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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Passons vers l'autre bord


8 - Vers l'autre bord, en face de l'Agneau et du Lion de Juda,
en face de l'amour et de la colère!

Message précédent: 7- "Pourquoi m'appelez-vous Seigneur, Seigneur...? Foi + crainte = obéissance !! ??

Puis je (l'apôtre Jean) vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux.
Et je vis un ange puissant, qui criait d'une voix forte :
Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre les sceaux ?

Et
personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder.
Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d'ouvrir le livre ni de le regarder.
Et l'un des vieillards me dit : Ne pleure point ;
voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux.

Et je vis
, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Apocalypse 5. 6 et suivants (v. L. S)

Pendant quelques instants je vous invite à partager la vision qu'a eue l'apôtre Jean alors qu'il était prisonnier dans l'île de Patmos (Apocalypse 1: 9).
Bien sûr, il ne nous est pas possible de "visionner" les détails qu'il a remarqués, et encore moins de vivre les émotions qu'il a connues. Nous ne pouvons pas même nous rendre compte de la majesté du Fils de Dieu, une majesté telle, que l'apôtre tomba à ses pieds comme mort (Apocalypse 1: 17).
En effet, nous sommes sur la Terre et Dieu est au Ciel (Ecclésiaste 5: 2), nous vivons dans le temps et Dieu vit hors du temps, nous croyons être les maîtres de notre destiné, de notre présent ou de notre avenir, mais en réalité le commandement suprême appartient au Créateur, c'est ce que nous verrons dans un instant.
Un Créateur, le Dieu tout-puissant qui siège dans son Ciel sur un trône dont la base est la justice et l'équité (Psaume 89: 14).

La justice et le droit sont la base de ton trône, l’amour et la vérité marchent devant toi. Psaume 89: 14 (v. Sefarim, Bible du Rabbinat français)

La justice et l'équité sont la base de ton trône. La bonté et la fidélité sont devant ta face. (v. L. S)


Sans doute sommes-nous surpris de constater que cette justice et cette équité ne se manifestent pas davantage autour de nous, que la bonté et la fidélité portent si peu de fruits, d'où la réflexion d'un grand nombre "Si Dieu existait..., si Dieu était juste..., si Dieu était amour, il ne...., etc., etc. ?

Plutôt que de chercher des failles dans la justice de Dieu, plutôt que de le mettre en accusation, nous ferions mieux de nous examiner nous-mêmes et de regarder comment nous vivons la Parole de Dieu !
Nous qui sommes au bénéfice de sa grâce, de son amour, nous qui avons été pardonnés, comment se fait-il que nous ayons encore bien de la peine à faire plier notre volonté à la sienne ?
Comment se fait-il que notre lumière soit si faible, qu'elle soit tellement tamisée que le monde a bien de la peine à voir la différence entre lui et nous ?

Dieu peut-il être tenu pour responsable de notre indolence, de notre insouciance, de notre paresse ?
Non ! Ce sont nos choix qui nous mettent dans cet état, nos choix qui nous éloignent de lui, ce sont nos manquements, nos péchés - n'ayons pas peur de voir la réalité en face - nos péchés non confessés, nos péchés "mignons" que l'on garde au chaud et que l'on entretient avec amour !

Sachons le bien, nous sommes en partie responsables de l'impiété grandissante dans le monde, responsables du déferlement des désordres sexuels sous toutes leurs formes, responsables pour ne pas avoir été les témoins et les ambassadeurs fidèles de Jésus-Christ !
Que Dieu nous pardonne et nous donne le courage d'être des enfants de Dieu qui n'ont point honte de leur Seigneur et Sauveur, qui n'ont point honte de SA Parole, la Bible!

Comme l'apôtre Jean, nous devrions tomber aux pieds du Seigneur, tomber comme mort, indignes de le regarder tout en le suppliant de changer notre coeur de pierre contre un coeur de chair (Ezéchiel 11: 19) !

En résumé, Dieu ne saurait être responsable de la dureté de notre coeur ni des conséquences que cette dureté engendrera si nous persistons dans notre manque de reconnaissance, de consécration et d'amour pour le Seigneur et le Sauveur de nos âmes.
Dieu n'y est pour rien dans le fait que nous n'avons pas faim et soif de lui ! Il n'y peut rien si nous trouvons plus de joie dans le monde, plutôt que dans sa présence, si nous préférons satisfaire la chair que nourrir notre âme !

Question : Comment est-ce que je t'aime, Seigneur ?
Réponse : "Celui qui m'aime, c'est celui qui a mes commandements, qui les garde et les mets en pratique" (d'après Jean 14: 21 et Jacques 1: 22)

"Mieux vaut un jour dans tes parvis que mille ailleurs" disait le Psalmiste ! Pouvons-nous suivre sa pensée ? Sommes-nous de ceux et celles qui entretiennent leur foi et leur amour pour le Seigneur au point de soupirer après les parvis de l'Éternel (Psaume 84) ?

"La justice et le droit sont la base de son trône" ; elles le sont, même si nous n'en voyons pas les effets immédiats, même si la méchanceté et le mensonge semblent être la norme !
À nous donc d'être vigilants, de marcher dans la Vérité, dans la sainteté, car, dans le Ciel, sous nos yeux, se prépare la juste manifestation de la justice de Dieu.

Alors que nous sommes aux côtés de l'apôtre Jean, alors que la porte du Ciel est ouverte (Apocalypse 4. 1), il nous est donné de "voir" le Lion de Juda.
Il est personnifié par un agneau immolé, un agneau sacrifié qui va bientôt prendre de la main de celui qui est assis sur le trône le rouleau cacheté par sept sceaux.

C'est un instant solennel dont nous sommes appelés à prendre connaissance. En effet, le Seigneur a voulu que nous soyons informés de ce qui allait arriver afin que nous devenions vigilants, raison pour laquelle il a demandé à son serviteur de ne point sceller le livre de la Révélation (L'Apocalypse) : " Ne scelle point les paroles de la prophétie de ce livre. Car le temps est proche" (Apocalypse 22. 10).

À nous d'examiner attentivement son contenu et de réaliser que ce sera une chose terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant (Hébreux 10: 31).

Cet instant que l'apôtre nous relate est un moment grandiose, solennel !
- C'est l'instant où, dans le Ciel, une décision est prise, une décision qui va bouleverser le monde entier !
- C'est l'instant où l'Agneau va exercer le ministère de Lion.
- L'instant où l'amour va laisser place à la colère,
- L'instant où la grâce ayant accompli parfaitement son oeuvre envers ceux et celles qui l'ont acceptée n'a plus sa raison d'être envers les nations païennes.
- C'est l'heure où la patience de Dieu est arrivée à son terme !

Notons que, ce qu'il nous est donné de voir, n'est qu'une vision du futur, "des choses qui doivent arriver bientôt " (Apocalypse 1: 1),
Nous pouvons pousser un soupir de soulagement !
N'étant pas encore dans ce temps, nous sommes TOUJOURS au bénéfice de la grâce et de l'amour de Dieu. N'abusons pas de la patience de Dieu à notre égard ; profitons plutôt intelligemment de ce délai qui nous est accordé afin de faire SA volonté et non la nôtre, nous avons tout à y gagner !

Aux côtés de Jean nous perdons toute notre superbe, tout ce que nous pourrions encore mettre en avant pour nous enorgueillir d'être sauvés ou d'être meilleurs que ces publicains : "je ne suis pas comme le reste des hommes" (Luc 18: 11) !

"Je ne suis pas comme ces gens de mauvaise vie ou comme ces chrétiens à la petite semaine, ces chrétiens du dimanche." Mais je pourrais être pire ! Je pourrais être semblable au pharisien dans le temple qui rendait grâce à Dieu et qui pourtant ne fut pas justifié, rendu juste, contrairement au publicain qui sut s'humilier devant la face du Seigneur ! Voir (Luc 18: 10-17)

Aux côtés de Jean, nous ne pouvons que rester silencieux devant la majesté de celui qui, assis sur le trône, demande à ce quelqu'un prenne le livre pour le décacheter et ainsi ouvrir les "écluses" de la colère de Dieu.

Aux côtés de Jean, alors que nous partageons sa vision, nous comprenons que quelque chose de grave va se passer, quelque chose qui ne sera plus possible d'arrêter : le jugement !
Alors, si nous sommes conscients que l'ouverture du premier sceau déclenchera les premiers signes de la colère de Dieu, demandons-nous qu'elle sera notre place à ce moment-là !
Serons-nous sur la Terre ou avec l'Église qui a été enlevée ?

Si une poignée d'hommes a pu prendre la décision de faire exploser la première bombe atomique sur Hiroshima et de semer la mort à grande échelle, personne dans le Ciel, ni nulle part ailleurs, ne fut trouvé digne de se présenter devant Dieu pour prendre le rouleau d'entre ses mains et d'en briser le premier des sept sceaux.
Personne n'eut l'audace de devenir le justicier de Dieu ! Personne ! Pas même un ange !

Le seul qui put prendre ce livre, fut celui qui, pour un temps n'a pas regardé à ce qu'il allait perdre, celui qui se dépouilla de sa majesté, de son égalité avec Dieu, en prenant une forme de serviteur pour sauver les hommes (lire Philippiens 2: 5 -11).

Comment comprendre que le Sauveur allait devenir celui qui allait déclencher la plus grande catastrophe que le monde ait connu ?
Comment comprendre que ce Sauveur merveilleux que nous connaissons, le Seigneur Jésus, comment le comprendre si ce n'est qu'en regardant ce que nous avons fait de lui !

Agneau meurtri ! Agneau immolé pour nos péchés ! Agneau rejeté par la plus grande partie de l'humanité ! "Nous ne voulons pas que cet homme (le fils de Dieu) règne sur nous" (Luc 19: 14) ; "Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils avec eux contre l'Éternel et contre son oint (Psaume 2: 2?

Agneau meurtri, sur lequel nous avons "craché" autant que les soldats romains lorsque nous vivions loin de Dieu et que nous ne voulions pas de lui comme Seigneur et Sauveur (Matthieu 27: 30). "Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font" (Luc 23. 34).
Ils ne savaient pas, nous ne le savions pas..., et Dieu a trouvé bon de nous faire grâce le jour où la Lumière a pénétré dans notre coeur.

Agneau meurtri qui a été la risée des gens de sa génération, la risée de son propre peuple, et parfois de ses enfants !
Oui, de ses enfants, de ses rachetés qui, aujourd'hui, se moquent de SES paroles, de SES commandements en refusant de les mettre en pratique !

Là..., impossible de dire : "ils ne savent pas ce qu'ils font" !
Impossible, car, c'est délibérément que nous choisissons nos voies plutôt que celles de Dieu, c'est volontairement que nous choisissons de ne pas obéir !
Mais, dans son amour infini, le Seigneur nous tend toujours la main ! Allons-nous saisir cette main ?

Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. 1 Jean 1. 9 (v. L. S)

Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, Mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde.
Proverbes 28: 13 (v. L. S)

Agneau meurtri qui s'est donné lui-même pour me racheter, pour payer, à ma place, le prix de ma juste condamnation !
Agneau meurtri dont l'immense amour a été manifesté au fil des siècles et dont l'amour envers les nations païennes durera jusqu'à ce que le temps des nations soit terminé.

"Agneau meurtri... Seigneur..., comment ne pourrais-je pas accorder ma voix à toutes celles qui, bien avant que tu ne prennes ce rouleau, glorifient ton Nom en raison de l'oeuvre merveilleuse que tu as accomplie et que tu vas encore accomplir ?

Comment ne pourrais-je pas dire : "À celui qui est assis sur le trône, et à l'agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles !" (Apocalypse 5. 13).
Oui, Seigneur comment ne pourrais-je pas te louer et te bénir, toi qui quittas la gloire de ton Ciel pour venir me chercher dans mes ténèbres et m'amener à ton admirable lumière (1 Pierre 2.9).

Qu'importe, Seigneur, si ta lumière éclaire les profondeurs de mon coeur et qu'elle met en relief tout ce qui ne te plaît pas encore dans ma vie, qu'importe, car tu ne cherches qu'à me faire du bien.
Aussi, comme le psalmiste, je veux continuer à te demander : "Envoie ta lumière et ta fidélité ! Qu'elles me guident, Qu'elles me conduisent à ta montagne sainte et à tes demeures !" (Psaume 43. 3) Amen ! Qu'il en soit bien ainsi !

En regardant cette scène où le Lion de Juda, le Roi des rois est là, au milieu du trône, comme immolé, je ne puis m'empêcher de penser au chemin parcouru.
Un chemin par lequel il est passé, chemin de souffrances, de rejets, pour en arriver dans cet état de gloire au travers de la faiblesse !
Immolé, sacrifié, là aux pieds du trône de Dieu, sans éclat, sans beauté apparente et pourtant dans toute sa majesté divine, revêtu de l'autorité et de la force - les sept cornes -, rempli de toute la connaissance - les sept yeux - (Apocalypse 5: 6), prêt à accomplir la volonté de Dieu en accomplissant sa justice.

Justice déjà accomplie envers les rachetés dont les péchés ont été "payés" et effacés au travers du sacrifice de l'Agneau, mais...

- Justice non accomplie envers ceux et celles qui veulent porter eux-mêmes la peine de leurs péchés ayant refusé que Jésus-Christ la porte à leur place...

- Justice non accomplie envers ceux et celles qui pèchent volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité (Hébreux 10: 26-27).

Méprisé et abandonné des hommes,
Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.
Cependant,
ce sont nos souffrances qu'il a portées,
C'est de
nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.
Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ;
LE CHÂTIMENT QUI NOUS DONNE LA PAIX EST TOMBÉ SUR LUI, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Esaïe 53: 2-5 (v. L. S)

Il est venu sur cette terre pour nous libérer de l'esclavage, de l'emprise que le prince des ténèbres avait sur nous, il est venu pour nous rendre libres et nous inviter à le suivre afin que nous devenions volontairement des serviteurs et des servantes de Dieu.

Il s'est révélé à nous comme le Seigneur, le Dieu tout-puissant, créateur du ciel et de la Terre, le Dieu d'amour désirant être un Dieu Sauveur pour tous les hommes : "Mais, quand la bonté de notre Dieu sauveur et son amour envers les hommes sont apparus, il nous sauva... selon sa propre miséricorde (Tite 3: 4-5, v. D).

Toujours aux côtés de Jean, nous le voyons immolé, là, au milieu du trône, au milieu des quatre êtres vivants, au milieu des vieillards, sacrifice parfait, sans tâche, sans péché, digne d'aller vers celui qui est assis sur le trône et de prendre de sa main le rouleau aux sept sceaux. IL LE PREND !

C'est alors que les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternent devant l'agneau (Apocalypse 5. 8) que les harpes font entendre leur mélodie, que les coupes d'or font monter le parfum des prières des saints.
Spectacle glorieux que nous ne pouvons imaginer ! Spectacle glorieux dont nous avons bien de la peine à comprendre la signification.
Spectacle où cependant nous avons notre mot à dire !
Oui ! Notre mot à dire ! Nos mots à dire ! Nos prières qui, associées à celles des saints, deviennent des parfums d'une agréable odeur; elles sont là, placées dans ces coupes d'or que les 24 vieillards présentent à l'Agneau immolé, le Lion de Juda !

Souvenons-nous que ce qui nous est représenté est un aperçu de ce qui va bientôt arriver !
Une fois de plus, HEUREUSEMENT que ces choses sont à venir et non actuelles !
Heureusement, car nos louanges, en tout cas les miennes, ne me semblent pas avoir la qualité nécessaire pour être dans ces coupes d'or.
Et les vôtres ? Celles que vous avez fait monter vers lui ce matin, cette semaine, pensez-vous qu'elles soient dignes d'être mises dans ces coupes d'or?

"Seigneur, accorde-moi un coeur nouveau, un esprit nouveau (Ezéchiel 36: 26) pour que ma voix, que mes louanges ne sonnent pas faux et qu'elles te soient agréables."

À nous de mieux prendre en considération les bontés de Dieu pour que nos bouches, nos coeurs et nos vies proclament haut et fort son saint nom comme il le demande au travers du Psaume 148.

Louez l'Éternel du bas de la terre, Monstres marins, et vous tous, abîmes, Feu et grêle, neige et brouillards, Vents impétueux...
Montagnes... Arbres fruitiers et tous les cèdres, Animaux et tout le bétail, Reptiles et oiseaux ailés, Rois de la terre et tous les peuples, Princes et tous les juges de la terre, Jeunes hommes et jeunes filles, Vieillards et enfants !
Qu'ils louent le nom de l'Éternel ! Car son nom seul est élevé ; Sa majesté est au-dessus de la terre et des cieux.

Dans ce lieu où, avec Jean, nous sommes invités comme spectateurs afin d'en recevoir un enseignement, ce lieu où l'amour, la justice, la bonté et la sainteté n'ont pas leur équivalent ailleurs, dans ce rassemblement, tous acclament celui qui va exercer les jugements de Dieu contre les impies.
Mais, avant que ne soit brisé le premier sceau, une multitude d'anges, unie d'un seul coeur, va glorifier l'Agneau immolé :

L'agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l'honneur, la gloire, et la louange. Apocalypse 5: 12 (v. L. S)

À la voix des anges, à la voix des quatre êtres vivants, à la voix des 24 vieillards, à la voix du parfum des prières des saints, à ma voix, à nos voix peut-être, se joignent encore d'autres voix, les voix des créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, dans la mer :

À celui qui est assis sur le trône, et à l'agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! Apocalypse 5: 13 (v. L. S)

Ces créatures ne sont pas nommées, néanmoins nous pouvons être certains que les hommes des nations ne participent pas à cette louange ! Ce n'est pas encore l'heure où tout genou fléchira devant le Seigneur et où toute langue donnera gloire à Dieu (Romains 14: 11).

L'Agneau immolé... celui qui fut abandonné, méprisé des hommes, reçoit maintenant la louange, l'honneur et la gloire qui lui sont dus.
Dans peu de temps, l'Agneau immolé, dans son office de Lion de Juda, va briser le premier des sept sceaux libérant ainsi quatre cavaliers dont la mission sera de semer les prémices de la colère de Dieu : guerre, famine, mort. Fléaux que les hommes connaissent bien pour les avoir déjà semés un peu partout sur la planète !

Ayant à notre disposition la Parole de Dieu, il nous sera facile de prendre connaissance de la suite des événements.
Pour l'heure, nous retournons à notre place, dans la réalité d'aujourd'hui.
Nous venons de voir "ce qui va bientôt arriver".
Si nous avons sauté les étapes en regardant le commencement de la fin, il nous faut revenir sur terre, nous ressaisir, car, pour le moment, nous sommes seulement en route vers l'autre bord.
Et c'est peut-être tant mieux !
Et c'est certainement tant mieux que nous ne soyons qu'en route !

En effet, si une fois de plus je me réfère à la pensée de l'apôtre Pierre, je dois convenir que j'ai un grand besoin de ce temps de patience (2 Pierre 3: 9) pour "travailler à mon salut" (Philippiens 2: 12) et pour que j'accomplisse fidèlement les oeuvres qu'il a préparées pour que je les fasse (1 Corinthiens 15: 58).

Si vous savez ces choses, vous êtes heureux, POURVU QUE VOUS LES PRATIQUIEZ. Jean 13: 17 (v. L. S)

Je les sais..., tu les sais..., nous les savons tous, n'est-ce pas?
Alors... qu'attendons-nous pour les mettre en pratique, pour réformer nos voies et nos oeuvres?

***

Moi, Jésus, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin. Apocalypse 22: 16 (v. L. S)

Voici,
je viens bientôt. - Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre ! Apocalypse 22: 7 (v. L. S)


À suivre : 9- Là où Dieu essuiera toutes larmes de nos yeux... - ou, là où il y aura des pleurs et des grincements de dents!

J-M Ravé 14 novembre 2009 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse
c211109


 

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