Nouvelles d'Israël
09 /
1999
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LE PRÉSIDENT TURC EN
ISRAEL
Nouvelle ligne maritime entre
Israël et la Turquie
La possibilité d'une reprise
des négociations entre Israël et la Syrie, et
d'un éventuel accord de paix entre les deux pays,
n'influencera pas les relations israélo-turques.
C'est ce qu'a déclaré le président turc
Suleiman Demirel à l'occasion d'une visite officielle
en Israël. Durant son séjour, de nombreux
communiqués de presse ont été
publiés à ce sujet. La Turquie
considère la Syrie comme un ennemi
héréditaire.
Le président turc avait
accepté une invitation du président
israélien Ezer Weizman. Pendant sa visite, il s'est
penché sur divers aspects des relations
israélo-turques, et a notamment inauguré une
nouvelle ligne maritime entre les deux pays. Il a
été précisé que la grande
compagnie maritime turque «Turkon» avait choisi le
port d'Ashdod comme point nodal en
Méditerranée; c'est jusqu'à
présent Beyrouth qui occupait cette fonction.
Parmi les grands thèmes
abordés figurait étalement la fourniture d'eau
turque, faisant suite à des discussions
préalables concernant le transport d'eau dans
d'immenses bateaux-citernes. Actuellement, on envisage
toutefois de construire sur le fond de la
Méditerranée un grand pipe-line; il permettra
d'acheminer des millions de mètres cubes d'eau de
Turquie en Israël, dont les ressources en eau se font
de plus en plus chiches.
Commentaire:
Les bonnes relations entre Israël
et la Turquie doivent s'évaluer à la
même aune que, par exemple, l'accord de paix avec
l'Egypte ou, dans un proche avenir, avec la Syrie, qui
serviront superficiellement le royaume de l'Antichrist. Car
nous savons que seul Jésus-Christ apportera la
véritable paix.
Et selon de nombreux
exégètes, certaines parties de la Turquie
correspondent à Togarma et Gomer dans Ezéchiel
38 et 39, pays qui attaqueront soudainement Israël. Il
ne faut surtout pas oublier que la Turquie est un Etat
islamique. Les esprits s'y enflamment dès qu'il est
question d'Israël. Lorsque Gog au pays de Magog et ses
satellites attaqueront Israël, le Seigneur interviendra
puissamment en faveur de Son peuple, comme le disent si
expressément les deux chapitres déjà
cités. Cet événement n'aura
vraisemblablement lieu qu'après notre
enlèvement. CM
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09 /
1999
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Un arabe à la commission
pour la sécurité
Pour la première fois dans
l'histoire de l'Etat d'Israël, un ressortissant de la
minorité arabe fera partie d'une commission
stratégique de la Knesset: la commission pour la
sécurité étrangère et
intérieure, responsable du contrôle de la
sécurité en Israël. L'armée et les
autres institutions chargées de la
sécurité alimentent constamment cette instance
en renseignements, dont certains sont secrets. Une
sous-commission est directement responsable de
l'administration financière du système de
sécurité du pays, y compris les services du
Mossad et du Shabak.
Jusqu'à présent, les
députés arabes de la Knesset n'avaient pas le
droit d'en faire partie. Les tentatives visant à
modifier cet état de choses s'étaient toujours
heurtées au refus du gouvernement, mais aussi des
Arabes eux-mêmes, qui ne souhaitaient pas collaborer
à une commission s'en prenant indirectement aux
Arabes en Israël et à l'étranger.
Suite aux résultats
électoraux, le nouveau gouvernement a toutefois
encouragé l'admission d'un représentant arabe
dans cette instance. Le premier député qui a
reçu cette mission est Hashem Machamid,
représentant du parti arabe «Ra'am»,
âgé de 54 ans. Machamid, qui est titulaire d'un
diplôme de pédagogie de l'université de
Tel-Aviv, a la réputation de se montrer critique
envers la politique menée par Israël dans la
question arabe, et de défendre avec
véhémence les intérêts
palestiniens.
Du côté de l'opposition,
et principalement du Likoud, la nomination de Machamid a
été accueillie avec beaucoup
d'inquiétude. Selon l'ancien ministre de la
Défense Moshe Arens, cette mesure équivaut
à la fin de la participation parlementaire au
contrôle du système de sécurité.
On ne peut exiger de la part des chefs des services secrets
qu'ils présentent leurs plans à cette
commission si celle-ci inclut un membre «que l'on ne
peut initier aux secrets». Arens a même
cité Machamid afin de démontrer que son
attitude compromettait la sécurité de l'Etat
d'Israël. En revanche, le ministre de la justice Jossi
Beilin a salué la nomination de Machamid, qu'il a
décrite comme un «pas historique» et comme
la confirmation du fait que «les Arabes
israéliens sont devenus partie intégrante de
notre société».
Commentaire:
Espérons qu'Israël ne
commette pas là une grave erreur. Bien entendu, il
est toujours dangereux de faire des compromis avec l'ennemi,
même si de telles personnes ont toujours un
comportement plus ou moins neutre. Jésus a
prononcé des mots décisifs qui s'appliquent
également à Israël: «Celui qui n'est
pas avec moi est contre moi» (Matth. 12, 30). CM
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10 /
1999
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L'accord de Charm
el-Cheik
Deux mois après son
entrée en fonction comme Premier ministre, Ehud Barak
a pu enregistrer son premier succès dans sa politique
pour la paix: la signature d'un traité avec les
Palestiniens, où sont revues et corrigées les
concessions consenties par Netanyahou dans le cadre de
l'accord de Wye. On est parvenu à ce nouvel accord
après des semaines de pénibles
négociations entre représentants
israéliens et palestiniens. Il a été
signé à Charm el-Cheik lors d'une
cérémonie simple, mais impressionnante. Pour
patronner le tout, il y avait le président
égyptien Hosni Moubarak; étaient
également présents le roi de Jordanie,
Abdullah II, ainsi que Madeleine Albright, secrétaire
d'Etat US.
La pièce centrale de ce nouvel
accord, ratifié à la Knesset par 54 voix
contre 23, est la fixation de la date à laquelle on
doit être parvenu à un accord définitif
entre Israéliens et Palestiniens. Barak espère
que de cette manière, on pourra ramener à un
minimum les points de désaccord entre les deux
parties.
Par l'accord de Charm el Cheik,
Israël s'est engagé à libérer
quelques centaines de prisonniers palestiniens; parmi eux,
certains «qui avaient du sang juif sur les mains».
En outre, Israël a consenti à se retirer le plus
rapidement possible d'autres territoires de Judée et
de Samarie, comme cela avait été convenu lors
des négociations de Wye par Netanyahou et les
Palestiniens.
Entretiens sur l'accord
définitif
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Barak sauve le gouvernement d'une
crise
D'un côté des
acclamations de centaines de citoyens, de l'autre des cris
hostiles de bon nombre de manifestants. Tel fut le
scénario accompagnant une énorme turbine, qui,
pendant la nuit d'un vendredi à un sabbat du mois
d'août, fut transportée sur les routes
d'Israël. C'était une des meilleures preuves que
l'Israël du mois d'août 1999 n'a pas
changé du tout: même sous le gouvernement Barak
et son énorme coalition, il existe des tensions et
une lutte culturelle entre les séculiers et les
religieux.
Cette turbine gigantesque d'un poids
de 350 tonnes et de 60 mètres de long est devenue le
symbole de cette lutte. Fabriquée au centre du pays,
elle fait partie d'une grande centrale électrique que
la Compagnie d'électricité construit
actuellement près d'Ashdod. Après que les
travaux de construction de cette centrale eurent
été achevés, la turbine devait y
être acheminée. Etant donné qu'il
s'agissait d'un transport exceptionnel qui ne pouvait se
déplacer qu'à 510 km/heure, les personnes
intéressées réalisèrent à
l'unanimité que toute circulation sur le parcours du
transport ainsi que sur les voies secondaires serait
paralysée. La police décida donc d'agir comme
par le passé: le transport s'effectuerait à un
moment où la circulation serait minimale.
Des expériences
antérieures ont montré que ce moment favorable
se situe dans la nuit du vendredi au sabbat.
Lorsque tous les préparatifs
pour le transport furent terminés, la police publia
un communiqué concernant les barrages routiers. Mais
à ce moment précis, les religieux, attentifs
à ce problème, réagirent. Les partis
religieux de la coalition, dirigés par le Shas,
brandirent la menace d'une crise gouvernementale au cas
où le transport s'effectuerait un sabbat.
Derrière cette menace, il y avait surtout le ministre
de l'Infrastructure, Eli Suissa, du parti Shas; il avait
promis une politique militante. Par la suite, il se
révéla que Suissa avait reçu des
instructions d'Arie Deri, qui se trouve aux USA depuis
plusieurs semaines. Dans cette affaire, Deri flairait
visiblement une occasion unique de provoquer une crise de
coalition. Il pourrait ainsi affaiblir son ennemi au sein du
parti, le ministre Eh Yishai, qui avait été
promu chef du Shas et qui fonctionne comme
intermédiaire entre Ehud Barak et le chef spirituel
du mouvement, le rabbi Ovadia Joseph.
Le plan de Deri réussit en un
premier temps. La pression exercée par
l'autorité religieuse provoqua une
sévère réaction de la part de la
population séculière, l'affaire devenant ainsi
un symbole de la lutte culturelle en Israël. La
question s'est retrouvée devant la Cour suprême
de justice qui a estimé que, face à un tel
problème, le point de vue professionnel d'experts est
déterminant, c'est-à-dire celui de la police.
Celle-ci décida d'organiser le transport à un
moment où l'économie et la circulation
subiraient le moins de dommages, donc le jour du sabbat.
Cette décision fut présentée au Premier
ministre Ehud Barak, qui autorisa le transport. Le sabbat
suivant, une remorque de 128 roues, chargée de la
turbine, fut tirée par deux camions géants.
Cette action réalisée un sabbat en
dépit de la pression de l'autorité religieuse
fut considérée par les séculiers comme
une victoire historique sur les ultra-orthodoxes et sur la
religion imposée à l'Etat. Des centaines de
personnes, voire des milliers selon certains
communiqués, se mirent le long du parcours pour
applaudir.
Les ultra-orthodoxes également
se rassemblèrent pour essayer de faire obstacle au
transport à proximité de la ville orthodoxe de
Bnei Brak. Mais la police, qui s'était
préparée au mieux pour de telles actions,
coupa court à tout excès.
La turbine est parvenue à
destination le matin du sabbat. Le lendemain, un dimanche
donc, le Shas aurait dû déclencher une crise
gouvernementale pour troubles causés au repos
sabbatique, c'est ce qu'avaient prophétisé
certains commentateurs. Mais rien de semblable ne se
produisit. Le rabbi Ovadia Joseph ordonna aux ministres de
son parti de participer à la séance
gouvernementale sans se faire remarquer et de continuer
normalement le travail. Telle fut la directive qu'il donna
après que le Premier ministre Barak lui eut promis
qu'à l'avenir, plus aucune démarche ne serait
entreprise qui porterait atteinte au sabbat pour le
transport d'autres pièces de la turbine. C'est ainsi
qu'Ehud Barak put sauver et lui-même et son
gouvernement de cette première situation
réellement dangereuse.
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DES SOUPÇONS À
L'EGARD À NETANYAHOU
Un entrepreneur a-t-il
travaillé gratuitement pour l'ancien Premier
ministre?
L'ancien Premier ministre Benjamin
Netanyahou et sa femme Sarah sont soupçonnés
d'avoir commis une série d'actes hautement
répréhensibles, notamment l'acceptation de
pots-de-vin, des abus de pouvoir, des propos mensongers et
des tentatives d'entraver des enquêtes
policières ainsi que l'audition de témoins. Le
couple Netanyahou a été entendu à ce
sujet par la police pendant plusieurs heures. Selon des
déclarations d'enquêteurs, il existe
suffisamment d'éléments pour ouvrir un acte
judiciaire contre ces deux personnes.
Le soupçon principal qui
pèse sur les Netanyahou concerne la tentative
d'obtenir des deniers de l'Etat pour financer des travaux
privés. Et cela pendant trois ans; durant deux
années de cette période, Netanyahou
exerçait les fonctions de Premier ministre. Selon ces
soupçons, le couple Netanyahou a eu recours pendant
plus de deux ans aux services d'un entrepreneur de
Jérusalem pour des travaux de rénovation et
des déménagements. Pour ces services
effectués par l'entrepreneur Avner Amdi, il n'a pas
dû débourser le moindre shekel. Cette affaire a
été révélée par le grand
journal israélien «Jedioth Acharonot».
Selon ce quotidien, Amdi aurait exécuté plus
de 200 travaux pour les Netanyahou, des douzaines d'ordres
de nettoyage, diverses livraisons, des paquetages et
transports d'objets et autres travaux de rénovation.
Ces travaux ont été réalisés
dans l'appartement privé du couple, à leur
résidence officielle et dans l'appartement des
parents de Benjamin Netanyahou.
Après les élections,
perdues par Netanyahou, Admi a présenté au
bureau du Premier ministre une facture de 440.000 shekels
pour tous ces travaux. Selon les motifs de suspicion
avancés, on aurait fait pression sur les
collaborateurs du Premier ministre pour que le montant total
soit réglé entièrement. Le conseiller
juridique du bureau du Premier ministre affirme, entre
autres, que les gens de Netanyahou l'auraient mis sous
pression pour qu'il paye cette facture avec les deniers en
provenance du budget de l'Etat. Certains des collaborateurs
de ce bureau, par contre, s'opposèrent à cette
affirmation et déclarèrent ne pas avoir vu de
raisons de payer ces frais avec les deniers publics.
Finalement, le ministère des Finances a
décidé de ne prendre à son compte que
50.000 shekels.
Quand cette affaire est devenue
publique, la police a arrêté l'entrepreneur
Amdi, soupçonné d'avoir envoyé des
fausses factures. Parallèlement, il a
été décidé de ne pas entendre le
couple Netanyahou sur ce problème seulement, mais,
pour des motifs de suspicion concrets, de les auditionner
aussi pour comportement criminel et d'enquêter sur
eux. Lors de l'audition sont apparues diverses notes de
désaccord dans les déclarations des deux
conjoints. De plus, il s'est avéré que
Netanyahou avait essayé d'influencer le
témoignage de l'entrepreneur Amdi dès le
début de l'audition pour qu'il concorde avec ses
dires.
Les époux Netanyahou ont
engagé un des meilleurs avocats d'Israël,
naturellement un des plus chers aussi; et ils nient tout en
bloc. Des personnes qui leur sont proches affirment qu'il
s'agit ici d'une «chasse aux sorcières» sur
fond politique et que la vérité finira par
éclater.
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Novembre 1999
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ACCUSATIONS PAKISTANAISES À
L'ENCONTRE D'ISRAEL
Israël apporte-t-il une aide
militaire à l'Inde?
Le Pakistan reprocherait à
Israël d'avoir aidé l'Inde pour la mise en place
de son potentiel nucléaire. Ainsi, les informations
internationales pakistanaises annonçaient il y a peu
qu'Israël avait vendu à l'Inde des
systèmes comprenant des composants essentiels des
missiles «Chez» conçus pour résister
face à des missiles balistiques.
Le communiqué fait
également état d'un contrat conclu entre
l'Inde et Israël relatif à des livraisons
d'armes pour un montant de 200 millions d'USD. Toujours dans
le cadre de cette collaboration indo-israélienne,
l'Inde aurait en outre reçu le soutien des
Israéliens pour le développement d'armes
atomiques.
Israël n'a fait part d'aucune
prise de position. Des milieux bien informés ont
toutefois laissé entendre que le Pakistan diffuse ces
annonces à des fins de propagande, car d'autres
organisations arabes s'en servent également pour
entraver les relations entre Israël et les Etats-Unis.
Les Etats-Unis ont imposé des restrictions
commerciales sur les ventes d'armes à l'Inde et au
Pakistan, ces deux Etats ayant récemment
procédé à des essais nucléaires.
C'est pour cette raison que le gouvernement américain
rejette catégoriquement toute collaboration militaire
entre l'Inde et Israël.
Commentaire:
Il ne faut jamais oublier que le
Pakistan est un pays musulman et que cet état des
choses constitue à lui seul une raison de se tourner
contre Israël. Le tout a des racines beaucoup plus
profondes: Israël - la preuve de Dieu sur la terre par
excellence - est la bête noire de l'islam. Grâce
aux Juifs, il apparaît manifestement que le Dieu
d'Israël est le seul véritable Dieu.
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Novembre 1999
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LE COMBAT POUR JÉRUSALEM-
Partout même à Disneyland
Excités par la lutte qu'ils
mènent pour obtenir la fermeture d'une filiale de la
chaîne «Burger King» à Ma'ale Adumim,
les dirigeants de la Ligne arabe ont décidé de
brandir d'autres menaces dans le cadre de leur combat contre
Israël. Ils ont pris cette décision dans la
perspective d'un boycott arabe. Cette fois, c'est la firme
«Disney World» qui est la cible. A une exposition,
«Disney World» présente, au stand
israélien sur le prochain millénaire,
Jérusalem comme capitale de l'Etat hébreu. Les
responsables du lobby arabe aux USA, en accord avec les
ministres des Affaires étrangères de la Ligue
arabe, ont recommandé aux musulmans du monde entier
de boycotter la firme «Disney World» et de causer
des dommages aux maisons de commerce de ladite firme
jusqu'à ce qu'elle change le statut de
Jérusalem à cette exposition. Selon ses dires,
il n'existe guère de pays au monde qui reconnaissent
Jérusalem comme capitale d'Israël.
Des actionnaires arabes de la firme
«Disney World», les ministres des Affaires
étrangères des Etats arabes et les chefs de la
Ligue arabe exercent, par cette exigence, une intense
pression. Israël a pris des contre-mesures. Dans une
lettre que le directeur général du
ministère israélien des Affaires
étrangères a adressée à la
direction de la firme, la souveraineté
israélienne sur Jérusalem est de nouveau
nettement affirmée. L'accent est mis sur le statut de
Jérusalem comme capitale de l'Etat d'Israël.
David Ben Gourion avait déjà, comme Premier
ministre, déclaré Jérusalem capitale du
pays.
Il fut donc très difficile
à la firme «Disney World» de prendre une
décision dans cette affaire, et cela à cause
de la pression exercée sur elle de part et d'autre.
La solution trouvée ressemble à un
«jugement de Salomon»: Dans la campagne de
publicité pour cette exposition, Jérusalem ne
sera pas présentée comme la capitale
d'Israël; par contre, le stand israélien ne sera
pas modifié. L'histoire de la ville de
Jérusalem continue à être montrée
du point de vue juif, comme cela avait été
initialement prévu.
L'ambassade israélienne
à Washington s'est déclarée satisfaite
de cette décision. Des millions de visiteurs de cette
exposition recevront ainsi des informations sur l'histoire
et le caractère de la ville de Jérusalem du
point de vue juif. Les Arabes, par contre, furent moins
enthousiasmés par cette solution; ils envisagent
actuellement d'autres démarches.
Commentaire:
Le combat pour Jérusalem
continuera jusqu'au retour de Jésus-Christ. Il
importe peu que rares soient les nations qui reconnaissent
Jérusalem comme capitale d'Israël. Par contre,
ce que le Dieu tout puissant en pense, voilà ce qui
compte! Et la Bible est très claire à ce
sujet. A la fin, c'est Dieu seul qui fera valoir Ses droits!
Jérusalem est Sa ville et la capitale
éternelle d'Israël!
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Israël, Netanyahou, Jérusalem