Nouvelles d'Israël

octobre 1998

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LE 9 AV Commémoration de la destruction du premier et du second Temple

 

Depuis près de deux mille ans, le peuple juif commémore, en date du 9 Av, la destruction du premier et du second Temple. Les deux maisons de Dieu ont été rasées le même jour, à quelques siècles d'intervalle. Toujours le 9 Av, on commémore aussi le départ d'Israël en exil. C'est un jour de jeûne pendant lequel les divertissements sont proscrits: un jour voué à la prière et à la lecture d'un rouleau d'écriture racontant la destruction des deux temples.

Cette année, un autre événement s'est ajouté à tout cela: la veille du 9 Av, où commencent les lamentations, tombait justement un sabbat. La fin du sabbat est, surtout pour les jeunes, un motif de sortie.

Ainsi, des milliers d'Israéliens ont bravé le précepte religieux. Ils se sont détendus comme d'habitude dans des restaurants et autres endroits. La chose a été particulièrement visible à Tel-Aviv, ville toujours en ébullition. Les jeunes n'ont pas reculé devant le fait que le 9 Av soit un jour de pénitence officiel, où la loi prévoit la fermeture des lieux de loisir.

Lorsque les contrôleurs sont passés dans les cafés ouverts pour y prélever des amendes, beaucoup de personnes présentes ont été étonnées. Elles n'avaient pas tenu compte du calendrier juif et du fait que le 9 Av est un jour de jeûne.

A Jérusalem, où les tensions religieuses sont plus sensibles que partout ailleurs, il n'était pas question d'oublier le 9 Av. Les restaurants et autres lieux de détente sont restés fermés. La place devant le Mur des Lamentations était pleine de fidèles venus prier devant les derniers vestiges du temple. Comme d'habitude, la police a eu fort à faire. Comme chaque année, il a fallu empêcher les «Fidèles du Mont du Temple» de gravir la colline, qui se trouve sous l'autorité religieuse des musulmans. En outre, les gardiens de la paix ont dû séparer juifs orthodoxes et réformés, une confrontation entre les diverses appartenances étant toujours porteuse de tensions et de violences.

Le jeûne du 9 Av met fin a un jeune ininterrompu de trois semaines. Elle commence le 17 Tamouz, jour où, selon la tradition juive, les Romains ont percé les murailles de Jérusalem, entamant ainsi le processus de destruction qui culmina avec l'incendie du temple le 9 Av.

Ces trois semaines sont aussi désignées sous le nom de ,journées de pénitence». Les juifs religieux respectent, durant cette période, divers usages: ils ne se rasent pas la barbe, ne se coupent pas les cheveux, n'écoutent pas de musique et évitent toutes les occasions de se réjouir.

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Nouvelle d'Israël

10 / 1998
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GRAVE INCIDENT AVEC LE VATICAN

Netanyahou s'immisce dans les affaires de l'Eglise

Un violent litige a mis aux prises l'Etat d'Israël et le Vatican après que celui-ci eût affirmé que le Premier ministre Netanyahou avait voulu entraver la liberté de culte de l'Eglise catholique romaine en essayant d'intervenir dans la nomination de l'archevêque de Galilée.

L'archevêque de Galilée est la plus haute instance de la communauté arabe catholique romaine vivant en Israël. Il y a un an, l'archevêque Maximus Salum s'est retiré, et Emil Shufani a été provisoirement nommé à sa place. Il s'agit d'un Arabe de Nazareth extrêmement ,bien disposé» envers Israël. Le Vatican a ensuite décidé de ne pas entériner la nomination définitive de Shufani, et de désigner Butrus Mualam à. sa place. Mualam est palestinien et vit depuis des années au Brésil.

La décision du Vatican résulterait principalement de la pression exercée par Netanyahou pour obtenir la nomination définitive de Shufani. Le Vatican aurait ressenti cette pression comme une tentative d'ingérence, et aurait donc décidé d'annuler la nomination pourtant déjà confirmée par le synode, le conseil des évêques siégeant en Syrie. Israël a protesté contre la nomination de Mualam. Netanyahou a affirmé qu'en tant que Palestinien, c'était un candidat de l'Autorité palestinienne, que Farouk Kadoumi (connu comme opposant aux accords d'Oslo) était intervenu en sa faveur, et que l'archevêque Hilarion Kafucci avait lui aussi soutenu sa candidature.

Selon Netanyahou, Kafucci a vécu en Israël en exerçant les fonctions de dignitaire de l'Eglise avant d'être chassé du pays pour cause d'activités terroristes.

Netanyahou, qui est également en charge des Affaires étrangères, a convoqué l'ambassadeur du Vatican en Israël pour dénoncer ce qu'il a qualifié de décision politique et annoncer qu'Israël s'opposerait à l'arrivée de Mualam sur son territoire. Au Vatican, on a réagi avec une vigueur non moindre, qualifiant l'incident de «grave» et ajoutant que l'intervention de Netanyahou avait fortement dégradé les relations d'Israël avec le Saint-Siège.

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10 / 1998
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Israël construit son arsenal d'armes B et C

LA PRESSION EXERCÉE PAR L'IRAK ET L'IRAN PRODUIT UNE CONTRE-PRESSION

Le journal britannique «Foreign Report» affirme que l'Occident suit avec beaucoup d'attention les essais iraniens et irakiens d'armes biologiques et chimiques.

Selon ce journal, Israël se fait en même temps un arsenal d'armes chimiques et biologiques. La production d'armes biologiques se réalise à l'Institut biologique de Nes Ziona, qui, dit-on, est si secret que le service de sécurité israélien a même refusé la visite de quelques députés. On affirme officiellement en Israël que ledit institut rend des services au ministère de la Défense, fabrique des produits chimiques pour l'agriculture et offre son aide dans diverses recherches tant en Israël qu'à l'étranger.

Le «Foreign Report» écrit que ces dernières années, il s'est produit quatre sérieux accidents à l'institut, faisant quatre tués et 25 blessés. Dans un de ces cas, les forces de sécurité auraient été sur le point de donner l'ordre d'évacuer la population de Nes Ziona.

Les diverses publications relatives à ce qui se passe à l'institut biologique inquiètent beaucoup les habitants de Nes Ziona. En effet, l'institut se situe tout près de deux grosses colonies et jouxte au site industriel de la région. C'est ainsi que la ville de Nes Ziona s'est adressée à la Cour suprême. Le ministère de la Défense et les services du Premier ministre se verront contraints de renoncer à l'extension, prévue, de l'institut. La ville parle d'une «bombe à retardement», en se référant à des communiqués internationaux selon lesquels l'Institut produit des armes biologiques et des bactéries dangereuses qui font courir les plus grands risques aux habitants de la région. La ville exige une liste détaillée des mesures de protection pour la population avoisinante.

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10 / 1998
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LA JOURNÉE DE L'IMMIGRATION - La Jewish Agency: 50 ans

Dans le cadre des cérémonies du jubilé du cinquantenaire, la Jewish Agency a également fêté son cinquantième anniversaire. Cette borne dans le temps fut célébrée en présence de mille nouveaux immigrés venus de 12 pays en Israël: de Russie, de Roumanie, d'Ukraine, des USA, de Grande-Bretagne, d'Ouzbékistan, du Brésil, d'Argentine, du Mexique, de Hongrie, de France et de Hollande.

A leur arrivée à l'aéroport Ben Gourion, ils furent accueillis par le Premier ministre, le directeur de la Jewish Agency, le ministre de l'immigration ainsi que par de nombreux dignitaires venus là malgré la chaleur accablante.

A l'occasion de cette journée de l'immigration, quelques chiffres relatifs au phénomène particulier de l'immigration ont été publiés. Des juifs du monde entier viennent s'établir en Israël, le pays que leurs ancêtres avaient quitté voici deux mille ans. Depuis la fondation de l'Etat hébreu en 1948, 2.684.000 juifs ont immigré en Israël. La plus importante vague d'immigration est venue de l'ancienne Union soviétique. Les 915.713 immigrés soviétiques représentent 34% de toute la population rentrée en Israël. Au deuxième rang se situe la Roumanie avec 274.572 immigrés. Nous trouvons en troisième position les 268.093 personnes en provenance du Maroc.

L'immigration en Israël a débuté bien avant la fondation de l'Etat. C'est ainsi que l'on a enregistré l'arrivée de 65.000 Juifs entre 1882 et 1914. Ils formèrent la base de la colonisation juive en Israël. Les vagues d'immigration qui ont suivi ont amené dans le pays 402.857 Juifs entre la fin de la Première Guerre mondiale en 1918 et la création de l'Etat hébreu en 1948.

L'année de la plus forte immigration fut celle qui a immédiatement suivi la fondation de la nation juive: en 1949, 239.954 personnes sont venues s'établir en Israël. Par contre, 1986 vit le plus faible apport d'immigrés: 10.000 seulement.

Commentaire:

Que de fois l'Eternel a promis dans l'Ecriture qu'Il ramènerait en Eretz Israël les juifs pourtant éparpillés dans le monde entier (voir, par exemple, Ezéch. 39, 28). Il est bien difficile de venir en aide à celui qui, de nos jours, ne croit pas la Bible et, conséquemment, à Jésus-Christ, alors que l'on constate de visu que tout ce qui a été prédit s'accomplit exactement. CM 

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10 / 1998

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Menace pour Israël - Le missile iranien «Shihab 3»

Le mois dernier, l'Iran s'est livré à plusieurs tirs d'essai du missile à moyenne portée «Shihab 3», qui ont fort inquiété l'appareil de sécurité israélien. En Israël, on part du principe que ces tests se sont bien déroulés.

Le chef de l'état-major israélien, Shaul Mofaz, pense que l'Iran fait d'importants efforts pour mettre en oeuvre des missiles à moyen et long rayon d'action ainsi que des armements non-conventionnels. A son avis, ce fait représente à long terme un danger pour Israël, danger auquel le pays doit réagir de manière adéquate, Dans cette optique, l'appareil de sécurité israélien réclame un accroissement budgétaire de deux milliards de shekels par an.

L'inquiétude en Israël et aux Etats-Unis est encore renforcée par l'attitude des Iraniens, qui n'ont pas tenté de dissimuler leurs essais, et ont même publié après coup des photos de ceux-ci.

Début août, un général iranien a fait savoir que le «Shihab 3» était désormais équipé d'un système de navigation, fabriqué en Iran, et permettant d'améliorer considérablement la précision du tir. L'engin, long de 16 mètres, vole à la vitesse de 7.000 km/h et peut emporter une tonne d'explosif à une altitude de 250 kilomètres.

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10 / 1998
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UNE GRANDE COALITION EN ISRAËL? - Les véritables intentions d'Ehud Barak

Le Premier ministre Netanyahou et le chef de l'opposition, Ehud Barak, ont-ils essayé de fonder une grande coalition? Les deux hommes ont-ils sérieusement envisagé en secret une telle possibilité? De semblables questions se sont posées, quand le journal «Maariv» a fait état, en première page, de rencontres secrètes entre Netanyahou et Barak. Elles auraient été au nombre de quatre dans une institution du Mossad pour soupeser les chances d'une grande coalition.

De telles nouvelles ont fait de fortes vagues. Les responsables du parti travailliste n'avaient auparavant rien appris de Barak qui allât dans ce sens. Ils en furent irrités. Ils étaient assez d'avis que leur parti (travailliste) ne pouvait aider Netanyahou à rester plus longtemps en place. D'autres se sentirent lésés du fait qu'ils n'occuperaient aucun poste dans une grande coalition. Avec ensemble, ils refusèrent de voir en Barak quelqu'un de politiquement intelligent. Ils le qualifièrent de débutant politique, qui se laisse tromper par Netanyahou et ses histoires de grande coalition.

Pour empêcher la réalisation d'un tel projet, quelques membres influents du parti voulurent convoquer l'organe du parti afin de rendre impossible, en principe, la formation d'une grande coalition avec Netanyahou. Mais Barak, dont la position au sein du parti travailliste est de plus chancelante, priva ses opposants de leur show. Il précisa nettement que c'est sur l'insistance du Premier ministre qu'il le rencontra. Il n'avait nullement l'intention de former une grande coalition; il ne désirait qu'une chose: la chute de Netanyahou!

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11 / 1998
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Le ministre israélien de la défense se rend en Chine

Mordechaï reçu au plus haut niveau à Pékin

Pour les Israéliens, les visites de leurs dirigeants en Chine n'ont plus rien d'un scoop. Dans un pays où les nouvelles se bousculent, c'est parfaitement compréhensible.

Pourtant, le déplacement en Chine de Yitzhak Mordechaï, le ministre israélien de la Défense, a fait la une. C'est qu'il s'agissait assurément d'une visite importante. Mordechaï a reçu un accueil royal, habituellement réservé aux chefs d'Etat. Cela a commencé par de petits détails durant la visite. Le ministre a été hébergé dans la demeure réservée aux hôtes officiels dans la Cité Interdite. Mordechaï a rencontré nombre de personnalités importantes. Ces égards s'expliquent par le fait que la Chine souhaiterait acquérir des technologies militaires auprès d'Israël, leader international en la matière.

Le point d'orgue de la visite a consisté en une rencontre avec le président chinois, Jiang Zemin. Il ne s'agissait nullement d'une visite de courtoisie. Car

Mordechaï a invité son hâte à se mobiliser pour que la Chine ne transmette pas à l'Iran la technologie de pointe permettant de fabriquer des missiles à longue portée et des armements non-conventionnels. Toutefois, les services secrets israéliens doutent que ces déclarations soient suivies d'effet. Selon des informations israéliennes, le savoir-faire chinois est vendu à l'Iran et met en péril la sécurité d'Israël. La visite de Mordechaï en Chine n'en est pas pour autant moins importante.. Les relations entre les deux pays sur le plan de la politique de sécurité ont été renforcées. Mordechaï a estimé que sa visite au gouvernement chinois avait permis à ce dernier de mieux prendre conscience des besoins d'Israël en matière de sécurité.

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Décembre 1998

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L'ACCORD D'ISRAEL AVEC LES PALESTINIENS

Netanyahou subit des pressions massives

Les Etats-Unis ont fait subir d'énormes pressions à l'Etat juif dans le cadre des négociations entre Israël et les Palestiniens. Comme toujours, les regards du monde se sont principalement tournés vers Benjamin Netanyahou, qui semblait dépassé par cette pression inhumaine. Israël devrait encore abandonner des pans du minuscule territoire qu'il occupe aujourd'hui alors que les Arabes disposent d'ores et déjà de terres en surabondance. Sans parler du fait que les territoires qu'Israël rétrocède aujourd'hui sont une terre promise par la Bible et appartiennent aux juifs. A l'inverse, il faut se remémorer l'intervention du prophète Nathan (voir 2 Sam. 12, 1-4). Cette pression quasi mondiale sur l'Etat juif s'est traduite par les résultats suivants:

¥ Restitution de 13 pour cent supplémentaires de la Cisjordanie, dont trois pour cent à titre de réserve naturelle, sous trois mois.

¥ En outre, Israël rétrocédera 14 pour cent des territoires se trouvant sous contrôle de sécurité israélien, et dont les citoyens sont déjà assujettis à l'Autorité palestinienne. En vertu de quoi ce territoire, qui se trouve entièrement sous contrôle palestinien, passera de 3 à 17,5 pour cent.

¥ Libération de 750 prisonniers palestiniens.

¥ Création de deux corridors entre la Cisjordanie et Gaza.

¥ Ouverture de l'aéroport palestinien à Gaza.

En revanche, les concessions des Palestiniens sont restées des plus minimes:

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Décembre 1998
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DE NOUVELLES IMMIGRATIONS EN PROVENANCE DE L'EX-UNION SOVIÉTIQUE?

Des Juifs de Crimée en Israël

Plusieurs centaines d'habitants de Lettonie, ainsi qu'une bonne partie de la population de la péninsule de Crimée (Ukraine) veulent émigrer en Israël. Les habitants de Crimée se nomment «Kraier» (Cimmériens), et selon le droit de l'immigration israélien, ils sont habilités à demander l'immigration. Le fait qu'ils immigrent pourrait également inciter leurs compatriotes résidant dans l'ex-URSS à partir pour Israël.

Les «Kraier» ne sont pas des juifs. Au cours des générations, on a même vu se produire de violentes confrontations avec les Juifs et le judaïsme. En Union soviétique, ils étaient gouvernes comme une nation à part. De même, les nazis ont vu en eux un peuple distinct, qu'ils n'ont pas persécuté. Quoi qu'il en soit, leur relation avec le judaïsme et la religion juive ne fait pas de doute. Ils prient en hébreu, fréquentent la synagogue, observent le sabbat et une partie des fêtes juives ainsi que nombre de commandements de la Torah. Les «Kraier» se considèrent comme les descendants des dix tribus, comme les enfants originaux d'Israël partis en exil après la destruction du Temple et du royaume juif. Selon la tradition juive, les descendants de ces dix tribus ont disparu et n'existent plus.

Quelques scientifiques pensent que les «Kraier,, sont les descendants d'un petit groupe qui s'est constitué voici plus de mille ans au sein du judaïsme et contestait les modifications halachiques du Talmud. Ils voulaient ainsi restaurer la loi juive originale telle qu'elle figure dans la Mikra. Le nom de «Kraier» serait d'ailleurs dérivé de «Mikra».

Les «Kraier» voient dans le judaïsme rabbinique une déviation de la foi authentique d'Israël. C'est pourquoi ils combattent l'exégèse de la Bible par les rabbins et ne reconnaissent pas la doctrine écrite. Ils réfutent ainsi toutes les interprétations, ordonnances et lois qui lient les autres Juifs, bien qu'elles ne soient pas reprises dans la Bible. Pour le judaïsme, même la transmission orale est d'origine divine, au même titre que la Torah écrite, donnée sur le Mont Sinaï. Pour les «Kraier», ces textes ne sont pas contraignants. Ils tiennent exclusivement compte des écrits bibliques et dédaignent le Talmud et la doctrine juive.

Au cours des siècles, les «Kraier» se sont multipliés.

Aujourd'hui, ils sont disséminés à travers le monde entier. En outre, on trouve aujourd'hui de grandes communautés de «Kraier» en Pologne et en France, qui seraient au nombre de 20.000.

En Israël, ce groupe de population compte 25.000 personnes. Les «Kraier» de l'ex-Union soviétique et de Crimée voudraient se joindre à eux. Les «Kraier» israéliens sont principalement arrivés d'Egypte dans les années 1950. Ils se sont surtout établis à Ashdod, Ramle et Kiriat Gat.

Commentaire

Ce communiqué n'est-il pas intéressant? Car voici précisément la grande faute d'Israël: il lit davantage le Talmud que la Bible et place ces deux livres sur le même pied. Ce fait, Jésus l'avait déjà dénoncé en Son temps (cf. Matth. 23, 16-22; Marc 7, 5-13). Le diable a réussi: la Bible est à peine lue, tandis que le Talmud l'est bien davantage - des commandements humains, comme le Seigneur l'appelle. C'est la Parole de Dieu seule qui doit constituer le fondement de notre vie. Il vaut la peine de noter que les «Kraier» se manifestent de plus en plus et ne s'appuient que sur la Thora. Serait-ce que Dieu prépare, par le moyen de ces gens, Son peuple à son imminente rencontre avec le Messie? CM

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