Nouvelles d'Israël

07 / 1993
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Le Mossad contre l'Iran

Des milieux informés des services secrets occidentaux soupçonnent le renseignement israélien d'être à l'origine de la mystérieuse explosion survenue dans la société «Bio Engineering» dans une petite ville de Suisse. L'explosion a causé des dommages importants dans cette entreprise qui produit des conteneurs en forme de cruches, équipés de la technologie adaptée à la fabrication d'armes biologiques. Cet armement avait été commandé par l'Iran.

On a pu entendre dans un journal télévisé allemand que l'attentat avait été perpétré après que la direction de l'entreprise eut reçu un avertissement stipulant qu'elle ne devait conclure «aucun marché avec l'Iran». Une autre livraison composée de trois énormes conteneurs s'est volatilisée dans les airs à l'aéroport de Munich, quelques minutes seulement avant son embarquement prévu dans un avion à destination de Téhéran. Le monde occidental est très préoccupé par les tentatives iraniennes d'achat de matériel convenant à la fabrication d'armes atomiques, chimiques et biologiques.

Au mois de mai, un journal d'opposition égyptien soutenait que le chef de la CIA américaine, James WaIsley, s'était rendu en Egypte et en Israël. Le but de cette visite aurait été d'examiner les possibilités de coopération en vue de renverser le régime des ayatollahs à Téhéran. Cette hypothèse n'a évidemment reçu de confirmation officielle d'aucune part. Les experts israéliens sont persuadés qu'il n'existe aujourd'hui en Iran aucune chance réaliste de constituer une opposition significative, susceptible de prendre la relève du gouvernement en place.

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07 / 1993
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Projet de liaison ferroviaire Egypte-Syrie-Israël?

Le journal jordanien «Achbar Elasboa» signale que quelques pays du Golfe auraient approuvé le financement d'un projet américano-israélien portant sur la construction d'un chemin de fer reliant l'Egypte, la Syrie et Israël. Suite aux pressions exercées depuis quelques semaines par l'administration américaine, l'Egypte et la Syrie auraient d'ores et déjà, elles aussi, donné leur accord.

Diverses sources ont précisé que la première phase du projet se limitera à la construction des tracés et à la pose des rails,. destinés à relier l'«entité sioniste» à l'Egypte et à la Syrie. D'autres pays se joindraient au projet dans une deuxième phase, tandis que la troisième étape impliquerait d'autres Etats arabes ainsi que l'Afrique du Sud. La quatrième phase consisterait à créer des ramifications dans les pays du Golfe. Le journal «Achbar Elasboa» cite également des sources occidentales bien informées selon lesquelles les travaux liés à la première phase du projet pourraient commencer dès janvier 1994. Le gouvernement américain serait persuadé que ce projet représente une initiative capitale dans la coopération pour établir la paix. La réalisation du projet ne dépendrait pas des résultats des négociations politiques qui se déroulent à Washington. Lors des premiers contacts entre experts égyptiens, syriens et israéliens dans le cadre du projet, il aurait été décidé d'impliquer également des spécialistes américains. Les Etats-Unis joueraient un rôle important dans l'exécution du projet.

Les premiers entretiens pourraient avoir lieu dès juillet 1993 au Caire ou à Washington. Il convient de noter, ajoute le journal, que les USA exercent également des pressions sur les pays du Maghreb afin qu'ils acceptent une collaboration économique avec Israël sans attendre les résultats des négociations pour la paix.

Commentaire: Quelle nouvelle encourageante! Bien entendu, en apprenant de telles informations, nos pensées se tournent vers Esaïe 19,23-25 : «En ce même temps, il y aura une route d'Egypte en Assyrie: Les Assyriens iront en Egypte, et les Egyptiens en Assyrie, et les Egyptiens avec les Assyriens serviront l'Eternel. En ce même temps, Israël sera, lui troisième, uni à l'Égypte et à l'Assyrie, et ces pays seront l'objet d'une bénédiction. L'Eternel des armées les bénira, en disant: Bénis soient l'Egypte, mon peuple, et l'Assyrie, oeuvre de mes mains, et Israël, mon héritage!»

Ce communiqué n'annonce-t-il pas l'accomplissement de cette promesse biblique, qui se réalisera pleinement dans le Royaume éternel sous le règne béni de Jésus Christ (voir Esaïe 2, 2-4 et Apoc. 20, 4)?! Notre Seigneur Jésus dit que lorsque le figuier (symbole &Israël) sera en fleurs, notre délivrance (comprendre: notre enlèvement) sera proche (voir Matth. 24, 32 et Luc 21, 28-29). Comme de telles informations viennent confirmer la véracité de cette promesse divine! Car s'il est certain qu'Israël existe à nouveau aujourd'hui et que le figuier refleurit, il ne fait pas non plus le moindre doute que l'Eternel établira sur cette terre Son règne de paix. Mais auparavant, il nous faudra quitter ce monde. Es-tu prêt, s'Il décide de te rappeler à Lui aujourd'hui? C.M.

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07 / 1993
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Shamir a rencontré le roi Hussein en 1987

L'ancien Premier ministre israélien, M. Yitzhak Shamir, a rencontré le roi Hussein de Jordanie à Londres lors d'un séjour simultané des deux hommes d'Etat dans la capitale britannique. La rencontre s'est déroulée le 18 juillet 1987 à l'initiative de Shamir dans la demeure du roi Hussein à Londres. Ce dernier a fait en sorte d'offrir à Shamir de la nourriture kasher. Les deux personnalités se sont entretenues cinq heures durant et se sont séparées avec des sentiments contradictoires. Shamir, satisfait, a souhaité une seconde rencontre. Quant au roi Hussein, il s'est montré très déçu et a déclaré que Shamir était désespérant et qu'il était impossible de poursuivre des négociations avec lui.

C'est dans le nouvel ouvrage «Sturm und Sieg» («Tempête et victoire») de l'ancien secrétaire d'Etat américain George Shultz que les détails de l'entretien ont été publiés pour la première fois; ce livre révèle également d'autres informations inédites concernant les relations entre Israël et les Etats-Unis. Shultz relate entre autres que les deux pays sont passés à deux doigts d'un affrontement militaire en haute mer. Cet événement s'est produit à l'époque de la guerre du Liban, pendant que l'OLP était évacuée de Beyrouth. Ariel Sharon, alors ministre israélien de la Défense, aurait refusé d'autoriser des navires emportant des armes de l'OLP à quitter le port de Beyrouth. MM. Shultz et Caspar Weinberger, ministre américain de la Défense à l'époque, n'ont pas voulu céder et ont ordonné aux destroyers américains de s'approcher du port. Israël s'est incliné au dernier moment, permettant ainsi d'éviter entre Israël et les Etats-Unis un affrontement militaire que Shultz décrit dans son livre comme «extrêmement dangereux et provoqué par une bagatelle».

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08 / 1993
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Négociations de paix - Analyses et perspectives

Les négociations israélo-arabes apparaissent sous un tout autre angle lorsqu'on les examine de près. Dans cette perspective, les intentions et opinions des interlocuteurs peuvent sembler désespérément contradictoires. Ainsi, la Syrie exige-t-elle la récupération de tout le GoIan, revendication pour laquelle il sera pratiquement impossible de trouver une majorité parmi les Israéliens. Les Palestiniens souhaiteraient une autonomie de transition pour tous les territoires (y compris Jérusalem-Est) et un parlement, ce qui reviendrait à anticiper sur la solution définitive tant désirée. Il n'y a aucune chance qu'Israël accepte un schéma de ce type.

Mais vue sous une perspective plus large, la région est véritablement mûre pour la paix. Après la faillite du communisme dans le monde, les Arabes ne bénéficient plus d'aucun soutien géopolitique. D'autre part au plan financier, tant la Syrie, la Jordanie qu'Israël ne peuvent plus se permettre de maintenir l'état de guerre. Etant donné que Syriens et Israéliens s'assoient régulièrement à la même table, les barrières psychologiques commencent à tomber. Après l'Egypte, le Koweït est le premier Etat arabe à avoir déclaré qu'il souhaitait mettre partiellement fin au boycott commercial frappant Israël. Depuis lors, le Premier ministre israélien, M. Rabin, déclare à qui veut l'entendre que les négociations de paix ont dépassé le «point de non-retour».

Les négociations se poursuivent depuis plus d'un an et demi avec une lenteur exaspérante, et nul ne sait ni où, ni quand aura lieu le déclic définitif. Si les négociations avec la Syrie semblent pour l'instant s'enliser, les Israéliens et les Palestiniens se sont en revanche mis d'accord il y a peu sur la répartition en groupes de travail. Les théoriciens de la négociation font remarquer que les Arabes faisaient montre de plus de flexibilité sous la pression de la politique de peuplement du Likoud et de l'immigration massive que vis-à-vis des gestes de Rabin.

Mais la pression ne peut désormais que monter. D'une part, parce que les USA y veilleront, et d'autre part parce que le compte à rebours est enclenché pour le mandat de Rabin. Les Arabes savent pertinemment qu'ils ne bénéficieront pas de sitôt d'une telle générosité de la part d'un autre gouvernement israélien.

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08 / 1993
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Visite officielle autrichienne

Le chancelier autrichien, Franz Vranitzky, a passé trois jours en Israël au mois de juin. Les commentateurs politiques ont résumé cette visite en estimant qu'un nouveau chapitre s'ouvrait aujourd'hui dans les relations entre Vienne et Jérusalem.

De nombreuses années durant, l'Autriche était restée un Etat hostile aux yeux d'Israël. Les souvenirs du passé nazi de l'Autriche et la politique pro-palestinienne du chancelier Bruno Kreisky, qui avait entretenu des relations étroites avec le chef de l'OLP Yasser Arafat pendant les 13 années de son gouvernement (jusqu'en 1983), avaient largement contribué à cette situation. Les relations avec l'Autriche subirent une nouvelle détérioration lors qu'en 1986, Kurt Waldheim fut élu président malgré les révélations concernant son passé nazi. A la suite à cette élection, Israël réduisit sa représentation diplomatique à Vienne et les relations entre les deux Etats devinrent plus que froides . Après la fin du mandat de K. Waldheim, un processus de rapprochement a débuté et a eu pour point culminant la récente visite du chancelier autrichien. Par sa personnalité et ses paroles, Franz Vranitzky a réussi à devenir le premier chef d'Etat autrichien capable de faire passer partiellement à l'arrière-plan la vieille pomme de discorde. Au cours de sa visite, F. Vranitzky s'est à plusieurs reprises excusé pour le comportement d'une partie du peuple autrichien durant la période nazie. Ces excuses ont également constitué l'un des thèmes d'un impressionnant discours prononcé par le chancelier à l'occasion de sa nomination au titre de professeur honoris causa de l'Université hébraïque de Jérusalem.

Outre les cérémonies et les visites, la rencontre prévoyait également des entretiens à caractère politique au cours desquels l'Autriche a proposé ses services comme médiateur entre Israël et les Etats arabes, principalement en ce qui concerne les soldats israéliens retenus prisonniers et portés disparus. De plus, quelques accords bilatéraux touchant divers domaines ont également été signés au cours de cette visite.

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08 / 1993

 

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Yitzhak Rabin: l'Europe devrait contribuer à accroître l'indépendance économique des Palestiniens

«J'ai été trop optimiste», a reconnu Yitzhak Rabin, Premier ministre israélien, qui, lors de son accession au pouvoir, avait espéré conclure dans les douze mois suivants un traité de paix avec au moins un des interlocuteurs arabes. Dans une interview accordée au magazine «DIE WELT», Y. Rabin explique qu'en matière de politique de paix, il a réalisé des compromis que le précédent gouvernement n'aurait même pas accepté d'envisager. Il n'a toutefois pas obtenu la réponse à ses attentes. «C'est pourquoi le processus dure plus longtemps, mais je ne crois pas que les négociations de paix puissent être retardées davantage». Depuis son élection voici presque un an, ce social-démocrate de 70 ans est sous les feux de l'actualité puisqu'il est entré en fonction comme l'homme de la paix et des concessions. Mais Y. Rabin a également décrété l'extradition de 400 musulmans radicaux et l'état d'urgence en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.

«Ce qui m'a décidé à isoler les 'territoires', c'est l'inquiétude pour la sécurité personnelle des Israéliens; après deux mois de fermeture, l'atmosphère s'est peu à peu détendue en Israël.» Israël dépendait jusqu'à un certain point des travailleurs palestiniens; d'autre part, les salaires des 120.000 Palestiniens travaillant en Israël représentaient un tiers du produit national brut.

Le mandat de Rabin

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10 / 1999
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L'Angleterre a freiné des projets visant à sauver des Juifs

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Angleterre s'est opposée à un vaste projet des Etats-Unis visant à échanger des milliers de juifs des camps de concentration contre des Allemands vivant en Amérique du Sud. L'attitude de l'Angleterre se fondait sur la crainte que les juifs s'établissent en Palestine et causent des problèmes au mandat britannique. Ces faits, ainsi que d'autres informations, proviennent de documents officiels britanniques qui n'ont été révélés au public que récemment.

Ces documents, conservés dans les archives de l'Etat britannique, n'auraient dû être rendus publics qu'en 2021; cependant, le gouvernement travailliste a décidé de les rendre accessibles plus tôt dans le cadre de mesures visant à accroître la transparence. Ces documents révèlent qu'en 1944, le ministre britannique des Affaires étrangères Anthony Eden a rejeté une proposition consistant à renvoyer dans leur pays plusieurs milliers d'Allemands vivant en Amérique latine en échange de la libération des ressortissants juifs sud-américains détenus dans les camps nazis en Europe. Mais Eden ne craignait pas seulement de voir ces Juifs affluer en Palestine, il s'inquiétait aussi de voir de jeunes Allemands ramenant leurs expériences de l'étranger, être utiles à la machine de guerre nazie.

L'attitude britannique a suscité la colère de Washington, où étaient planifiées à l'époque les diverses opérations visant à sauver les Juifs des camps. Une action d'échange portant sur le camp de Bergen-Belsen avait permis de découvrir les conditions qui régnaient dans les camps de concentration.

Parmi les documents rendus accessibles, on trouve une lettre adressée par Eden à l'ambassadeur britannique à Washington. Il écrit: «La majorité des détenteurs de passeports latino-américains (et captifs dans les camps européens) appartiennent à la race juive et pourraient émigrer en Palestine. Dans ce contexte, il est douteux de pouvoir jamais mettre à exécution l'idée d'échange proposée par le gouvernement américain.» En même temps, Eden espérait que «le gouvernement allemand éviterait la liquidation des juifs et les maintiendrait dans des camps accessibles aux instances étrangères.»

Cette distanciation ainsi que les hésitations britanniques ont provoqué la colère des Américains. Ils ont transmis à Londres un mémorandum dans lequel ils dépeignaient les conditions dont leur avaient fait part les ex-détenus de Bergen-Belsen, en recommandant de mettre l'opération à exécution le plus rapidement possible, afin de conclure avec les Allemands un accord «tant que c'était possible».

Mais les Britanniques n'ont réagi qu'avec lenteur, et suite à l'évolution de la guerre, le projet n'a plus été considéré que comme une «affaire académique», comme le révèle un autre document.

Commentaire: Quel peuple n'est pas redevable au peuple juif? Combien de nations depuis l'époque biblique jusqu'à nos jours ont dû découvrir la vérité de l'éternelle Parole de Dieu en la Genèse 12, 3: «Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront. »

Le jugement des nations en Matthieu 25, 31ss, nous parle d'Israël, lorsque tous les peuples, rassemblés devant le Christ, seront jugés par Lui en fonction de ce qu'ils ont fait aux juifs: «Dans la mesure où vous avez fait cela à l'un de ces plus petits d'entre mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait» (v.40) CM

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10 / 1999
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Bientôt le drapeau israélien sur Damas?

Le mois d'août s'est caractérisé par une atmosphère donnant l'impression qu'Israël et la Syrie étaient en «voyage de noces». Certes, on peut difficilement affirmer que les deux Etats, ou plutôt leurs chefs sont tombés dans les bras l'un de l'autre. Et pourtant: pour la première fois depuis de nombreuses années, les tambours de la guerre rythmant le pas à Damas se sont tus. La Syrie donne à entendre qu'elle pense sérieusement à conclure un traité de paix.

Des messages sont parvenus à Jérusalem, essentiellement en provenance de Jordanie, selon lesquels le président syrien a décidé de ne pas laisser passer l'occasion de signer un accord de paix, occasion offerte par le changement de gouvernement en Israël. Cette décision se remarque par plusieurs indices: la presse syrienne a pratiquement cessé toute attaque verbale contre l'Etat hébreu. Le président Assad déclare estimer Ehud Barak, parce que celui-ci est un «grand combattant» et un «homme très sérieux». Des sources diplomatiques ont affirmé que dans les palais de Damas, il est fortement question d'une paix globale avec Israël, même s'il ne s'agit que d'une «paix froide». On se fait à la pensée qu'un drapeau israélien pourrait flotter sur l'ambassade de l'Etat hébreu dans la capitale syrienne. Un autre élément qui, semble-t-il, existait déjà au temps du gouvernement Netanyahou, laisse supposer que la Syrie serait prête à autoriser, sur l'Hermon, la présence de troupes internationales. Celles-ci veilleraient sur le Golan pour qu'aucune arme ne pénètre dans cette zone qui serait démilitarisée.

Malgré ces signes absolument positifs, la véritable pierre d'achoppement semble encore être bien en place: la Syrie pose des conditions pour une reprise des négociations, à savoir notamment qu'Israël doit déclarer vouloir se retirer complètement du Golan. Il s'agit là d'un retrait sur les frontières du 4 juin 1967, c'est-à-dire revenir à la situation que connaissait cette région immédiatement avant le début de la guerre des Six jours. Les Syriens contrôlaient alors ce territoire, en certains points jusqu'aux bords du lac de Génézareth. Si Israël est fondamentalement disposé à se retirer, il insiste sur le fait que des changements de frontières ne peuvent, en aucun cas, porter atteinte à l'autorité israélienne sur ledit lac.

Des sources diplomatiques laissent entendre que ce point sensible est également proche d'une solution.

Les habitants du Golan, naturellement fort inquiets, se préparent à s'opposer à ce retrait. Selon des bruits parvenus aux oreilles de journalistes israéliens, les habitants du Golan sont même disposés à livrer un véritable combat. Mais le président du Conseil des habitants du Golan a rejeté ceci comme étant une «idée absurde».

Commentaire:Nous avons déjà souvent parlé de ces possibles développements. Si ces communiqués devaient se confirmer, il apparaîtrait, une fois de plus clairement, combien les choses pourraient aller vite. Le Seigneur Jésus peut revenir bientôt! CM

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