Il y a des mots insignifiants
qui, selon la façon dont ils sont
employés, selon leur association avec
d'autres mots, changent de valeur. Si, par exemple,
nous parlions de poussière, nous pourrions
parler de poussière d'or, de
poussière d'étoiles ou de
poussière d'homme.
Trois expressions parmi tant d'autres qui font
penser à la richesse, la poésie ou
à la mort.
Cette dernière expression, "poussière
d'homme" ne se trouve pas dans le langage courant,
néanmoins elle est suffisamment
significative pour ramener l'homme à la
raison en le réduisant à son
état originel (Genèse 3: 19) :
Bien avant que la technique
moderne nous permette de visionner un film dans le
sens inverse afin de remonter le temps, l'homme,
dans toute sa simplicité et sans artifice,
s'emploie régulièrement à
rappeler le passé. Souvent il évoque
le courant d'une vie pour mettre en valeur,
peut-être un peu tardivement, les actions de
celui qui gît au fond d'un cercueil.
Enterrement de première classe ou
enterrement de seconde classe, seul le
décorum fait la différence, une
différence que n'affectera en rien celui qui
va retourner dans la terre, puis dans l'oubli pour
de nombreux assistants qui ne pensent
peut-être pas qu'ils sont, eux aussi,
poussière tirée de la
poussière !
Si cette terrible sentence nous rappelle qu'Adam et
Eve ont péché, n'est-elle pas
là - souvent dans les dernières pages
de nos journaux à la rubrique "avis
mortuaires"- pour nous inviter sérieusement
à la réflexion car la même sentence est sur chacun
d'entre nous :
"... tu
es poussière, et tu retourneras dans la
poussière !"
Si, lors des
cérémonies funéraires ce texte
de Genèse 3: 19 est souvent cité au
moment où le corps est rendu à la
terre, j'ai choisi de
parler de la poussière aujourd'hui et au
présent en m'impliquant
moi-même comme
a su le faire l'auteur du psaume 119.
Mon
âme est attachée à la
poussière... Psaume 119: 25 (v. L. S)
En reconnaissant déjà maintenant que
je suis poussière, né de la
poussière, que mon origine vient de cette
terre sur laquelle je marche, je ne puis faire
autrement que d'admettre que je suis lié
à elle et que c'est elle qui un jour
m'absorbera si Christ n'est pas encore revenu
enlever son Église comme il l'a promis.
(1 Thessaloniciens 4:
16-17)
En reconnaissant que je suis poussière,
j'aurai la possibilité de m'interroger sur
la signification de la vie sans "brûler la
chandelle par les deux bouts" selon une expression
populaire qui rappelle qu'autrefois ce mode
d'éclairage était coûteux et
qu'il n'était pas question de le gaspiller
en l'utilisant à mauvais escient !
Comment
brûles-tu ta vie ?
L'utilises-tu avec sagesse ou, au contraire,
profites-tu de toutes les occasions qui te sont
données pour jouir, pour abuser de plaisirs
qui deviennent malsains lorsqu'ils dépassent
la norme et surtout
lorsqu'ils volent le temps consacré à
Dieu ?
Ces plaisirs qui volent les jours, les mois et les
années, temps
perdu dont il faudra quand même rendre
compte !
Jeune
homme, réjouis-toi dans ta jeunesse, livre
ton coeur à la joie pendant les jours de ta
jeunesse, marche dans les voies de ton coeur et
selon les regards de tes yeux ;
mais
sache que pour tout cela Dieu t'appellera en
jugement. Ecclésiaste 11: 9 (v. L. S)
Si cet avertissement ne s'adresse qu'à la
jeunesse, c'est sans doute parce que les plus
âgés ont été jeunes et,
qu'ayant été avertis, ils ont agi en
conséquence en étant vigilants aux
avertissements de Dieu. À moins qu'ils
n'aient agi à l'opposé en vivant leur
vie sans se soucier des paroles de sagesse qui leur
avaient été données !
Quoiqu'il en soit les "poussières d'homme"
que nous sommes, devraient davantage prendre en
considération que le temps qui leur est
imparti sur la Terre est un temps mesuré, un
temps défini par Dieu, un temps que la
science la plus évoluée ne pourra
rallonger d'une seconde !
Quand je
n'étais qu'une masse informe, tes yeux me
voyaient ; Et sur ton livre étaient tous
inscrits Les jours qui m'étaient
destinés, Avant qu'aucun d'eux
existât. Psaume 139: 16
Si
Moïse dans une
de ses prières adressées à
l'Éternel pouvait dire : "Enseigne-nous à
bien compter nos jours"
(Psaume 90: 12),
Si le roi
David pouvait
demander : "Dis-moi quel est le terme de ma
vie, quelle est la mesure de mes jours ; que
je sache combien je suis fragile" (Psaume 39: 4),
Si l'apôtre
Jacques nous met en
garde en nous rappelant : "Vous êtes une
vapeur qui paraît pour un peu de temps, et
qui ensuite disparaît" (Jacques 4:14)...
... et si j'en crois
l'auteur du psaume 119, alors comme lui, en toute
honnêteté, je ne puis que
réclamer à mon tour :
...
Rends-moi la vie selon ta parole !
Psaume 119: 25 (v. L. S)
Mais de quelle vie s'agit-il ?
D'abord, en
priorité, la vie éternelle qu'avaient
nos premiers parents avant la
chute !
"Rends-moi cette
vie-là Seigneur !
Tu as donné Jésus-Christ, ton Fils
bien-aimé pour que j'entre
déjà maintenant dans cette Vie tout en sachant que je
n'en bénéficierai pleinement qu'à partir du moment
où je serai entré dans ton
Royaume !
Tu as promis, par la bouche de ton disciple
bien-aimé, que si le monde passait ainsi que
toutes ses convoitises, ceux qui feraient la volonté de
Dieu vivraient éternellement quand bien
même ils seraient
morts ! "(
1 Jean 2: 17 ; Jean 11: 25)
Avez-vous l'assurance de la vie
éternelle ? La certitude que si vous
quittiez le monde maintenant, vous seriez
accueillis à bras ouverts dans le Royaume de
Dieu ?
Si notre vie est précieuse aux yeux de Dieu
(et elle l'est), elle l'est particulièrement
durant cette période terrestre durant
laquelle va se définir l'avenir de nos
âmes immortelles.
Un avenir en fonction
de nos choix et non
de prières faites en faveur des morts !
Il est bon de rappeler cette vérité
afin de ne pas vivre dans l'illusion en croyant que
d'autres vont s'occuper de notre âme alors
que nous aurions négligé de le
faire !
Enseigne-nous à tellement
compter nos jours, que nous en puissions
avoir un coeur rempli de sagesse. Psaume 90: 12 (v. D. M)
Enseigne-nous à bien
compter nos jours, Afin que nous
appliquions notre coeur à la sagesse. (v. L.
S)
Depuis quelques années, j'ai collé
dans mon bureau un mètre servant à
mesurer, non pas les distances, mais mon temps de
vie écoulé.
J'ai quelque peu "trafiqué" ce mètre
en réduisant sa largeur de moitié
dès le chiffre 70, âge moyen de la
vie, indiqué
dans le Psaume 90 au verset 10.
70 ans ! Une frontière qui s'approche
et devrait me rendre de plus en plus sensible
à la grâce que le Seigneur m'accorde
chaque fois qu'il me donne un jour
supplémentaire à vivre alors que bien
d'autres s'en sont allés avant d'avoir
aperçu, même de loin, cette borne
particulière.
Depuis l'installation de ce mètre, j'ai pris
l'habitude, à mon anniversaire, de colorier
au feutre rouge le chiffre correspondant à
mon âge. Chaque année je prends
conscience que cette ligne rouge s'allonge,
s'allonge, s'allonge... montrant ainsi que ma vie
diminue, diminue... et qu'elle diminue toujours
plus vite à ce qu'il me semble.
Ainsi lorsque je suis installé dans mon
fauteuil il me suffit de relever la tête pour
me rendre compter qu'il est urgent
de "racheter le temps", urgent
de se donner à fond pour le Seigneur,
urgent de délaisser ce qui pourrait
entraver ma marche dans le chemin étroit,
urgent et
indispensable d'avoir l'assurance de la VIE
ÉTERNELLE !
Si la vision de ce mètre me donne une
idée du temps écoulé, par
contre il ne peut me
donner la mesure du temps qu'il me reste à
vivre, raison pour
laquelle je dois me préparer à
rencontrer mon Dieu. Bien plus encore que
JE DOIS ÊTRE
PRÊT À LE
RENCONTRER !
Conscient de cette réalité, il
m'appartient donc d'aspirer plus
profondément à vivre pour Christ et
non pour le monde et à faire en sorte que si
mon âme est encore attachée à
la poussière je puisse crier de tout mon
coeur :
Rends-moi la vie selon ta
parole !
Après avoir compris que je retournerai
à la poussière (à moins que le
Seigneur Jésus revienne chercher les siens),
comme le psalmiste, je suis conscient que,
derrière ce verset 25 il y a une pensée profonde qui met en
avant l'idée que j'ai perdu quelque chose
d'important, que j'ai
perdu quelque chose que je possédais
déjà : "rends-moi..."
Qu'aurais-je bien pu
perdre depuis que je connais le Seigneur ?
Pour réclamer ce que j'ai perdu, je dois
prendre conscience que je n'ai plus en ma
possession ce que je demande à
Dieu !
Mais qu'est-ce que je vais lui demander ?
Suis-je conscient d'avoir fait une perte ?
(pour autant que j'en ai fait une, bien
entendu !)
Nous avons déjà vu comment l'auteur
du psaume 119 cherchait à mieux
connaître la Parole de Dieu, avons-nous la
même volonté et, tout comme lui,
sommes-nous en mesure de faire un constat
honnête de notre vie ?
Nous devrions !
En effet, cet homme nous est présenté
comme quelqu'un de sérieux quant à sa
recherche, à son désir de communion
avec le Seigneur.
En dépit de cette attitude exemplaire, il
est conscient d'un manque, conscient qu'il ne possède plus
ce qu'il a déjà eu parce qu'il est attaché
à la poussière.
Comme lui, pouvons-nous admettre qu'il pourrait y
avoir un lien qui nous interdirait de vivre
librement, un lien qui nous attacherait à la
poussière et que cette chaîne nous
empêcherait d'avoir la Vie, de retrouver la
Vie ou du moins d'en bénéficier
davantage !
Sans vouloir chercher ce qui aurait pu attacher le
psalmiste à la poussière, retenons
simplement le fait accompli et
réfléchissons à notre propre
situation en essayant de trouver ce qui nous lie
personnellement à la poussière.
Nous pouvons entendre par "poussière"
tout ce qui n'entrera
jamais dans le Royaume de Dieu et tout ce qui nous empêche de
vivre dans la liberté des enfants de
Dieu.
Combien de "paroles de Dieu", de textes bibliques
ont-ils perdu de leur valeur parce que la
"poussière" les a recouverts, parce que nous
nous sommes bien plus intéressés
à faire plaisir à notre chair, ou,
tout aussi grave, parce que nous avons davantage
tenu à nos propres raisonnements qu'à
la pensée de Dieu ? (La bible dit...., mais moi
je...)
... les
soucis du siècle, la séduction des
richesses et l'invasion des autres convoitises,
étouffent la parole, et la rendent
infructueuse... Marc 4: 19 (v. L. S)
Veux-tu poursuivre du regard ce qui va
disparaître ? Proverbes 23: 5 (v. L. S)
À quoi suis-je
donc attaché dans ce monde ?
Attaché veut dire : lié,
laissant sous-entendre par là, que l'on est
privé de liberté !
À
quoi suis-je donc
lié ?
Qu'est-ce qui pourrait me RETENIR suffisamment pour
que je ne me donne pas davantage pour le
Seigneur alors que j'ai tout en LUI ?
... en
lui (en
Jésus) vous avez été
comblés de toutes les richesses qui
concernent la parole et la connaissance...
1 Corinthiens 1: 5
Vous
avez tout pleinement en lui (en Jésus), qui est le chef de
toute domination et de toute autorité.
Colossiens 2: 10
Quels sont les objets,
les activités, les personnes ou les
pensées qui me retiennent captif et qui ne
me permettent plus de mettre Jésus à
la première place ?
Faut-il encore rappeler ce que Jésus disait
à ses disciples : "Celui qui aime son
père ou sa mère plus que moi n'est
pas digne de moi..."
(Matthieu 10: 37) ? Amour pourtant
légitime envers sa famille, mais amour qui
doit passer au second plan, la priorité
étant d'abord donnée à celui
qui nous a sauvés de la condamnation
éternelle !
Ne pas laisser la
priorité à celui qui y a droit,
finira par produire un "accident" dont les seules
victimes seront celles qui n'ont pas
respecté l'ordre établi par
Dieu !
Faut-il retourner le couteau dans la plaie et le
faire d'autant plus si le monde ou les amis du
monde passent eux aussi avant
Jésus ?
Faut-il retourner le couteau dans la plaie et le
faire inlassablement jusqu'à ce que nous
comprenions...
... jusqu'à ce que JE comprenne bien que
la sainteté et la justice
de Dieu ont autant de valeur que son
amour !
Son amour, si grand
soit-il, n'amoindrira jamais cette sainteté
et cette justice que la Bible ne manque pas de nous
relater afin que nous vivions avec la crainte
respectueuse que nous devons à notre
Père céleste ! " Rends-moi la vie selon ta
parole !"
Rends-moi cette vie que j'ai perdue, rends-nous
cette vie abondante que nous avons connue !
(Si nous l'avons perdue)
"Ce que j'ai contre
toi", disait le Seigneur Jésus à
l'une des Églises présentées
dans l'Apocalypse (2:4),
Rends-nous la
vie, cette vie que
nous vivions lorsque notre coeur brûlait pour
toi Seigneur ! C'est uniquement de cela que
nous avons besoin : retrouver cette
liberté que tu nous avais offerte,
cette liberté
qui nous faisait courir vers les lieux de
prières, de cultes ou
d'évangélisation et qui nous faisait
voir toutes les autres activités comme
secondaires !
Comment avons-nous pu perdre cette Vie
abondante ?
Comment nous sommes-nous laissé lier par
l'ennemi de nos âmes ?
Rends-moi la Vie selon
TA Parole !
Si, par la grâce de Dieu nous n'avons pas
perdu notre premier amour, sachons, comme les
prophètes du temps passé,
prophètes qui ne participaient pas au
péché du peuple...
... sachons nous impliquer afin que le corps de
Christ reconnaisse, ensemble, le
péché du peuple de Dieu, ce
péché qui altère l'image de
Jésus-Christ et qui fait que certaines
Églises se vident.
Nos
infidélités sont
nombreuses, Nous avons
péché contre toi. Jérémie 14:
7 (v.
L. S)
Nous
avons péché, nous avons commis
l'iniquité, nous avons été
méchants et rebelles, nous nous sommes
détournés de tes commandements et de
tes ordonnances. Daniel 9: 5 (v. L. S)
Que le "je" et nous" s'entremêlent sans que
nous cherchions à nous justifier en croyant
que nous ne sommes pas comme ces... "publicains",
comme le reste des hommes (Luc 18: 11) car il ne
fait aucun doute qu'à divers moments de
notre vie chrétienne, nous avons fait
passé le Roi des rois en second plan quand
ce n'est pas en arrière-plan, dans le
lointain de nos préoccupations.
Mon âme est
attachée à la poussière :
Rends-moi la vie selon ta parole !
Fais-moi revivre,
selon ta parole ! (Bible annotée,
Osterwald, D. M)
Aujourd'hui le Seigneur Jésus pourrait nous
rappeler un texte que nous avons tendance à
n'utiliser que dans
l'évangélisation.
Si nous voulions prêter attention à ce
qui sera mis en gras dans le verset que je vais
mentionner, nous nous rendrons vite compte qu'il y
a un message pour les convertis, un message
complet, un message conditionnel lié
à la Vie éternelle :
... QUICONQUE VIT et croit
EN MOI
ne mourra jamais. Crois-tu
cela ? Jean 11: 26
Nous savons que croire
en Jésus n'est pas suffisant pour avoir la vie
éternelle : les démons et Satan
ne peuvent pas faire autrement que croire en
l'existence du Fils de Dieu, cependant l'enfer leur
est réservé.
Vivre en
LUI !
Voilà la pensée qui va de pair avec
la foi ! Vivre en
LUI et
vivre pour
LUI !
N'est-ce pas un peu ce que le psalmiste
évoquait lorsqu'il relevait qu'il
était attaché à la
poussière et qu'il avait besoin de retrouver
la Vie ?
N'est-il pas devenu tout-à-coup notre
porte-parole ?
Si oui, que le Seigneur nous aide donc à
nous détacher
de tout ce que LUI considère comme
poussière.
Sachons bien que ce détachement ne pourra se
faire qu'à partir du moment où nous
reconnaîtrons que nous sommes liés,
attachés à quelque chose qui nous a
volé la liberté que nous avions
autrefois, au temps de notre premier amour !
cette liberté qui nous faisait courir dans
la "Maison de Dieu".
Associons-nous pleinement à la prière
du psalmiste. Il décrit volontairement sa
vie au Dieu qui ne manque jamais de pardonner celui
qui confesse son péché et qui a le
désir sincère de l'abandonner.
Pour confesser, il
faut parler !
Je
raconte mes voies, et (comme
conséquence) tu m'exauces... Psaume 119: 26a (v. L. S)
Celui qui
cache ses transgressions ne prospère point,
mais celui qui les avoue et les délaisse
obtient miséricorde. Proverbes 28: 13 (v. L. S)
Suis-je capable de
reconnaître que j'ai perdu quelque
chose ? Capable d'admettre que je me suis
attiédi et qu'en conséquence j'ai
tendance à vivre plus dans la
poussière que dans la présence de
Dieu ?
Il n'est pas question de se culpabiliser à
outrance pour les fois où nous avons
manqué quelques rencontres avec le Seigneur,
les fois où nous avons manqué la
communion fraternelle et la sainte Cène.
Si le Seigneur admet fort bien que l'on puisse
retirer son fils ou son boeuf tombé dans un
puits le jour du sabbat (Luc 14: 5), il
peut comprendre qu'il puisse y avoir des
circonstances exceptionnelles qui nous
empêchent de nous unir au corps de
Christ.
Simplement, soyons
vigilants et faisons en sorte que ce ne soit
toujours le jour du Seigneur que notre fils ou
notre boeuf tombe dans un puits afin d'avoir une
excuse valable pour ne pas se soumettre aux
désirs du Seigneur.
Arrangeons-nous pour que l'exception soit
l'accident, l'imprévu ou une raison de force
majeure qui nous
empêche de vivre les rencontres fraternelles
et non pas l'inverse !
Que ce ne soit jamais
notre présence qui soit exceptionnelle
voire... accidentelle !
Voici, oh ! qu'il est
agréable, qu'il est doux pour des
frères de demeurer
ensemble !
C'est comme l'huile précieuse...
C'est comme la rosée de l'Hermon...
Car
c'est là que l'Éternel envoie la
bénédiction, La vie, pour
l'éternité. Psaume 133. 1-3 (v. L. S)
Si
donc
vous êtes ressuscités avec Christ,
cherchez les choses d'en
haut,
où Christ est assis à la droite de
Dieu.
Affectionnez-vous aux choses d'en
haut, et non à celles qui sont sur la
terre. Colossiens 3: 1-2 (v. L. S)