Le parcours du combattant
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Les armes de Dieu
Une arme
secrète indispensable
Fait-il
du Tout-Puissant ses
délices? Adresse-t-il en tout temps ses
prières à Dieu? Job
27: 10
Après avoir
passé en revue toutes les armes que Dieu
nous invite à prendre, il est important de
se poser les questions que Job met en comparaison
entre celui qui marche avec l’Éternel
et ceux qui ne lui obéissent pas ou ceux qui
ont de la difficulté à marcher dans
ses voies.
Fait-il
du
Tout-Puissant ses
délices?
Pour un homme (ou une femme) qui se déclare
chrétien, cette question n’est pas
aussi déplacée que quelques-uns
pourraient le penser. En effet, nous savons, par le
biais des Écritures, qu’il
y a différentes
“classes” de
chrétiens qui,
selon leur engagement, ont plus ou moins à
coeur le royaume de Dieu, plus ou moins à
coeur de faire des disciples ou d’obéir
au Seigneur.
Sans parler, bien entendu, des
“chrétiens de nom” qui ne portent
qu’une simple étiquette qui ne les
protégera pas de la colère à
venir!
Certains pourraient penser que nous tournons en
rond et que l’on se répète en
rappelant trop souvent que Christ
doit être le centre de notre
vie. Seuls ceux
et
celles qui mettent Jésus à
côté de leur vie peuvent avoir de
telles pensées. Les enfants de Dieu qui ont
réservé la meilleure place au
Seigneur dans leur coeur, ne sauraient contester le
fait que Christ doit être
impérativement le centre de toutes
préoccupations.
Lui, le Seigneur des seigneurs, Lui, l’auteur
de notre salut, Lui devant lequel nous aurons
à rendre compte des talents qu’il nous
a donnés, comment le
mépriserions-nous en le poussant de
côté parce que nous avons des
préoccupations qui nous obligent à le
faire passer au second plan?
Si nous sommes mal à l’aise lorsque
l’on proclame que le Fils de Dieu doit avoir
la place principale dans notre vie de tous les
jours, c’est bien parce qu’il ne l’a
pas, et qu’en
conséquence, il n’a pas
l’autorité qu’il convient pour
diriger nos pas dans la bonne
direction!
En rappelant la seigneurie de celui qui nous a fait
passer de la mort à la vie, en redisant les
merveilles de notre Dieu et ses attentes, en
agissant ainsi nous ne faisons que nous aligner sur
les paroles de l’Apôtre
Paul qui, lui
aussi, se devait de rappeler sans cesse les points
importants de la doctrine;
ceci afin que les brebis du Seigneur
ne s’égarent pas dans des chemins
ténébreux, des sentiers où
elles finiraient par se blesser
sérieusement.
Je
ne me lasse point de vous
écrire les mêmes choses,
et
pour vous cela est salutaire. Philippiens
3: 1
Relevons qu’il est
SALUTAIRE pour l’enfant de Dieu
d’entendre plusieurs fois les mêmes
choses car notre nature est tellement lente
à comprendre, qu’il faut insister
à de multiples reprises pour faire entrer
dans un coeur certaines pensées bibliques
des plus utiles pour notre vie.
Cela n’était pas une fatigue pour
l’apôtre (je ne me lasse pas), car il
avait à coeur que ceux et celles qui
s’étaient approchés de Christ ne
se perdent pas en route dans les dédales de
leurs pensées, dans les attraits du monde,
de ce monde qui maintenant semblait être plus
attirant qu’à l’époque
où ils vivaient dans la mort.
Comme pour le clou que l’on plante dans une
planche, il faut refaire plusieurs fois les
mêmes gestes afin de l’enfoncer pour
qu’il tienne bien. De plus, il faudra
redoubler d’efforts si la pointe de ce clou
rencontre un noeud dans le bois.
Notre coeur
n’est-il pas rempli de noeuds qui
empêchent la Parole de Dieu de
s’incruster dans notre vie?
Nous sommes dans les temps de la fin!
Ces temps sont l’occasion de rappeler encore
une fois que le Seigneur Jésus revient
bientôt, et que si nous ne sommes pas
prêts à le rencontrer, que, s’il
ne fait pas les délices de notre coeur, nous
manquerons le grand rendez-vous!
À en voir certains au milieu de nous (et
certaines), nous sommes en droit de nous interroger
si ces brebis sont bel et bien dans l’attente
du départ quand on regarde les motivations
qui conduisent leur vie.
Ce qui fait peur aujourd’hui, c’est
qu’il y a des brebis qui ne comprennent plus
le langage de Dieu! Elles vivent en autarcie, dans
l’indépendance, dans
l’auto-suffisance: elles se suffisent à
elles-mêmes, ne reçoivent plus, ne
partagent plus le pain spirituel! Et
pourtant...
Mes
brebis entendent ma voix. Jean
10: 27
Lorsque des appels
réitérés du Seigneur, restent
sans réponse, il est à craindre
qu’une surdité spirituelle se soit
installée dans la vie du croyant
réfractaire, à moins que le monde lui
ait fait perdre l’habitude du langage divin au
point de lui rendre la Parole de Dieu
incompréhensible.
Si les brebis du Seigneur n’entendent plus la
voix du bon Berger, ne devrait-elles pas
s’inquiéter? Se demander si elles ne
sont pas trop loin de leur Maître? Si elles
n’ont pas quelque chose qui parasite leur
écoute?
Ce qui fait peur aussi, c’est qu’il y a
d’autres brebis qui savent qu’elles
doivent reprendre le bon chemin, mais qui
n’ont plus qu’une seule envie, celle de
se laisser aller, DE SE LAISSER COULER, sans plus
lutter contre les puissances des
ténèbres qui les assaillent.
Fatiguées de lutter, fatiguées de
combattre, elles finissent pas se laisser emporter
par un certain “je m’enfoutisme”
aussi destructeur et mortel qu’une vie
consacrée au prince des
ténèbres!
Fait-il du
Tout-Puissant ses délices?
Combien de brebis vivent-elles misérablement
au point de n’avoir plus goût à
la vie spirituelle? À quoi peuvent bien
servir les armes que Dieu met à leur
disposition si elles ne les utilisent pas ou si
elles ne veulent pas prendre part au combat?
À ce combat qui commence dans leur propre
vie en luttant contre cette apathie, cet
engourdissement signe annonciateur d’une mort
spirituelle ou du moins d’une nonchalance
porteuse d’une insensibilité qui, si
elle n’est pas réprimée
fortement, va conduire à un assoupissement
fatal!
Toutes ces armes que nous avons passées en
revue et que nous sommes censés
posséder ou que nous sommes en voie
d’acquérir, toutes ces armes-là
ne sont pas destinées à faire de nous
des
mercenaires qui ne
s’engagent qu’occasionnellement dans le
combat, particulièrement lorsqu’il y a
un gain pour notre propre vie, lorsqu’il y a
un besoin!
(Puisque
nous parlons
des armes nous devons prendre le sens de mercenaire
comme celui d’une personne qui sert pour de
l’argent et qui, la plupart du temps, est
étranger à la nation pour laquelle il
va combattre momentanément.)
En tant que rachetés par l’oeuvre de
Christ sur la croix, nous ne pouvons pas être
des étrangers pour Dieu. De ce fait, nous ne
devons pas avoir une attitude
“mercenariate” qui montrerait que nous ne
luttons que lorsque nous y trouvons un
bénéfice personnel.
Si nous marchons avec Christ,
nous ne pouvons pas être des
mercenaires!
En effet nous faisons partie des gens de la maison
de Dieu, ce qui implique un engagement total sous
peine d’être
“licencié”, jeté dehors
comme un mauvais serviteur.
Ainsi
donc, vous n'êtes plus
des étrangers, ni des gens du dehors; mais
vous
êtes concitoyens des saints, gens de la maison de
Dieu.
Éphésiens
2: 19
Vous
n'êtes donc plus des
étrangers ni des gens de dehors ; mais les
concitoyens des Saints, et les
domestiques de
Dieu. (Version
David Martin)
Si nous regardons en
arrière, ce que nous étions
autrefois, et que nous faisons la comparaison avec
ce que nous sommes devenus maintenant (pour autant
que ne nous n’ayons pas repoussé Christ
trop loin de notre sphère privée), si
nous regardons à
l’élévation dont nous avons
été les bénéficiaires,
comment pourrions-nous ne pas nous engager
volontairement sous les couleurs divines?
Ce n’est qu’en vivant de tout son coeur
pour le Seigneur que nous serons à
même de comprendre qu’il y a des
délices à le suivre, du plaisir
à faire SA volonté.
En dehors de cette attitude pleine et
entière, nous ne pouvons recevoir que
quelques miettes de bénédictions,
quelques réponses parcimonieuses à
des prières faites du bout des
lèvres.
Si nous sommes peu bénis n’est-ce pas
parce que nous sommes peu consacrés? Celui
qui sème peu, celui qui s’engage
parcimonieusement ne peut pas s’attendre
à avoir une récolte abondante!
Mais Dieu
peut-il
vraiment faire mes délices? Peut-il
être l’objet de toutes mes joies?
Si nous ne le pensons pas, si nous ne croyons pas
que Jésus puisse satisfaire pleinement un
coeur, je crains qu'il ne faudra prendre un
semi-remorque pour emmener au ciel tout ce
contribue à notre joie ici-bas! Inutile de
faire une liste, nous savons très bien quels
sont les centres d’intérêts de
notre vie!
Hélas le chemin qui mène au ciel
n’est pas prévu pour ce genre de
véhicule! Le
seul moyen de transport est la marche en
Jésus-Christ
avec pour bagage principal, la
foi!
Si nous n’arrivons pas à nous
réjouir pleinement en Dieu, comment
allons-nous vivre dans sa présence pour
l’éternité?
Ce sera un
enfer
d’être avec lui si nous ne voulons pas
qu’il soit avec nous chaque jour de notre
vie, si nous ne
voulons pas qu’il conduise nos pas selon SA
volonté!
Alors...! Voulons-nous toujours qu’il y ait
des moments dans notre vie où sa
présence n’est pas la bienvenue? Si
oui...! Nous risquons fort d’être
satisfaits, non seulement pour le temps
présent, mais pour
l’éternité!
Celui qui me rejette
(Jésus) rejette
celui qui m'a envoyé. Luc
10: 16
Ainsi, il y a
délices et délices!
Il
y a d'abondantes joies devant ta
face, Des délices éternelles
à ta droite. Psaumes
16: 11
Si ta
loi n'eût fait mes
délices, J'eusse alors péri dans ma
misère. Psaumes
119: 92
Ils se rassasient de l'abondance de ta maison, Et
tu les
abreuves au torrent de tes
délices. Psaume
36: 8
(Versions
Segond)
ou
Ce
qui est tombé parmi les
épines, ce sont ceux qui, ayant entendu la
parole, s'en vont, et la laissent étouffer
par les soucis, les richesses et les plaisirs de la
vie,
et ils ne portent point de fruit qui vienne
à maturité. Luc
8: 14
Vous avez vécu sur la terre dans
les
voluptés et dans les
délices... Jacques
5: 5
Mais celle qui vit dans les plaisirs est morte, quoique
vivante. 1
Timothée 5: 6
Au travers de ces
quelques
textes nous pouvons remarquer qu’il y a deux
catégories de plaisirs, deux façons
de vivre qui, chacune d’entre elles,
mènera à une station terminale
différente: Royaume de Dieu ou royaume des
ténèbres.
Pour ne pas s’égarer dans les voies
tortueuses qui nous conduiraient à vivre
loin de Dieu durant toute
l’éternité, il est temps de
prendre en considération la deuxième
partie de notre texte de base:
Adresse-t-il
en
tout temps ses prières à
Dieu?
Job
27: 10
Alors que nous avons été
invités à prendre toutes
les armes de
Dieu (Éphésiens
6:
13-17),
l’apôtre Paul conclut sa liste avec une
pensée similaire à celle tirée
du livre de Job; il met en avant un point qui,
s’il était trop faible, deviendrait le
défaut de la cuirasse du combattant: la
prière!
La pratique de la prière est la conclusion
de cette liste présentée par le
Seigneur, c’est en quelque sorte
l’arme
secrète par
laquelle nous pouvons, non seulement avoir la
victoire, mais aussi obtenir la sagesse qui nous
est nécessaire afin de poursuivre notre
parcours terrestre en étant les
témoins que Dieu désire.
Comme toutes les conclusions, elle
représente un résumé, un
condensé qui, s’il est bien
accepté, nous permettra de revoir les
instructions précédentes; le
Saint-Esprit nous mettant à coeur de mieux
ajuster telle ou telle arme ou de nous
débarrasser de quelques
éléments mondains qui nous
empêchent de mettre à profit ce que
Dieu met à notre disposition.
La conclusion est l’ultime possibilité
de rappeler au lecteur ou à l’auditeur
ce qu’il
devra
nécessairement retenir.
Pour ce qui nous concerne c’est donc:
Faites
en tout temps par l'Esprit
toutes sortes de prières et de
supplications. Veillez à cela avec une
entière persévérance, et priez
pour tous les saints. Éphésiens
6: 18
Il va sans dire que nous
ne
pouvons pas prier n’importe comment, que selon
les circonstances nous devrons appliquer un style
de prières plutôt qu’un
autre.
Nous avons à notre disposition diverses
possibilités dans la façon de nous
exprimer. Notre texte relève qu’il faut
faire toutes
sortes de
prières ET
de
supplications!
Il précise encore qu’il
faut les faire en tout
temps.
Les circonstances sont-elles bonnes ou mauvaises?
Prions!
Matin, midi ou soir? Prions!
Mais
comment prier en
tout temps?
Si Jésus est notre compagnon de route,
s’il est notre ami fidèle (Lui, il est
fidèle), hé bien, nous aurons envie
de partager avec lui le quotidien de nos
journées, de lui parler à maintes
reprises, aussi bien en ce qui concerne nos
activités professionnelles, nos loisirs, que
de lui faire part de nos soucis et de ceux des
autres.
Lorsque deux personnes font une longue route
côte à côte,
n’échangent-elles pas des impressions,
ne se parlent-elles pas?
Sans aucun doute, si le Fils de Dieu est celui qui
vit en moi, j’aurai le désir de lui
faire partager tous les instants de vie
qu’il me
donne sans avoir
crainte de lui exprimer mes pensées sur tel
ou tel sujet.
Le Fils de Dieu, aussi grand soit-il, a su se faire
petit pour se trouver à la hauteur des
hommes qu’il voulait sauver.
- Comme riche, possédant toute chose, il
sait parler aux riches!
- Comme pauvre, n’ayant pas même un toit
lui appartenant sur terre, il sait parler aux
démunis!
- Comme ayant été
séparé de son Père à
cause du péché qu’il portait,
à cause de NOTRE péché, il
sait parler à ceux et celles qui plient sous
le fardeau de leurs fautes et qui se sentent
isolés et séparés de
l’amour de Dieu.
C’est donc par la prière, par ce
langage que nous pouvons entrer en communication,
en communion avec notre Père Céleste!
Un langage qui parfois ne s’exprime que par
des soupirs!
L'Esprit
nous aide dans notre
faiblesse (ou
infirmité selon Darby), car nous ne savons
pas ce qu'il nous convient de demander dans nos
prières. Mais l'Esprit lui-même
intercède par des soupirs inexprimables...
Romains
8: 26
De
même aussi l'Esprit
soulage de sa part nos faiblesses. Car nous ne
savons pas comme il faut ce que nous devons
demander; mais l'Esprit lui-même prie pour
nous par des soupirs qui ne se peuvent exprimer.
(Version
David
Martin)
Ainsi donc un coeur qui
veut
s’adresser à Dieu obtient le secours
divin afin qu’il ne s’en retourne pas
sans avoir pu exprimer sa prière, fut-ce
t’elle des soupirs profonds!
Quoique le but ne soit pas de faire une
étude sur la prière, il est bon de
relever quelques textes qui nous montrent la
nécessité de prier..., et de prier en
tout temps:
-
Jésus leur adressa une parabole, pour
montrer qu'il faut toujours prier, et ne point se
relâcher. Luc
18: 1
- Persévérez
dans la
prière, veillez-y avec actions de
grâces. Colossiens
4: 2
- Priez
sans cesse. 1
Thessaloniciens 5: 17
Plus je comprendrai la
nécessité de la prière, plus
je parlerai à mon Dieu, plus
je serai lié à
LUI!
C’est donc au travers de la prière, de
ce contact avec le Seigneur que je finirai par
préférer sa compagnie à toute
celle des autres et qu’enfin, il deviendra le
sujet de ma joie tant il fera les délices de
mon âme.
Par elle, je saurai aussi comment et quand utiliser
les armes que Dieu m’a données.
Pour
terminer, il est
bon de préciser que:
Nous n’avons qu’un seul
intermédiaire entre Dieu et les
hommes; que cet
intermédiaire est:
LE
SEIGNEUR
JÉSUS!
En nous adressant au
Père dans le
nom du Seigneur Jésus,
nous pouvons avoir l’assurance
de recevoir une réponse qui ne sera pas
forcément l’exaucement de nos demandes,
mais elle sera une réponse qui nous conduira
à réexaminer nos prières afin
de savoir
si
Jésus pourrait lui-même demander pour
nous ce que nous présentons.
Prier au nom du Seigneur Jésus, venir devant
le Père au nom de son Fils, implique
d’abord un temps de réflexion afin que
nos prières ne soient pas rejetées
parce que non
conformes à l’Esprit de
Dieu, non conforme aux enseignements de
l’Écriture!
Prier Dieu, par exemple, pour changer de conjoint
parce que ce dernier est acariâtre ou
impotent (hélas ce comportement c’est
déjà vu), est le genre de
prière qui ne pourra jamais être
exaucé, même si cette prière
est présentée au nom du Seigneur
Jésus!
Le Seigneur Jésus ne présenterait
JAMAIS une telle requête à son
Père!
Bien des gens ne prient plus aujourd’hui, ou
prient peu, parce que leurs prières
n’obtiennent pas les réponses
qu’ils désirent.
Auraient-elles
oublié de signer leurs demandes?
...
tout ce que vous demanderez
en mon
nom
(le nom de
Jésus),
je le ferai, afin que le
Père soit glorifié dans le Fils.
Jean
14: 13
... ce que vous demanderez au Père
en mon
nom
(le nom de
Jésus),
il vous le donne. Jean
15: 16
Jusqu'à présent vous n'avez rien
demandé en mon nom (le
nom de Jésus).
Jean
16: 24
Nous voyons bien dans
quelle
direction nous devons orienter nos prières,
le faire tout en prenant conscience que
cette
démarche
n’est pas encore la garantie d’obtenir
tout ce que nous désirons!
Vous
demandez, et vous ne recevez pas,
parce que vous demandez mal, dans le but de
satisfaire vos passions. Jacques
4: 3
Ainsi armés avec les
armes de Dieu, ainsi prévenus que notre arme
secrète, la prière, doit être
particulièrement entretenue, nous
voilà des soldats de Christ qui pourront
aller de l’avant sans reculer devant les
difficultés et les embûches que le
prince de ce monde, et ceux qui lui appartiennent,
ne manqueront pas de placer sur notre route.
Au
reste, frères, soyez dans
la joie, perfectionnez-vous, consolez-vous, ayez
un même sentiment, vivez en paix; et le Dieu
d'amour et de paix sera avec vous. 2 Corinthiens 13: 1
- Que cette exhortation de l’apôtre nous
encourage tous à marcher dans les voies de
Dieu.
- Qu’elle m’encourage moi aussi car,
Seigneur que ferais-je sans toi? Comment vivrais-je
loin de toi?
- Que dès ce jour nous puissions être
de plus en plus conscients de ta grandeur et de ta
sainteté et qu’humblement nous sachions
te demander:
Que veux-tu
que je
fasse? Actes
9: 6
© J-M Ravé 13 novembre
2004
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