Savoir vivre dans le monde
en utilisant le «couteau suisse de la
foi»
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Exerce-toi à
la piété; l’exercice corporel est
utile à peu de chose, tandis que LA
PIÉTÉ EST UTILE À TOUT , ayant
la promesse
de la
vie présente
et de
celle qui est
à venir.
C’est
là une parole certaine et entièrement
digne d’être
reçue.(1 Timothée 4 :
7-9)
La Bible étant la Vérité, nous
devrions prêter une très grande
attention quand elle dit QUE CE QU'ELLE DIT EST
VRAI, quand elle confirme qu'elle est la
vérité pour nous rappeler que Dieu ne
ment pas et que tout ce qu'il dit doit avoir de
l'intérêt pour nous.
Cette insistance - «c'est là une parole
certaine» - n'est-elle pas faite pour
appuyer un point particulier qui a une grande
importance aux yeux du Seigneur et qui devrait
en avoir aussi à nos yeux?
Si le Saint-Esprit s'est donné la peine de
souligner une vérité, c'est
certainement pour que nous ne passions pas à
côté en pensant que le sujet dont il
est question est secondaire.
Étant ainsi souligné, nous n'allons
certainement pas chercher à
décortiquer ce verset pour trouver la
portion qui est « certaine et entièrement
digne d'être reçue», car
l'ensemble est entièrement digne
d'être reçu d'autant plus qu'il est
question de nos... deux vies : la vie
présente et celle qui est à
venir.
Pour entrer dans le vif du sujet de la
piété, nous allons en parler avec
d'autant plus de plaisir puisque l'Écriture
nous enseigne QU'ELLE EST UTILE À TOUT. Au
moins nous saurons que ce n'est pas peine perdue
que d'approfondir ce sujet étant
donné qu'il va concerner TOUT les aspects de
notre vie : UTILE À TOUT !
En l'imageant un peu, nous pourrions presque dire
qu'elle est le «couteau suisse de la
foi», utile à tout, dans n'importe
quelle situation.
La posséder est même un moyen de
s'enrichir..., de parvenir à la vraie
richesse :
C’est, en effet, une
grande source de gain que la piété
avec le contentement... 1 Timothée 6 :
6
La semaine dernière, nous avions mis en
avant qu'il fallait « tout faire pour la
gloire de Dieu» : «Soit donc que vous mangiez, soit
que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre
chose, FAITES TOUT
pour la gloire de
Dieu»
(1 Corinthiens 10 : 31).
Tout faire pour honorer Dieu !
Voilà certainement une façon de mieux
comprendre ce que veut dire «pour la gloire
de Dieu».
En regardant le contenu d'une journée, celle
d'hier par exemple..., tout a-t-il bien
été fait pour la gloire de
Dieu ? Le Seigneur n'aurait-il pas
été quelque peu
«déshonorer» par le
témoignage que j'ai rendu ou par mon
indifférence... passagère.
Personnellement, je ne m’aventurerais pas
à répondre par l'affirmative en
disant que l'ensemble de ma journée a
glorifié celui qui m'a sauvé de la
condamnation éternelle. Je chercherais
plutôt les points qui
n'ont pas contribué à la gloire du
Seigneur afin de ne pas retomber dans les
mêmes ornières aujourd'hui.
La semaine passée nous avions relevé
que la piété commençait
dans la famille, au travers des soins que nous
devons avoir les uns pour les autres ; nous
allons en reparler, car ce sujet est un des
plus importants si nous prenons en
considération ce que nous dit l'apôtre
Paul dans les versets qui vont suivre :
... qu’ils apprennent AVANT TOUT à exercer la
piété envers leur propre
famille et
à rendre à leurs parents ce
qu’ils ont reçu d’eux; car
cela est
agréable à Dieu. 1 Timothée 5 :
4.
AVANT TOUT... ! Il y a des
priorités !
Si le Seigneur Jésus nous a dit qu'il doit
être aimé en premier, avant qui que ce
soit de notre famille :« Celui qui aime son père ou
sa mère plus que moi n’est pas digne de
moi...
(Matthieu 10 : 37)...
... la Parole de Dieu nous montre que notre
affection doit ensuite se manifester envers ceux de
notre sang, puis envers les frères dans la
foi
(Galates 6 : 10).
Notre piété va donc d'abord se
prouver par la façon dont nous allons
prendre soin des nôtres. Négliger
d'assister ceux qui ont besoin d'aide nous rendrait
inférieurs aux païens et
démontrerait ainsi que nous avons
abandonné la foi ! (Il n'est pas
question que d'argent, il y a aussi les services
à rendre sans oublier l'amour.)
Si quelqu’un n’a
pas soin des siens, et principalement de ceux de sa
famille, il a
renié la foi, et il est pire qu’un infidèle.
1 Timothée 5 :
8.
Comme vous le voyiez, il n'est point question de
pratiques religieuses, ni même d'instruire
notre entourage des choses de Dieu - quoique
cela doive être fait puisque c'est un
commandement
(Deutéronome 6 : 7) - il
est question d'un comportement normal que l'on
trouve aussi chez les incroyants.
Alors..., pourquoi faut-il dire à
l'Église de Jésus-Christ d'exercer la
piété avant tout à
l'égard de sa propre famille ?
Serait-elle délaissée cette famille
dans laquelle nous sommes entrés par la
volonté de Dieu ?
C'est en regardant les Écritures que nous
répondrons par l'affirmative puisqu'il y a
eu des précédents que le Seigneur
Jésus a formellement condamnés.
Déjà, des pharisiens et des scribes,
au nom de la... «religion» ne prenaient
plus soin des leurs afin d'offrir à Dieu ce
qui devait servir pour le bien de ceux qui leur
avaient donné la vie
(Marc 7 : 11-13).
Jésus leur reprocha d'avoir
anéanti la Parole de Dieu au profit
de leur tradition.
En revenant à notre texte de base et en
soulignant que la piété est utile
à TOUT, force est de constater que
cette piété englobe des
comportements qui n'ont rien à voir avec les
«pratiques religieuses» ;
c'est ce que nous venons de voir à
l'instant.
Le sachant, il devient facile de comprendre que,
quoi que nous fassions dans la vie, nous devons
TOUT faire pour que cela contribue à la
gloire de Dieu, à son honneur...,
consciemment ou inconsciemment !
Inconsciemment, car, il y a de nombreux moments
dans la journée où nos
pensées vont être accaparées
par le travail que nous devons faire..., un
travail que nous devons accomplir pour la gloire
de Dieu.
Sans penser nécessairement à Dieu,
mon travail sera fait comme s'il était
présent à mes côtés (de
toute façon il l'est et rien de ce que je
fais, dis ou pense ne lui échappe).
Si donc, par la force des choses, toute mon
attention doit être portée sur mon
travail et que ce dernier doit être fait
«comme pour le Seigneur», je dois
comprendre que c'est l'attitude de mon coeur qui
fera que je travaillerai pour la gloire de Dieu
et non le fait que je pense continuellement
à lui.
Un coeur donné au Seigneur, abandonné
au Seigneur, n'aura pas trop de difficultés
à tout faire pour sa gloire puisqu'il est
devenu esclave consentant de
Jésus-Christ
(1 Corinthiens 7 : 22). Suis-je
bien à son service ?
Dans la vie courante nous pouvons travailler pour
quelqu'un sans penser continuellement à lui,
sans le voir, sans même jamais le rencontrer,
néanmoins, c'est quand même pour lui
et pour la rétribution que nous
accomplissons ce pour quoi nous avons
été engagés.
Celui qui travaille pour un patron, pense donc
à son travail et non à son patron,
est-ce que cela veut dire qu'il va négliger
sa besogne ?
Ainsi la piété va se manifester dans
ma vie au travers d'actes quotidiens qui
peuvent n'avoir aucun rapport avec les
«pratiques religieuses» que j'accomplis
pour le bien de mon âme et celui du corps de
Christ :
Soit donc que vous mangiez,
soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque
autre chose, faites
tout pour la gloire de Dieu.
1 Corinthiens 10 : 31
Ce n'est pas parce que je rends grâce
à Dieu pour la nourriture que j'honorerai le
Seigneur ; mon comportement à table, le
sujet des conversations auxquelles je vais prendre
part, les excès, tout cela pourrait entacher
l'image de l'enfant de Dieu que je suis devenu.
Tout comme le soin que nous devons apporter aux
membres de notre famille, il y a ainsi une
multitude de choses qui, au premier abord, n'ont
rien de spirituel, mais qui vont le devenir par
la façon dont nous allons les faire.
La piété véritable finit
toujours par laisser derrière elle un
témoignage visible et naturel qui laissera
une marque dans certains coeurs qui finiront bien
par chercher à connaître notre
«secret» pour vivre comme nous
vivons.
« Quand un homme veut vivre en
chrétien, peu importe les occupations
auxquelles il se livre ; l'essentiel est qu'il
apprenne à bien se conduire, à se
conduire chrétiennement dans toutes...
... La vraie piété consiste surtout
à glorifier Dieu comme notre Père au
milieu des épreuves et des devoirs de la
vie, à nous conduire sagement et
courageusement pour l'honneur de notre divin Chef
dans les luttes et les difficultés
auxquelles nous sommes exposées»
(Texte tiré de : La piété
dans la vie ordinaire – traité de
Lausanne N°138 - 1856)
La piété - ce mot un peu
mystérieux - définit un comportement
général du croyant tout comme
l'impiété caractérise ceux qui
n'ont pas la crainte de Dieu et qui
n'éprouvent pas le besoin de lui plaire.
D'ailleurs, la piété et la crainte
(respectueuse de Dieu) sont intimement
liées. Sans la crainte de Dieu il n'est pas
possible d'exercer une piété qui lui
soit agréable : «montrons notre reconnaissance en
rendant à Dieu un culte qui lui soit
agréable, avec piété et avec
crainte...»(Hébreux 12 : 28).
La piété devient un acte volontaire
(exerce-toi à la piété) qui va
dépendre de l'attitude de notre coeur.
S'il est encore partagé avec le monde, il va
de soi que notre piété sera de
piètre qualité et qu'en de nombreuses
occasions nous ne chercherons pas à
«tout faire pour la gloire de Dieu».
La piété, même au travers
d'activités qui sont neutres quant à
notre foi, va révéler notre
appartenance à Jésus-Christ selon la
façon dont nous allons nous conduire.
Elle va mettre en évidence des traits
dominants caractéristiques qui feront que
nous sommes devenus des enfants de
lumière qui se conduisent
différemment des enfants de
ténèbres quoique nous fassions
les mêmes choses qu'eux.
Cette différence, dans les choses banales de
la vie seront alors empreintes de sainteté
parce que nous y aurons touchées en
cherchant à honorer notre Seigneur.
«Portez un principe de sainteté dans
les affaires, et les affaires seront
sanctifiées...
La piété qui vit dans l'âme
fait de toutes les occupations de la vie... autant
de moyen d'avancement spirituel et moral.
Si vous êtes réellement
chrétiens, votre plus vif désir sera
d'employer au service de Dieu tout ce que vous
avez, de parler et d'agir toujours en vue de lui
plaire.
... si vos conversations ordinaires sont empreintes
d'un esprit de piété, de douceur, de
sérieux, de vérité, elles
seront chrétiennes alors même que vous
parlerez peu de religion.»
(Texte tiré de : La piété
dans la vie ordinaire – traité de
Lausanne N°138 - 1856)
Plus j'avance dans la recherche de la
compréhension de ce mot de
piété, plus je me rends compte que
la piété ne s'explique
pas ; c'est quelque chose de
mystérieux, indéfinissable, mais
pourtant bien réelle.
LA PIÉTÉ NE S'EXPLIQUE
PAS, ELLE SE VIT
et elle se voit dans la vie !
Il n'y a pas de recette miracle pour pratiquer
la piété, la disposition de coeur
à l'égard du Seigneur Jésus
fera que nous exercerons cette piété
ou que nous la négligerons !
... de l'aveu de tous,
grand est le mystère de la
piété :
Dieu a été manifesté en chair,
justifié en esprit, vu des anges,
prêché parmi les nations, cru dans le
monde, élevé dans la gloire.
1 Timothée 3 :
16 (v. Bible
annotée)
Le mystère de la piété
est grand, car cette piété se
manifeste sous diverses formes dont certaines n'ont
rien à voir avec la vie chrétienne «religieuse».
Mais une chose est certaine, elle découle du
fait que Dieu s'est révélé
à l'homme et que dans sa grâce
infinie, il a tout entrepris pour les attirer
à lui.
Ceux et celles qui en sont pleinement conscients
manifesteront cette piété qui
plaît à Dieu: «j’aime la piété
et non les sacrifices», dit
l'Éternel
(Osée 6 : 6).
La façon dont nous allons vivre notre
quotidien doit être empreinte de
sainteté simplement parce qu'il est devenu
naturel d'avoir le désir de vivre
chrétiennement, de vivre pour honorer notre
Seigneur... en toutes choses. (Être
saint..., se sanctifier laisse toujours entendre
une séparation, une consécration qui
nous fera vivre différemment du monde.)
La piété n'est pas naturelle «
exerce-toi à la
piété», de plus, elle est un
ajout volontaire à notre foi.
... FAITES TOUS VOS EFFORTS
pour
joindre à
votre foi la
vertu, à la vertu la science, à la
science la tempérance, à la
tempérance la patience, à la patience
LA
PIÉTÉ, à la piété
l’amour fraternel, à l’amour
fraternel la charité. (Lire 2 Pierre 1 :
1-12)
Comment trouver cette piété ?
Mais elle nous a déjà
été donnée !
... sa divine puissance
nous a donné
tout ce qui
contribue à la vie et à la
piété. 2 Pierre 1 : 3
Elle nous a été donnée pour
que nous l'utilisions, que nous apprenions à
l'utiliser : «exerce-toi à la
piété».
A nous de la saisir et de la
développer afin qu'au fil du temps la
piété devienne une seconde nature
parce que notre coeur sera alors soumis
entièrement à Dieu : «J’ai été
crucifié avec Christ; et si je vis,
ce n’est plus
moi qui vis, c’est Christ qui vit en
moi...»
(Galates 2 : 20).
Quel est l'état de notre coeur ? Y
avons-nous déjà pensé, mais
pensé sans mélanger son contenu avec
celui de notre intelligence ?
Je pose cette question, car cette semaine j'ai
été interpellé par un
témoignage qui m'a fait comprendre que la
«foi intellectuelle» est bien
différente de celle du coeur.
Je pense à un homme retraité
(chrétien) qui, d'après les lois de
son pays, était en droit de demander une
assistance complémentaire, sa rente allant
devenir insuffisante pour subvenir décemment
à ses besoins.
Il avait eu l'occasion de lire une brochure de
Wilcox Thomas qui engageait le croyant à se
confier en Dieu ; voici le passage qui l'avait
interpellé:
«Bénissez Dieu de
ce qu'il vous enlève tous vos faux appuis,
et de ce qu'il vous oblige, par tous les moyens,
à ne regarder qu'à
Jésus-Christ. La sécurité et
la légèreté sont mille fois
plus à craindre que les maladies et les
traverses (les difficultés de tout
genre)».
Ayant bien compris, avec son intelligence,
les lignes que je viens de vous lire, il
était conscient qu'elles n'avaient pas
encore pénétré jusqu'au fond
de son coeur pour les appliquer de façon
à ne jamais revenir en
arrière.
A nous maintenant de nous poser la question afin de
savoir si ce que nous croyons avoir dans notre
coeur, n'est pas en réalité dans
notre tête, une des raisons qui feraient que,
dans certaines circonstances, nous n'avons que peu
de zèle. Notre piété ne peut
pas être intellectuelle !
Encore une remarque : en relisant
2 Pierre 1 : 1-12 :
«FAITES TOUS VOS EFFORTS
pour joindre à votre foi...
etc.», je constate que la
piété est encadrée par la foi
et par l'amour. Deux éléments
indispensables pour qu'elle se développe
correctement.
La piété sans la foi peut-elle porter
du fruit ?
La piété sans amour pour Dieu et pour
le prochain est-elle possible ?
Si je ne me permets pas de donner une
définition de la piété digne
d'un dictionnaire, je dirai quand même
qu'elle prouve qu'il y a un engagement profond
à l'égard de Dieu.
Un engagement qui vient du coeur et qui va nous
entraîner toujours davantage à
rechercher la sanctification afin que toute notre
vie - indépendamment de nos activités
- soit à la gloire de Dieu.
La grâce de Dieu,
source de salut pour tous les
hommes, a
été manifestée. ELLE NOUS
ENSEIGNE :
- à renoncer à
l’impiété et aux convoitises
mondaines,
- et à vivre dans le siècle
présent selon la sagesse, la justice et la
piété,
- en attendant la bienheureuse espérance,
et la manifestation de la gloire du grand Dieu et
de notre Sauveur Jésus-Christ...
Tite 2 : 11-14
Si nous sommes dans l'attente du retour de
Jésus-Christ, cette attente de partir dans
la gloire et d'y séjourner
éternellement, nous renoncerons d'autant
plus facilement à l'impiété,
aux oeuvres mortes ; ces oeuvres mortes sont
mortes parce que non-faites pour la gloire, pour
l'honneur de notre Dieu.
En renonçant à
l'impiété, il est évident que
nous ouvrons la porte à la
piété.
Notre coeur, alors tout entier pour le Seigneur
sera conduit - naturellement - à tout
faire pour la gloire de Dieu. LE BUT DE TOUT
EXERCICE DE PIÉTÉ !
Je terminerai ce message avec quelques lignes
tirées de la brochure «La
piété dans la vie ordinaire –
traité de Lausanne N°138 -
1856» ; cette brochure m'a beaucoup
aidé à comprendre ce qu'était
la piété.
Je crois sincèrement que l'auteur inconnu de
ce texte ancien a été bien
inspiré pour convaincre ses lecteurs
d'autrefois. Saurons-nous nous laisser convaincre de
TOUT FAIRE POUR LA GLOIRE DE DIEU en évitant
de nous conformer au siècle
présent ? Plaise à Dieu que
oui !
«C'est l'amour respectueux et profond du
fidèle pour Christ qui est le principe de
toute piété dans la vie
habituelle.
L'égoïsme, la crainte de l'enfer
peuvent inspirer une piété
formaliste.
La sensibilité naturelle peut
inspirer des mouvements passagers de
piété...
..., mais une vie de fervente
piété qui se maintient au
milieu des soucis, des contrariétés
et des luttes de la vie, ne peut
être inspirée que par un seul
motif : une cordiale consécration de
nous-mêmes à Christ, produite par un
amour réel pour lui».
***
Exerce-toi à
la piété; l’exercice corporel est
utile à peu de chose, tandis que LA
PIÉTÉ EST UTILE À TOUT , ayant
la promesse
de la vie
présente et de celle qui est à
venir.
C’est
là une parole certaine et entièrement digne
d’être reçue.(1 Timothée 4 :
7-9)
***
Ps : Dès que possible je mettrai
cette brochure au propre (La
piété dans la vie ordinaire) afin de l'offrir à
ceux et celles qui en feront la demande.
Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond.
J-M Ravé le 10 septembre 2011 - CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse
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