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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Voyage au centre de... L'ENFER!
Troisième partie
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MALHEUR À CEUX qui appellent le mal bien, et le bien mal, QUI CHANGENT LES TÉNÈBRES EN LUMIÈRE, ET LA LUMIÈRE EN TÉNÈBRES, Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume! Ésaïe 5: 20


Croyez-vous qu'en passant du «noir foncé» au soi-disant «noir clair» on soit capable de mieux discerner notre environnement?
Le noir n'est-il pas toujours aussi noir même en changeant son nom?


En pensant au «noir foncé», je pense aux ténèbres dont l'Écriture nous parle; des ténèbres qui règnent dans ce lieu où il y aura éternellement des pleurs et des grincements de dents.
Je pense à ce «fin fond de l'enfer» où se trouvera l'Antéchrist ou Antichrist (selon les versions); il y sera avec son prophète, puis tous deux seront rejoints par le Diable qui y sera jeté par le Seigneur Jésus afin d'y être «tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles», ce qui veut dire ÉTERNELLEMENT (Apocalypse 20: 10)!

Maintenant..., peut-on espérer qu'il y ait un «noir clair», c'est-à-dire un enfer plus supportable pour ceux et celles qui ont moins péché que les autres?


Même si la Bible différencie plusieurs sortes de ténèbres en parlant «d'épaisses ténèbres» (Exode 10. 22), il n'y a qu'un Enfer... ; UN ENFER QUI NE POURRA JAMAIS ÊTRE UN LIEU DE SÉJOUR OÙ IL FERA BON VIVRE!
De la même façon, aux yeux de Dieu le mal s'appelle toujours «mal» même si l'humanité entière, même si les lois des hommes décrètent le contraire en l'appelant «bien».

Il n'y a que Dieu qui emploie des mots justes, des mots qui gardent la même signification depuis l'instant où ils ont été prononcés jusqu'à la disparition de ce monde qui est réservé pour le feu (2 Pierre 3: 7).

Dans tous les domaines, ce n'est pas ce que nous pensons qui fait force de loi, c'est ce que le Seigneur pense et dit!
Il importe peu que les hommes décrètent qu'il n'y a pas d'enfer!
Le Fils de Dieu nous a avertis que ce lieu a été préparé pour le diable et ses anges (Matthieu 25: 41) en ajoutant, à l'intention des hommes, qu'il n'y a que deux chemins:

  • Un chemin étroit qui conduit à la vie éternelle,

  • un chemin large qui conduit à la perdition, c'est-à-dire en enfer, la séparation éternelle d'avec Dieu (Matthieu 7: 13-14).

Qui allons-nous croire?
Les hommes qui sont incapables de dire s'ils verront le prochain soleil se lever ou Jésus, le Créateur de toutes choses?

Ainsi donc, il y a un même lieu pour le diable, pour les anges qui l'ont suivi et pour les hommes et les femmes qui n'ont pas voulu se mettre en ordre avec Dieu ou qui ont négligé de se préparer à le rencontrer en vivant comme il le demande au travers de l'Écriture. (Souvenons-nous des vierges folles!)

Sans doute, ces derniers semblent être moins coupables que les «grands» pécheurs, et devraient, selon notre justice, être moins punis! C'est oublié qu'aux yeux de Dieu il n'y a que LE péché (au singulier) et les conséquences multiples du péché qui se manifestent au travers de divers actes et pensées!
Adam et Ève n'ont commis QU'UN SEUL PÉCHÉ qui les a conduits à la mort: ils ont «simplement» désobéi à la Parole de Dieu!

Ne cherchons donc pas un enfer «adouci» réservé aux «petits» pécheurs! Ce lieu n'existe pas!

  • L'enfer, dans sa totalité, est un lieu de désolation, un univers qui sera exclusivement sous le contrôle du mal!

  • Un lieu sans la lumière de Dieu pour éclairer les consciences!

  • Un lieu sans Dieu, sans amour, sans justice, sans espérance et sans avoir la possibilité de retour en arrière!

  • Un lieu où les maudits et les damnés seront abandonnés pour l'éternité!

Alors..., que les perdus soient au «fin fond de l'enfer» ou dans les étages supérieurs (pour autant qu'il en existe), ils restent — ET RESTERONT À TOUT JAMAIS — des perdus qui, par leur conduite:

  • ont choisi de tourner le dos à Dieu en vivant sans s'occuper de lui quoique dans leur coeur il y ait la pensée de l'éternité (Ecclésiaste 3: 11).

  • ou ont choisi de vivre suffisamment loin de lui pour faire leur propre volonté sans avoir le désir réel de faire des progrès en marchant dans la sanctification sans laquelle PERSONNE ne verra le Seigneur (Hébreux 12: 14).

Cette dernière catégorie de personnes, vous l'avez certainement compris, désigne des enfants de Dieu qui veulent bien bénéficier des «bontés de l'Éternel et de ses compassions qui se renouvellent chaque matin» (Lamentations de Jérémie 3: 22-23), mais qui n'ont jamais eu la volonté d'abandonner les «choses anciennes» de leur vie sans Dieu, ou qui y sont retournées pour n'avoir point voulu se fortifier en travaillant pour le Royaume des Cieux ou s'instruire afin de devenir des ouvriers utilisables par le Maître.

N'est-il pas étrange que des enfants de Dieu ne veuillent pas aspirer à mieux connaître leur Sauveur?
N'est-il pas étrange qu'après avoir été sauvés, ils n'acceptent pas que leur Sauveur devienne le Seigneur de leur vie pour les conduire jusqu'au bon port?

Comment se fait-il qu'ils ne cherchent pas à lui être agréables alors que lui, il s'est donné entièrement pour sauver parfaitement ceux et celles qui le suivraient avec un coeur droit (Hébreux 7: 25)?
Le salut qui leur fut proposé a-t-il si peu de valeur à leurs yeux pour qu'ils ne travaillent pas à l'affermir alors qu'il est recommandé..., ORDONNÉ de le faire (Philippiens 2: 12)? «TRAVAILLEZ à votre salut avec crainte et tremblement.»

Ces vies dites «chrétiennes» me font penser à un personnage qui pourrait trouver sa place au «fin fond de l'enfer» au plus près des 3 personnes que nous avons déjà citées; je veux parler de Judas.

Judas..., Un homme choisi par le Seigneur pour en faire un disciple!
Un homme pécheur, comme tous les autres disciples!

Un pécheur qualifié de pécheur indépendamment des péchés qu'il commettait tout comme nous quand nous vivions sans Christ: «vous étiez en ce temps-là sans Christ..., sans espérance et sans Dieu dans le monde» (Éphésiens 2: 12)..., mais «vous avez été appelés des ténèbres à son admirable lumière» (1 Pierre 2: 9).

Judas..., un appelé!
Judas..., un pécheur qui aurait pu se mettre au bénéfice de la grâce de Dieu, mais qui n'a pas saisi l'opportunité pour changer de vie au contact de Jésus, pour se repentir comme l'avait fait Pierre après qu'il eut renié, par trois fois, connaître Jésus.

Et nous... ? Savons-nous mettre à profit ce temps de grâce qui touche à sa fin?
Ce temps de patience afin de réformer ce qu'il y a à changer dans nos vies pour que nous fassions partie de «cette épouse sans tache ni ride, ni rien de semblable» (Éphésiens 5: 27)?
Ou bien..., ressemblons-nous à Judas qui pouvait vivre auprès de Jésus, dans son intimité, participer à toutes ses réunions tout en gardant un coeur mauvais, un coeur qui ne voulait pas se soumettre?

Judas a prouvé que l'on pouvait vivre, ici-bas, entourés de ceux qui servent le Seigneur et qui reçoivent ses enseignements, sans pour autant changer soi-même et cela, en dépit des apparences


Contrairement à Pierre, Judas n'a jamais renié ouvertement Jésus! Il n'a jamais nié le connaître, il a fait pire!
C'est lui, Judas, qui indiqua qui était Jésus à ceux qui en voulaient à sa vie:

Celui qui le livrait leur avait donné ce signe: Celui que je baiserai, c’est lui; saisissez-le. Matthieu 26: 47-48

Celui que je baiserai, c’est lui; saisissez-le, et emmenez-le sûrement. Marc 14: 44


Judas connaissait Jésus, mais jamais le coeur de Judas ne fut touché en profondeur par celui qui, au moment d'être livré, put encore lui dire: «MON AMI, ce que tu es venu faire, fais-le.» (Matthieu 26: 50).

En parlant ainsi, le Fils de Dieu montra qu'il n'avait pas de haine contre celui qui l'avait livré à la mort.
En définitive, Judas ne fut qu'un instrument entre les mains du diable.
Il fut un ouvrier qui laissa Satan entrer dans son coeur sans lui opposer de résistance. Mais, le pouvait-il alors que depuis longtemps il était sous son emprise puisque, étant responsable de la bourse commune, il volait l'argent qui y était déposé? Il continuait donc à pécher, quoique vivant dans la proximité du Seigneur, un comportement qui donnait le champ libre à Satan qui voyait bien que cet homme n'avait pas la crainte de Dieu.

Pendant le souper, lorsque le DIABLE avait déjà INSPIRÉ au coeur de Judas Iscariot... Jean 13: 2

Dès que le morceau fut donné, SATAN ENTRA dans Judas... Jean 13: 27


Qui inspire nos pensées?
Qui habite en nous?

En prenant en considération la marche de ce triste individu, nous ne serons pas étonnés qu'il passe son éternité — «au fin fond de l'enfer» — ce lieu tellement horrible que le Fils de Dieu déclara qu'il était préférable de ne pas être né plutôt que de subir le sort éternel des perdus:

Malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne fût pas né. Matthieu 26: 24


Qu'en est-il pour nous?
Nous sommes nés..., et de ce fait nous avons le choix de suivre le Seigneur en lui obéissant comme l'ont fait les onze au risque de perdre notre vie, de perdre la liberté de vivre notre vie comme nous l'entendons...

... ou bien suivre, même de loin, de très loin, la conduite d'un Judas qui n'a jamais voulu changer de vie malgré les dons et le ministère qui lui furent donnés, malgré la présence de Jésus.


À nous d'agir en conséquence pour ne pas connaître ce lieu de tourments où les pleurs et les grincements de dents ne cesseront point.
À nous de veiller à notre conduite et de ne pas mépriser les avertissements du Seigneur lorsqu'il nous reprend au travers des moyens qui sont à sa disposition, des avertissements toujours conformes à la Parole de Dieu que nous possédons.

Je ne puis m'empêcher de vous rappeler qu'il n'y a pas besoin d'être aussi mauvais que Judas pour connaître la perdition éternelle!
Souvenez-vous simplement de ce que le Seigneur Jésus a dit à des personnes qui, aux yeux des hommes, ne semblaient pas vivre dans le péché; nous en parlions la semaine passée:

... Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous n’avez pas fait ces choses à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne les avez pas faites.

Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle. Matthieu 25: 41-46


Si nous ne sommes pas des traîtres comme le fut Judas, nous devrions quand même nous examiner sérieusement afin de profiter au mieux de ce temps de patience que le Seigneur nous accorde encore pour nous mettre en ordre avec lui.

Nous ne sommes pas des Judas, mais peut-être que, comme lui, nous avons volé Dieu?

Peut-être l'avons-nous trompé dans nos dîmes et dans nos offrandes en gardant pour nous ce qui lui revenait de droit (Malachie 3: 8)? «Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu» (Marc 12: 17).

Nous l'avons peut-être volé en ne lui accordant pas le temps que nous avions promis de lui consacrer, soit en allant dans sa maison, soit dans la lecture et l'étude de SA Parole?

Nous lui avons peut-être volé la gloire qui lui revenait de droit, ne serait-ce qu'en ne témoignant pas du salut qu'il nous a accordé gratuitement?

Nous l'avons certainement volé d'une façon ou d'une autre si nous avons été des serviteurs inutiles comme celui de la parabole qui sut profiter des bienfaits de son Maître sans jamais le servir.

C'EST POUR CETTE SEULE RAISON QU'IL FUT JETÉ EN ENFER; la raison d'avoir été inutile alors qu'il avait joui des bontés de son Seigneur et qu'il aurait dû montrer de la reconnaissance et du respect envers lui! «Et le serviteur inutile, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents» (Matthieu 25: 30).

Arrivé à cet instant, je ne puis que te dire merci Seigneur de ce que tu uses de patience envers tes bien-aimés pour qu'ils se repentent et qu'ainsi ils ne périssent point (2 Pierre 3: 9)!

Merci Seigneur pour toutes les fois où tu m'as ouvert les yeux et que tu m'as montré ce qui devait changer dans ma vie!

Que jamais je n'oublie la grâce que tu m'as faite en me sortant de la boue du péché et que toujours je sois en mesure de chercher à comprendre TA volonté afin de la mettre en pratique pour ne pas perdre le bénéfice du salut que tu m'as accordé.


Nous ne sommes pas des Judas, et pourtant nous savons que, dans l'Église de Jésus-Christ, il y a eu des meurtriers qui, comme Judas, se sont suicidés


Qu'il y en a d'autres qui désirent mettre fin à leurs jours d'une façon détourner en demandant à être euthanasiés «légalement»!

SE SUICIDER... C'EST TUER QUELQU'UN!
Tuer quelqu'un c'est devenir un meurtrier, c'est avoir ôté intentionnellement – AVEC PRÉMÉDITATION — la vie qui avait été donnée par Dieu.

Se suicider est, pour ce qui concerne l'éternité, pire que de tuer quelqu'un!
Un meurtrier peut toujours demander pardon à Dieu et être pardonné!
Un suicidé n'a plus la possibilité de demander pardon à Dieu d'avoir tué un être vivant et d'avoir enfreint le 6e commandement: «TU NE TUERAS POINT».

MAIS pour les lâches, les incrédules, les abominables, LES MEURTRIERS, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, LEUR PART SERA DANS L’ÉTANG ARDENT DE FEU ET DE SOUFRE, ce qui est la seconde mort. Apocalypse 21: 8


Il ne nous appartient pas de discuter la Parole de Dieu qui vient d'être citée ni de débattre si le suicide est un meurtre ou non dans notre langage moderne.
Le seul langage que nous devons connaître, c'est celui de Dieu, celui qui nous jugera en fonction des règles qu'il a établies et qu'il nous a fait connaître: «TU NE TUERAS POINT»

Élie et Jonas, en avaient assez de la vie, mais ils ne sont pas donné la mort.
En tant qu'hommes de Dieu, ils savaient qu'ils n'avaient pas le droit de se tuer, c'est pour cette raison qu'ils demandèrent la mort à l'Éternel; une mort qui ne leur fut accordée qu'une fois le nombre de leurs jours accomplis, du moins pour ce qui concerne Jonas puisque Élie fut enlevé dans un char de feu!

D'autres, moins respectueux des commandements de Dieu, sont passés à l'acte; de ce nombre sont: le roi Saül (1 Samuel 31: 4), Achitophel (2 Samuel 17: 23), Zimri (1 Rois 16: 18) et, bien sûr Judas Iscariot.

Personne n'a reçu le droit divin pour mettre fin à ses jours!
Mieux encore!
Il est de notre devoir de faire tout notre possible pour convaincre les suicidaires ou les candidats à l'euthanasie à revenir à de meilleurs sentiments.
Le geôlier de Philippes (Actes, chapitre 16) voulait se tuer, mais l'apôtre Paul «CRIA D'UNE VOIX FORTE: Ne te fais point de mal» (Actes 16: 28).

Ce cri ne devrait-il pas se faire entendre dans notre beau pays de Suisse qui est devenu une plaque tournante pour ceux et celles qui désirent mettre fin à leurs jours dans la légalité... Suisse?

Combien de personnes ont-elles été arrêtées par Dieu sur la route du suicide et qui, aujourd'hui bénissent le Seigneur de ce qu'elles ont été sauvées?
Et combien d'autres qui, après avoir été sauvées se sont de nouveau jetées dans les bras de la mort, poussés par un esprit de mort qui les a poursuivis jusqu'à ce qu'ils arrivent à leur fin?

Quant à ceux et celles qui sont sur le point d'arriver à cette extrémité, qui y pensent secrètement, qu'ils sachent qu'en accomplissant ce geste ils n'auront plus l'occasion de demander pardon à Dieu pour ce péché..., et qu'il n'y a rien dans l'Écriture qui nous engage à demander pardon à titre... préventif!

IL N'A JAMAIS ÉTÉ QUESTION
DANS LES ENSEIGNEMENTS DE LA PAROLE DE DIEU
DE DEMANDER PARDON
POUR UN PÉCHÉ QUE L'ON SE PRÉPARAIT À COMMETTRE!

Nous ne sommes pas des Judas, et pourtant nous savons que dans l'Église de Jésus-Christ il y a eu des meurtriers et surtout des meurtrières qui ont tué des enfants innocents..., qui ont tué leurs enfants!
Lisons ensemble ce texte du Psaume 139: 14-16 qui nous replace devant  cette masse informe que nous étions:

Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

Mon CORPS (indépendamment de sa forme) n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret...

QUAND JE N’ÉTAIS QU’UNE MASSE INFORME, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.


Là encore, il ne nous appartient pas de discuter la Parole de Dieu qui vient d'être citée ni de débattre si l'avortement est un meurtre ou non dans notre langage moderne.
Le seul langage que nous devons connaître est toujours celui de Dieu, celui qui nous jugera en fonction des règles qu'il a établies et qu'il nous a fait connaître: «TU NE TUERAS POINT».
S'il dit que les jours des futurs hommes et futures femmes en formation dans le ventre de leur mère sont comptés, il ne nous appartient pas de tuer ces vies pour notre «confort» personnel

Nos autorités sont capables de légiférer pour sauver des animaux en voie d'extinction ou des plantes rares, elles sont capables de punir sévèrement ceux qui enfreignent les lois qui les protègent et, en même temps elles légifèrent pour tuer des... centaines de milliers d'enfants qui, à leurs yeux, valent moins que des animaux ou des plantes!

Il est fort probable que, dans un seul jour, il y ait plus d'enfants tués dans le ventre de leur mère, que dans les conflits qui endeuillent la planète. À votre avis, lesquels sont pleurés?

Une fois encore, et particulièrement pour l'avortement, la possibilité de demander pardon à Dieu reste à la portée de ceux et celles qui ont péché et qui désirent changer leur façon de penser en ayant à coeur de marcher dans la Lumière à la suite du Sauveur et Seigneur Jésus:

Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 1 Jean 1: 7


Tout est pardonnable au travers de l'oeuvre de Christ! Tout..., excepté le péché contre le Saint-Esprit!
TOUT..., même le meurtre!
Le brigand repentant sur la Croix a été pardonné! Le Roi David a été pardonné (2 Samuel 12 : 1-23)! TOUT peut être pardonné et oublié à tout jamais à partir du moment où le péché a été confessé ET ABANDONNÉ!

Un suicidé ou un euthanasié n'est plus en mesure de confesser son péché.
La confession ne peut se faire que du vivant de la personne: «APRÈS LA MORT VIENT LE JUGEMENT» (Hébreux 9: 27). Rappelons-nous qu'il est impensable de demander pardon pour un acte — un péché — que l'on va commettre vu que Dieu a sa solution à nous proposer et qu'il est (Psaume 46: 1):


UN SECOURS QUI NE MANQUE JAMAIS DANS LA DÉTRESSE.


Un secours en toutes circonstances parce qu'il nous aime et qu'il ne veut point nous voir périr, raison pour laquelle il use de patience envers nous (2 Pierre 3 9).
Nous avons donc été jusqu'au «fin fond de l'enfer»; là, nous avons entraperçu, la bête (l'Antichrist), son prophète, le diable et Judas qui fut «habité» par le prince des ténèbres. Ce prince des ténèbres qui cherche d'autres victimes et qui, aujourd'hui, «rôde comme un lion rugissant cherchant qui il pourrait bien dévorer» (1 Pierre 5: 8).

Nous avons aussi entraperçu ceux qui ont été maudits par le Seigneur:

  • Ces MAUDITS qui ne vivaient pas dans le péché (à nos yeux);

  • Ces MAUDITS qui estimaient être en ordre parce qu'ils avaient une vie «rangée»;

  • Ces MAUDITS qui ont été maudits pour n'avoir rien fait pour la gloire de Dieu;

  • Ces MAUDITS qui iront rejoindre le diable et ses anges.

Plaise à Dieu que nous ne fassions jamais partie de ces maudits et que nous ne soyons jamais semblables à ceux qui, comme Judas, vivent dans l'intimité de Christ, au milieu du corps de Christ, c'est-à-dire de SON Église...
... et qui sont restés tels qu'ils étaient ou sont devenus pires pour avoir été plus sensibles à l'influence du monde, du prince de ce monde, qu'aux paroles du Prince de la Vie, le Seigneur Jésus

En conclusion, les ténèbres restent des ténèbres même si les hommes veulent leur donner un autre nom et l'Enfer restera l'enfer avec toute son horreur.
Un lieu de perdition éternelle où les larmes et les grincements de dents ne cesseront jamais.

Qu'on ne se méprenne pas!
L'Écriture est là pour nous dire tout ce que nous devons savoir pour éviter ce lieu de tourments, ce lieu où IL SERA IMPOSSIBLE DE RENDRE L'ENFER PLUS SUPPORTABLE, de s'en protéger comme on peut se protéger de la canicule actuelle!

Une canicule dont les effets dévastateurs se feront sentir là où la sécheresse a déjà sévi et qui pourrait servir de signe annonciateur de famine, pensons-y!
Nous avons été avertis! Le Seigneur Jésus nous a prévenus de ce qui se passerait à la fin des temps: famine et abandon de la foi! 

Si nous croyons que SA parole est la vérité, agissons en conséquence en nous mettant à l'abri des deux famines les plus dangereuses pour nous: celle du corps et celle de l'âme!

Dieu voulant, nous continuerons notre voyage au centre de l'enfer afin d'y rencontrer d'autres personnes qui ont eu leur place réservée pour n'avoir point voulu changer, nous le ferons sans chercher à savoir à quel étage elles se trouvent, l'Enfer étant l'enfer, un lieu de perdition sans Dieu, sans amour, sans justice, sans espérance et sans avoir la possibilité de retour en arrière!

Afin de terminer sur une note pleine d'espérance, réconfortons-nous par le souvenir des promesses du Seigneur Jésus qui prépare une place dans son Royaume pour les fidèles, c'est-à-dire pour ceux et celles qui auront marché en vainqueurs. Exhortons-nous à travailler sans relâche à notre salut comme il l'a été ordonné (Philippiens 2: 12) et:

Purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit,

EN ACHEVANT NOTRE SANCTIFICATION DANS LA CRAINTE DE DIEU. 2 Corinthiens 7: 1

Et si vous invoquez comme Père celui qui juge selon l’oeuvre de chacun, sans acception de personnes, CONDUISEZ-VOUS AVEC CRAINTE pendant le temps de votre pèlerinage... 1 Pierre 1: 17


J-M Ravé 18 août 2012 — CP 474 — 2300 Chaux-de-Fonds – Suisse

Les textes bibliques, sans indication particulière, sont tirés de la Bible Segond

C31102012


 

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