,
dans certaines occasions, "suivre les
pensées de notre coeur" au risque
d'attrister le Saint-Esprit, plutôt que de
prêter attention à la voix de Dieu
qui, d'une façon ou d'une autre, nous a
parlé pour que nous changions de
conduite !
Regardons et réagissons en nous mettant en
ordre, si besoin est, afin de ne pas recevoir le
salaire de nos égarements comme l'ont
reçu ceux et celles qui
persévéraient volontairement dans le
mal :
Alors, j'ai
(l'Éternel) accompli sur eux toutes les
paroles de cette alliance, Que je leur avais
ordonné d'observer et qu'ils n'ont point
observée. Jérémie 11:
8 (v. L. S)
(Si nous avons quelques connaissances de l'histoire
du peuple Israël, comparons les
malédictions qui ont été
prononcées sur le Mont Ebal, et voyons si
Dieu a laissé tomber Sa parole ou s'il l'a
accomplie - Lire
Deutéronome 27: 9-26 &
28: 15 et suivants pour ce qui
concerne les malédictions et leurs
conséquences, et lire Deutéronome
28: 1- 14 pour les conditions de la
bénédiction.
Souvenons-nous que Dieu ne ment pas,
qu'il n'a jamais menti et qu'il ne
mentira jamais !
Les promesses de bénédictions ou de
malédictions ne sont pas vaines. Ne croyons
surtout pas que Dieu puisse être "trop"
bon pour ne pas sévir si besoin
est :
Parce qu'ils m'ont
abandonné ... ma colère s'est
enflammée
contre ce lieu, et elle ne s'éteindra point.
2 Rois 22: 17 (v. L. S)
La colère de
l'Éternel s'enflamma contre son
peuple, Et il prit
en horreur son héritage. Psaume 106: 40 (v. L. S)
... ils ont été rebelles, ils ont
attristé son esprit saint ; Et
il est devenu leur
ennemi, il a
combattu contre
eux". Esaïe 63: 10 (v. L. S)
Les avertissements qui concernaient le peuple
d'Israël dans l'ancienne alliance n'ont jamais
été donnés en vain. De tout
temps il a été prouvé que la
Parole de l'Éternel s'accomplirait à
son heure et selon ce qu'il avait dit ;
paroles de bénédictions comme paroles
de malédictions !
Ainsi en est-il de ma
parole,
qui sort de ma
bouche : Elle ne retourne point à moi
sans effet, sans
avoir exécuté ma volonté et
accompli mes desseins. Esaïe 55. 11 (v. L. S)
De l'ancienne Alliance à la nouvelle
Alliance, du temps de la loi au temps de la
grâce, le même principe reste en
vigueur : la PAROLE DE DIEU S'ACCOMPLIT
TOUJOURS !
La grâce ne minimise pas les commandements de
Dieu.
La grâce n'atténue pas l'horreur du
péché.
La grâce ne ferme pas les yeux sur nos
désobéissances.
La grâce n'amoindrit pas les
conséquences du péché.
La grâce n'efface pas la condamnation des
pécheurs non repentants.
Le ciel et la terre
passeront, mais mes
paroles
(celles de Jésus) ne
passeront point.
Matthieu 24. 35 (v. L. S)
Je (Jésus) vous le dis en
vérité, tant que le ciel et la terre
ne passeront point, il ne disparaîtra pas de
la loi un seul iota ou un seul trait de lettre,
jusqu'à ce
que tout soit arrivé. Matthieu 5: 18 (v. L. S)
.... la parole du Seigneur
demeure éternellement. Et cette parole est celle qui vous a
été annoncée par
l'Évangile.
1 Pierre 1: 25 (v. L. S)
Ancienne ou nouvelle alliance, la Parole
de Dieu reste fidèle à
elle-même : la grâce n'a
jamais amoindri la faute, mais elle a toujours
présenté le pardon à celui qui
confessait et abandonnait son
péché.
La grâce n'a jamais présenté le
péché comme quelque chose
d'agréable à Dieu, elle n'a jamais
appelé le mal "bien".
La grâce n'existe que pour pardonner des
coupables qui reconnaissent leurs fautes et ont
à coeur de ne plus recommencer. Sans cette
attitude de coeur, la grâce ne peut
être présentée. Seuls, la
colère et le jugement se manifesteront alors
à l'encontre du pécheur non
repentant.
L'Éternel est lent
à la colère et riche en bonté,
il pardonne
l'iniquité et la
rébellion ; mais il ne tient point le coupable pour
innocent... Nombres 14. 18 (v. L. S)
De tout temps l'homme a été averti
des conséquences qu'il aurait à
subir suite à sa rébellion contre
Dieu, cet homme qui préfère suivre sa
propre volonté plutôt que celle du
Seigneur ; homme (ou femme) que l'on
reconnaît au travers de ces paroles :
"MOI, je pense que..."
Depuis Adam, depuis le commencement de
l'humanité, chacun a été
averti que la désobéissance avait un
prix à payer. Et quel prix !
L'enfant de Dieu, le racheté, le
gracié, n'échappe pas non plus aux
avertissements divins. "Dieu l'a tant aimé",
qu'il le protège par une suite de conseils,
de commandements, de recommandations à
découvrir particulièrement dans le
Nouveau Testament. Tous utiles, autant les uns que
les autres, pour ne pas nous perdre en retournant
à la vie que nous avions abandonnée
en venant à Christ.
Nous sommes donc des hommes et des femmes avertis
des conséquences qu'il pourrait y avoir
à marcher dans la
désobéissance et surtout à y
rester.
La grâce et l'absence de sanction
immédiate du péché font croire
à certains que Dieu oublie nos fautes ou
qu'il les tolère.
Il les tolérerait parce qu'il nous aime
tellement, qu'il ne saurait être aussi
sévère avec ses enfants qu'avec les
"sales garnements" du monde qui ne veulent pas
entrer dans sa famille.
Abandonnons vite cette idée, car elle ne
vient pas du Seigneur ! Elle a
été suggérée par le
prince des ténèbres, par Satan qui
cherche toujours à endormir notre
conscience.
Notre Père céleste ne manquera pas de
nous sanctionner au moment qu'il le jugera utile si
nous nous égarons. Il le fera parce que nous
lui appartenons et qu'il nous reconnaît pour
SES enfants :
Si vous êtes exempts
de la correction
à laquelle tous ont part, vous êtes
donc des enfants illégitimes, et non des
fils. Hébreux 12: 8 (v. Bible annotée)
Si vous êtes sans la discipline à
laquelle tous participent, alors vous êtes
des bâtards et non pas des fils. (v.
D)
Notre marche dans le chemin étroit doit nous
différencier d'avec la conduite de ceux et de
celles qui marchent dans le chemin large de la
perdition.
L'apôtre Pierre n'hésite pas à
évoquer certains jugements de Dieu pour nous
rappeler qu'ils ont été donnés
afin de nous servir d'instruction
(1 Corinthiens 10 ; 11) pour que
nous ne ressemblions pas à ceux qui ont subi
la juste colère du Seigneur.
- ... si Dieu n'a pas
épargné les anges qui ont
péché...
- ... s'il n'a pas
épargné l'ancien monde, mais s'il a
sauvé Noé...
- ... s'il a
condamné
à la destruction et réduit en cendres
les villes de Sodome et de Gomorrhe, les donnant
COMME EXEMPLE AUX IMPIES À VENIR...
- ... le Seigneur
sait délivrer de l'épreuve les hommes
pieux (il a
délivré Lot), et réserver les injustes pour
être punis au jour du
jugement...
2 Pierre 2: 4 et
suivants (v. L.
S)
Dieu n'épargne pas le pécheur qui ne
veut pas se repentir, mais il fait grâce
à celui ou à celle qui
reconnaît son péché
et l'abandonne !
Son amour l'a conduit à offrir son Fils
bien-aimé. Jésus a pris sur lui TOUS
nos péchés et la condamnation qui y
était associée.
Il l'a fait pour que nous soyons au
bénéfice de son amour. Non pas
d'un amour qui ferme les yeux sur nos fautes,
mais d'un amour qui le conduit à agir
avec douceur ou sévérité,
selon les circonstances. Son but étant
toujours d'amener les hommes à changer de
comportements afin de ne pas avoir à subir
les tourments éternels de l'enfer.
Voudrions-nous réellement continuer à
pécher volontairement ?
Voudrions-nous fermer nos yeux sur des
péchés tellement évidents que
même les païens s'en rendent
compte ?
Ne croyez pas que j'accuse qui que ce soit !
Si je suis sur la liste des pécheurs
pardonnés, je suis aussi sur celles des
pécheurs potentiels ! La liste des
croyants qui, s'ils ont trébuché,
peuvent toujours être au
bénéfice de la grâce en
confessant et en abandonnant leurs
péchés.
Aujourd'hui, si vous
entendez sa voix, n'endurcissez pas vos
coeurs.
Hébreux 4. 7 (v. L. S)
AVERTISSEMENT SOLENNEL que cette parole !
Avertissement qui nous interpelle tous, car la voix
de Dieu ne sert pas uniquement à appeler les
païens à la repentance, mais aussi
à appeler les chrétiens à la
même repentance lorsqu'ils ont
péché.
Soyons donc sur nos gardes lorsque nous sommes
repris dans notre conscience, ne passons pas
à côté de l'avertissement et
reconnaissons que, pareillement à
l'apôtre Paul, nous pouvons dire :
Je sais qu'en moi,
c'est-à-dire dans ma chair, n'habite pas le
bien ; car vouloir le bien est à ma
portée, mais
l'accomplir, non.
Car je ne fais pas le bien que je veux ; mais
je fais le mal que je ne veux pas". Romains 7: 18-19 ; v. Bible
annotée)
Dernièrement j'ai pu me rendre compte de la
véracité de ce verset !
C'était dimanche passé !
Alors que j'avais parlé de la convoitise le
matin même, voilà que
l'après-midi, tandis que je visitais une
serre dont l'entretien laissait à
désirer, j'eus la pensée de
récupérer deux petites boutures pour
compléter ma collection de plantes.
Mon "forfait accompli", le lundi matin je fis mon
culte personnel tout en relisant les sept points
que j'avais relevés, points qui rendaient
inefficace l'exaucement de la prière (voir
message intitulé : "La prière
inefficace du chrétien"). Ma conscience
endormie ne me reprocha rien et la journée
se passa comme à l'accoutumée.
Le lendemain, mardi matin, lors de mon culte
personnel, je décidais de ne pas relire les
sept points que j'avais relevés disant au
Seigneur que j'étais en ordre de ce
côté-là ! C'est alors
qu'une pensée vînt à mon
esprit : "Et les boutures !"
Réveillé de ma somnolence
spirituelle, je ne pus que confesser mon
péché et demander pardon à
Dieu en m'engageant à ne plus
recommencer.
Soyez sur vos gardes, disait le Seigneur
Jésus !
Soyons sur nos gardes et ne méprisons pas
ses avertissements lorsqu'il nous reprend.
Acceptons humblement ses remarques et tenons-en
compte afin que rien ne fasse obstacle à nos
prières !
Ainsi, je réalisais, un peu tard, que la
convoitise se cache aussi dans de petites choses
qui paraissent insignifiantes aux yeux de
l'homme.
Toutefois, si réellement nous avons
à coeur de marcher honnêtement dans la
voie de Dieu, le Saint-Esprit mettra toujours en
lumière nos écarts de conduite.
Il l'a fait ! Que le nom du Seigneur soit
béni !
"Cet incident" déclencha toute une suite de
réflexions.
Béni soit Dieu pour l'enchaînement des
textes bibliques qu'il me remit en mémoire
en me montrant bien que "le coeur de l'homme - le
mien aussi en l'occurrence - est tortueux
par-dessus tout"
(Jérémie 17: 9).
Ta parole est
(véritablement) une lampe à mes pieds, Et
une lumière sur mon sentier.
(Psaume 119: 105).
Qu'allais-je faire de ces boutures ? Un
combat allait s'engager pour que la bonne
décision soit prise.
Dans un premier temps je pensais les garder comme
témoignage, comme souvenir de mon
inconduite. Je pensais que le Seigneur était
capable de les faire sécher subitement s'il
ne voulait pas que je les garde. N'avait-il pas
fait sécher un figuier
(Marc 11: 14 et
20) ?
Mais que se cachait-il vraiment au fond de mon
coeur pour que j'en vienne à penser
ainsi ? Derrière le paravent de la
repentance ne restait-il pas encore une racine de
convoitise qu'il fallait absolument extirper de mon
coeur ?
Dieu allait s'en charger au travers de mon
travail ! C'est en mettant au propre une
prédication en vieux français, datant
de 1761, basée sur l'épître de
Jacques, que la lumière se fit en
moi :
"Si vous gardez ce bien mal
acquis, vous êtes semblables
à cet homme, qui considère dans un
miroir sa face naturelle, mais qui s'étant
considéré soi-même, et s'en
étant allé, a aussitôt
oublié quel il était."
Vous venez dans ce Temple, pour apprendre à
vous connaître vous-mêmes.
La Parole de Dieu est un miroir. Nous vous
présentons ce miroir.
Nous vous produisons vous-mêmes à
vous-mêmes.
Vous voyez vos
difformités : vous en
êtes épouvantés.
Mais, si contents d'avoir vu ce que vous
êtes, vous ne travaillez
à vous réformer, vous
êtes semblables à cet homme, qui
regarde dans un miroir sa face naturelle, qui y
voit mille impuretés, mais qui s'en va,
et qui oublie aussitôt quel il
était..."
( Jacques 1: 23-24)
Suite à cette lecture j'abandonnais "ce bien
mal acquis", remerciant Dieu de m'avoir ainsi
éclairé. Je reste reconnaissant de ce
qu'il prête ainsi une si grande attention
à mes prières lorsque je lui demande
de sonder mon coeur, même s'il a fallu encore
confessé mon péché aux
croyants qui m'accompagnaient!
Je ne fais pas le bien que
je veux, et
je fais le mal que
je ne veux pas. Et
si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi
qui le fais, c'est le péché qui
habite en moi...
... Misérable que je suis ! Qui me
délivrera du corps de cette
mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par
Jésus-Christ notre Seigneur... Romains 7: 19-25 (v. L. S)
Ne méprisons donc pas les
avertissements du Seigneur.
"Si nous entendons sa voix, n'endurcissons pas
notre coeur", acceptons les reproches divins et
agissons comme il le demande.
Le Père céleste nous a aimés,
le Fils nous aime. Ensemble, ils veulent que nous
avancions dans la sanctification. Ne minimisions
pas nos mauvais comportements lorsqu'ils sont mis
en lumière, acceptons d'appeler
péché ce que Dieu appelle
péché.
Comment pourrions-nous être vigilants et
prêter attention aux événements
qui marquent la fin des temps si nous refusons de
prêter attention à la santé de
notre âme ?
Ne méprisons pas les avertissements du
Seigneur. SOYONS SUR NOS GARDES !
À l'horizon se profile le jour du jugement,
le jour de l'éternité.
C'est en raison de cette éternité que
le Seigneur Jésus nous avertit
solennellement :
"PRENEZ GARDE"
Ces deux mots ne sont pas anodins. Il ne peut
pas y avoir d'avertissement s'il n'y a pas un
danger quelconque. Nous en parlerons la semaine
prochaine.
***
Voici déjà,
bien-aimés, la seconde lettre que je
(l'apôtre
Pierre) vous
écris.
Dans l'une et dans l'autre je cherche à éveiller
par des avertissements votre saine
intelligence, afin
que vous vous souveniez des choses annoncées
d'avance par les saints prophètes, et du
commandement du Seigneur et Sauveur,
enseigné par vos apôtres...
2 Pierre 3: 1 et
suivants (v. L.
S).
À suivre:
"Des "si" pour donner le "la" afin de nous accorder
avec la volonté de Dieu"
J-M Ravé 1er août 2009 - CP 474 - 2300
Chaux-de-Fonds - Suisse
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