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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Comment ta maison (ton âme) va-t-elle résister
dans la tourmente des temps de la fin ?


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De parabole en parabole, nous allons tenter de réapprendre la crainte de Dieu, car nous l'avons vu ces derniers temps, cette crainte est loin d'être ce qu'elle devrait être.

L'absence d'humilité devant le Seigneur des seigneurs traduit bien l'absence d'une saine crainte de l'Éternel.
Les désobéissances ou faire la sourde oreille aux appels réitérés de la Parole de Dieu qui nous invite à marcher dans la sanctification, à nous instruire des choses de Dieu, sont aussi des actions qui révèlent l'absence de la crainte de l'Éternel.

Tant que le Seigneur Jésus ne sera pas le centre de notre vie, tant que nous aimerons mieux quelqu'un d'autre que le Fils de Dieu, ou autre chose que le Royaume des Cieux, nous courrons le risque d'avoir cru en vain (1 Corinthiens 15 : 2).

Nous courrons aussi le risque d'avoir mal entendu ce que le Seigneur Jésus s'est efforcé de nous faire comprendre en parlant - à de nombreuses reprises - de la perdition éternelle qui guette ceux et celles qui ne marchent pas comme l'Écriture le demande !

Écoutons et comprenons ce qu'il nous dit à trois reprises en moins d'une minute dans Matthieu 10 : 37-38 :

1 - Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi N'EST PAS DIGNE DE MOI ;
2 - Celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi
N'EST PAS DIGNE DE MOI ;
3 - Celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas,
N'EST PAS DIGNE DE MOI.

Ça veut dire quoi ne pas être digne ?
Ça veut dire être INDIGNE !
Ça veut dire « qui ne mérite pas... », qui ne mérite plus ce qui était offert.
Pas de mérite ou plus de mérite en raison d'une conduite qui ne saurait plaire à celui qui jugera selon la justice sans faire acception de personne (Actes 17 : 31) !

On ne peut pas toujours suivre Jésus de loin sans prendre le risque de le renier un jour (Matthieu 26 : 58 et suivants).
On ne peut pas le suivre de loin et en même temps marcher sous son joug !
Un joug est fait pour unir, pour lier deux animaux pour qu'ils marchent ensemble dans la même direction et au même pas.

Le Fils de Dieu désire que nous portions son joug pour que nous soyons attachés à lui afin qu'il nous conduise jusque dans son Royaume.
Gardons l'assurance que ce joug ne sera pas lourd à porter et que les charges qu'il nous confiera, en tant qu'ouvriers avec Dieu, ne seront pas au-dessus de nos forces (Matthieu 11 : 30).

Comment peut-on en arriver au point de ne plus aimer celui qui nous a sauvés de la condamnation ? Au point de ne pas désirer lui être agréables en faisant SA volonté ? L'amour de Dieu nous a-t-il déçus ?
Comment pouvons-nous mépriser un si grand salut (Hébreux 2 : 3) en ne lui accordant aucune valeur ?

Ah..., si ce salut était réellement d'un grand prix à nos yeux, nous serions attentifs à la façon dont nous nous conduisons afin de ne pas attrister le Père qui a donné son Fils pour nous sauver de la condamnation éternelle ; nous veillerions sur notre âme afin de l'entraîner toujours plus vers la lumière au lieu de la laisser glisser vers l'indifférence.

Si ce salut était d'un grand prix à nos yeux, nous ne serions pas des ingrats, nous nous mettrions en quatre pour servir celui qui a payé de sa vie les conséquences de nos fautes, de nos péchés et ce serait avec plaisir que nous sèmerions la Parole de Dieu qui fut un jour semé dans notre coeur.

Si ce salut était d'un grand prix à nos yeux, nous ne pourrions pas nous taire en sachant que ce salut est accordé à TOUS les hommes.
Dieu veut que TOUS les hommes soient sauvés (1 Timothée 2 : 4) tandis que nous..., nous qui sommes rassemblés dans sa maison, nous ne voulons même pas que nos familles soient sauvées, ou, si nous le voulons, nous ne faisons rien pour les conduire à Christ !

Néanmoins, quelle grâce merveilleuse de savoir que Dieu use encore de patience à notre égard ! Il espère que nos coeurs ne s'endurciront pas davantage et que, revenus à notre bon sens, nous chercherons à lui être agréables comme des fils et des filles doivent l'être à l'égard de leur Père céleste.

Quelle grâce de savoir qu'il attend toujours que nous nous repentions de nos péchés qui, sans ressembler à ceux du monde, ces péchés n'en sont pas moins condamnables si nous ne les confessons pas et ne les abandonnons pas.

Je ne sais pas si vous vous rappelez du texte de 2 Pierre 3 : 9, mais le jour où j'ai réalisé que :

- Dieu aimait ses enfants rachetés ;
- Qu'il usait de patience à leur égard ;
- Que, sans cette patience, certains de ses enfants périraient s'ils ne se repentaient pas...

... le jour où j'ai bien compris le message, je vous ai dit que nous parlerions très souvent de ce verset.
Depuis ce jour, il me semble qu'il ne s'est pas passé un mois sans que je ne vous rappelle ce texte.
Quoique vous l'ayez entendu maintes et maintes fois, j'ai peur que vous ne l'ayez pas encore compris : où est le zèle que nous devrions déployer pour la cause de Christ ?

Vous êtes la lumière du monde... (Matthieu 5 : 14), avions-nous mis en avant la semaine passée en parlant de la première parabole que le Seigneur Jésus exposa à ses disciples lorsqu'ils quittèrent la foule pour s'approcher de lui afin de mieux entendre ce que nous appelons le « sermon sur la montagne ».

Nous avons une grande responsabilité devant Dieu, car étant la lumière du monde nous DEVONS briller afin de montrer que nous sommes bien des disciples de Jésus qui ÉTAIT la Lumière du monde lorsqu'il était sur la Terre :

Pendant que je (Jésus) suis dans le monde, je suis la lumière du monde. Jean 9 : 5

N'étant plus sur la Terre, c'est à nous qu'il appartient désormais d'être la lumière du monde et de l'être d'autant plus facilement que CHRIST - la Lumière du monde - habite en nous !

Christ..., la Lumière du monde, nous a fait connaître l'amour du Père.
Nous..., lumières du monde, nous nous taisons lorsqu'il est question de faire connaître l'amour du Père !
Un amour qui, il est vrai, risque de choquer, puisque le premier pas à faire est d'annoncer la repentance afin que cet amour ait la possibilité de se manifester dans la vie du repentant : « ils prêchèrent la repentance... » (Marc 6 : 12).

Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir... Actes 17 : 30

Écoutons encore ce que l'apôtre Paul disait aux Philippiens. Conduit par le Saint-Esprit, il leur explique comment ils doivent se comporter en tant qu'enfants de Dieu.
S'attendant à être écouté, il souhaite que la Parole du Seigneur porte du fruit afin qu'elle ne soit pas prêchée en vain :

Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs ;
- (que vous soyez) des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle
vous brillez comme des flambeaux le monde, PORTANT LA PAROLE DE VIE ;
- et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n’avoir pas couru en vain ni travaillé en vain.
Philippiens 2 : 14-16

Bien des prédicateurs, en cette fin des temps, travaillent en vain dans le sens où la Parole de Dieu qu'ils annoncent entre par une oreille et ressort par l'autre.
Ils apportent la Parole de Vie, mais bien peu ont le désir de briller comme des flambeaux en témoignant de Jésus-Christ. C'est à se demander sur quel support les auditeurs ont bâti leur maison !

Pour que cette question ne reste pas sans réponse, nous allons directement écouter ce que dit le Seigneur Jésus sur ce sujet. Qui sait si nous ne devrions pas revoir les fondations de notre vie afin de savoir si elle est bien basée sur quelque chose de solide !

Pour ce faire je vous invite à ouvrir votre Bible à la parabole de la maison bâtie sur le roc ou sur le sable (Matthieu 7 : 24-27).
En lisant cette parabole j'ai été surpris de la fin ; plus exactement..., des versets qui suivaient.
En effet, j'étais prêt à être à l'écoute de ce que le Seigneur allait dire pour le mettre en pratique quand je m'aperçus qu'il ne disait plus rien vu qu'il quittait les lieux pour aller à Capernaüm (Matthieu 8 : 1 et 5).
Avais-je mal compris ce que je venais de lire ?
Très certainement !

C'est alors que je repris le début de la parabole et qu'avec l'aide de différentes versions je constatais qu'il demandait très simplement de mettre en pratique ce qu'il venait de dire précédemment ; ce qui est compréhensible si on lit sans précipitation le début du verset 24 :

C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis... (que je viens de dire, selon d'autres versions).

À cet instant je compris que je lisais mal ma Bible, car, à cet endroit, il n'était pas question de poursuivre la lecture du chapitre comme je l'avais fait, mais de revenir en arrière, de remonter à la source et réfléchir sur ces fameuses instructions.
Comme quoi il est important de réfléchir à ce que nous lisons, si je ne l'avais pas fait, je n'aurais pas été interpellé comme je l'ai été et j'aurais poursuivi ma lecture sans prêter attention aux paroles du Seigneur !

Nous lisons mal... ! Nous comprenons mal... et nous chantons aussi mal que nous lisons ! Nous chantons n'importe quoi sans savoir ce que nous disons.
Je me souviens du jour où la plupart d'entre vous chantaient à pleine voie : « Demain peut-être je te suivrai et pour mon Maître, je te prendrai ... ».

Avouer que, comme engagement, on peut trouver mieux pour un enfant de Dieu qui désire servir le Seigneur et lui rendre grâce pour le salut qu'il nous a accordé.
(À moins que ces paroles soient le reflet de ce que nous pensons en secret lorsqu'il est question de s'engager dans le service ! « Demain peut-être je te suivrai et pour mon Maître, je te prendrai...)
C'est ainsi que nous chantons n'importe quoi sans penser aux paroles que nous prononçons qui, sortant de notre bouche, nous lient à ce que nous disons !

Combien de promesses d'engagements n'ont-elles jamais été tenues quoiqu'elles fussent chantées de bon coeur ?

Mais..., quelle grâce de se souvenir, encore une fois, que Dieu use de patience envers ses bien-aimés afin qu'ils ne périssent point.... (2 Pierre 3 : 9) !

Quelles paroles fallait-il donc mettre en pratique pour être considéré comme une personne sage qui a bâti sur le Roc ?

Le Seigneur Jésus venait de citer en exemple des personnes qui avaient prophétisé, chassé des démons et guéri des malades en son Nom.
Même si nous n'avons jamais fait le genre de bonnes oeuvres que ces hommes ont mises en avant, nous pouvons quand même être concernés.
La sentence qui les condamne - quoiqu'ils se soient servis du nom du Seigneur pour faire le bien - a quelque chose à nous apprendre si nous prenons en considération la façon dont ils se comportaient.

Le juste Juge nous montre que toutes les bonnes oeuvres qui ont servi à glorifier son Nom, ne servent à rien si on vit dans le péché, si on transgresse la Parole de Dieu.
D'un côté, ils faisaient de bonnes oeuvres pour la gloire de Dieu et de l'autre, ils marchaient dans la désobéissance !

En considérant la façon dont le Fils de Dieu nous regarde vivre, il ne serait pas étonnant que nous nous sentions visés par cette sentence qui fut irrévocable.
En ce qui nous concerne, elle peut néanmoins devenir sans effet SI nous avons compris le texte de 2 Pierre 3 : 9.
Nous pourrions être concernés par cette sentence bien plus que nous le pensons !
Pour le comprendre, il suffit de prêter attention à l'entrée en matière qui fut utilisée par le seigneur avant qu'il ne soit question de ces mauvaises personnes qui faisaient pourtant du bien en utilisant le nom de Jésus :

Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Matthieu 7 : 21

Là, il n'est pas question de mérite ou d'oeuvre à faire valoir pour se disculper ou pour paraître un peu moins mauvais aux yeux des autres ou à ses propres yeux ; il est question d'obéissance, d'une obéissance consécutive à la crainte de Dieu que l'on doit avoir... et à l'amour qu'on lui porte.
Quand on possède la crainte, on obéit ! Et quand on aime, on obéit par crainte d'attrister celui que l'on aime !

Réapprenons la crainte, c'est ce que le nouveau Testament nous invite à faire.
L'absence de crainte de l'Éternel en conduit plusieurs à vivre dans l'illusion d'avoir bien agi alors qu'il en est tout autre ; nous venons de le voir !

- L’Église était en paix... marchant dans la crainte du Seigneur... Actes 9 : 31

- Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes...2 Corinthiens 5 : 11

- (achevons) notre sanctification dans la crainte de Dieu... 2 Corinthiens 7 : 1

- ... travaillez à votre salut avec crainte et tremblement... Philippiens 2 : 12

- ... (rendez) à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte... Hébreux 12 : 28-29

- ... conduisez-vous avec crainte pendant le temps de votre pèlerinage...1 Pierre 1 : 17

Le fait de parler de bonnes oeuvres n'a pas impressionné le Seigneur Jésus, car les bonnes oeuvres, y compris les nôtres, ne peuvent servir de paravent derrière lequel il est possible de cacher nos transgressions, nos désobéissances.
L'obéissance ne consiste pas seulement à approuver ce que l'on entend, mais bien à mettre en pratique ce qui a été entendu !

Relisons Matthieu 7 : 24 et 26 pour nous imprégner de ce que Jésus disait :

QUICONQUE entend ces paroles que je dis (que je viens de dire) et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.

Mais
QUICONQUE entend ces paroles que je dis (que je viens de dire), et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.

Ce « quiconque », comme vous le constatez, est un pronom au singulier qui ne s'emploie jamais au pluriel.
Contrairement au « vous » que la langue française emploie aussi bien pour une personne que pour plusieurs, ce « quiconque » s'adresse donc à chacun d'entre nous PERSONNELLEMENT comme tous les « quiconque » de la Bible, qu'ils nous soient favorables ou non !

QUICONQUE invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. Actes 2 : 21

QUICONQUE prononce le nom du Seigneur, qu’il s’éloigne de l’iniquité. 2 Timothée 2 : 19

QUICONQUE aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l’homme aura aussi honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père... Marc 8 : 38

QUICONQUE est né de Dieu ne pratique pas le péché... 1 Jean 3 : 9

QUICONQUE ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu... Apocalypse 20 : 15

Tous ces « quiconque », et bien d'autres encore, s'appliquent à l'individu en particulier. C'est à titre PERSONNEL que nous devrons rendre compte de notre vie.
Ce ne sera pas la faute des autres si nous avons mal agi, si nous n'avons pas obéi, si nous n'avons pas cherché à comprendre ce que nous disait le Seigneur.
Cette parabole de la maison bâtie sur le Roc ou sur le sable, vous l'avez certainement compris, s'adresse à ceux et celles qui ont entendu la Parole de Dieu.
Nous l'avons tous entendu depuis de nombreuses années !

Mais l'avons-nous entendue..., bien entendue, c'est-à-dire l'avons-nous comprise ?

Entendre, c'est bien !
Comprendre, c'est mieux !

Mettre en pratique..., c'est plaire à Dieu !

Voilà ce que le Seigneur voulait faire comprendre à ses disciples avant de donner la parabole de la maison construite sur le Roc ou sur le sable.
Il est vrai que l'obéissance n'est pas innée, c'est la désobéissance qui est naturelle depuis que nos premiers parents nous ont tracé ce chemin.
Aujourd'hui encore, certains ne font pas grand cas de leur insoumission. L'habitude aidant, ils sont étonnés lorsqu'on leur dit qu'ils sont rebelles à la Parole de Dieu.

Rappelons-nous que la désobéissance est un péché aussi grave que la divination (1 Samuel 15 : 23) dont la pratique et l'utilisation conduisent dans le lieu où il y aura des pleurs et des grincements de dents : la divination ou la désobéissance..., même sanction !

C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis... (que je viens de dire, selon d'autres versions). Matthieu 7 : 24

Le temps nous manque pour regarder en détail les instructions qui avaient été données aux disciples.
Pour aujourd'hui nous ne signalerons que les étapes ; toutes ces étapes qui doivent nous mener à ce que nous venons d'étudier aujourd'hui : l'obéissance à la Parole de Dieu !

Si nous n'avons pas suffisamment la crainte de l'Éternel pour marcher dans l'obéissance, c'est peut-être parce que nous avons manqué une étape ou que nous en avons sous-estimé l'importance en ne prenant pas trop au sérieux les enseignements qu'elle délivrait !

D'une parabole à l'autre, de la lumière du monde à la maison bâtit sur le Roc, voici donc le chemin à suivre :

- Ne pas juger les autres avant de se juger soi-même reconnaissant que nous sommes des pécheurs comme les autres.
- Ne pas utiliser les choses saintes n'importe comment en plaisantant avec elle (La Parole de Dieu, le Nom du Seigneur, etc...)

- Prier Dieu avec foi en croyant que nous serons exaucés.
- Demander à Dieu les véritables biens (pour être exaucés).
- Faire aux autres ce que l'on voudrait que l'on nous fasse. (On nous a apporté le salut, sachons l'apporter aux autres).

- Entrer par la porte étroite et suivre le chemin resserré. (Seule possibilité pour apporter le salut à notre famille).
- Se méfier des faux docteurs qui pourraient nous pousser en dehors de ce chemin et nous faire perdre de vue le but à atteindre.
- MARCHER DANS L'OBÉISSANCE jusqu'à la fin.

La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé... c'est ce qui se passe maintenant tout autour de nous !

Comment vivons-nous les catastrophes « naturelles » que nos médias nous présentent régulièrement ?
Comment vivons-nous ces temps de guerre qui, loin de chez nous (peut-être) perturbent quand même notre vie quotidienne ?
Comment vivons-nous ces tempêtes financières où les pauvres doivent payer pour que les riches n'aient trop à perdre ?
Comment vivons-nous ces tempêtes où la morale est piétinée et où beaucoup sont emportés par les vagues impures de l'immoralité ?
Comment vivons-nous les attaques contre la foi que nos pères nous ont transmise une fois pour toutes ?

Si notre maison est bâtie sur le Roc, elle résistera jusqu'au bout, mais si elle est construite sur le sable de nos raisonnements et non sur la Parole de Dieu, les tempêtes risquent fort de nous battre davantage jusqu'à ce que nous devenions des ruines !
Dans quel état sommes-nous aujourd'hui ?
Notre christianisme, notre foi en Jésus-Christ sont-ils devenus des ruines qui n'intéressent personne ?

Nous sommes en route vers l'autre bord ! Chaque jour qui passe, nous rapproche de ce bord...
Chaque jour qui commence devrait être vécu comme si c'était le dernier, comme si c'était celui où le mot « FIN » clôturerait définitivement une existence durant laquelle nous aurons été des serviteurs ou des servantes utiles pour le Maître ou... des serviteurs et servantes inutiles, bon à rien sinon qu'à être jetés là où il y aura des pleurs et des grincements de dents (Matthieu 25 : 30) !

Aujourd'hui, suite à cette parabole, nous comprenons que nous avons tout intérêt à nous maintenir dans l'obéissance.
La suite des paraboles sera là pour nous aider à :

- reconnaître les fruits que porte l'obéissance,
- découvrir les conséquences - parfois éternelles - qu'il y aura à ne pas nous soumettre à la volonté du Père céleste.

Veillons et prions..., soyons sur nos gardes, nous dit Jésus (Marc 13 : 23).

Soyez sur vos gardes : je vous ai tout annoncé d’avance.



***

Prenez garde à vous-mêmes. Marc 13 : 9

Prenez garde, veillez et priez ; car vous ne savez quand ce temps viendra. Marc 13 : 33

Prenez garde que vous ne soyez séduits. Luc 21 : 8

***

Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.

C30112


J-M Ravé le 5 novembre 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse


 

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