Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



 

SERMONS

PAR

EUG. BERSIER

 

Pasteur à Paris

TROISIÈME ÉDITION

 

PARIS

LIBRAIRIE DE CH. MEYRUEIS, ÉDITEUR

RUE DE RIVOLI 174

1865

Tous droits réservés

 

Novembre 2002
Fac-similé de la couverture


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Table des matières

PREFACE DE LA DEUXIEME EDITION

LA PAROLE DE CAIN

LA VEUVE OU LE DON SANS RÉSERVE

LES HUMBLES

LA VUE ET LA FOI

L'OBEISSANCE

L'ISOLEMENT DU CROYANT

LA FATALITÉ

LE CHRÉTIEN SE SANCTIFIANT POUR SES FRERES

LE DIMANCHE

CONNAITRE SELON L'ESPRIT

LA PRÉSENCE DU CHRIST


    .

    PRÉFACE DE LA DEUXIÈME ÉDITION

     

    Ce recueil de Sermons a été accueilli avec une bienveillance que je n'osais pas espérer; il y a six semaines qu'il a paru et je dois en publier aujourd'hui une nouvelle édition.

    Ce n'est pas là, ai-je besoin de le dire, une oeuvre de science. Il s'agissait de nourrir du pain de vie les âmes qui me sont confiées; il fallait parler aussi simplement que possible, afin d'être compris de tous. Il fallait, dans une époque de doute comme la nôtre, justifier l'Evangile aux yeux du coeur et de la conscience, et démontrer sa divinité par la manière même dont il nous fait envisager l'existence humaine. Qu'on ne s'y trompe pas, cette démonstration en vaut bien une autre, car s'il y a une religion vraie, ce doit être celle qui nous explique le mieux la vie avec ses mystères, et surtout avec ses douleurs.

    J'ai apporté à ma tâche tout le soin possible, et je n'ai pas laissé dans ces discours une seule ligne qui ne fût l'expression fidèle de mes convictions et de mes expériences; mais je sens tout le premier les imperfections et les lacunes de cette oeuvre; j'ai introduit dans cette nouvelle édition plusieurs corrections importantes, et j'accepterai avec reconnaissance les observations qu'une critique sérieuse voudra bien m'adresser (1).

    Cette humble publication m'a valu des témoignages nombreux de chrétienne sympathie; je remercie mes frères protestants ou catholiques qui me les ont envoyés; rien n'est plus doux que la communion des âmes, et le plus sûr moyen d'y parvenir, c'est de nous. élever au-dessus de ce qui nous divise jusqu'à Jésus-Christ qui nous unit.

    Paris, ce 5 février 1864


    .
    1 Ce voeu a été entendu, et l'on remarquera que dans cette troisième édition (mai 1865), j'ai tenu compte de presque toutes les observations que des critiques bienveillants ont bien voulu me communiquer.
 

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