Je t'aime, un peu, beaucoup..., mais
....
__________________________
Qui, dans son enfance, n'a pas effeuillé
une marguerite ou une pâquerette afin d'avoir
une indication sur l'amourette qui venait de
bouleverser son coeur d'enfant ?
Sans doute vous souvenez-vous qu'au fur et à
mesure de l'arrachage des pétales, l'amour
ne faisait que grandir, passant de
« un peu »
jusqu'à « à la
folie ». Arrivé au point
culminant de l'amour, une interruption brutale se
faisait alors sentir avant la reprise du cycle
« elle (il) m'aime, un peu...,
beaucoup... ».
Cette interruption brutale de l'amour ascendant,
vous vous en rappelez certainement, était
occasionnée par « pas du
tout » et alors... quel drame s'il
n'y avait plus de pétale à
arracher !
Quel drame si, aujourd'hui encore nous n'avons
plus que ce « PAS DU
TOUT » pour qualifier les sentiments
de notre coeur, car c'est avant tout de notre
coeur, de notre amour qu'il va être question
aujourd'hui !
Un drame qui en a mené plusieurs au divorce,
à la séparation !
Un drame qui pourrait aussi avoir des
conséquences éternelles pour ceux et
celles qui ne se sont jamais souciés de leur
Père céleste, de ce Dieu qui leur
a pourtant donné le souffle de
vie !
Toute une vie passée..., parfois une longue
vie (plus de 70 ans : « Les jours de nos années
s’élèvent à soixante-dix
ans »
- Psaume 90 : 10) ; toute
une longue vie passée à faire la
sourde oreille aux appels
réitérés du Seigneur invitant
hommes et femmes à faire la paix avec lui
afin de vivre dans son amour, ici-bas et pour
l'éternité !
Comment seront-ils accueillis ceux qui seront
obligés d'avouer qu'ils n'ont jamais
aimé Dieu, qu'ils n'ont jamais
désiré répondre à
son amour ?
Assurément, Dieu respectera leur
désir d'avoir voulu vivre sans lui
durant leur séjour terrestre et il les
éloignera de lui éternellement pour
qu'ils n'aient pas à subir sa
présence continuelle.
Un drame qui pourrait aussi avoir des
conséquences éternelles pour nous -
Église de Jésus-Christ - si les
sentiments que nous avions autrefois pour le
Seigneur Jésus étaient devenus sans
signification aujourd'hui !
Bien sûr, nous n'irions pas jusqu'à
dire au Fils de Dieu que nous ne l'aimons plus du
tout.
Pourtant, le reconnaître ouvertement ne
pourrait qu'être salutaire et nous amener
à nous poser des questions dont les
réponses nous conduiraient très
certainement à « retomber
amoureux » du Seigneur.
Nous n'irions pas jusqu'à dire que nous ne
l'aimons plus..., nous ne pourrions même pas
le lui dire ! En effet, l'habitude d'un
certain laisser-aller, d'un négligé
dans l'entretien d'une vie spirituelle, fera qu'un
manque de sensibilité s'est installé
dans le coeur. À ce stade, il est
évident que l'intéressé ne
sera pas en mesure de ressentir cette perte de
sensibilité... et pour cause !
N'étant pas (plus) capables d'évaluer
notre degré d'amour pour notre Sauveur,
c'est sans doute pour cette raison que le Seigneur
est obligé d'avertir ceux qui lui sont chers
en leur montrant qu'ils se sont
éloignés de lui, parce que leur
amour, autrefois brûlant, s'est
attiédi au point que bien des manifestations
de cet amour de jeunesse ont disparues.
Ce que j’ai
(Jésus glorifié) contre toi, c’est que
tu as
abandonné ton premier amour.
Souviens-toi donc
d’où tu es tombé,
repens-toi, et
PRATIQUE TES PREMIÈRES
OEUVRES ;
SINON, je viendrai à
toi, et j’ÔTERAI TON CHANDELIER DE SA
PLACE, à moins que tu ne te repentes.
Apocalypse 2 : 4-5
Cette parole, adressée à
l'Église d'Éphèse, nous met en
garde EN TANT QU'INDIVIDU.
L'Église étant composée de
personnes qui sont responsables - à part
entière - de leur propre engagement, c'est
l'ensemble de la communauté, individu par
individu, qui est responsable de cette perte
d'amour.
S'il n'y a pas de repentance dans le coeur d'un
enfant de Dieu qui aurait perdu son premier amour
pour le Seigneur, la lumière ne sera plus
avec lui pour l'éclairer tout comme elle
ne sera plus dans le rassemblement des
frères s'ils ont tous la même
conduite.
Et, s'il n'a plus de lumière pour
éclairer leur chemin, comment feront-ils
pour ne pas tomber dans les pièges de
l'ennemi ?
Et, s'il n'a plus de lumière..., comment
pourront-ils être la lumière du monde
(Matthieu 5 : 14) et
éclairer ceux et celles qui vivent dans les
ténèbres ?
Si nous ne souhaitons pas que le Seigneur nous
remette en place, ce qui serait quand même
une bonne chose dans le sens où nous
verrions alors que Dieu use de patience à
notre égard
(2 Pierre 3 : 9)...
... Si nous ne voulons pas être repris par
notre Seigneur, alors, c'est à nous de nous
examiner, c'est à nous de reprendre la
comptine enfantine en la modifiant quelque peu et
en avouant : Je t'aime, un peu,
beaucoup..., mais, la vérité c'est
que...
JE T'AIME UN PEU..., BEAUCOUP MOINS
QU'AVANT !
Si je suis capable de reconnaître qu'il y
a un affaiblissement dans mon engagement, dans mon
zèle, dans mes affections pour le Seigneur
et les choses qui concernent Dieu, sans aucun
doute, le Seigneur n'aura pas besoin de
m'interpeller.
Pourquoi le ferait-il si, après avoir
réfléchi sur ma conduite, mon
engagement, je confesse mon laisser-aller et
qu'ensuite je reprends la route avec de bonnes
dispositions dans mon coeur ?
J’ai
médité sur mes voies,
et
(ensuite j'ai)
ramené mes
pas vers tes statuts. Psaume 119 : 59 (v. Sefarim, Bible du Rabbinat
français)
J’ai pensé à mes voies... Je
réfléchis à mes voies...
(Autres versions)
Une saine réflexion ne manquera pas
de nous conduire à un recentrage de notre
vie sur Jésus-Christ, même si nous
avons un amour sincère pour le
Seigneur : nous ne sommes pas encore parvenus
à la perfection !
Nous sommes toujours en route vers l'autre
bord...
Nous sommes passés par la porte
étroite..., nous nous sommes engagés
dans le chemin étroit ; pour certains,
cela fait déjà de nombreuses
années qu'ils sont en route, mais la
question à se poser sérieusement est
celle-ci : Comment
marchons-nous ?
Au fur et à mesure que les années
passent, il est à craindre qu'une certaine
routine se soit
installée dans plusieurs vies au
point que l'habitude ait préparé le
lit de l'insouciance.
Puis, petit à petit, cette insouciance
ayant eu son effet soporifique, elle
jettera dans les bras de la
nonchalance ceux qui n'auront pas
veillé à leur conduite.
Un état qui ne fera que préparer le
coeur à UN ABANDON DISCRET DU PREMIER
AMOUR.
Nonchalance : Absence
d'énergie, de zèle, de soin, due
à l'insouciance, l'indifférence
(dictionnaire Lexilogos).
La recommandation de l'apôtre Paul :
« Examinez-vous
vous-mêmes, pour savoir si vous êtes
(toujours) dans la
foi... »
(2 Corinthiens 13 : 5), si elle
est mise en pratique, nous gardera de tomber dans
le « désamour ».
Désamour : Cessation de
l'amour, de l'intérêt pour
quelqu'un ou quelque chose (Dictionnaire Petit
Larousse).
C'est ainsi que nous pourrions nous retrouver dans
le chemin étroit sans entrain, sans
zèle, sans crainte de
l'Éternel.
Une marche durant laquelle nous nous
attiédirions tout en gardant les signes
extérieurs de la religion, culte, lecture
personnelle de la Bible... ; des
formalités remplies avec un coeur
vide !
Les amoureux savent parler de l'être
aimé lorsqu'il est absent, ils sont toujours
impatients de se rencontrer.
Jésus nous aime..., il a toujours le
désir de nous rencontrer, de nous instruire,
de nous montrer les endroits où nous devons
poser nos pieds (l'empreinte de ses pas).
Il attend que nous entrions dans SON travail, lui
étant au Ciel, nous étant sur la
Terre comme ses porte-paroles, comme ses mains pour
bénir, comme sa bouche pour annoncer le
salut, etc..., etc...
Jésus nous aime, c'est
indéniable ! Ne nous a-t-il pas
aimés le premier
(1 Jean 4 : 19) au point de
donner sa vie pour nous ?
Et nous..., l'aimons-nous encore au point de..., je
ne dis pas « lui donner notre
vie », car cela devient une formule
qui a perdu de sa valeur, je dirais
plutôt :
L'aimons-nous encore au point de
SACRIFIER NOTRE VIE POUR LUI ?
... celui qui perdra sa
vie à cause de moi
(Jésus) et de la bonne nouvelle la sauvera.
Marc 8 : 35
Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait
sa vie dans ce monde la conservera pour la vie
éternelle. Jean 12 : 25
Tous les enfants de Dieu disent qu'ils ont
donné leur vie à Christ, soit !
Mais combien ont-ils sacrifié leur vie pour
lui ?
Combien ont-ils fait passer le Seigneur avant toute
chose ?
Qu'ai-je sacrifié pour vivre avec
Christ ?
Qu'est-ce que je sacrifie encore aujourd'hui pour
le suivre, pour entretenir ma foi ?
Bien des gens du monde ont sacrifié leur vie
pour leur passion (égoïste) sans se
soucier d'autres choses que de l'objet pour lequel
ils ont tout sacrifié.
Quelle est notre véritable passion,
celle pour laquelle nous sommes prêts
à abandonner ce qui, à nos yeux, a
moins d'importance ?
Sans vouloir noircir à tout prix le tableau
il faut reconnaître qu'il n'y a pas que des
personnes à réveiller dans
l'Église ! Fort heureusement !
Sinon qui nous exhorterait à rester attacher
au Seigneur, qui nous exhorterait à l'aimer
de plus en plus ?
Très certainement, il y a plus d'un cas
où les oeuvres - à la gloire de
Seigneur - n'ont pas manqué d'occuper les
enfants de Dieu et qu'ils se sont donnés
corps et âmes à ces oeuvres-là
au point de souffrir d'une boulimie
d'activités qui nuit à leur
âme.
Ces activités les ont tellement
occupés que quelques-uns ont fini par se
laisser asservir par un activisme qui leur a fait
abandonner quelque chose en route.
Non pas que ce fut des oeuvres dont le
résultat ne servait pas à la gloire
de Dieu, bien au contraire !
« Je connais tes
oeuvres, ton travail, et ta
persévérance... », dira le
Seigneur à son Église
d'Éphèse, sans faire de reproche
quant à ce travail !
MAIS..., il ajoutera :
... ce que j’ai contre
toi, c’est que tu as abandonné ton premier
amour.
Apocalypse 2 : 2-4
Ce reproche, lourd de
conséquences : « tu as abandonné ton premier
amour », nous a
été transmis pour nous amener
à considérer les dispositions de
notre coeur à l'égard du
Seigneur.
Suis-je ou ne suis-je pas dans la catégorie
de ceux et celles qui ont perdu leur premier
amour ?
Il est à craindre que le « je
t'aime un peu, beaucoup..., un peu beaucoup
moins qu'avant » ne soit, en ces
temps de la fin, la triste réalité
d'une grande partie de l'Église de
Jésus-Christ.
Je ne juge personne en disant cela ! Je
tiens seulement compte de l'appréciation du
Seigneur qui s'adresse à une Église
particulière, À L'ENSEMBLE DE
CETTE ÉGLISE puisque aucun des membres ne
fait exception !
Alors..., comment savoir si nous sommes
concernés ?
Comment savoir si JE suis personnellement
concerné ?
Sans doute en suivant le conseil du Seigneur qui
invitent ses rachetés à pratiquer
leurs premières oeuvres !
Des oeuvres qui, de toute évidence, ne
ressemblent pas à celles qui sont faites
aujourd'hui !
Des oeuvres qui étaient de meilleure
qualité puisqu'elles permettaient
d'entretenir le feu du premier amour.
... ce que j’ai contre
toi, c’est que tu as abandonné ton
premier amour. Souviens-toi donc d’où
tu es tombé, repens-toi, et PRATIQUE TES
PREMIÈRES OEUVRES... Apocalypse 2 : 4-5
Étant averti, il devient donc
nécessaire que je fasse une
rétrospective de ma vie, que je reprenne en
considération mon engagement avec le
Seigneur lorsque je lui avais donné mon
coeur et ma vie, et que je compare ce
passé avec mon présent.
- D'abord, ai-je grandi dans la foi ? Ai-je
davantage confiance en Dieu ? Ma vie le
prouve-t-elle ?
- Ensuite, la Parole de Dieu a-t-elle plus
d'intérêt pour moi qu'elle en avait
autrefois ou, au contraire, mes lectures sont-elles
devenues du réchauffé qui ne
possède plus de fraîcheur ? Ai-je
toujours le désir de m'instruire ? Si
oui..., comment puis-je le
démontrer ?
- Après cela, examinons notre vie et
regardons si les sacrifices que nous faisions
autrefois pour suivre le Seigneur en allant aux
réunions, aux études bibliques sont
toujours existants ?
- Quant à la sanctification... - sans
laquelle personne ne verra le Seigneur
(Hébreux 12 : 14) -
où en est-elle aujourd'hui ? Suis-je
toujours capable de prendre des résolutions
pour me séparer du monde comme je le faisais
autrefois ?
Comme vous le voyez, ce n'est pas la mer à
boire de répondre à ces
questions ! Néanmoins, les
réponses que nous allons donner - en nous
plaçant devant Dieu dans le secret de notre
chambre – vont être importantes.
Elles le seront d'autant plus si nous laissons le
temps au Saint-Esprit de nous parler afin qu'il
nous montre l'état de notre coeur..., vu du
Ciel !
À nous de persévérer pour
connaître la pensée de Dieu en ce qui
concerne notre santé spirituelle.
Comprenons bien qu'il n'est pas question de mettre
nos oeuvres en avant.
En regard de l'Écriture nous sommes tous des
serviteurs inutiles !
Non pas inutiles parce que nous ne faisons rien
comme le serviteur de la parabole :
« le serviteur
inutile, jetez-le dans les ténèbres
du dehors, où il y aura des pleurs et des
grincements de dents »
(Matthieu 25 : 30)...
... Mais INUTILES parce que nous n'avons rien fait
d'extraordinaire en obéissant à ce
qui nous a été
demandé !
Vous de même,
quand vous avez
fait tout ce qui vous a été
ordonné,
dites : Nous sommes des serviteurs inutiles,
nous avons fait ce que nous devions faire.
Luc 17 : 10
Nos oeuvres, faites dans l'obéissance, ne
prouvent pas que nous avons gardé notre
premier amour ; il nous suffit de relire
la lettre adressée à l'Église
d'Éphèse
(Apocalypse 2 : 1-7) pour en
être convaincu.
Foi, amour de la Parole de Dieu, sanctification,
vie et coeur consacrés..., voilà
un ensemble dont nous ne pouvons pas séparer
les éléments les uns des autres.
Tout est lié et tout doit marcher ensemble,
tout doit grandir ensemble pour que la routine ne
s'installe pas dans notre vie.
Sérieusement..., pouvons-nous marcher
dans le chemin étroit sans la foi alors
que nous savons que, plus nous irons de l'avant,
plus l'ennemi de nos âmes va nous harceler
pour que nous perdions le bénéfice de notre course ?
Pouvons-nous avoir moins d'amour pour la Parole
de Dieu alors qu'au fur et à mesure de
sa lecture le Saint-Esprit nous donne
l'intelligence pour nous la faire
comprendre ?
Pouvons-nous négliger notre
sanctification alors que, sans elle, personne
ne verra le Seigneur ?
La route n'est pas facile en ces temps de la fin,
c'est vrai ! Alors, restons vigilants quant
à notre vie afin qu'ensuite nous soyons en
mesure de veiller les uns sur les autres.
La paresse, quelle qu'elle soit, finit toujours par
faire tomber dans l’assoupissement »
(Proverbes 19 : 15)
Rendons grâce à Dieu s'il y a encore
des frères et soeurs fidèles qui nous
secouent (un peu trop à notre goût).
S'ils le font..., c'est parce qu'ils ont
certainement constaté que nous ne sommes
plus en état de réagir et que,
s'ils s'abstenaient de nous réveiller, nous
partirions dangereusement à la
dérive.
La paresse plonge dans la
torpeur...
Proverbes 19 : 15 (v. Bible annotée, v.
Sefarim, Bible du Rabbinat
français)
(Dans la torpeur ; même mot que
Genèse 2: 21 (l’Éternel Dieu fit
tomber un profond sommeil sur
l’homme...) : profond
assoupissement. Il s'agit, non seulement
d'excès de sommeil, mais de
l'engourdissement de l'être tout entier et de
l'incapacité de faire le moindre effort. -
Bible annotée)
Notre paresse spirituelle - si commune au genre
humain (Nul ne cherche
Dieu -
Romains 3 : 11) - cette paresse
spirituelle, si nous ne réagissons pas,
finira par nous rendre inconscients, aussi
inconsciente que la personne qui se trouve sur la
table d'opération et qui a été
anesthésiée. Quoique le chirurgien
lui fasse, elle ne sentira rien et ne sera pas
même en état de se réveiller
elle-même sans le secours des autres.
Réveille-toi, toi qui
dors, Relève-toi d’entre les morts, Et
Christ t’éclairera. Éphésiens 5 :
4
Ayez du zèle, et
non de la paresse.
Soyez fervents d’esprit. Servez le Seigneur.
Romains 12 : 11
Soyons donc vigilants dans notre marche vers
l'autre bord ; veillons à ne pas tomber
dans la routine qui finirait par nous endormir et
démontrerait que nous aurions
abandonné notre premier amour !
Pensons que, si nous nous trouvons plonger dans une
profonde torpeur, si nous nous sommes
laissés endormir, l'ennemi pourra faire tout
ce qu'il veut sans que nous nous en
apercevions !
Pour ma part, et une fois de plus, je rends
grâce au Seigneur de ce qu'un jour (il y a
maintenant plus de 30 ans) un frère qui
m'aimait en tant que frère en Christ, s'est
démené pour me sortir de mon
« coma spirituel » dans lequel
j'étais tombé pour avoir
négligé de crier à Dieu au
moment opportun.
Sans ce frère, sans
cet « ange gardien » de
mon âme, je ne serais pas devant vous
aujourd'hui et il est fort probable que je ne
serais même plus de ce monde, l'alcool aidant
à avoir une conduite qui mène
à la mort et à la perdition
éternelle.
Certes, ce frère m'a secoué durement
en me mettant sous les yeux l'horrible image de mon
âme ; mais en parlant avec franchise
il a pu être un instrument béni entre
les mains de Dieu et contribuer à mon
sauvetage.
Béni soit Dieu de ce que le sang de
Jésus nous purifie toujours de TOUS nos
péchés lorsque nous les lui
confessons et les abandonnons !
Béni soit Dieu de ce qu'il renouvelle les
forces de ceux et celles qui se sont relevés
en s'appuyant sur sa forte main !
Je chanterai
l’Éternel tant que je vivrai, Je
célébrerai mon Dieu tant que
j’existerai.
Psaume 104 : 33
Que cette parole reste vraie dans ma vie et dans la
vôtre jusqu'à notre départ pour
l'éternité ! Amen ?
Tu aimeras le Seigneur, ton
Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et
de toute ta pensée.
C’est le premier
et le plus grand commandement. Matthieu 22 : 37-38
***
Je retombe amoureux de lui
Tombe amoureux de lui
Jour après jour, après jour.
Je retombe amoureux de lui
Tombe amoureux de lui
Jour après jour, après jour.
Comme il devient plus doux
Alors que les jours passent
Oh quel amour entre mon Sauveur et moi
Je retombe amoureux de lui
Tombe amoureux de lui
Jour après jour, après jour,
Après jour, après jour...
Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond.
J-M Ravé le 20 août 2011 - CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse
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