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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Savoir vivre dans le monde
en utilisant le «couteau suisse de la foi»


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Exerce-toi à la piété; l’exercice corporel est utile à peu de chose, tandis que LA PIÉTÉ EST UTILE À TOUT , ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir.

C’est là une parole certaine et entièrement digne d’être reçue.(1 Timothée 4 : 7-9)

La Bible étant la Vérité, nous devrions prêter une très grande attention quand elle dit QUE CE QU'ELLE DIT EST VRAI, quand elle confirme qu'elle est la vérité pour nous rappeler que Dieu ne ment pas et que tout ce qu'il dit doit avoir de l'intérêt pour nous.

Cette insistance - «c'est là une parole certaine» - n'est-elle pas faite pour appuyer un point particulier qui a une grande importance aux yeux du Seigneur et qui devrait en avoir aussi à nos yeux?

Si le Saint-Esprit s'est donné la peine de souligner une vérité, c'est certainement pour que nous ne passions pas à côté en pensant que le sujet dont il est question est secondaire.
Étant ainsi souligné, nous n'allons certainement pas chercher à décortiquer ce verset pour trouver la portion qui est « certaine et entièrement digne d'être reçue», car l'ensemble est entièrement digne d'être reçu d'autant plus qu'il est question de nos... deux vies : la vie présente et celle qui est à venir.

Pour entrer dans le vif du sujet de la piété, nous allons en parler avec d'autant plus de plaisir puisque l'Écriture nous enseigne QU'ELLE EST UTILE À TOUT. Au moins nous saurons que ce n'est pas peine perdue que d'approfondir ce sujet étant donné qu'il va concerner TOUT les aspects de notre vie : UTILE À TOUT !

En l'imageant un peu, nous pourrions presque dire qu'elle est le «couteau suisse de la foi», utile à tout, dans n'importe quelle situation.
La posséder est même un moyen de s'enrichir..., de parvenir à la vraie richesse :

C’est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement... 1 Timothée 6 : 6

La semaine dernière, nous avions mis en avant qu'il fallait « tout faire pour la gloire de Dieu» : «Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, FAITES TOUT pour la gloire de Dieu» (1 Corinthiens 10 : 31).

Tout faire pour honorer Dieu ! Voilà certainement une façon de mieux comprendre ce que veut dire «pour la gloire de Dieu».

En regardant le contenu d'une journée, celle d'hier par exemple..., tout a-t-il bien été fait pour la gloire de Dieu ? Le Seigneur n'aurait-il pas été quelque peu «déshonorer» par le témoignage que j'ai rendu ou par mon indifférence... passagère.
Personnellement, je ne m’aventurerais pas à répondre par l'affirmative en disant que l'ensemble de ma journée a glorifié celui qui m'a sauvé de la condamnation éternelle. Je chercherais plutôt les points qui n'ont pas contribué à la gloire du Seigneur afin de ne pas retomber dans les mêmes ornières aujourd'hui.

La semaine passée nous avions relevé que la piété commençait dans la famille, au travers des soins que nous devons avoir les uns pour les autres ; nous allons en reparler, car ce sujet est un des plus importants si nous prenons en considération ce que nous dit l'apôtre Paul dans les versets qui vont suivre :

... qu’ils apprennent
AVANT TOUT à exercer la piété envers leur propre famille et à rendre à leurs parents ce qu’ils ont reçu d’eux; car cela est agréable à Dieu. 1 Timothée 5 : 4.

AVANT TOUT... ! Il y a des priorités !
Si le Seigneur Jésus nous a dit qu'il doit être aimé en premier, avant qui que ce soit de notre famille :« Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi... (Matthieu 10 : 37)...

... la Parole de Dieu nous montre que notre affection doit ensuite se manifester envers ceux de notre sang, puis envers les frères dans la foi (Galates 6 : 10).
Notre piété va donc d'abord se prouver par la façon dont nous allons prendre soin des nôtres. Négliger d'assister ceux qui ont besoin d'aide nous rendrait inférieurs aux païens et démontrerait ainsi que nous avons abandonné la foi ! (Il n'est pas question que d'argent, il y a aussi les services à rendre sans oublier l'amour.)

Si quelqu’un n’a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle. 1 Timothée 5 : 8.

Comme vous le voyiez, il n'est point question de pratiques religieuses, ni même d'instruire notre entourage des choses de Dieu - quoique cela doive être fait puisque c'est un commandement (Deutéronome 6 : 7) - il est question d'un comportement normal que l'on trouve aussi chez les incroyants.

Alors..., pourquoi faut-il dire à l'Église de Jésus-Christ d'exercer la piété avant tout à l'égard de sa propre famille ?
Serait-elle délaissée cette famille dans laquelle nous sommes entrés par la volonté de Dieu ?
C'est en regardant les Écritures que nous répondrons par l'affirmative puisqu'il y a eu des précédents que le Seigneur Jésus a formellement condamnés.

Déjà, des pharisiens et des scribes, au nom de la... «religion» ne prenaient plus soin des leurs afin d'offrir à Dieu ce qui devait servir pour le bien de ceux qui leur avaient donné la vie (Marc 7 : 11-13). Jésus leur reprocha d'avoir anéanti la Parole de Dieu au profit de leur tradition.

En revenant à notre texte de base et en soulignant que la piété est utile à TOUT, force est de constater que cette piété englobe des comportements qui n'ont rien à voir avec les «pratiques religieuses» ; c'est ce que nous venons de voir à l'instant.

Le sachant, il devient facile de comprendre que, quoi que nous fassions dans la vie, nous devons TOUT faire pour que cela contribue à la gloire de Dieu, à son honneur..., consciemment ou inconsciemment !

Inconsciemment, car, il y a de nombreux moments dans la journée où nos pensées vont être accaparées par le travail que nous devons faire..., un travail que nous devons accomplir pour la gloire de Dieu.

Sans penser nécessairement à Dieu, mon travail sera fait comme s'il était présent à mes côtés (de toute façon il l'est et rien de ce que je fais, dis ou pense ne lui échappe).

Si donc, par la force des choses, toute mon attention doit être portée sur mon travail et que ce dernier doit être fait «comme pour le Seigneur», je dois comprendre que c'est l'attitude de mon coeur qui fera que je travaillerai pour la gloire de Dieu et non le fait que je pense continuellement à lui.

Un coeur donné au Seigneur, abandonné au Seigneur, n'aura pas trop de difficultés à tout faire pour sa gloire puisqu'il est devenu esclave consentant de Jésus-Christ (1 Corinthiens 7 : 22). Suis-je bien à son service ?

Dans la vie courante nous pouvons travailler pour quelqu'un sans penser continuellement à lui, sans le voir, sans même jamais le rencontrer, néanmoins, c'est quand même pour lui et pour la rétribution que nous accomplissons ce pour quoi nous avons été engagés.
Celui qui travaille pour un patron, pense donc à son travail et non à son patron, est-ce que cela veut dire qu'il va négliger sa besogne ?

Ainsi la piété va se manifester dans ma vie au travers d'actes quotidiens qui peuvent n'avoir aucun rapport avec les «pratiques religieuses» que j'accomplis pour le bien de mon âme et celui du corps de Christ :

Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. 1 Corinthiens 10 : 31

Ce n'est pas parce que je rends grâce à Dieu pour la nourriture que j'honorerai le Seigneur ; mon comportement à table, le sujet des conversations auxquelles je vais prendre part, les excès, tout cela pourrait entacher l'image de l'enfant de Dieu que je suis devenu.

Tout comme le soin que nous devons apporter aux membres de notre famille, il y a ainsi une multitude de choses qui, au premier abord, n'ont rien de spirituel, mais qui vont le devenir par la façon dont nous allons les faire.

La piété véritable finit toujours par laisser derrière elle un témoignage visible et naturel qui laissera une marque dans certains coeurs qui finiront bien par chercher à connaître notre «secret» pour vivre comme nous vivons.

« Quand un homme veut vivre en chrétien, peu importe les occupations auxquelles il se livre ; l'essentiel est qu'il apprenne à bien se conduire, à se conduire chrétiennement dans toutes...

... La vraie piété consiste surtout à glorifier Dieu comme notre Père au milieu des épreuves et des devoirs de la vie, à nous conduire sagement et courageusement pour l'honneur de notre divin Chef dans les luttes et les difficultés auxquelles nous sommes exposées»
(Texte tiré de : La piété dans la vie ordinaire – traité de Lausanne N°138 - 1856)


La piété - ce mot un peu mystérieux - définit un comportement général du croyant tout comme l'impiété caractérise ceux qui n'ont pas la crainte de Dieu et qui n'éprouvent pas le besoin de lui plaire.

D'ailleurs, la piété et la crainte (respectueuse de Dieu) sont intimement liées. Sans la crainte de Dieu il n'est pas possible d'exercer une piété qui lui soit agréable : «montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte...»(Hébreux 12 : 28).

La piété devient un acte volontaire (exerce-toi à la piété) qui va dépendre de l'attitude de notre coeur.
S'il est encore partagé avec le monde, il va de soi que notre piété sera de piètre qualité et qu'en de nombreuses occasions nous ne chercherons pas à «tout faire pour la gloire de Dieu».

La piété, même au travers d'activités qui sont neutres quant à notre foi, va révéler notre appartenance à Jésus-Christ selon la façon dont nous allons nous conduire.
Elle va mettre en évidence des traits dominants caractéristiques qui feront que nous sommes devenus des enfants de lumière qui se conduisent différemment des enfants de ténèbres quoique nous fassions les mêmes choses qu'eux.
Cette différence, dans les choses banales de la vie seront alors empreintes de sainteté parce que nous y aurons touchées en cherchant à honorer notre Seigneur.

«Portez un principe de sainteté dans les affaires, et les affaires seront sanctifiées...
La piété qui vit dans l'âme fait de toutes les occupations de la vie... autant de moyen d'avancement spirituel et moral.
Si vous êtes réellement chrétiens, votre plus vif désir sera d'employer au service de Dieu tout ce que vous avez, de parler et d'agir toujours en vue de lui plaire.

... si vos conversations ordinaires sont empreintes d'un esprit de piété, de douceur, de sérieux, de vérité, elles seront chrétiennes alors même que vous parlerez peu de religion.»
(Texte tiré de : La piété dans la vie ordinaire – traité de Lausanne N°138 - 1856)


Plus j'avance dans la recherche de la compréhension de ce mot de piété, plus je me rends compte que la piété ne s'explique pas ; c'est quelque chose de mystérieux, indéfinissable, mais pourtant bien réelle.

LA PIÉTÉ NE S'EXPLIQUE PAS, ELLE SE VIT
et elle se voit dans la vie !

Il n'y a pas de recette miracle pour pratiquer la piété, la disposition de coeur à l'égard du Seigneur Jésus fera que nous exercerons cette piété ou que nous la négligerons !

... de l'aveu de tous, grand est le mystère de la piété :
Dieu a été manifesté en chair, justifié en esprit, vu des anges, prêché parmi les nations, cru dans le monde, élevé dans la gloire.
1 Timothée 3 : 16 (v. Bible annotée)

Le mystère de la piété est grand, car cette piété se manifeste sous diverses formes dont certaines n'ont rien à voir avec la vie chrétienne «religieuse».
Mais une chose est certaine, elle découle du fait que Dieu s'est révélé à l'homme et que dans sa grâce infinie, il a tout entrepris pour les attirer à lui.
Ceux et celles qui en sont pleinement conscients manifesteront cette piété qui plaît à Dieu: «j’aime la piété et non les sacrifices», dit l'Éternel (Osée 6 : 6).

La façon dont nous allons vivre notre quotidien doit être empreinte de sainteté simplement parce qu'il est devenu naturel d'avoir le désir de vivre chrétiennement, de vivre pour honorer notre Seigneur... en toutes choses. (Être saint..., se sanctifier laisse toujours entendre une séparation, une consécration qui nous fera vivre différemment du monde.)

La piété n'est pas naturelle « exerce-toi à la piété», de plus, elle est un ajout volontaire à notre foi.

... FAITES TOUS VOS EFFORTS pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la science, à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience LA PIÉTÉ, à la piété l’amour fraternel, à l’amour fraternel la charité. (Lire 2 Pierre 1 : 1-12)

Comment trouver cette piété ? Mais elle nous a déjà été donnée !

... sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété. 2 Pierre 1 : 3

Elle nous a été donnée pour que nous l'utilisions, que nous apprenions à l'utiliser : «exerce-toi à la piété».
A nous de la saisir et de la développer afin qu'au fil du temps la piété devienne une seconde nature parce que notre coeur sera alors soumis entièrement à Dieu : «J’ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi...» (Galates 2 : 20).

Quel est l'état de notre coeur ? Y avons-nous déjà pensé, mais pensé sans mélanger son contenu avec celui de notre intelligence ?
Je pose cette question, car cette semaine j'ai été interpellé par un témoignage qui m'a fait comprendre que la «foi intellectuelle» est bien différente de celle du coeur.

Je pense à un homme retraité (chrétien) qui, d'après les lois de son pays, était en droit de demander une assistance complémentaire, sa rente allant devenir insuffisante pour subvenir décemment à ses besoins.
Il avait eu l'occasion de lire une brochure de Wilcox Thomas qui engageait le croyant à se confier en Dieu ; voici le passage qui l'avait interpellé:

«Bénissez Dieu de ce qu'il vous enlève tous vos faux appuis, et de ce qu'il vous oblige, par tous les moyens, à ne regarder qu'à Jésus-Christ. La sécurité et la légèreté sont mille fois plus à craindre que les maladies et les traverses (les difficultés de tout genre)».

Ayant bien compris, avec son intelligence, les lignes que je viens de vous lire, il était conscient qu'elles n'avaient pas encore pénétré jusqu'au fond de son coeur pour les appliquer de façon à ne jamais revenir en arrière.

A nous maintenant de nous poser la question afin de savoir si ce que nous croyons avoir dans notre coeur, n'est pas en réalité dans notre tête, une des raisons qui feraient que, dans certaines circonstances, nous n'avons que peu de zèle. Notre piété ne peut pas être intellectuelle !

Encore une remarque : en relisant 2 Pierre 1 : 1-12 : «FAITES TOUS VOS EFFORTS pour joindre à votre foi... etc.», je constate que la piété est encadrée par la foi et par l'amour. Deux éléments indispensables pour qu'elle se développe correctement.
La piété sans la foi peut-elle porter du fruit ?
La piété sans amour pour Dieu et pour le prochain est-elle possible ?

Si je ne me permets pas de donner une définition de la piété digne d'un dictionnaire, je dirai quand même qu'elle prouve qu'il y a un engagement profond à l'égard de Dieu.
Un engagement qui vient du coeur et qui va nous entraîner toujours davantage à rechercher la sanctification afin que toute notre vie - indépendamment de nos activités - soit à la gloire de Dieu.

La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. ELLE NOUS ENSEIGNE  :

- à renoncer à l’impiété et aux convoitises mondaines,
- et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété,
- en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ... Tite 2 : 11-14

Si nous sommes dans l'attente du retour de Jésus-Christ, cette attente de partir dans la gloire et d'y séjourner éternellement, nous renoncerons d'autant plus facilement à l'impiété, aux oeuvres mortes ; ces oeuvres mortes sont mortes parce que non-faites pour la gloire, pour l'honneur de notre Dieu.

En renonçant à l'impiété, il est évident que nous ouvrons la porte à la piété.
Notre coeur, alors tout entier pour le Seigneur sera conduit - naturellement - à tout faire pour la gloire de Dieu. LE BUT DE TOUT EXERCICE DE PIÉTÉ !

Je terminerai ce message avec quelques lignes tirées de la brochure «La piété dans la vie ordinaire – traité de Lausanne N°138 - 1856» ; cette brochure m'a beaucoup aidé à comprendre ce qu'était la piété.
Je crois sincèrement que l'auteur inconnu de ce texte ancien a été bien inspiré pour convaincre ses lecteurs d'autrefois. Saurons-nous nous laisser convaincre de TOUT FAIRE POUR LA GLOIRE DE DIEU en évitant de nous conformer au siècle présent ? Plaise à Dieu que oui !

«C'est l'amour respectueux et profond du fidèle pour Christ qui est le principe de toute piété dans la vie habituelle.
L'égoïsme, la crainte de l'enfer peuvent inspirer une piété formaliste.
La sensibilité naturelle peut inspirer des mouvements passagers de piété...

..., mais une vie de fervente piété qui se maintient au milieu des soucis, des contrariétés et des luttes de la vie, ne peut être inspirée que par un seul motif : une cordiale consécration de nous-mêmes à Christ, produite par un amour réel pour lui».

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Exerce-toi à la piété; l’exercice corporel est utile à peu de chose, tandis que LA PIÉTÉ EST UTILE À TOUT , ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir.
C’est là une parole certaine et entièrement digne d’être reçue.(1 Timothée 4 : 7-9)

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Ps : Dès que possible je mettrai cette brochure au propre (La piété dans la vie ordinaire) afin de l'offrir à ceux et celles qui en feront la demande.


Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond.

J-M Ravé le 10 septembre 2011 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse


 

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