Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
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LE VEILLEUR SUR LA TOUR




LES OISEAUX DE PASSAGE

La cigogne elle-même, là-haut dans le ciel, connaît sa saison. La tourterelle, l'hirondelle et la grue observent le temps de leurs migrations. Mais mon peuple ne connaît pas la loi de l'Éternel.
(Jérémie 8 - 7.)

 À chaque printemps, l'heure venue, les cigognes déploient leurs ailes. D'un vol sûr, elles franchissent les mers. Elles vont retrouver aux pays du Nord le nid familial, posé sur la tour de quelque église ou de quelque château ruiné.
La guerre les avait chassées de leur chère Alsace. Au printemps de 1918, on les a vues revenir. On eût dit qu'elles avaient compris ce que ne comprenaient pas les hommes : que la terrible guerre était proche de sa fin. Elles revenaient, obéissant à ces intuitions divinatrices de l'instinct qui devancent les réflexions méthodiques des hommes.
Ils reviennent au printemps, les oiseaux migrateurs. Mais quand souffle le vent froid de l'automne, on les voit se concerter et repartir ensemble au pays du soleil.
Et le même instinct qui les pousse alors vers le sud les ramènera, messagers du renouveau, quand une brise plus douce passera sur la terre. Ils obéissent aux lois de la vie, ces êtres, qui semblent les plus libres de tous, puisqu'ils ont des ailes qui leur ouvrent l'infini de l'espace.

Quel contraste entre l'humanité et la nature entière, qui obéit à des lois, et qui, en leur obéissant, persévère dans son être et réalise la perfection de sa destinée !

Le prophète, aux prises avec l'infidélité de son peuple, regarde les cigognes qui, très haut, se détachent sur le ciel éclatant de Palestine : « Elles connaissent leur saison, dit-il, avec mélancolie. Mais mon peuple ne connaît pas la Loi de l'Éternel. »
Ainsi, les êtres les plus divers agissent suivant la ligne de conduite qui leur est tracée par la nature. Ils s'adaptent aux exigences de leur milieu. Ils font ce qu'ils doivent faire pour vivre.

Les merveilles de l'instinct ont été célébrées avec un véritable lyrisme par cet observateur passionné de la vie des insectes qu'était Henri Fabre ; et Bergson a pu assimiler la faculté morale et religieuse de l'homme à un instinct ; car il n'y a, selon lui, que l'instinct qui, moulé sur la forme même de la vie, et en sympathie avec elle, permette de pénétrer au coeur de la réalité.
Vous vous souvenez de ses définitions : « L'instinct, dit-il, est une connaissance à distance. Il est à l'intelligence ce que la vision est au toucher. Si on pouvait l'interroger, l'instinct nous livrerait les secrets les plus intimes de la vie. »
Ces analyses ont été développées du point de vue chrétien, avec une singulière profondeur, dans les livres de M. Edouard Le Roy.
Tous les êtres sont en communion avec la vie et avec ses lois. Le seul qui s'isole de l'ensemble, c'est celui qui, par la fidélité à la Loi, était appelé à reproduire l'image divine. L'humanité ne connaît pas la Loi de l'Éternel.
Pourtant, il y a un instinct moral de l'homme, qui, s'il était obéi, mettrait la vie individuelle à l'unisson de la vie universelle. Mais l'homme a commencé par lui désobéir. Ensuite il l'a, à son gré, façonné et perverti.
Or, cet instinct primordial de la conscience, le christianisme est venu le restaurer dans l'âme. Il a remis en vigueur les lois de la vie dans leur sens primitif, qui avait été faussé par l'esprit humain.

Les deux grandes révélations de Dieu, a dit Kant, sont les cieux étoilés au-dessus de l'homme et la conscience au dedans de lui.
Pour la cigogne et la tourterelle, les cieux sont en effet une révélation ; mais l'homme a désappris la lecture du livre intérieur.
C'est pourquoi le Christ est venu lui rendre le sens de la vie.
Rien n'est plus faux que de dire de son enseignement qu'il contrarie la nature. Il dégage la vraie nature de l'homme ; il lui rend sa véritable physionomie, déformée par le péché.

Sans doute, le monde renferme des éléments qui ne s'harmonisent pas du tout avec le christianisme. Il y a dans la vie des êtres inférieurs d'indicibles férocités. L'éclat radieux d'une matinée de printemps cache aux regards des drames sombres. Dans ce bruissement de la vie universelle qui monte comme un hymne d'adoration vers le ciel, il y a une plainte : il y a ce soupir de la nature que saint Paul entendait. Et c'est un douloureux mystère. Toutefois, dans l'instinct, il y a la ligne de conduite qu'il faut suivre pour que l'espèce vive. Or, ce sens de la direction, cette intelligence des lois de la vie, c'est ce que l'humanité avait perdu de vue, et que le Christ a retrouvé. Il est venu découvrir aux hommes les principes sur lesquels doit se régler leur vie, s'ils veulent que la société vive et progresse : le sens de l'évolution par laquelle l'ange doit se dégager de la bête. Il ne violente pas la nature humaine. Il ne l'asservit pas. Il la rend à elle-même ; il lui restitue sa liberté, et par là son plein épanouissement.

L'Évangile dit à l'homme : « Sois pur. » Non seulement de conduite, mais de pensée et d'intention. Et les hommes disent : « C'est un esclavage. Il n'est qu'une chose qui compte ici-bas, c'est de vivre sa vie. Suivre sa nature, obéir à ses instincts. » C'est la célèbre histoire de Nora, l'héroïne du drame d'Ibsen, qui, pour affirmer sa personnalité, quitte son mari et ses enfants, et déclare qu'en faisant son devoir elle a vécu dans le mensonge. C'est en s'affranchissant du devoir qu'elle rentrera dans la vérité. On ne compte plus aujourd'hui les descendantes de Nora.

Et je demande : quelle vérité ? Quelle nature ? S'agit-il de la nature vraie, ou bien d'une nature artificielle, produit d'intoxications savantes ? Dans ce goût pour certains poisons artistiques qui caractérise un si grand nombre de nos contemporains, il y a déjà la preuve d'une altération profonde. Cette altération de la nature, chacun y ajoute, et l'action du milieu achève ce que l'hérédité avait commencé.
Mais ce n'est pas impunément qu'on méconnaît les lois de la vie. La loi méconnue se venge, le vice empoisonne la race. Il corrompt les sources de la vie physique ; et, finalement, il les tarit.
Plus sûrement, il empoisonne les sources de la vie morale, en mettant sur le coeur une flétrissure irréparable.
Et l'on voit, sous son influence, les affections conjugales en apparence les plus solides qui, après bien des années souvent, se dissolvent et tombent en poussière ; ou bien, ce sont les enfants qui meurent en bas âge ; ou bien, il n'y a plus d'enfants, la race finit, le pays se dépeuple. c'est la loi qui se venge. Pour des êtres supérieurs, la loi, c'est la monogamie (1; et le spectacle de l'univers entier nous enseigne qu'un instinct profond pousse ces êtres à se sacrifier pour la postérité, ce qui devrait exclure le divorce et généraliser la famille nombreuse. Mais la race des hommes - la race de ceux qui devaient être les fils de Dieu - ne connaît plus la Loi de l'Éternel.

L'Évangile dit à l'homme : « Sois sobre. » L'animal ne sait pas ce que c'est qu'aller au delà de la satisfaction de ses appétits, sauf lorsqu'il a subi de trop près l'influence de l'homme. L'homme, lui, le sait, et il prétend être entraîné dans l'intempérance par son instinct. En réalité, il ne connaît pas la Loi de l'Éternel. La brute ne mange pas au delà de sa faim. Mais l'instinct se pervertit chez l'homme, qui mange au delà de son appétit, et boit au delà de sa soif. Et cet instinct perverti, l'homme le divinise. Pendant les années de guerre, où le besoin de s'étourdir lui était une excuse, il a restauré le culte du vin ; et aujourd'hui, l'alcool à repris la place d'où l'avait chassé l'effort persévérant de nos sociétés de tempérance. S'il n'y avait encore que cette campagne en faveur du vin de France, qui cache sous le manteau du plus noble patriotisme des intérêts parfois bien vulgaires ! Mais il y a l'ignominie des concours de cocktails, et l'abomination des cocktails de bienfaisance. Et nous voyons les défenseurs les plus autorisés de l'idéal traditionnel restaurer le privilège des bouilleurs de cru, rivalisant ainsi avec ces dominateurs de la Russie qui demandent aujourd'hui à la vodka leur suprême ressource !

Dans la Grèce de jadis, il y avait la lutte de Dionysos et d'Apollon l'un, qui représentait l'harmonie et la clarté l'autre, l'esprit brutal et violent, les sombres délires de l'ivresse. Ces troubles inspirations de l'orgie, elles n'ont jamais répandu sur la terre que la mort ; et les peuples qui s'y abandonnent sont soumis à l'esclavage et à la ruine.

Dans la France actuelle, le conflit de Dionysos et d'Apollon recommence. L'intempérance, en gagnant les femmes, menace de faire dans la famille française une brèche irréparable. D'ailleurs, ce n'est pas, aujourd'hui que, dans notre cher pays, nous assistons à l'une des plus prodigieuses déformations de l'instinct. Dans un lexique français composé pendant la guerre à l'usage des soldats américains, je lisais ce dialogue :
« - Avez-vous quelque chose à boire ?
- Naturellement.
- Quoi ? de l'eau ?
- Non, n'ayez pas peur, l'eau est très dangereuse ! du vin. »

L'eau est très dangereuse ! Les animaux ne s'en sont jamais douté. Leur instinct ne leur a jamais dit cela. Mais les hommes ne connaissent plus la Loi de l'Éternel.

L'Évangile dit à l'homme : « Sois fraternel. » Ceci, décidément, nous dit-on, n'est pas conforme aux lois de la vie. Dans la nature, le progrès se fait par sélection. Dans la lutte universelle, les faibles s'éliminent au profit des forts. La société, elle aussi, progresse par le conflit. La guerre ne disparaîtra pas. Ni les guerres de race, ni les guerres sociales. Et c'est peine perdue de vouloir supprimer la concurrence, qui est l'âme même du progrès. Le christianisme, on le sait bien, est une utopie. C'est une généreuse, une admirable utopie, mais c'est une utopie.
Et ici, je remarque que, dans la nature, il y a la lutte, sans doute, mais qu'il y a aussi l'entr'aide, dont cet admirable et étrange Kropotkine, qui, lui, était un représentant du véritable idéalisme russe, a donné naguère de si frappants exemples. C'est par l'entr'aide que les sociétés animales se maintiennent. À plus forte raison lorsqu'il s'agit des hommes, unis entre eux par des liens toujours plus complexes de solidarité. Les paysans ont besoin des ouvriers, qui les munissent de produits manufacturés ; les ouvriers ont besoin des paysans, qui leur fournissent le pain. Tous ont besoin des intellectuels. Il faut des cerveaux qui inventent, pour faire naître des industries nouvelles et pour perfectionner l'outillage des industries existantes. Pour faire marcher celles-ci, il faut des cerveaux qui dirigent. Les hommes ne peuvent pas se passer les uns des autres. La lutte de classes développe certaines énergies ; mais elle tend à anéantir. finalement, des valeurs humaines. Dans la ruche, dans la fourmilière, il n'y a pas de lutte des classes. il y a subordination des uns aux autres, en vue d'un but commun. Chacun a sa fonction propre, qui lui est assignée pour le bien de l'ensemble, et à laquelle il ne songe pas à se dérober. C'est la loi de la vie. Mais les hommes ne connaissent pas la Loi de l'Éternel.

Il y a des hommes religieux qui sont restés au point de vue de Moltke, écrivant ces paroles si souvent citées:
« La guerre est sainte, d'institution divine ; c'est une des lois sacrées du monde ; elle entretient chez les hommes tous les grands, les nobles sentiments : l'honneur, le désintéressement, la vertu, le courage, et les empêche. de tomber dans le plus hideux matérialisme. »

Eh bien, en face de cet affreux gaspillage de valeurs spirituelles qu'a été la dernière guerre, devant les ruines incalculables qu'elle a causées, je pense qu'on en a fini avec cette application soi-disant scientifique de la lutte pour l'existence aux sociétés humaines. Si la guerre opère une sélection, il est évident que cette sélection-là ne constitue pas un progrès, puisqu'elle élimine les meilleurs. L'Évangile, lorsqu'il prêche la solidarité humaine, et qu'il fait appel à l'amour, a raison contre la haine, Il est d'accord avec les lois de la vie. Le progrès se fait dans le sens du Royaume de Dieu, c'est-à-dire de la coopération fraternelle des hommes, unis sous la loi d'amour du Père.

Ainsi, lorsque vous obéissez à la loi du Christ, vous n'entrez pas en conflit avec les lois de la vie. Elles se confondent finalement avec les exigences de la nature. Et c'est à la nature qu'il faut revenir.

L'idéal du sage antique, c'était déjà vivre conformément à la nature, en entendant par là la nature supérieure de l'homme. Mais ce n'était qu'une façon de parler, car le modèle manquait. Or, ce modèle, nous l'avons : c'est le Christ. C'est lui qui est l'homme vrai, l'homme idéal, l'homme conforme à la pensée de Dieu. L'Homme méconnu, rejeté, crucifié par l'humanité de tous les temps, mais qui ne s'en impose pas moins à elle lorsqu'en toute sincérité elle cherche à découvrir son idéal. Et pour nous, le but à atteindre, c'est que, comme l'écrivait saint Paul, « le Christ soit formé en nous », et que nous arrivions finalement à « la stature parfaite du Christ ».
Sans doute, ce n'est point là une tâche aisée. Il y faut le secours permanent de la grâce ; et celle-ci, qui rend possible l'effort humain, ne l'adoucit pas nécessairement.

Nous savons combien il est douloureux de rendre sa souplesse première à un bras ankylosé. La mécanothérapie fait des merveilles, mais elle impose à l'homme qui y recourt un traitement qui peut être singulièrement douloureux. Et lorsqu'il s'agit de rendre à une âme son fonctionnement normal, il y faut un traitement qui est aussi, parfois, bien douloureux. Il s'agit de retrouver, sous l'instinct perverti et faussé, la vraie nature de l'homme, et de lui rendre la souplesse de ses articulations, le libre jeu de ses muscles ; ceci suppose un entraînement méthodique, un constant effort, des retranchements raisonnés. Il s'agit de se rendre maître d'anciennes habitudes, ce qui n'est point facile. La conquête de la liberté est une entreprise longue et douloureuse. La Bible parle à ce propos d'une nouvelle naissance. Cet enfantement de l'homme nouveau se fait, comme l'autre, dans la douleur.

Normalement, il y a de la sérénité sur le visage des chrétiens ; et, dans toute leur façon d'être, quelque chose d'harmonieux et de paisible. On sent bien qu'ils sont dans la vérité des choses, et qu'ils font partie de cet univers invisible, conforme à la pensée divine dont l'univers visible est une déformation. Mais ne vous y trompez pas : dans ce domaine aussi, ce qui paraît simple et naturel est un effet de l'art, et le produit d'une longue patience. Les oiseaux de passage émigrent suivant le cours des saisons, obéissant à une impulsion dont ils ne sont pas maîtres, et qui les ramène au nid. Mais pour que notre âme en vienne à régler ses mouvements sur ceux du soleil de justice, il faut qu'elle ait lutté contre elle-même et qu'elle se soit domptée au prix d'un long effort. Ne dites donc pas, mes frères, qu'il est facile de vivre en chrétiens. Pour beaucoup, cette existence, qui vous paraît si simple et si naturelle, et qui l'est en effet maintenant, a été préparée et précédée par de véritables agonies. Ce bonheur que vous admirez avec une sorte de condescendance n'est pas celui de l'être inconscient qui se laisse vivre au gré des influences héréditaires ; il a été acquis de haute lutte, par un être qui connaissait les lois de la vie et qui avait pris la résolution de rentrer dans l'ordre, dût-il faire crier de souffrance sa chair et son coeur. Vous dites, sans ironie d'ailleurs : quel brave homme ! quelle excellente créature ! Ne vous y trompez pas : c'est mieux qu'une bonne âme, c'est une âme héroïque ; et un jour, elle connaîtra la récompense de son sacrifice.

Les oiseaux migrateurs s'en vont au pays du soleil. Quand la neige s'accumule par les chemins, quand le vent emporte les dernières feuilles, quand le ciel s'assombrit dans lés brouillards de l'automne, comme on aimerait pouvoir les suivre là-bas, ces hirondelles de nos pays, vers l'Égypte prestigieuse !
Il est d'autres terres plus merveilleuses que celles-là ; il est des soleils plus lumineux.

L'hiver n'est-il pas déjà, venu pour vous ? L'hiver de la souffrance et du deuil, l'hiver où l'on se sent seul, abandonné sur la terre, l'hiver du découragement, où l'on a l'impression d'être dépaysé et solitaire ?

Qu'importent cependant les épreuves dont votre route est semée, si vous avez retrouvé le rythme de la vie, et si vous vous abandonnez à cet instinct puissant qui attire les âmes vers l'éternelle patrie ! Il ne s'agit pas de reployer vos ailes, de demeurer inertes, sous le froid qui vous assiège. Il ne faut pas rester confinés dans ces régions inférieures. L'air est malsain à respirer pour les consciences, au niveau de terre. Il y a trop de calculs mesquins, trop de convoitises basses, une trop furieuse ruée vers le plaisir ou vers le gain, trop d'égoïsme tranquille et satisfait. Évadez-vous, par la prière, de ce monde obscur et triste où tant de fatalités sont à l'oeuvre.

Déployez-les, vos ailes de lumière. Ne craignez pas qu'elles vous emportent trop haut. N'ayez pas peur de vous perdre dans l'azur. Envolez-vous vers les cimes, par delà cette mer mouvante et tempétueuse de la vie, avec ses passions, ses combats, ses hontes et ses deuils. La terre lumineuse de l'espérance, la patrie de vos âmes est là devant vous qui vous attend, Laissez-vous emporter par ce sûr instinct qui entraîne une âme à la rencontre de son idéal.

Ne craignez pas non plus que vos ailes défaillent. Elles seront portées par les brises de l'Esprit. Celui qui veille sur les destinées de ses enfants n'a-t-il pas dit : « je te garderai des pièges du chasseur et de la mortalité funeste. Je te porterai dans mes bras... » Laissez-vous diriger par lui. Toujours plus haut, dans la lumière, dans la Vie, avec Dieu !


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(1) Et c'est bien la monogamie qui semble avoir été le régime familial des peuples primitifs (voir P-V. Schmidt : Origine et Évolution de la religion, p. 153.)

 

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