La foi dans les oeuvres
mortes, dans les traditions humaines, ne saurait
être la foi qui plaît à Dieu. Si
parfois elle peut être exaucée, nous
pouvons affirmer que la réponse à une telle
foi ne saurait venir de celui qui a
créé le ciel et la Terre.
Comment Dieu pourrait-il récompenser celui
ou celle qui a placé sa confiance dans des
choses de néant ?
Seul le prince des ténèbres, Satan,
le diable, seul lui est capable de répondre
de temps en
temps "favorablement"
à ceux qui se sont détournés
de Dieu. Il le fait et honore leur mauvaise foi
afin de les garder dans son giron. Combien de ce
genre "d'exaucements" en ont-ils conduit plusieurs
à mettre plus leur confiance dans des
astrologues plutôt qu'en Dieu ?
Instruits à vivre dans les
ténèbres spirituelles, bien de nos
contemporains ne veulent plus rien entendre de Dieu
et, s'ils osent encore croire à son
existence, c'est pour lui faire porter la
responsabilité de tous les maux que la terre
supporte.
Que nos pères ont-ils laissé comme
héritage pour qu'il en soit ainsi ?
Et nous ! Qu'enseignons-nous à nos
enfants ?
Il est surprenant que nos contemporains acceptent
sans difficulté les enseignements des hommes
lorsqu'il s'agit de leur santé, qu'ils
acceptent de ne pas goûter à ce qui
est mortel (certains champignons par exemple), mais
qu'ils ne veulent rien entendre pour tout ce qui
touche à leur âme immortelle.
Prudents quant à leur corps, ils font la
sourde oreille quand il est question de
l'éternité et méprisent la
santé de leur âme en méprisant
les commandements de Dieu.
Pourtant si la pensée de
l'éternité est dans le coeur de
chaque homme...
Il
(Dieu) fait toute chose
bonne en son temps ; même il a mis dans
leur coeur la pensée de
l'éternité. Ecclésiaste 3: 11 (v. L. S)
... si cette pensée le pousse à tout
faire pour prolonger sa vie le plus longtemps
possible au point que certains riches se sont fait
congeler en espérant que plus tard la
science aura trouvé le moyen de les faire
revivre, cette façon d'agir ne correspond
pas à la pensée de Dieu :
" il est
réservé aux hommes de mourir une
seule fois, après quoi vient le
jugement..."
(Hébreux 9: 27)
L'homme, en général, ne veut pas
croire Dieu, ne veut plus croire Dieu lorsqu'il est
question de son âme immortelle et du salut en
Jésus-Christ, salut qui l'obligerait
à changer de vie. Pour cette raison, il se
fatigue à mettre sa foi, son
espérance dans des choses de néant
qui finiront par le détruire et le conduire
à une perdition irréversible !
(qu'il y croit ou qu'il n'y croit pas !)
Alors qu'aujourd'hui, c'est encore le jour du salut
pour ceux et celles qui sont interpellés par
la Parole de Dieu (2 Corinthiens 6: 2 ; Hébreux 3:7), il est temps que les témoins
de Jésus-Christ se lèvent
pour dire la
vérité
en déclarant d'une part, que l'homme est
perdu à cause de son péché, et
d'autre part, que la bonne nouvelle de
l'Évangile proclame qu'il y a un pardon
auprès de Dieu au travers de
Jésus-Christ.
En faisant ainsi il se conduira en ambassadeur de
Christ en rapportant le message de Dieu pour les
hommes comme le faisait le prophète Samuel
lorsqu'il s'adressait au peuple
d'Israël :
N'ayez
point de crainte ! Vous avez fait tout ce
mal ; mais ne vous
détournez pas de l'Éternel, et servez
l'Éternel de tout votre coeur.
Ne vous en détournez pas ; sinon, vous
iriez après des choses de néant, qui
n'apportent ni profit ni délivrance, parce
que ce sont des choses de néant.
1 Samuel 12: 20-21 (v. L. S)
Une fois encore, nous sommes mis en présence
de la miséricorde d'un Dieu qui aime les
hommes, qui veut les pardonner et qui les invite
à ne pas se détourner de lui, mais,
au contraire à placer leur confiance pleine
et entière en Celui qui peut les
délivrer de tous leurs ennemis et de leur
plus grand ennemi : Satan !
La semaine passée nous avions relevé
que Dieu a des
égards particuliers envers ceux qui aiment
son Nom. Nous avions
vu aussi que nous pouvions lui rappeler les
promesses qu'il a faites pour autant que nous entrions bien
dans la catégorie de "ceux qui aiment son
Nom".
L'aimons-nous?
Aujourd'hui encore, l'auteur du psaume 119 va nous
démontrer que les mots qui sortent de notre
bouche prennent plus de valeur lorsqu'ils sont
accompagnés de décisions qui vont
confirmer que cet amour est bien réel.
Pourrions-nous tromper Dieu en lui faisant croire
que nous l'aimons alors qu'en
réalité nous cherchons simplement
à obtenir quelque chose de sa
part ?
Pourrions-nous le tromper alors qu'en
réalité nous n'aurions que de vagues
sentiments à son égard, des
sentiments qui deviendraient plus
démonstratifs chaque fois qu'un besoin
pressant se ferait sentir ?
En son temps le Fils de Dieu avait
déjà relevé qu'une partie de
ceux qui le suivaient, le suivaient uniquement
parce qu'ils avaient mangé des pains
à satiété, parce qu'ils
avaient nourri leurs corps mais non leur âme.
Une âme qui n'était même pas
impressionnée par les miracles qu'ils
avaient vus :
"Vous me
cherchez, non parce que vous avez vu des miracles,
mais parce que vous avez mangé des pains et
que vous avez été rassasiés.
Travaillez, non pour la nourriture qui
périt, mais pour celle qui subsiste pour la
vie éternelle..." Jean 6: 26-27 (v. L. S)
Nous pourrions encore ajouter :
Tout le
travail de l'homme est pour sa bouche ; et
pourtant son âme n'est jamais
rassasiée. Ecclésiaste 6: 7 (v. Bible
annotée)
Cette âme a des besoins aussi importants que
le corps physique !
Elle en a d'autant plus, si elle s'est
approchée du Seigneur et qu'elle se rend
compte qu'étant sur le bord de
l'immensité de l'amour de Dieu, le coeur de
l'homme ne saurait jamais être trop
rempli.
Comme une
biche soupire après des courants d'eau,
Ainsi mon âme soupire après
toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de
Dieu, du Dieu vivant... Psaume 42 (v. L. S)
Mon
âme soupire et languit après les
parvis de l'Éternel, Mon coeur et ma chair
poussent des cris vers le Dieu vivant. Psaume 84: 2 (v. L. S)
C'est cette faim de Dieu, cette soif de sa Parole
qui est agréable au Seigneur, cette faim et
cette soif poussent immanquablement l'homme
à désirer toujours plus la
présence de Dieu dans sa vie !
Toujours plus à chercher à faire ce
qui lui est agréable !
Toujours plus à s'enfoncer dans les voies de
la justice en fuyant le péché comme
la peste !
Écoutons encore le Psalmiste manifester son
désir d'être plus près de
l'Éternel et confirmer le choix qu'il a
fait. Joignons notre voix à la sienne pour
démontrer que nous voulons marcher avec
assurance (v. 133a) :
À bien
réfléchir, qu'est-ce que cela
voudrait dire ?
Mes pas ne seraient-ils pas sûrs ?
Aurais-je crainte de perdre pied en marchant sur le
terrain inconnu que le Seigneur lui-même m'a
recommandé ?
Une chose est sûre : je sais que Dieu ne
veut pas me tromper, alors :
"Pourquoi, Ô mon
coeur ! hésites-tu tant à croire
ce que Dieu dit ?
Comment oses-tu imaginer que le Seigneur t'a tendu
un piège alors qu'auparavant il a tout mis
en oeuvre pour te sauver ?
Vas-tu tout-à-coup penser comme certains
Israélites qui ont cru que c'était
pour leur perte que l'Éternel les engageait
à se diriger vers le pays de la
promesse ? (Nombres, chapitre 16).
Comment ton Sauveur, celui qui t'a
délivré des peines éternelles
en donnant SA vie pour toi, pourrait-il maintenant
en vouloir à ta vie ?
Allez... Ressaisis-toi et pense aux jours
d'autrefois, pense à toutes les fois
où il t'a secouru parce que tu avais
placé toute ta confiance en lui, il est
encore le même
aujourd'hui !"
Croire et puis ensuite
laisser le doute ronger l'espérance que nous
avons placée en Dieu ! Est-ce bien sage?
Croire dans sa Parole et se soumettre à la
pensée de l'adversaire de nos âmes qui
ne manquera jamais d'émettre un doute quant
à la réalité des promesses
divines pour notre vie personnelle !
Que je puisse craindre..., c'est humain !
C'est conforme à ma vieille nature, à
celle qui me faisait vivre loin de Dieu, mais
craindre encore aujourd'hui c'est démontrer
que cette vieille nature à encore un pouvoir
sur l'enfant de Dieu que je suis devenu. Craindre
aujourd'hui c'est oublier que :
L'Ange de
l'Éternel campe autour de ceux qui le
craignent et qu'il les arrache au danger.
Psaume 34. 7
C'est oublier que c'est Dieu que je dois craindre
et non l'adversaire qui a été vaincu
par Christ, non les circonstances qui semblent
défavorables. (Toutes choses concourent au bien de
ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont
appelés selon son dessein. Romains 8: 28 - N'est-ce pas la Parole de Dieu, une
parole pour ceux et celles qui passent pas des
moments difficiles ?)
C'est aussi oublier que je n'ai rien à
craindre, sinon de ne pas être à la
hauteur dans la qualité de ma foi !
(Je
crois, viens au secours de mon...
incrédulité ! - Marc, 9: 24)
"Affermis mes pas dans ta
parole..." Oui,
c'est bien là ma demande ! Une demande
dont je ne dois pas avoir à rougir car si
elle met en avant ma faiblesse, elle prouve aussi que mon attachement
au Seigneur et à sa Parole est primordial
pour moi !
"Affermis mes pas dans ta
parole..." Affermis-les chaque fois que ma foi...
que notre foi est engagée et que
l'adversaire de nos âmes nous harcèle
avec des pensées de doute !
N'hésitons jamais à faire une telle
demande car il n'y a point de honte à se
sentir faible : le Seigneur a le pouvoir de
nous affermir afin que nous ne tombions pas :
"il (celui qui pourrait tomber)
se
tiendra debout, car le Seigneur a le pouvoir de
l'affermir"
(Romains 14: 4)
"Quand je
suis faible, c'est alors que je suis
fort" disait
l'apôtre Paul aux Corinthiens (2 Corinthiens 12: 10). Faible face à
l'adversité, faible face aux
épreuves, mais FORT PARCE QUE DIEU
AFFERMISSAIT SES PAS, fort au point d'être
réjouis de passer par les épreuves
qu'il nous décrit au chapitre 12 de cette 2
ème épître aux Corinthiens.
Dans ce chemin particulier, ce chemin étroit
de la Parole de Dieu, il est impossible d'avancer
longtemps avec ses propres forces ou avec les
acquis des premiers jours, ces premiers jours
où nous sommes passés des
ténèbres à la
Lumière.
Pour cette raison, il est convenable que l'homme
intérieur soit renouvelé de jour en
jour (2 Corinthiens 4: 16) par une connaissance toujours plus
grande des Écritures et une mise en pratique
régulière de ce qu'elles enseignent.
Cette connaissance nous permettra de toujours mieux
comprendre la sainteté du Seigneur, elle
nous poussera à avoir les mêmes
sentiments que l'auteur du Psaume 119 afin qu'aucun
péché ne domine dans notre vie
(v. 133b)
À bien
réfléchir, qu'est-ce que cela
voudrait dire ?
Dieu pourrait-il être responsable des
péchés qui me dominent ?
Assurément non, même si ce texte
laisserait sous-entendre que si je pèche
encore c'est parce que Dieu a laissé tel ou
tel péché me dominer !
Le Seigneur ne pouvant être tenté par
le mal (Jacques 1: 13) et ne tentant lui-même
personne pour l'inciter à aller vers le mal
qu'il déteste, comment pourrait-il me
laisser sous la domination de ce qu'il a en
horreur ?
La vérité, c'est que je suis personnellement responsable de
mon péché et que Dieu ne saurait être pris en
faute.
Si je suis esclave
d'une passion que je n'ai pas trop envie
d'abandonner tant elle est agréable ou
"utile" pour ma vieille nature, je n'ai pas le
droit de reprocher au Seigneur d'être
dominé par quelque chose dont je ne veux pas
me défaire.
Ainsi, loin de mettre Dieu en accusation pour
les... "faiblesses" qui nous dominent encore, loin
de prendre ce texte du psaume 119 pour excuser
notre conduite ou notre vie spirituelle rachitique,
osons regarder la vérité en face et
prenons NOS responsabilités !
Vous
n'avez pas encore résisté jusqu'au
sang,
en luttant contre le péché.
Hébreux 12: 4 (v. L. S)
...
rejetons tout fardeau, et
le
péché qui nous enveloppe si
facilement, et courons avec
persévérance dans la carrière
qui nous est ouverte... Hébreux 12. 1 (v. L. S)
Que
le péché ne règne donc point
dans votre corps mortel, et n'obéissez pas
à ses convoitises. Romains 6: 12 (v. L. S)
Ces trois textes du Nouveau Testament sont
suffisamment explicites pour comprendre que si un
péché nous domine encore, c'est parce
que nous n'avons pas agi en
conséquence ! C'est aussi parce que
bien souvent nous n'avons pas la maîtrise de
nous-mêmes.
Même si Dieu n'a aucune part de
responsabilité quant au fait que je pourrais
encore être dominé par le mal, je veux
quand même utiliser l'expression du Psalmiste
et confirmer que mon désir est bien que
Dieu...
Si mon propre
péché peut me cacher la face de Dieu
et l'empêcher de prêter attention
à mes prières (Esaïe 59: 2), il est d'autres
péchés qui peuvent me voiler l'amour
de Dieu.
Je veux parler des péchés d'autrui,
des péchés de mes ennemis, de nos
persécuteurs ! Eux qui mettent tout en
oeuvre pour nous rendre la vie difficile, pour la
rendre si difficile que leurs péchés,
à notre égard, ne nous permettent
plus de goûter aux joies du salut en
Jésus-Christ.
À leur façon, ces
péchés dominent notre vie, ils lui
impriment des comportements que nous n'aurions pas
si nous n'étions pas soumis à une
telle pression.
Combien de pensées étrangères
à la vie chrétienne n'ont-elles pas
détruit la paix que Dieu avait mise dans
notre coeur par Jésus-Christ ?
L'adversité est là ! Elle sera
toujours présente et se manifestera
continuellement durant notre pèlerinage
terrestre, mais cette adversité ne doit pas
prendre le dessus en nous poussant à penser
plus à ceux qui nous persécutent
qu'à celui qui a promis d'être avec
nous tous les jours jusqu'à la fin du monde.
Sa présence continuelle dans nos
pensées devrait nous permettre de vivre en
paix en dépit des circonstances : "Je
vous donne ma paix" disait-il à ses
disciples (Jean 14: 27)
Faibles et parfois tremblants dans
l'adversité, osons nous emparer des
promesses de Dieu. Sachons lui faire part de nos
troubles et lui demander de nous libérer de
ce qui oppresse notre coeur tout comme le Psalmiste
savait le faire (v. 134) :
L'apôtre Paul a su
être délivré de l'oppression
des hommes tout en subissant leurs coups ! Il
a su rester fort dans la foi tout en étant
en état de faiblesse devant ses adversaires
qui parfois le rouaient de coup :
"cinq
fois
j'ai reçu des Juifs quarante coups moins
un" (2 Corinthiens 11: 24).
Comme lui, nous sommes
appelés à garder la
foi quoiqu'il nous en
coûte en nous rappelant que, même au
plus fort du combat, au plus fort de l'injustice,
le Seigneur nous a demandé de ne point nous
venger nous-mêmes, de ne pas faire justice
nous-mêmes et encore moins de nous
réjouir de la chute de notre ennemi le jour
où il exercera sa juste
vengeance (Proverbes 24: 17-18)!
Ne vous
faites point justice à vous-mêmes,
bien-aimés, mais laissez agir la
colère ; car il est écrit :
C'est à moi de faire justice ; c'est
moi qui rétribuerai, dit le Seigneur.
Romains 12: 19 (v. Bible
annotée)
Ne vous vengez point vous-mêmes, mes
bien-aimés, mais laissez agir la
colère de Dieu, car il est
écrit : à moi [appartient] la
vengeance ; je le rendrai, dit le Seigneur.
(v. D. M)
Par ces textes, nous voyons bien que Dieu
connaît notre coeur et nos faiblesses. Il
veut nous tranquilliser en nous assurant que
c'est lui qui prendra
la responsabilité d'agir en
conséquence vis-à-vis de ceux qui
nous persécutent.
Notre part consiste à résister
à la tentation de rendre la pareille, de
demander au Seigneur la force afin de ne pas faire
des compromis avec sa Parole.
Notre part est aussi de lui demander de nous
libérer des conséquences de ces
oppressions afin que nous puissions garder avec
joie les commandements du Seigneur et continuer
à nous instruire librement des choses qui
concernent le Royaume de Dieu. (Délivre-moi...
afin que je garde tes ordonnances. v. 134)
Ainsi, par la grâce de Dieu et avec l'aide de
son Fils bien-aimé et du Saint-Esprit nous
arriverons à prier pour ceux qui nous
maltraitent - en
faveur de ceux qui
nous maltraitent - comme l'enseignait Jésus
à ses disciples :
Mais moi (Jésus), je vous dis :
Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous
maudissent, faites du bien à ceux qui vous
haïssent, et priez pour ceux qui vous
maltraitent et qui vous persécutent, afin
que vous soyez fils de votre Père qui est
dans les cieux... Matthieu 5: 44-45 (v. L. S)
Oui, c'est bien là ma
prière, car je ne veux pas être
mené par toutes sortes de pensées qui
détruiraient la foi et la paix que
Jésus donne à ceux qui se confient en
lui !
C'est là ma prière qui va aussi
rejoindre celle de l'auteur du psaume 119 afin
qu'avec les sentiments qui étaient en Christ
(et que je désire avoir), je puisse aussi
pleurer sur ceux qui n'observent pas la loi de Dieu
et non pleurer sur le mal qu'ils ont pu me faire et
qu'ils pourraient encore me faire (v. 136) !
Toutefois, avant de pleurer
sur ceux qui ne connaissent pas Dieu et qui seront
perdus pour l'éternité s'ils ne
changent pas de voie...
... je dois considérer ma marche avec le
Seigneur afin que d'autres n'aient pas des raisons
de pleurer sur moi en constatant que je ne suis
plus un observateur de la Parole de Dieu et qu'en
conséquence le sort des
précédents pourrait bien devenir le
mien.
Suis-je toujours dans
le camp de ceux qui aiment Jésus et qui
l'aiment en le démontrant par
l'obéissance à SA
parole ?
Affermis mes pas dans ta Parole - encourage-moi dans mes pas de foi