Quand la crainte devient l'ennemie de
la peur
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Dimanche dernier, lors de l'introduction, j'ai
été impressionné pendant la
lecture du
Psaume 103 ;
impressionné de ce que la crainte de
l'Éternel apporte autant de
bénéfices à celui qui la
possède.
Qu'est-ce donc que la crainte de
l'Éternel ?
A-t-elle quelque chose à voir avec la peur
de Dieu ?
C'est ce que nous allons découvrir
aujourd'hui !
Alors que le monde va à la dérive,
bien de nos concitoyens connaissent diverses
craintes qui les empêchent plus ou moins de
dormir.
Ces derniers jours, l'actualité nous a
montré que certains ont la crainte que leurs
économies ne fondent comme neige au soleil,
car ils ont mis leur confiance dans leur
argent.
D'autres sont dans la crainte que des pillards
viennent saccager leurs biens au point qu'ils en
sont arrivés à former des milices
pour patrouiller dans leur quartier.
Ces craintes peuvent être justifiées,
mais elles n'ont rien à voir avec la crainte
que l'on doit avoir de Dieu.
Les premières engendrent la peur qui
empêche de vivre en paix ; tandis que
la crainte de Dieu favorise un sommeil doux et
agréable :
Voici, l’oeil de
l’Éternel est sur ceux qui le
craignent, Sur
ceux qui espèrent en sa
bonté... Psaume 33 : 18
Je me couche et je m’endors en paix, Car
toi seul, ô
Éternel! tu me donnes la
sécurité dans ma
demeure.
Psaume 4 : 9
Si les mots « crainte » et
« peur » peuvent souvent
être intervertis pour ce qui concerne
particulièrement les choses du monde, il ne
devrait pas en être ainsi pour ceux et
celles qui ont choisi Jésus-Christ comme
Sauveur et Seigneur.
Avons-nous des raisons d'avoir PEUR... de
Dieu ?
NON... !
Nous sommes à l'abri de sa
colère au travers de l'oeuvre de son
Fils qui n'a pas hésité à
donner sa vie pour que nous n'ayons pas à subir le
châtiment réservé aux impies.
... (nous attendons)
des cieux son Fils,
qu’il a ressuscité des morts,
Jésus, qui
NOUS DÉLIVRE de la colère à
venir.
1 Thessaloniciens 1 :
10
Avons-nous des raisons d'avoir la CRAINTE de
Dieu, cette crainte que Noé a connue
après avoir pris connaissance des plans de
Dieu ?
TRÈS CERTAINEMENT !
Sa crainte est l'exemple de la crainte que nous
devrions avoir, car elle avait pour base un profond
respect !
Un respect qui, aujourd'hui, va à la
dérive dans le monde chrétien. Pour
beaucoup, Jésus est devenu un
« copain » avec lequel on se
permet des familiarités qui l’abaissent
à notre hauteur, quand ce n'est pas en
dessous de nous, au rang de serviteur à qui
l'on donne des ordres.
Ce Jésus-là, s'il acceptait ce...
« copinage », ne saurait
être le Seigneur des seigneurs devant lequel
«tout genou
fléchira»
(Romains 14 : 11).
Il faut avoir perdu son bon sens pour ne pas
montrer plus de respect au Créateur du Ciel
et de la Terre, celui devant lequel nous passerons
tous en jugement en temps voulu.
Rendez hommage au fils, de
peur qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez à votre
perte; car bien vite sa colère prend feu:
heureux tous ceux qui s’abritent en lui!
Psaume 2 : 12 - (v. Sefarim, Bible du Rabbinat
français)
Comme Noé, nous connaissons les plans de
Dieu pour l'humanité incrédule,
mais, comme lui, avons-nous cette crainte
RESPECTUEUSE qui va nous conduire à marcher
dans l'obéissance à SA
parole ?
C’est par la foi que
Noé, divinement averti des choses qu’on
ne voyait pas encore, et saisi d’une crainte
respectueuse,
construisit une
arche pour sauver sa famille... Hébreux 11 :
7
Si toutes les versions de la Bible
n'utilisent pas le mot de
« respectueuse », il n'en
demeure pas moins que cette épithète
souligne parfaitement le genre de crainte que nous
devrions avoir. Une crainte qui doit accompagner
notre vie « religieuse » et
notre vie active de tous les jours.
Noé eut donc cette sainte crainte de
l'Éternel lorsqu'il comprit que Dieu ne
plaisantait pas et que le décret divin
était sans appel.
Il se mit alors à travailler pour son salut
et pour celui de sa famille ! «Travaillez à votre salut avec
crainte et tremblement», nous dira
l'auteur de l'épître aux Philippiens
(2 : 12). C'est exactement ce
que fit Noé !
Savez-vous que nous sommes quasiment dans la
même situation que Noé ?
Savez-vous qu'en réalité, nous sommes
dans une situation PIRE que celle de
Noé ?
Pire..., parce que, de son temps, la Terre fut
épargnée, tandis que nous sommes
prévenus que «les
cieux et la terre d’à présent
sont gardés et réservés pour
le feu, pour le
jour du jugement et de la ruine des hommes
impies»
(2 Pierre 3:7).
Connaissant les desseins de Dieu à
l'égard de notre planète, connaissant
la fin de ceux et celles qui ne sont pas
entrés dans le chemin étroit qui
conduit à la Vie éternelle,
avons-nous, comme le patriarche, cette crainte
respectueuse qui va nous pousser à
nous mettre au travail afin d'en conduire
quelques-uns au salut ?
Entre la CRAINTE de Dieu que nous venons
à peine d'entrevoir et la PEUR de
Dieu, il y a une grande
différence !
C'est le roi David qui, ayant connu l'une et
l'autre, va nous éclairer sur cette
différence dont nous pouvons
déjà dire que :
La crainte - respectueuse - de Dieu nous
pousse à servir le Seigneur.
La peur de Dieu paralyse tout service pour
le Roi des rois et conduit l'homme à
s'éloigner de lui au lieu de chercher un
abri en lui.
David eut peur de
Dieu en ce
jour-là... 1 Chroniques 13 :
12
Quand David eut-il peur de Dieu ?
Après qu'il eut couché avec
Bath-Schéba ? Non !
Après qu'il eut fait tuer son mari ?
Non !
Après qu'il eut épousé sa
femme ? Non !
Non...! Il eut peur de l'Éternel
après qu'il eut vu la colère de
Dieu se manifester sur la personne d'Uzza, un
homme qui voulut retenir l'arche de l'alliance
alors qu'il semblait qu'elle allait tomber suite
à un écart des boeufs qui tiraient un
char sur lequel elle était posée.
David fut irrité de ce
que l’Éternel avait frappé Uzza
d’un tel
châtiment
(la mort) ... David
eut peur de Dieu en
ce jour-là... 1 Chroniques 13 :
11-12
Cette peur « paralysa » le roi
David qui renonça - pour un temps - à
faire entrer cette arche de l'alliance dans sa
cité. Sans doute, comme lui nous pensons que
Dieu est allé trop loin et qu'il aurait pu
sévir avec moins de rigueur.
S'il l'avait fait à ce moment-là,
c'était admettre alors que l'homme pouvait
mettre en pratique la Parole de Dieu selon sa
convenance, selon son humeur du moment. C'est
impensable ! C'est impossible... ! Tout
comme il est impossible que chacun suive le code de
la route à sa façon !
L'homme étant né dans le
péché
(Psaume 51 : 5-7), l'habitude
de vivre dans son environnement – celui du
péché - minimise la
sensibilité de la conscience . Elle
s'habitue à cet entourage malsain et prend
de plus en plus de temps pour réagir.
Nous le voyons fort bien avec David qui ne se
rendit pas compte du mal qu'il avait fait dans
« l'affaire
Bath-Schéba ».
Ce n'est qu'au bout bout d'une année
(environ) qu'il fut repris dans sa conscience par
le prophète qui lui ouvrit les yeux au
travers d'une parabole
(2 Samuel chapitre 11 et 12).
Par contre, il en fut tout autre pour Adam et Eve
qui, étant créés sans
péché, ont connu la peur de Dieu
après qu'ils aient
désobéi : «l’Éternel Dieu
appela l’homme, et lui dit: Où es-tu?
Il répondit: J’ai entendu ta voix dans
le jardin, et J'AI
EU PEUR, parce que
je suis nu, et je me suis caché»
(Genèse 3 : 9-10).
Quant à la crainte salutaire de
Dieu..., le roi David ne manqua pas de la
connaître et d'en tirer de saines conclusions
qu'il fit partager à son peuple.
Au travers de ses écrits nous voyons
distinctement qu'il y a une grande
différence entre la peur et la crainte.
La peur, dans le nouveau Testament (et dans les
psaumes), est un terme qui est bien plus souvent
employé pour nous mettre en garde que pour
décrire le comportement de
quelqu'un :
... de peur que Satan ne vous tente par votre
incontinence... 1 Corinthiens 7 : 5
... de peur
d’être moi-même
rejeté,
après avoir prêché aux autres.
1 Cor. 9 : 27
... de peur
qu’entraînés par l’égarement des
impies, vous ne veniez à déchoir de
votre fermeté. 2 Pierre 3 : 17
C’est pourquoi nous devons d’autant plus
nous attacher aux choses que nous avons entendues,
de peur que nous ne
soyons emportés loin
d’elles...
Hébreux 2 :
1
Ces mises en garde, nous le comprenons
certainement, ne doivent pas susciter en nous la
peur de Dieu, mais, au contraire, une crainte
salutaire qui va nous amener à
être vigilants afin que nous ne perdions pas
le bénéfice de notre salut.
Notons quand même que la peur de Dieu est
pleinement justifiée pour qui n'a pas fait
la paix avec lui, et que les affres de l'enfer
ont été connues par bien des
personnes au coeur endurci qui, sur leur lit
de mort, « goûtaient »
déjà les tourments qu'ils allaient
subir éternellement.
La peur de Dieu et la peur du châtiment
éternel, peuvent devenir une
« bénédiction »
pour autant qu'elles poussent l'homme ou la femme
à chercher s'il n'existe pas une solution
pour ne plus être tourmenté - de leur
vivant – par l'incertitude de
l'éternité.
Connaissant la réponse à leur donner,
il serait « criminel » de
notre part, de ne pas leur présenter le
salut en Jésus-Christ comme il nous a
été présenté un
jour :
«Repentez-vous, car
le royaume des cieux est proche»
(Matthieu 4 : 17) ;
voilà par quelles paroles le fils de Dieu
commença son ministère : …
Jésus commença
à prêcher, et à dire:
Repentez-vous, car
...»
Si le Fils de Dieu trouva bon d'apporter ce message
aux hommes pour les engager à prendre le
chemin qui conduit à la Vie
éternelle, nous devons suivre son exemple et
exhorter nos semblables à se repentir de
leurs péchés. On ne peut pas
être AMI DE JÉSUS faire ce qu'il
demande.
La peur de Dieu, nous l'avons vu tout
à l'heure, amène la peur de
l'éternité, mais la crainte de
Dieu amène LE BONHEUR !
Heureux
l’homme qui est continuellement dans la crainte!
Proverbes 28 : 14
Heureux l’homme qui
craint l’Éternel, Qui trouve un grand
plaisir à ses commandements. Psaume 112. 1
Je (Salomon) sais
aussi que le bonheur est pour ceux qui craignent
Dieu, parce qu’ils ont de la crainte devant
lui. Ecclésiaste 8 :
12
Rendus à ce point, nous devons admettre que
la crainte de Dieu n'a rien à voir avec la
peur et que nous ne pouvons pas intervertir ces
mots, pas même lorsqu'il est
question du brigand sur la croix qui connut -
tardivement - la crainte salutaire de
Dieu
(Luc 23 : 39-43).
Quant à l'autre brigand, celui qui continua
à injurier Jésus, ni la peur, ni
la crainte de Dieu n'étaient dans son
coeur.
C'était un homme qui était mort
spirituellement !
Insensible aux appels de son compagnon d'infortune,
il n'obtint pas le pardon de ses
péchés et ne put entrer, le
même jour (après sa mort), dans le
Paradis de Dieu en compagnie de Jésus et du
malfaiteur repentant
(Luc 23 : 43).
Combien de personnes, dans le monde..., dans notre
entourage n'ont ni la peur, ni la crainte de
Dieu ?
Combien iront-ils rejoindre ce brigand qui ne
voulut pas saisir la grâce qui était
à sa portée ?
La réponse ne nous appartient pas, par
contre, il nous appartient de cultiver en nous
la crainte de Dieu, de l'entretenir, de veiller
à ce qu'elle ne s'étiole pas.
Si pour un païen cet état d'âme
est déplorable, que devrions-nous dire
pour un chrétien qui n'a plus la crainte de
Dieu? Qui n'a, ni peur, ni crainte dans son
coeur ? Serait-il mort spirituellement
comme le brigand qui injuriait
Jésus ?
Je n'oserais pas aller jusqu'à
l'affirmer !
Cependant, en n'ayant pas la crainte de Dieu dans
son coeur, ce croyant démontre que le
Seigneur Jésus n'est pas le centre de sa
vie et que, quoiqu'il fasse, il ne veille pas
attentivement sur son âme
(Deutéronome 4 : 9), ne
se préoccupe pas de savoir s'il plaît
ou déplaît à son Dieu.
Si ce chrétien n'est pas mort
spirituellement, il en présente en tout cas
un des symptômes les plus
conséquents !
«La crainte de Dieu
n’est pas devant leurs yeux»,
voilà ce que disait l'apôtre Paul aux
Romains
(3 : 18) en parlant de
l'état de l'homme avant qu'il ne rencontre
Jésus. Ne retombons pas dans cet
état, car, n'ayant plus la crainte de
Dieu dans notre coeur, nous n'aurons aucune envie
de chercher à faire sa volonté, et
nous n'y penserons même pas !
Heureux l’homme qui
est continuellement dans la crainte!
Continuellement dans la crainte !
Cela laisse supposer que nos pensées sont
toujours tournées vers le Seigneur, et
cela..., quoique nous fassions !
Quant au bonheur dont il est question pour ceux et
celles qui vivent dans la crainte de Dieu, la Bible
est riche en informations pour nous donner le
désir de connaître cette crainte
salutaire qui nous aidera à être
toujours plus proche du Seigneur Jésus.
Avant de parler des avantages que cette crainte va
nous apporter, relevons d'abord quelques passages
qui nous exhortent à avoir cette crainte qui
nous permettra d'être des témoins de
Christ :
Connaissant donc la crainte
du Seigneur, nous
cherchons à convaincre les
hommes...
2 Corinthiens 5 :
11
Souvenons-nous de Noé qui, ayant une crainte
respectueuse, entrepris, non seulement de
construire une arche pour se sauver lui et sa
famille, mais devînt un prédicateur
fidèle durant toute la durée de la
construction de l'arche
(2 Pierre 2 : 5).
Ainsi, si nous avons la crainte de Dieu dans notre
coeur, nous serons de fidèles
témoins, et nous le serons d'autant plus
facilement que nous avons en nous le
Saint-Esprit.
Ayant donc de telles
promesses (devenir des fils et des filles
du Seigneur)... achevons
notre sanctification dans la crainte de
Dieu. 2 Corinthiens 7 : 1
... travaillez à votre
salut
avec
crainte et
tremblement... Philippiens 2 : 12
... montrons notre
reconnaissance en
rendant à Dieu un culte qui lui soit
agréable, avec piété et
avec
crainte... Hébreux 12 :
28-29
Et si
(dans vos prières) vous invoquez comme
Père celui
qui juge selon l’oeuvre de chacun, sans
acception de personnes, conduisez-vous
avec
crainte
pendant le temps de
votre pèlerinage (jusqu'à la fin
de vos jours)...
1 Pierre 1 : 17
Êtes-vous convaincus que la crainte de Dieu
est indispensable dans la vie
chrétienne ?
Êtes-vous convaincus que le salut en
Jésus-Christ n'est pas qu'un simple
passeport pour l'éternité qui, une
fois acquis, nous laisse la liberté de faire
comme nous avons envie ?
D'abord... avez-vous ce passeport, si j'ose ainsi
appeler le salut en Jésus-Christ ?
Avez-vous le VRAI passeport ou possédez-vous
une contrefaçon qui ne serait qu'une
imitation du véritable ? (Je pense
encore aux vierges folles..., pensez-y aussi!)
Une pâle imitation sur laquelle il manque le
sceau de la Vérité, le filigrane qui
prouvera que vous avez le bon
« document » , ce
filigrane qui ne se voit que par transparence
révélant que vous avez
déjà en vous quelques traits de
ressemblance avec Christ !
La crainte de Dieu porte TOUJOURS des fruits
visibles y compris au milieu des
païens :
Job un homme intègre
et droit, craignant
Dieu, et
se
détournant du mal. Job 1 : 8
Ceux des serviteurs de Pharaon qui craignirent la parole de
l’Éternel firent retirer dans les maisons leurs
serviteurs et leurs troupeaux. Exode 9 : 20
Voyez un peu le comportement de ces
païens qui, après avoir vu la main de
l'Éternel se manifester au travers des
premiers fléaux, comprennent que le Dieu des
Hébreux (notre Dieu) accomplit
fidèlement SA parole et qu'en raison de
cela, ils comprirent qu'ils avaient
intérêt à faire comme les
descendants d'Abraham. Comprenons-nous les événements qui se
passent autour de nous, ces signes annonciateurs du
retour de Jésus-Christ ?
Sommes-nous des exemples au point que certaines
personnes essaient de calquer notre vie
extérieure parce qu'elles savent que nous
avons donné notre vie à Jésus
et qu'en conséquence nous n'avons plus le
même genre de vie qu'autrefois ?
La crainte de Dieu produit le service et la
louange :
(Je ne parlerai pas de la louange, car, en ces
temps de la fin, nous constatons que le chant, la
musique, les danses, sont mis en avant au
détriment de l'observation et de
l'étude de la Parole de Dieu. La louange est
bonne lorsqu'elle se manifeste sainement dans la
crainte de Dieu ;
Psaume 22 : 23 ;
135: 20)
Maintenant, craignez
l’Éternel, et servez-le avec
intégrité et
fidélité. Josué 24 :
14 ;
1 Samuel 12 : 24
Noé... d’une
crainte
respectueuse,
construisit une
arche pour sauver
sa famille. Hébreux 11 :
7
Cet homme était pieux et craignait Dieu, avec toute sa
maison;
il faisait beaucoup
d’aumônes au peuple... Actes : 10 : 2
Connaissant donc la
crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre
les hommes.
2 Corinthiens 5 :
11
Et enfin... la crainte de Dieu nous garantit son amitié, sa bonté, sa compassion, la
sécurité, etc...
La liste des textes bibliques est bien trop
longue pour que je vous les cite tous, quelques
références vous donneront au moins
envie de vivre dans la crainte de Dieu :
L’amitié de
l’Éternel est pour ceux qui le
craignent... Psaume 25 : 14 ;
Oh! combien est
grande ta bonté, Que tu tiens en réserve
pour ceux qui te
craignent... Psaume 31 : 19 ; 103: 11
et 17 ; 147 : 11
L’Éternel a
compassion de
ceux qui le
craignent. Psaume 103 : 13
Craignez l’Éternel, vous ses saints!
Car rien ne
manque à
ceux qui le
craignent.
Psaume 34 : 9
Il accomplit les
désirs de
ceux qui le
craignent, Il
entend leur cri et il les sauve. Psaume 145 : 19
Êtes-vous convaincus que la crainte que nous
devons avoir, n'a rien de comparable avec la peur
de Dieu ?
Que cette crainte va nous permettre d'avancer
contre vents et marées jusqu'au bon port
sans (trop) nous soucier de ce que diront les
hommes ? Alors... si nous n'avons pas encore
cette crainte salutaire en nous, tournons-nous vers
notre bien-aimé Sauveur et Seigneur et
n'hésitons pas à la lui
demander :
Enseigne-moi tes voies,
ô Éternel! Je marcherai dans ta
fidélité. DISPOSE MON COEUR Á LA
CRAINTE DE TON NOM. Psaume 86 : 11
***
La crainte des hommes tend
un piège, Mais celui qui se confie en
l’Éternel est protégé.
Proverbes 29 : 25
Les textes bibliques, sans indication
particulière, sont tirés de la Bible
Segond.
J-M Ravé le 13 août 2011 - CP 474 -
2300 Chaux-de-Fonds - Suisse
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