La sainteté
convient à TA maison
Sans la
sanctification... personne ne verra le
Seigneur
10) Mais qu'est-ce donc que
la
sanctification ? (b)
Séparation +
séparation
Message de la semaine
passée: Mais qu'est-ce donc que la
sanctification ? (a)
... nous étions
autrefois insensés,
désobéissants, égarés,
asservis à toute espèce de
convoitises et de voluptés, vivant dans la
méchanceté et dans l'envie, dignes
d'être haïs, et nous haïssant les
uns les autres. Tite 3: 3 (v. L. S)
Comme des enfants obéissants,
ne vous conformez
pas aux convoitises que vous aviez
autrefois,
quand vous
étiez dans l'ignorance. 1 Pierre 1: 14 (v. L. S)
L'ignorance, dont nous parle l'apôtre Pierre,
ne peut plus être invoquée puisque
nous sommes passés des
ténèbres à la lumière,
puisqu'il nous a été donné "TOUT CE QUI CONTRIBUE A LA VIE ET A LA
PIÉTÉ"
(2 Pierre 1: 3).
TOUT nous a été donné !
"Vous avez tout pleinement en
Christ" nous rappelle l'apôtre Paul
(Colossiens 2: 10). Nous avons TOUT,
mais utilisons-nous ce qui a été mis
à notre disposition ?
Utilisons-nous au moins la Parole de Dieu pour nous
instruire afin de savoir comment plaire à
Dieu ?
Nous ne sommes plus ignorants !
Pardon ! NOUS NE DEVRIONS PLUS ÊTRE
IGNORANTS !
L'ignorance que nous pourrions invoquer aujourd'hui
ne serait-elle pas due à notre
négligence, une négligence entretenue
par notre paresse à étudier les
Écritures ?
Dans ce cas cette ignorance-là serait
difficilement excusable puisque, par
nous-mêmes, nous n'aurions pas voulu nous
instruire, nous laisser instruire. "Mon peuple est détruit,
parce qu'il lui manque la connaissance"
(Osée 4. 6).
"Recevez mes
instructions" disait le Seigneur
Jésus, "et vous trouverez du repos pour vos
âmes"
(Matthieu 11: 29). Tout cela à
condition d'être sous le joug de Christ afin
d'aller dans la direction qu'il nous engage
à suivre.
Nous savons maintenant que, "ce que Dieu VEUT, c'est notre
sanctification"
(1 Thessaloniciens 4: 3), une
sanctification qui commence par une
SÉPARATION.
Comment pourrions-nous nous placer sous le joug du
Seigneur tout en restant sensibles aux voix d'un
monde qui n'acceptera jamais l'autorité du
Fils de Dieu ?
Sensibles aux voix de personnes qui, en
dépit de leur gentillesse, pourraient bien
devenir des instruments entre les mains de
l'adversaire de nos âmes afin de nous
détourner du chemin étroit.
Satan est rusé, il utilisera tous les moyens
à sa disposition pour nous
séduire !
Cette séparation d'avec le monde, dont nous
avons parlé la semaine passée, est
INDISPENSABLE ! Reconsidérons les
quelques versets qui ont été retenus
lors de notre dernière méditation et
réfléchissons sérieusement
afin de savoir si Dieu parle sérieusement ou
non au travers de tels textes. Pensons aux
conséquences éternelles en cas de
refus de prêter attention à la Parole
de notre Dieu.
- Sauvez-vous de cette
génération perverse... Actes 2: 40
- Vous ne devez plus marcher comme les
païens... Éphésiens 4:
17
- C'est assez d'avoir, dans le passé
accompli la volonté des païens...
1 Pierre 4: 3-4
Ce rappel nécessaire va servir à
mettre en avant le fait que la SÉPARATION
implique une rupture, une division qui ne peut plus
(ne devrait plus) reformer une association où
païens et enfants de Dieu marcheraient, main
dans la main, comme au temps où ils
marchaient ensemble dans les ténèbres
(2 Corinthiens 6. 14).
La sanctification n'est pas l'adhésion
à des principes bibliques !
C'est un mode de vie à part
entière où la soumission
à la Parole de Dieu, au Seigneur
Jésus EST la suite logique de notre
engagement.
C'est un mode de vie et de penser qui DOIT
être différent de celui que
nous avions lorsque nous vivions sans Christ, ce
temps où nous n'avions aucun
intérêt pour le Royaume de Dieu et
aucun égard pour SA Parole.
Il DOIT être différent, c'est
impératif ! S'il ne l'est pas, notre
christianisme n'est alors qu'un christianisme de
nom puisque rien n'aurait véritablement
changé dans notre vie. L'Écriture dit
clairement que :
Si quelqu'un est en Christ, il est
une nouvelle créature. Les choses anciennes sont
passées ; voici, TOUTES CHOSES sont devenues nouvelles. 2 Corinthiens 5. 17 (L. S)
Ce verset coupe l'herbe sous le pied de ceux et
celles qui, pour justifier leur peu d'enthousiasme
à se sanctifier, argumentent qu'ils ne sont
pas dans le monde.
Ils disent qu'ils n'en font pas partie simplement
parce qu'ils ne vont pas dans les boîtes de
nuit, par exemple, ou ne passent pas leur temps
dans les bistrots, ne s'adonnent pas à des
activités que l'éducation
chrétienne ne saurait approuver, etc.
En vérité, ce n'est pas
parce que je ne participe pas au mal que fait
autrui que je marche dans la
sanctification !
De nombreux païens ont une bonne
conduite ! Plusieurs ont même une
conduite morale et une discipline de vie, de
langage à faire pâlir d'envie certains
"enfants de Dieu". Pourtant, ces païens ne
suivent pas le Seigneur Jésus. Ils ne
marchent pas dans la sanctification, même
s'ils refusent de participer au mal qui les
entoure.
Si nous leur ressemblons, c'est déjà
bien, mais bien insuffisant, voire inutile, car
il faut rester dans le chemin étroit et
marcher de progrès en progrès en
poursuivant notre sanctification "sans laquelle
PERSONNE ne verra le Seigneur"
(Hébreux 12. 14). Une
répétition qu'il est
nécessaire de rappeler, tant l'enjeu est
important !
Quoique nous ne soyons pas sauvés par les
oeuvres, ce salut gratuit, s'il a
été accepté, conduit son
bénéficiaire à
devenir dépendant de la
volonté de Dieu et à
accomplir ce qu'il demande.
L'insoumission volontaire et continuelle à
la Parole de Dieu pourrait bien démontrer
que le salut en question n'a pas été
pleinement accepté et, qu'en
conséquence, la grâce a
été méprisée au travers
d'une conduite méprisante.
Peut-on véritablement dire que l'on a
accepté la grâce qui nous a
été proposée au travers du
Fils de Dieu, et par la suite, se conduire comme
auparavant ?
Des personnes qui ont été
graciées par la justice des hommes ne
prennent pas le risque de commettre les mêmes
méfaits qui les avaient conduits à
une condamnation. Et nous, nous nous moquerions de
Dieu en refusant de changer de conduite, en
retournant aux choses anciennes ?
Très certainement, plusieurs d'entre nous
seraient jetés immédiatement dans
le feu de la géhenne si le verdict
prononcé par le Fils de Dieu dans
Matthieu 5: 22 s'appliquait aussi
rapidement que la condamnation d'Ananias et
Saphira (
Actes 5. 5-7).
Mais moi
(Jésus),
je vous dis que quiconque se met en colère
contre son frère mérite d'être puni par les
juges ;
que celui qui dira à son frère :
Raca ! mérite d'être puni par le
sanhédrin ;
et que celui qui lui dira :
Insensé ! mérite d'être puni par le feu de la
géhenne.
Une simple colère contre son
prochain, une insulte, un simple manque de
respect... nous nous reconnaissons, n'est-ce pas,
comme des pratiquants (plus ou moins
volontairement) de ce genre de
"méfaits" ?
À nous de comprendre que la grâce et
la patience de Dieu dont nous
bénéficions doivent nous permettre
d'être dans des dispositions de coeur qui
nous conduisent à désirer ardemment,
à être véritablement de
nouvelles créatures pour que les choses
anciennes soient définitivement
passées.
La grâce n'est pas un temps qui nous est
accordé pour faire ce que l'on a envie de
faire sans avoir à en subir les
conséquences éternelles, elle est au
contraire une période où la
bonté de Dieu nous pousse à la
repentance. Et la repentance, elle-même
nous pousse à la confession qui, si elle est
sincère, nous fera abandonner ces "petits"
péchés
(Proverbes 28: 13).
Donc, ce que l'apôtre met en évidence,
c'est que les choses anciennes sont
passées ou, pour ce qui nous concerne -
me concerne - sont en passe de
disparaître parce que, les uns et les
autres, nous avons pris conscience que certains
points dans notre vie ne glorifient pas le
Seigneur, aussi soupirons-nous après son
secours pour qu'il y ait une véritable
transformation dans notre vie.
Mais peut-être me suis-je avancé un
peu vite en disant : "nous" ?
Y a-t-il déjà eu des changements
visibles dans notre vie depuis que nous avons
accepté Jésus comme Sauveur et
Seigneur ? Des comportements qui montreraient
que nous nous sommes bien engagés dans le
chemin étroit et que nous avons
tourné le dos aux "choses
anciennes" ?
Je ne veux pas mettre en avant comme preuve le fait
d'aller régulièrement à
l'Église et aux réunions de
prières et d'études bibliques qui ne
pourraient être que des apparences
extérieures ne prouvant pas que nous
marchons dans la sanctification. Dieu demande autre
chose !
Regardez l'Église de Laodicée. Les
fidèles sont DANS l'Église, mais
s'ils restent comme ils sont, ils seront vomis de
la bouche du Seigneur
(Apocalypse 3. 16).
La séparation d'avec le monde ne signifie
pas simplement une séparation d'avec des
personnes dont le contact serait malsain pour un
chrétien.
La séparation d'avec le monde concerne
aussi tout ce qu'il a laissé comme
empreintes dans notre vie,
Toutes ces choses qui, pareils à des
aimants, nous invitent à revenir en
arrière en réactivant les
désirs de notre vieille nature au
détriment de cette nouvelle nature que
Christ nous a donnée.
En relisant les deux textes qui ont servi
d'introduction, nous constatons qu'il n'est pas
tellement question de personnes extérieures
qui nous détourneraient de la foi.
Maintenant, on parle plutôt de nos
désirs, de nos passions, de
notre nature pécheresse
héritée de nos parents !
Ces versets montrent bien que je n'ai pas besoin
des gens du monde pour vivre dans le monde, pour
vivre comme le monde !
Il suffit simplement que je me laisse conduire par
la chair
(Galates 5: 19-21) pour ne point
hériter du Royaume de Dieu. C'est
l'Écriture qui le dit, et, dans ce qu'elle
dit, nous pouvons remarquer qu'il y a de
nombreux points où nous n'avons
besoin de personne pour vivre COMME LE MONDE et
(ou) selon la chair !
Or, puisque nous avons donné notre vie
à Jésus-Christ, nous sommes devenus
des NOUVELLES CRÉATURES ! Qui dit
"nouvelles créatures" dit aussi que "toutes
choses sont devenues nouvelles"
(2 Corinthiens 5. 17).
Pour vous, vous ne vivez pas selon la
chair, mais selon
l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite
en vous. Romains 8. 9 (v. L. S)
Ceux qui sont à Jésus-Christ ont
crucifié la chair avec ses passions et ses
désirs. Galates 5: 24 (v. L. S)
Si l'Esprit de Dieu habite en moi, je dois marcher
différemment qu'avant ma conversion !
Je dois apprendre à me séparer de
tout ce qui, dans mon ancienne nature, me rendait
esclave de la chair, du péché.
Je dois aussi prendre conscience de tout ce qui me
manque ! La douceur, la compassion..., avoir
plus d'amour, plus de sagesse, de discernement et
d'intelligence pour mieux comprendre la Parole de
Dieu. Je ne parle que pour moi bien entendu, chacun
devant être conscient de ce qui lui manque
pour ressembler à Jésus-Christ.
Comme l'apôtre Paul, je ne suis pas
inconscient ! Je reconnais, qu'en moi aussi,
il y a deux lois qui s'opposent dont l'une me donne
parfois bien du fil à retordre à
cause de son insistance à vouloir me faire
revenir en arrière.
... je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la
loi de mon
entendement, et qui me rend captif de la loi du
péché, qui est dans mes membres.
Romains 7: 23 (v. L. S)
Deux lois qui s'opposent, d'accord ! Mais,
dans ce combat, c'est moi qui suis
l'arbitre !
C'est à moi qu'il appartient de
choisir celui que je veux faire triompher dans ma
vie.
N'ai-je pas autorité sur ma langue, sur mes
yeux, mes oreilles, mes pieds ?
Ne suis-je pas capable d'un acte de volonté
pour choisir ce que je veux dire, voir,
écouter ou l'endroit où je veux
aller ?
Nous étions
autrefois insensés,
désobéissants, égarés,
asservis à toute espèce de
convoitises et de voluptés, vivant dans la
méchanceté et dans l'envie, dignes
d'être haïs, et nous haïssant les
uns les autres. Tite 3. 3 (v. L. S)
Autrefois nous étions esclaves (asservis).
Aujourd'hui Jésus nous a
libérés, mais comme le dit
l'apôtre Paul : " ne faites pas de cette
liberté un prétexte de vivre selon la
chair"
(Galates 5. 13), car : " Si vous vivez selon la chair, vous
mourrez" (Romains 8: 13).
La volonté de la chair est en continuelle
opposition avec la volonté de l'Esprit et
elle le sera TOUJOURS !
La chair a des désirs
contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit
en a de contraires à ceux de la chair ;
ils sont
opposés entre eux, afin que vous ne fassiez
point ce que vous voudriez. Galates 5. 17(v. L. S)
L'esprit de Dieu me conduit-il ?
Mon âme aspire-t-elle à quelque
chose de meilleur qu'hier ou suis-je satisfait
de ce que je vis, simplement parce que je ne fais
pas telle ou telle chose ?
La séparation d'avec le monde, cette
première séparation, si elle a bien
eu lieu, ne pourra me conduire qu'à
désirer d'autres séparations,
c'est-à-dire de me défaire de tout ce
qui déplaît à Dieu dans ma vie
personnelle, vie visible et vie
secrète !
Après la séparation d'avec le monde,
je suis naturellement appelé à faire
mourir ce qui est en moi, ce qui appartenait
à ma vie païenne et dont la chair se
délectait sans forcément le savoir,
trouvant normal d'être satisfaite.
"... si par l'Esprit vous
faites mourir les actions du corps, vous
vivrez"
(Romains 8. 13).
Il y a donc encore quelque chose à faire
mourir ! Quelque chose qui vivait chez les
chrétiens de Rome et qui se trouvent aussi
dans ceux d'aujourd'hui !
Cette deuxième séparation est un
autre pas qui va m'engager dans un processus de
sanctification permanente.
Cette séparation ne pourra prendre toute sa
signification qu'au travers d'une marche
continuelle durant laquelle le Saint-Esprit aura
toute liberté de mettre en lumière
les choses que je dois abandonner.
C'est alors que l'on verra si Jésus est
autant mon Seigneur qu'il est mon Sauveur, si ma
vie lui est véritablement
consacrée.
Séparation +
consécration
=
SANCTIFICATION
Si nous sommes tiraillés entre deux
mondes, entre l'ancienne et la nouvelle nature - et
nous le sommes très certainement -,
l'Écriture nous ordonne de ne pas "livrer nos membres au
péché"
(Romains 6: 13), mais de nous donner
nous-mêmes à Dieu :
Ne livrez pas vos membres au
péché, comme des instruments
d'iniquité ; mais donnez-vous vous-mêmes
à Dieu"
Romains 6: 13 (v. L. S)
Subir les assauts de la chair, n'est pas "se livrer
au péché", c'est simplement
reconnaître que la vieille nature a encore
des exigences qui vont à l'encontre de la
loi de Dieu inscrite dans nos coeurs, une loi
d'autant plus lisible que nous y prêterons de
plus en plus d'attention.
Cette vieille nature, ne puis-je pas
déjà la brider ? Reposons-nous
la question de tout à l'heure :
N'ai-je pas autorité sur ma langue, sur
mes yeux, mes oreilles, mes pieds !
Ne suis-je pas capable d'un acte de
volonté pour choisir ce que je veux
dire, voir, écouter ou l'endroit où
je veux aller ?
Pour la langue... (Grand soupir). Mais comme
Dieu ne nous a jamais demandé l'impossible
je dois donc pouvoir travailler à son
dressage, elle est encore bien trop sauvage
(Jacques 3: 5 et suivants) !
Pour les yeux... Alors là, je peux
facilement prendre des décisions, faire un
pacte avec eux afin qu'ils se détournent de
ce qu'ils ne doivent pas voir : " J'avais fait un pacte avec mes
yeux, Et je n'aurais pas
arrêté mes regards sur une vierge"
(Job 31: 1), et sur... certains
programmes TV, sur certains jeux d'ordinateurs,
certaines revues.
En règle générale, je dois
m'abstenir de regarder ce que le Seigneur
Jésus ne regarderait pas en ma
compagnie.
Aide-moi Seigneur à faire les bons
choix : "Détourne
mes yeux de la vue des choses vaines, Fais-moi
vivre dans ta voie"
(Psaume 119: 37).
Pour les oreilles... Il est aussi possible
de "faire un pacte" avec elles et de se discipliner
afin qu'elles soient toujours plus attentives
à "ce que l'Esprit dit
aux Églises" (Lettres aux diverses
Églises de l'Apocalypse)
Pour les pieds... Qu'ils aient toujours les
chaussures du "zèle
que donne
l'Évangile"(Éphésiens 6. 15), cela
leur évitera de courir dans des chemins
où le Seigneur ne pourrait ni nous suivre, ni
forcément nous garder.
Je ne vois pas ces "limitations" comme des
contraintes pour ma vie personnelle ! Au
contraire !
Si j'aime le Seigneur et crois de tout mon coeur
qu'il ne cherche que mon bien, alors j'accepte
volontiers qu'il m'instruise pour que je devienne
comme il le désire. J'accepte qu'il me
change, qu'il me donne une nouvelle
personnalité. En avant, courage! "Nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous
a aimés"
(Romains 8: 37)!
Non seulement je l'accepte, mais je le
désire ardemment:
"Sonde-moi, Éternel!
éprouve-moi, Fais passer au creuset mes reins
et mon coeur... - connais mon coeur... connais mes
pensées ... Ne me laisse pas égarer loin
de tes commandements"
(Psaumes 26: 2;
139: 23;
119: 10 )
En avant! Veillons ou réveillons-nous!
"Réveille-toi, toi
qui dors, Relève-toi d'entre les morts, Et
Christ t'éclairera"
(Éphésiens 5:
14)!
Réveillons-nous! Jésus revient
bientôt! Réveillons-nous, car le
laisser-aller sera le pire ennemi de notre
sanctification ! Il nous rendra insouciants,
inconscients des dangers et nous laissera glisser
vers l'endormissement spirituel.
- Veillez, demeurez fermes dans la
foi...
fortifiez-vous. 1 Corinthiens 16: 13 (v. L. S)
- Soyez sobres,
veillez. Votre
adversaire, le diable, rôde comme un lion
rugissant... 1 Pierre 5: 8 (v. L. S)
- Ne dormons donc
point comme les autres, mais veillons et soyons
sobres.
1 Thessaloniciens 5. 6 (v. L. S)
"Que celui qui est
saint SE SANCTIFIE
ENCORE"
Apocalypse 22. 11
***
SANCTIFICATION
=
Séparation d'avec le monde
Séparation d'avec ce que le monde a
incrusté en nous.
Séparation d'avec la vaine manière de
vivre héritée de nos
pères.
+
CONSÉCRATION
À suivre: sanctification (s) + consécration
J-M Ravé 27 juin 2009 - CP 474 - 2300
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