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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Je ne leur pardonnerai plus (dit l'Éternel)
Mais...
... C'est quand même auprès de Dieu que se trouve le pardon. (1)
__________________________

Si tu gardais le souvenir des iniquités, Éternel, Seigneur, qui pourrait subsister ?
Mais
le pardon se trouve auprès de toi, Afin qu'on te craigne. Psaume 130: 3-4

Derrière ce texte de l'Écriture, nous voyons se profiler la bonne nouvelle de l'Évangile qui nous apprend que "Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3: 16).

Nous comprenons aussi que cette bonne nouvelle est conditionnelle ; l'Évangile de Jean est catégorique : "celui qui ne croit pas est DÉJÀ jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu" (Jean 3: 18).

Il est déjà jugé, car, n'acceptant pas Jésus comme Sauveur et Seigneur de sa vie, le souvenir de ses péchés passés, présents et à venir resteront dans la mémoire de Dieu et l'obligeront à agir en conséquence puisque " le salaire du péché, c'est la mort" (Romains 6. 23).
N'ayant pas accepté que Jésus soit mort pour lui, l'incrédule ou le rebelle devra donc être éternellement séparé de Dieu pour connaître ce que l'Écriture appelle la "seconde mort" (Apocalypse 2: 11 ; 20: 6), la première étant celle qui nous fait quitter ce monde. Cette seconde mort - cette séparation éternelle - sera terrible puisque le Seigneur Jésus parle d'un endroit où il y aura des pleurs et des grincements de dents.

Ajoutons encore que le fait d'avoir accepté Jésus comme Sauveur n'est que l'entrée en matière du salut puisque cette première démarche doit être suivie par l'acceptation que ce Sauveur devienne aussi le Seigneur afin qu'il conduise - jusqu'au bon port - la vie de celui qu'il a sauvé.

En refusant de conformer notre vie aux enseignements du Seigneur, il est évidemment que nous ne croyons pas en Jésus-Christ de la bonne façon.
Ne croyant pas, ne lui obéissant pas, comment pourrons-nous parvenir à franchir les portes du Royaume de Dieu puisque Jésus est le seul chemin qui conduise à la Vie éternelle (Jean 14: 6) ?

Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions... Matthieu 11. 29

... le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec les anges de sa puissance, au milieu d'une flamme de feu, pour punir ... ceux qui n'obéissent pas à l'Évangile de notre Seigneur Jésus.
Ils auront pour châtiment
une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur... 2 Thessaloniciens 1: 7-9

Ne nous trompons pas par de faux raisonnements et mettons la Parole de Dieu en pratique (Jacques 1: 22), faute de quoi la ruine éternelle sera la destinée de ceux et celles qui n'obéissent pas. Ceux dont les péchés ne pourront être effacés en raison de leur persistance à désobéir au lieu de se repentir.
Ne pas obéir, c'est ne pas mettre en pratique ce que l'Écriture nous demande de faire ! Désobéir commence déjà par le refus de s'instruire des choses de Dieu, qu'on se le dise !

Voilà donc ce qui se passe lorsque l'Éternel garde le souvenir des iniquités, un souvenir qui demeure par le fait que l'auteur du péché a refusé - par sa conduite - que son péché soit effacé au travers du seul moyen que Dieu a donné aux hommes.

Ayant refusé que son péché soit effacé, le coupable devra en rendre compte et en subir la peine.
Souvenons-nous que personne ne pourra subsister devant le Seigneur si les péchés ne sont pas effacés (Psaume 130: 3) !

Celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite. 1 Pierre 1: 15

Tes yeux sont trop purs pour voir le mal, et tu ne peux pas regarder l'iniquité.
Habakuk 1: 13

Mais..., quelle différence avec la position de l'enfant de Dieu qui a été racheté et qui a fait la paix avec son Père céleste !
Ses péchés ayant été effacés par le précieux sang de Jésus-Christ, il a désormais un accès continuel au trône de la grâce :

Par lui
(Jésus) nous avons les uns et les autres accès auprès du Père, dans un même Esprit. Éphésiens 2: 18

Ne perdons pas cette liberté comme certains l'ont perdue en se détournant de la vérité (2 Timothée 2: 18 ; 4: 4 ; Tite 1: 14).
Souvenons-nous que notre âme est précieuse aux yeux du Seigneur. Elle a un grand prix, puisqu'il a fallu qu'un homme paye de sa vie pour nous arracher aux flammes éternelles que nous méritions tous.
Que dis-je ? Un homme !
Bien plus qu'un homme ! Le Dieu vivant, le Dieu tout-puissant... ! Jésus-Christ !

Cette âme..., la nôtre..., a-t-elle de la valeur à nos yeux ? Une valeur telle, que nous ferons tout pour la garder ?
Sans doute devrions-nous reconsidérer son prix ! Elle vaut bien plus que tous les trésors de la Terre, bien plus que tous les plaisirs du monde que nous pourrions avoir du mal à lâcher.

Sans doute devrions-nous reconsidérer - SÉRIEUSEMENT - son prix afin de la replacer dans son écrin, telle une perle précieuse. "Que donnerait un homme en échange de son âme (Marc 8: 37?

Veillons à ne pas nous comporter comme des insensés au point d'obliger ce Dieu d'amour à fermer la porte de son Royaume comme elle a été fermée pour les vierges folles de la parabole (Matthieu chapitre 25).
Une image vivante qui nous dépeint ce que sera l'avenir pour des enfants de Dieu qui n'auront pas été attentifs à la voix et aux enseignements de leur Maître. Ils auront beau tambouriner contre la porte, ils resteront derrière elle, ils resteront du mauvais côté et s'entendront dire : "JE NE VOUS CONNAIS PAS !" (Matthieu 25: 12).

"Dieu a tant aimé le monde..."
Il ne nous est pas possible de mettre en doute cette vérité, le sacrifice de Jésus sur la Croix étant le summum, le maximum que Dieu ait pu faire pour révéler au monde aussi bien sa sainteté que sa justice et son amour.

"Dieu a tant aimé le monde..."
Mais le monde n'aime pas Dieu..., mais des enfants de Dieu ne l'aiment plus comme auparavant (Apocalypse 2: 4).
D'autres ont même choisi de retourner volontairement à leurs premières amours, celles que le monde leur offrait autrefois. En dépit des appels réitérés à revenir dans la maison du Père, ils s'obstinent à vivre comme ils l'entendent plutôt que de se soumettre.

"Je ne leur pardonnerai plus", disait l'Éternel en parlant à ses prophètes, Osée et Amos.
De qui parlait-il ?
Il parlait de la maison d'Israël, il parlait de son peuple, le peuple de Dieu qui refusait de prendre en considération la Parole divine (Osée 1: 6 ; Amos 7: 8 ; 8: 2).

Ne pensons pas que cette façon de parler ne concernait que les personnes vivant sous l'ancienne alliance.
Dans la nouvelle alliance, quoique nous soyons au bénéfice de la grâce, la pensée de Dieu n'a pas changé même si les mots employés ne sont plus les mêmes.
Un passage de l'épître aux Hébreux nous avertit clairement que les enfants de Dieu qui ont bénéficié du pardon de leurs péchés, doivent s'attendre à un terrible jugement s'ils pèchent VOLONTAIREMENT.
Nous allons en parler dans un instant.

S'il est vrai que le pardon se trouve auprès de Dieu (Psaume 130: 4), que nous avons un accès illimité au trône de la grâce et que le sang nous purifie de TOUT péché, il y a diverses situations qui vont faire que ce sang va devenir inefficace.

Le sang de Jésus ne pouvant plus purifier les "chrétiens" devenus des pécheurs invétérés, ils resteront sales avec le péché collé à leur peau, à leur vie !
Ils auront beau déclarer que Dieu est amour, dire qu'ils ont accepté Jésus comme Sauveur, il n'en demeura pas moins que leurs péchés VOLONTAIRES leur fermeront l'accès au Royaume des cieux !

Alors, en dépit des oeuvres accomplies au nom de Jésus, le Fils de Dieu leur dira ouvertement : " Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité" (Matthieu 7: 22-23).

Maintenant, nous allons examiner diverses situations extrêmement dangereuses pour l'avenir de notre âme, l'avenir de notre homme intérieur.
Nous irons decrescendo, en allant de la pire situation à la moins mauvaise, c'est-à-dire de celle où il n'y a plus de recours envisageable à celle où il est encore possible de s'approcher de Dieu - par Jésus-Christ - pour connaître le pardon.

Pour cela, nous allons commencer par ouvrir nos Bibles dans l'épître aux Hébreux, au chapitre 10 dès le verset 26:

Si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité...

Arrêtons-nous un instant pour ne pas nous égarer dans notre réflexion en croyant que nous ne sommes pas concernés. Certains pensent que ces lignes s'adressent à des personnes qui ont entendu parler de l'Évangile, mais qui n'auraient pas voulu prêter attention à la Parole de Dieu annoncée.

Dans cette situation, ces personnes-là ne pèchent pas volontairement !
Elles continuent volontairement à rester dans le chemin large qui mène à la perdition !

Elles n'ont jamais connu autre chose que ce chemin-là, donc il est toujours possible pour elles d'en changer ! D'ailleurs, il n'est pas improbable que, comme elles, plusieurs parmi nous aient mis du temps pour se décider à suivre Jésus !
Ne les jugeons pas, ne les condamnons pas... ! Qui sait si demain elles ne nous rejoindront pas?

Reprenons notre lecture en pensant à nous :

Si nous péchons volontairement (QUAND ?)
après avoir reçu la connaissance (DE QUOI) de la vérité,

il ne reste PLUS DE SACRIFICE pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera les rebelles.

Là encore, la rébellion dont il est question ne saurait concerner les inconvertis qui ne veulent pas venir à Dieu.
N'ayant jamais été pardonnés (bénéficié du pardon), le sacrifice de Jésus reste toujours valable pour le jour où ils se repentiront de leurs péchés et les abandonneront. Jour où le pardon sera effectif.
Une fois encore, nous sommes bien obligés de penser à notre conduite en tant qu'enfants de Dieu.

Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins...

Un rappel des temps anciens pour que nous en recevions une instruction et comprenions qu'à cette époque, il n'était pas question de bafouer la Parole de Dieu transmise par Moïse sans en subir immédiatement les conséquences. Et maintenant... aujourd'hui..., pouvons-nous le faire sans risque ?
Le verset suivant nous donne la réponse :

.... de quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, qui aura tenu pour profane le sang de l'alliance, PAR LEQUEL IL A ÉTÉ SANCTIFIÉ, et qui aura outragé l'Esprit de la grâce ? (v. 26 à 29)

Voici donc la mise en parallèle d'une transgression semblable à celle qui vient d'être montrée au temps de Moïse.
Semblable, mais néanmoins différente puisque, ayant connu la grâce et le pardon, l'auteur de ce péché s'attaque directement à son Sauveur en méprisant, par sa conduite VOLONTAIREMENT impie, la Parole de Dieu faite chair en Jésus-Christ.

C'est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. (
v. 31)

Ces quelques versets nous placent devant une triste réalité que le Saint-Esprit a trouvée bon de nous dépeindre. Il l'a fait afin de nous avertir pour que nous ne jouions pas avec notre salut en prenant à la légère la Parole d'un Dieu qui ne peut mentir.

Sans aucun doute, nous ne sommes pas habilités à juger qui que ce soit et à dire que telle ou telle personne est arrivée à cette extrémité.
Nous ne connaissons pas le coeur de nos semblables en profondeur. Toutefois, cette situation doit bien exister puisque Dieu a trouvé bon de nous mettre en garde.

Pour que nous soyons convaincus qu'il s'agit bien d'enfants de Dieu, c'est-à-dire de personnes qui avaient accepté Jésus comme Sauveur de leur vie et qui s'étaient engagées dans le chemin étroit, nous allons relever quelques points qui sont indiscutables :

Nous venons de voir que les individus en question ont été "SANCTIFIÉS" (v. 29) ; ils sont devenus ce que nous sommes aujourd'hui suite à notre conversion, à notre engagement à suivre Jésus-Christ :

... c'est là ce que vous étiez (dit l'apôtre Paul en parlant de notre passé), quelques-uns de vous.
MAIS vous avez été lavés, mais vous avez été SANCTIFIÉS, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ, et par l'Esprit de notre Dieu." 1 Corinthiens 6: 11

Lavés, sanctifiés, justifiés, "rachetés à un grand prix", rajoutera-t-il un peu plus loin (1 Corinthiens 6: 20).

"Vous avez été appelé à la liberté" dira-t-il encore aux Galates (5: 13), tout en attirant leur attention qu'il ne faut surtout pas utiliser cette liberté pour vivre selon les désirs de la chair.
En effet, en voulant satisfaire la chair, nous allons être en opposition avec notre homme intérieur qui désire les choses spirituelles et non les terrestres.

Dès lors, l'enfant de Dieu, lavé, SANCTIFIÉ, justifié et toujours racheté à grand prix, va vivre sa vie "chrétienne" en contrariété continuelle avec la Parole de Dieu s'il se laisse conduire par cette chair !
Cette chair dont il garde la responsabilité et possède toujours l'autorité pour la mettre au pas !

Alors..., que s'est-il donc passé dans la vie des personnes dont nous parle le passage d'Hébreux 10: 25: 31 pour qu'ils soient ainsi condamnés ?

Reprenons ce que dit le texte :

- Ils ont foulé aux pieds le Fils de Dieu.
- Ils ont tenu pour profane le sang de l'alliance.
- Ils ont outragé l'Esprit de la grâce (v. 29).

Comme vous le voyez, les accusations sont sérieuses !
Tellement graves, que nous sommes en droit de nous demander comment des enfants de Dieu lavés, sanctifiés, purifiés, ont-ils pu en arriver à ce point de non-retour ?

La Bible nous apprend qu'ils se sont placés eux-mêmes dans cette situation.
Ce n'est pas l'ennemi qui les a conduits dans un traquenard pour les piéger !
Non !
Ce sont eux-mêmes qui ont pris la décision d'agir comme ils l'ont fait !

Afin que nous ne suivions pas leur exemple, nous qui avons été lavés, SANCTIFIÉS et purifiés par le précieux sang de Jésus-Christ, leur conduite est décrite - noir sur blanc - de façon compréhensible :

ILS ONT PÉCHÉ VOLONTAIREMENT ! (v. 26)

Notons au passage qu'en réalité, aucune personne n'est citée en exemple dans ce passage alors que d'autres l'ont été ailleurs et pour diverses raisons.
Que cela ne nous empêche pas de retenir ce sérieux avertissement ! Un avertissement qu'il ne faut pas prendre à la légère puisque Dieu ne ment pas et que ce qu'il dit s'accomplit TOUJOURS !

Il ne ment pas quand il met en évidence qu'il n'y a plus de pardon possible pour de tels agissements.
Il ne ment pas puisque le sacrifice parfait qui avait été fait pour couvrir TOUS les péchés ne peut plus être mis en avant !
Christ a été foulé aux pieds, son sang a été profané, le Saint-Esprit a été outragé.

Cette dernière expression me fait penser au péché contre le Saint-Esprit :

Je (Jésus) vous dis : Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l'Esprit ne sera point pardonné. Matthieu 12. 31

N'oublions jamais que nos actes parlent souvent plus fort que notre bouche !

Veillons à ce que nous disons au travers de la façon dont nous nous conduisons afin de ne pas blasphémer contre le Saint-Esprit ou de l'outrager.

Qu'est-ce qu'un péché volontaire ? (Si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité... avoir été sanctifié...)

En toute logique c'est un péché qui est commis en connaissance de cause.
On sait pertinemment que ce que l'on va faire est un péché, mais, malgré tout on va s'engager consciemment dans cette voie.

Sans doute est-il bien difficile de donner une règle générale pour juger le comportement d'un enfant de Dieu qui est tombé dans le péché, raison pour laquelle l'épître aux Hébreux ne nous donne pas d'exemple concret.
En effet qui connaît le coeur de l'homme si ce n'est Dieu ?
Lui seul peut savoir à quel moment quelqu'un pèche volontairement, à quel moment il accomplit un acte délibéré qui ne serait pas la conséquence d'une pression extérieure.

À ce stade, nous devons comprendre qu'il ne nous appartient pas de juger celui qui est tombé dans le péché. Au contraire, s'il est tombé, nous devons lui tendre la main afin de l'aider à se relever pour autant qu'il ait encore au fond de son coeur le désir de le faire.

Il nous est bien difficile de définir clairement ce qu'est un péché volontaire, car :

- Certains ont péché par faiblesse ;
- D'autres, parce qu'ils sont devenus esclaves de passions qui les contrôlent.

Leur responsabilité peut-elle être amoindrie ?
La réponse ne nous appartient pas, car, si elle était affirmative, nous pourrions en faire un mauvais usage et nous défendre de notre péché au lieu de le confesser et de l'abandonner en disant que nous n'avons pas pu faire autrement.

En réalité personne n'est obligé de péché (volontairement) !

Personne ne peut dire " je n'avais pas d'autres solutions que celle de pécher !"

Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au delà de vos forces ; mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d'en sortir, afin que vous puissiez la supporter. 1 Corinthiens 10: 13

En tenant compte de ce texte, il est facile de comprendre que le péché VOLONTAIRE aura bien du mal à se frayer un chemin dans la vie de ceux qui sont fidèles et qui veillent attentivement sur leur âme.

Sommes-nous fidèles ?
Veillons-nous sur notre âme ?
Prenons-nous soin de notre homme intérieur ?
Avons-nous la crainte de Dieu et de Christ (2 Corinthiens 7: 1 ; Éphésiens 5: 21) ?

***

Alors que nous venons de voir le pire de ce qui peut arriver à un enfant de Dieu qui avait pourtant été lavé, sanctifié, justifié, nous allons entrevoir la situation suivante qui n'est guère enviable.

Comme la précédente, elle concerne le peuple de Dieu. Elle laisse sous-entendre que le pardon ne sera pas accordé si facilement (pour autant qu'il le soit !).

Et toi, n'intercède pas en faveur de ce peuple, N'élève pour eux ni supplications ni prières, Ne fais pas des instances auprès de moi ; Car je ne t'écouterai pas. Jérémie 7: 16

Et toi, n'intercède pas en faveur de ce peuple, N'élève pour eux ni supplications ni prières ; Car
je ne les écouterai pas... Jérémie 11: 14

Quoique nous soyons au bénéfice de la grâce de Dieu et que le Nouveau Testament nous enseigne à prier pour TOUS les hommes (1 Timothée 2: 1), nous sommes concernés par les textes que nous venons de lire.

Nous le sommes, au moins pour mesurer la grâce qui nous a été faite de pouvoir intercéder pour tous les hommes..., même pour nos ennemis !
Nous le sommes aussi par le fait que d'autres peuvent intercéder en notre faveur.
C'est une très bonne chose d'avoir cette réciprocité dans la prière d'intercession qui montre que nous veillons les uns sur les autres et que le bien-être spirituel de nos frères et soeurs dans la foi nous intéresse.

Mais..., savons-nous intercéder d'une façon qui plaise au Seigneur ?
Dieu voulant, nous en parlerons la semaine prochaine.

En attendant, soyons reconnaissants du salut qui nous a été donné en Jésus-Christ et souvenons-nous que si nous avons péché - involontairement ...

... nous avons aussi un avocat auprès du Père qui fera valoir l'efficacité de son sang en faveur de ceux qui se repentent et qui abandonnent leur (s) péché (s) [1 Jean 2: 1].

Il est IMPOSSIBLE que ceux

- qui ont été une fois éclairés,
- qui ont
goûté le don céleste,
- qui ont eu
part au Saint-Esprit,
- qui ont
goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir, et qui sont tombés,

soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu'ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l'exposent à l'ignominie. Hébreux 6: 4-6


(Version en français courant)

En effet, qu'en est-il de ceux qui retombent dans leur ancienne vie ?
Ils ont reçu une fois la lumière de Dieu.
Ils ont goûté au don céleste et ont eu part au Saint-Esprit.
Ils ont senti combien la parole de Dieu est bonne et ils ont fait l'expérience des puissances du monde à venir.

Et pourtant, ils retombent dans leur ancienne vie !
Il est impossible de les amener une nouvelle fois à changer de vie, car, pour leur part, ils remettent le Fils de Dieu sur la croix et l'exposent publiquement aux insultes.



* Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond

J-M Ravé le 25 juin 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse

C18072011


 

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