Comment ta maison (ton
âme) va-t-elle résister
dans la tourmente des temps de la
fin ?
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De parabole en parabole, nous allons tenter de
réapprendre la crainte de Dieu, car
nous l'avons vu ces derniers temps, cette crainte
est loin d'être ce qu'elle devrait
être.
L'absence d'humilité devant le
Seigneur des seigneurs traduit bien l'absence d'une
saine crainte de l'Éternel.
Les désobéissances ou faire la
sourde oreille aux appels
réitérés de la Parole de Dieu
qui nous invite à marcher dans la
sanctification, à nous instruire des choses
de Dieu, sont aussi des actions qui
révèlent l'absence de la crainte de
l'Éternel.
Tant que le Seigneur Jésus ne sera pas le
centre de notre vie, tant que nous aimerons
mieux quelqu'un d'autre que le Fils de Dieu, ou
autre chose que le Royaume des Cieux, nous courrons
le risque d'avoir cru en vain
(1 Corinthiens 15 : 2).
Nous courrons aussi le risque d'avoir mal
entendu ce que le Seigneur Jésus s'est
efforcé de nous faire comprendre en
parlant - à de nombreuses reprises - de la
perdition éternelle qui guette ceux et
celles qui ne marchent pas comme l'Écriture
le demande !
Écoutons et comprenons ce qu'il nous dit
à trois reprises en moins d'une minute dans
Matthieu 10 : 37-38 :
1 - Celui qui aime son
père ou sa mère plus que moi
N'EST PAS DIGNE DE
MOI ;
2 - Celui qui aime son fils ou sa fille plus que
moi N'EST PAS DIGNE
DE MOI ;
3 - Celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit
pas, N'EST PAS
DIGNE DE MOI.
Ça veut dire quoi ne pas être
digne ?
Ça veut dire être
INDIGNE !
Ça veut dire « qui ne
mérite pas... », qui ne
mérite plus ce qui était
offert.
Pas de mérite ou plus de mérite en
raison d'une conduite qui ne saurait plaire
à celui qui jugera selon la justice sans
faire acception de personne
(Actes 17 : 31) !
On ne peut pas toujours suivre Jésus de loin
sans prendre le risque de le renier un jour
(Matthieu 26 : 58 et
suivants).
On ne peut pas le suivre de loin et
en même temps marcher sous son
joug !
Un joug est fait pour unir, pour lier deux animaux
pour qu'ils marchent ensemble dans la même
direction et au même pas.
Le Fils de Dieu désire que nous portions son
joug pour que nous soyons attachés
à lui afin qu'il nous conduise
jusque dans son Royaume.
Gardons l'assurance que ce joug ne sera pas lourd
à porter et que les charges qu'il nous
confiera, en tant qu'ouvriers avec Dieu, ne seront
pas au-dessus de nos forces
(Matthieu 11 : 30).
Comment peut-on en arriver au point de ne plus
aimer celui qui nous a sauvés de la
condamnation ? Au point de ne pas
désirer lui être agréables en
faisant SA volonté ? L'amour de Dieu
nous a-t-il déçus ?
Comment pouvons-nous mépriser un si grand
salut
(Hébreux 2 : 3) en ne lui
accordant aucune valeur ?
Ah..., si ce salut était
réellement d'un grand prix à nos
yeux, nous serions attentifs à la
façon dont nous nous conduisons afin de ne
pas attrister le Père qui a donné son
Fils pour nous sauver de la condamnation
éternelle ; nous veillerions sur notre
âme afin de l'entraîner toujours plus
vers la lumière au lieu de la laisser
glisser vers l'indifférence.
Si ce salut était d'un grand prix
à nos yeux, nous ne serions pas des
ingrats, nous nous mettrions en quatre pour servir
celui qui a payé de sa vie les
conséquences de nos fautes, de nos
péchés et ce serait avec plaisir que
nous sèmerions la Parole de Dieu qui fut un
jour semé dans notre coeur.
Si ce salut était d'un grand prix
à nos yeux, nous ne pourrions pas nous
taire en sachant que ce salut est accordé
à TOUS les hommes.
Dieu veut que TOUS les hommes soient sauvés
(1 Timothée 2 : 4) tandis
que nous..., nous qui sommes rassemblés dans
sa maison, nous ne voulons même pas que
nos familles soient sauvées, ou, si nous
le voulons, nous ne faisons rien pour les
conduire à Christ !
Néanmoins, quelle grâce
merveilleuse de savoir que Dieu use encore de
patience à notre égard ! Il
espère que nos coeurs ne s'endurciront pas
davantage et que, revenus à notre bon sens,
nous chercherons à lui être
agréables comme des fils et des filles
doivent l'être à l'égard de
leur Père céleste.
Quelle grâce de savoir qu'il attend toujours
que nous nous repentions de nos
péchés qui, sans ressembler à
ceux du monde, ces péchés n'en
sont pas moins condamnables si nous ne les
confessons pas et ne les abandonnons pas.
Je ne sais pas si vous vous rappelez du texte de
2 Pierre 3 : 9, mais le jour
où j'ai réalisé que :
- Dieu aimait ses enfants
rachetés ;
- Qu'il usait de patience à leur
égard ;
- Que, sans cette patience, certains de ses enfants
périraient s'ils ne se repentaient
pas...
... le jour où j'ai bien compris le message,
je vous ai dit que nous parlerions très
souvent de ce verset.
Depuis ce jour, il me semble qu'il ne s'est pas
passé un mois sans que je ne vous rappelle
ce texte.
Quoique vous l'ayez entendu maintes et maintes
fois, j'ai peur que vous ne l'ayez pas encore
compris : où est le zèle que
nous devrions déployer pour la cause de
Christ ?
Vous êtes la lumière du
monde...
(Matthieu 5 : 14), avions-nous
mis en avant la semaine passée en parlant de
la première parabole que le Seigneur
Jésus exposa à ses disciples
lorsqu'ils quittèrent la foule pour
s'approcher de lui afin de mieux entendre ce
que nous appelons le « sermon sur la
montagne ».
Nous avons une grande responsabilité devant
Dieu, car étant la lumière du
monde nous DEVONS briller afin de montrer
que nous sommes bien des disciples de
Jésus qui ÉTAIT la
Lumière du monde lorsqu'il était
sur la Terre :
Pendant que je
(Jésus) suis dans le monde, je suis la lumière du
monde.
Jean 9 : 5
N'étant plus sur la Terre, c'est à
nous qu'il appartient désormais d'être
la lumière du monde et de l'être
d'autant plus facilement que
CHRIST - la Lumière du
monde - habite en
nous !
Christ..., la Lumière du monde, nous a
fait connaître l'amour du
Père.
Nous..., lumières du monde, nous nous
taisons lorsqu'il est question de faire
connaître l'amour du
Père !
Un amour qui, il est vrai, risque de choquer,
puisque le premier pas à faire est
d'annoncer la repentance afin que cet amour ait la
possibilité de se manifester dans la vie du
repentant : « ils prêchèrent la
repentance... »
(Marc 6 : 12).
Dieu, sans tenir compte des
temps d’ignorance, annonce maintenant à tous
les hommes, en tous
lieux, qu’ils
aient à se repentir... Actes 17 : 30
Écoutons encore ce que l'apôtre Paul
disait aux Philippiens. Conduit par le
Saint-Esprit, il leur explique comment ils doivent
se comporter en tant qu'enfants de Dieu.
S'attendant à être
écouté, il souhaite que la Parole du
Seigneur porte du fruit afin qu'elle ne soit pas
prêchée en vain :
Faites toutes choses sans
murmures ni hésitations, afin que vous soyez
irréprochables et purs ;
- (que vous soyez) des enfants de Dieu
irrépréhensibles au milieu d’une
génération perverse et corrompue,
parmi laquelle vous
brillez comme des flambeaux le monde, PORTANT LA PAROLE DE
VIE ;
- et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de
n’avoir pas couru en vain ni travaillé
en vain. Philippiens 2 :
14-16
Bien des prédicateurs, en cette fin des
temps, travaillent en vain dans le sens où
la Parole de Dieu qu'ils annoncent entre par une
oreille et ressort par l'autre.
Ils apportent la Parole de Vie, mais bien peu ont
le désir de briller comme des flambeaux en
témoignant de Jésus-Christ. C'est
à se demander sur quel support les auditeurs
ont bâti leur maison !
Pour que cette question ne reste pas sans
réponse, nous allons directement
écouter ce que dit le Seigneur Jésus
sur ce sujet. Qui sait si nous ne devrions pas
revoir les fondations de notre vie afin de savoir
si elle est bien basée sur quelque chose de
solide !
Pour ce faire je vous invite à ouvrir votre
Bible à la parabole de la maison bâtie
sur le roc ou sur le sable
(Matthieu 7 : 24-27).
En lisant cette parabole j'ai été
surpris de la fin ; plus exactement..., des
versets qui suivaient.
En effet, j'étais prêt à
être à l'écoute de ce que le
Seigneur allait dire pour le mettre en pratique
quand je m'aperçus qu'il ne disait plus rien
vu qu'il quittait les lieux pour aller à
Capernaüm
(Matthieu 8 : 1 et 5).
Avais-je mal compris ce que je venais de
lire ?
Très certainement !
C'est alors que je repris le début de la
parabole et qu'avec l'aide de différentes
versions je constatais qu'il demandait très
simplement de mettre en pratique ce qu'il venait
de dire précédemment ; ce
qui est compréhensible si on lit sans
précipitation le début du
verset 24 :
C’est pourquoi,
quiconque entend ces paroles que je dis...
(que je viens de dire, selon d'autres
versions).
À cet instant je compris que je lisais mal
ma Bible, car, à cet endroit, il
n'était pas question de poursuivre la
lecture du chapitre comme je l'avais fait, mais de
revenir en arrière, de remonter à
la source et réfléchir sur ces
fameuses instructions.
Comme quoi il est important de
réfléchir à ce que nous
lisons, si je ne l'avais pas fait, je n'aurais pas
été interpellé comme je l'ai
été et j'aurais poursuivi ma lecture
sans prêter attention aux paroles du
Seigneur !
Nous lisons mal... ! Nous comprenons
mal... et nous chantons aussi mal que nous
lisons ! Nous chantons n'importe quoi sans
savoir ce que nous disons.
Je me souviens du jour où la plupart d'entre
vous chantaient à pleine voie :
« Demain peut-être je te suivrai
et pour mon Maître, je te
prendrai ... ».
Avouer que, comme engagement, on peut trouver mieux
pour un enfant de Dieu qui désire servir le
Seigneur et lui rendre grâce pour le salut
qu'il nous a accordé.
(À moins que ces paroles soient le reflet de
ce que nous pensons en secret lorsqu'il est
question de s'engager dans le service !
« Demain peut-être je te suivrai
et pour mon Maître, je te
prendrai...)
C'est ainsi que nous chantons n'importe quoi sans
penser aux paroles que nous prononçons qui,
sortant de notre bouche, nous lient à ce
que nous disons !
Combien de promesses d'engagements n'ont-elles
jamais été tenues quoiqu'elles
fussent chantées de bon coeur ?
Mais..., quelle grâce de se souvenir, encore
une fois, que Dieu use de patience envers ses
bien-aimés afin qu'ils ne périssent
point.... (2 Pierre 3 : 9) !
Quelles paroles fallait-il donc mettre en
pratique pour être considéré
comme une personne sage qui a bâti sur le
Roc ?
Le Seigneur Jésus venait de citer en exemple
des personnes qui avaient prophétisé,
chassé des démons et guéri des
malades en son Nom.
Même si nous n'avons jamais fait le genre de
bonnes oeuvres que ces hommes ont mises en avant,
nous pouvons quand même être
concernés.
La sentence qui les condamne - quoiqu'ils se soient
servis du nom du Seigneur pour faire le bien - a
quelque chose à nous apprendre si nous
prenons en considération la façon
dont ils se comportaient.
Le juste Juge nous montre que toutes les bonnes
oeuvres qui ont servi à glorifier son Nom,
ne servent à rien si on vit dans le
péché, si on transgresse la
Parole de Dieu.
D'un côté, ils faisaient de bonnes
oeuvres pour la gloire de Dieu et de l'autre, ils
marchaient dans la
désobéissance !
En considérant la façon dont le Fils
de Dieu nous regarde vivre, il ne serait pas
étonnant que nous nous sentions visés
par cette sentence qui fut irrévocable.
En ce qui nous concerne, elle peut néanmoins
devenir sans effet SI nous avons
compris le texte de
2 Pierre 3 : 9.
Nous pourrions être concernés par
cette sentence bien plus que nous le
pensons !
Pour le comprendre, il suffit de prêter
attention à l'entrée en
matière qui fut utilisée par le
seigneur avant qu'il ne soit question de ces
mauvaises personnes qui faisaient pourtant du bien
en utilisant le nom de Jésus :
Ceux qui me disent :
Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas
tous dans le
royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la
volonté de mon
Père
qui est dans les cieux. Matthieu 7 : 21
Là, il n'est pas question de mérite
ou d'oeuvre à faire valoir pour se disculper
ou pour paraître un peu moins mauvais aux
yeux des autres ou à ses propres
yeux ; il est question
d'obéissance, d'une obéissance
consécutive à la crainte de Dieu que
l'on doit avoir... et à l'amour qu'on lui
porte.
Quand on possède la crainte, on
obéit ! Et quand on aime, on
obéit par crainte d'attrister celui que l'on
aime !
Réapprenons la crainte, c'est ce que le
nouveau Testament nous invite à faire.
L'absence de crainte de l'Éternel en conduit
plusieurs à vivre dans l'illusion d'avoir
bien agi alors qu'il en est tout autre ; nous
venons de le voir !
- L’Église
était en paix... marchant dans la crainte
du Seigneur...
Actes 9 : 31
- Connaissant donc
la crainte du Seigneur, nous cherchons à
convaincre les hommes...2 Corinthiens 5 : 11
- (achevons) notre
sanctification dans
la crainte de Dieu... 2 Corinthiens 7 : 1
- ... travaillez
à votre salut avec crainte et
tremblement...
Philippiens 2 : 12
- ... (rendez) à Dieu
un culte qui lui soit agréable,
avec
piété et avec crainte... Hébreux 12 :
28-29
- ...
conduisez-vous avec crainte pendant le temps de
votre pèlerinage...1 Pierre 1 : 17
Le fait de parler de bonnes oeuvres n'a pas
impressionné le Seigneur Jésus, car
les bonnes oeuvres, y compris les
nôtres, ne peuvent servir de paravent
derrière lequel il est possible de cacher
nos transgressions, nos
désobéissances.
L'obéissance ne consiste pas seulement
à approuver ce que l'on entend, mais bien
à mettre en pratique ce qui a
été entendu !
Relisons
Matthieu 7 : 24 et 26 pour nous
imprégner de ce que Jésus
disait :
QUICONQUE entend ces paroles que je dis
(que je viens de dire)
et les met en pratique, sera semblable à
un homme
prudent qui a
bâti sa maison sur le roc.
Mais QUICONQUE
entend ces paroles
que je dis (que je viens de dire), et ne les met
pas en pratique, sera semblable à un
homme
insensé qui
a bâti sa maison sur le sable.
Ce « quiconque », comme
vous le constatez, est un pronom au singulier qui
ne s'emploie jamais au pluriel.
Contrairement au « vous » que
la langue française emploie aussi bien pour
une personne que pour plusieurs, ce
« quiconque » s'adresse donc
à chacun d'entre nous PERSONNELLEMENT comme
tous les « quiconque » de la
Bible, qu'ils nous soient favorables ou
non !
QUICONQUE
invoquera le nom du Seigneur sera
sauvé. Actes 2 : 21
QUICONQUE
prononce le nom du Seigneur,
qu’il
s’éloigne de
l’iniquité. 2 Timothée 2 :
19
QUICONQUE
aura honte de
moi et de mes
paroles au milieu de cette génération
adultère et pécheresse,
le Fils de
l’homme aura aussi honte de
lui, quand il
viendra dans la gloire de son Père...
Marc 8 : 38
QUICONQUE est né de Dieu ne
pratique pas le péché... 1 Jean 3 : 9
QUICONQUE ne fut pas trouvé
écrit dans le livre de vie fut jeté
dans l’étang de feu... Apocalypse 20 : 15
Tous ces « quiconque »,
et bien d'autres encore, s'appliquent à
l'individu en particulier. C'est à titre
PERSONNEL que nous devrons rendre compte de notre
vie.
Ce ne sera pas la faute des autres si nous avons
mal agi, si nous n'avons pas obéi, si nous
n'avons pas cherché à comprendre ce
que nous disait le Seigneur.
Cette parabole de la maison bâtie sur le Roc
ou sur le sable, vous l'avez certainement compris,
s'adresse à ceux et celles qui ont
entendu la Parole de Dieu.
Nous l'avons tous entendu depuis de nombreuses
années !
Mais l'avons-nous entendue..., bien entendue,
c'est-à-dire l'avons-nous
comprise ?
Entendre, c'est bien !
Comprendre, c'est mieux !
Mettre en pratique..., c'est plaire à
Dieu !
Voilà ce que le Seigneur voulait faire
comprendre à ses disciples avant de donner
la parabole de la maison construite sur le Roc ou
sur le sable.
Il est vrai que l'obéissance n'est pas
innée, c'est la
désobéissance qui est naturelle
depuis que nos premiers parents nous ont
tracé ce chemin.
Aujourd'hui encore, certains ne font pas grand cas
de leur insoumission. L'habitude aidant, ils sont
étonnés lorsqu'on leur dit qu'ils
sont rebelles à la Parole de Dieu.
Rappelons-nous que la désobéissance
est un péché aussi grave que la
divination
(1 Samuel 15 : 23) dont la
pratique et l'utilisation conduisent dans le lieu
où il y aura des pleurs et des grincements
de dents : la divination ou la
désobéissance..., même sanction !
C’est pourquoi,
quiconque entend ces paroles que je dis...
(que je viens de dire, selon d'autres
versions). Matthieu 7 : 24
Le temps nous manque pour regarder en détail
les instructions qui avaient été
données aux disciples.
Pour aujourd'hui nous ne signalerons que les
étapes ; toutes ces étapes qui
doivent nous mener à ce que nous venons
d'étudier aujourd'hui :
l'obéissance à la Parole de
Dieu !
Si nous n'avons pas suffisamment la crainte de
l'Éternel pour marcher dans
l'obéissance, c'est peut-être parce
que nous avons manqué une étape ou
que nous en avons
sous-estimé l'importance en ne
prenant pas trop au sérieux les
enseignements qu'elle délivrait !
D'une parabole à l'autre, de la
lumière du monde à la maison
bâtit sur le Roc, voici donc le chemin
à suivre :
- Ne pas juger les autres avant de se juger
soi-même reconnaissant que nous sommes
des pécheurs comme les autres.
- Ne pas utiliser les choses saintes n'importe
comment en plaisantant avec elle (La Parole de
Dieu, le Nom du Seigneur, etc...)
- Prier Dieu avec foi en croyant que nous
serons exaucés.
- Demander à Dieu les véritables
biens (pour être exaucés).
- Faire aux autres ce que l'on voudrait que l'on
nous fasse. (On nous a apporté le salut,
sachons l'apporter aux autres).
- Entrer par la porte étroite et
suivre le chemin resserré. (Seule
possibilité pour apporter le salut à
notre famille).
- Se méfier des faux docteurs qui
pourraient nous pousser en dehors de ce chemin et
nous faire perdre de vue le but à
atteindre.
- MARCHER DANS L'OBÉISSANCE
jusqu'à la fin.
La pluie est tombée, les torrents sont
venus, les vents ont soufflé... c'est ce
qui se passe maintenant tout autour de
nous !
Comment vivons-nous les catastrophes
« naturelles » que nos
médias nous présentent
régulièrement ?
Comment vivons-nous ces temps de guerre qui,
loin de chez nous (peut-être) perturbent
quand même notre vie quotidienne ?
Comment vivons-nous ces tempêtes
financières où les pauvres
doivent payer pour que les riches n'aient trop
à perdre ?
Comment vivons-nous ces tempêtes où
la morale est piétinée et
où beaucoup sont emportés par les
vagues impures de l'immoralité ?
Comment vivons-nous les attaques contre la
foi que nos pères nous ont transmise une
fois pour toutes ?
Si notre maison est bâtie sur le Roc, elle
résistera jusqu'au bout, mais si elle est
construite sur le sable de nos raisonnements et non
sur la Parole de Dieu, les tempêtes risquent
fort de nous battre davantage jusqu'à ce que
nous devenions des ruines !
Dans quel état sommes-nous
aujourd'hui ?
Notre christianisme, notre foi en
Jésus-Christ sont-ils devenus des ruines qui
n'intéressent personne ?
Nous sommes en route vers l'autre bord !
Chaque jour qui passe, nous rapproche de ce
bord...
Chaque jour qui commence devrait être
vécu comme si c'était le dernier,
comme si c'était celui où le mot
« FIN » clôturerait
définitivement une existence durant laquelle
nous aurons été des serviteurs ou des
servantes utiles pour le Maître ou... des
serviteurs et servantes inutiles, bon à rien
sinon qu'à être jetés là
où il y aura des pleurs et des grincements
de dents
(Matthieu 25 : 30) !
Aujourd'hui, suite à cette parabole, nous
comprenons que nous avons tout intérêt
à nous maintenir dans
l'obéissance.
La suite des paraboles sera là pour nous
aider à :
- reconnaître les fruits que porte
l'obéissance,
- découvrir les conséquences -
parfois éternelles - qu'il y aura à
ne pas nous soumettre à la volonté du
Père céleste.
Veillons et prions..., soyons sur nos gardes, nous
dit Jésus
(Marc 13 : 23).
Soyez sur
vos gardes : je vous ai tout annoncé
d’avance.
***
Prenez
garde à
vous-mêmes. Marc 13 : 9
Prenez
garde, veillez et
priez ; car vous ne savez quand ce temps
viendra. Marc 13 : 33
Prenez
garde que vous ne
soyez séduits. Luc 21 : 8
***
Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond. C30112
J-M Ravé le 5 novembre 2011 - CP 474 - 2300
Chaux-de-Fonds – Suisse
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