Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Vous serez mes témoins

Chapitre XIX
LE ROYAUME DE DIEU

Lors de ma conversion, je me mis à lire la Parole de Dieu en suivant, commençant par Matthieu. Arrivée au chapitre 6, verset 33, je lus : « Cherchez premièrement son royaume et sa justice et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » Bon, me dis-je, c'est un ordre du Seigneur et c'est ce que tu feras ! Dans mon inconscient cela signifiait : mettre les intérêts de Dieu avant les miens et j'eus constamment cela devant les yeux plus ou moins consciemment. Je m'interdisais de penser à la fin du verset car je ne voulais pas obéir à cet ordre par intérêt. Je pensais que la vie chrétienne était un chemin étroit et douloureux, je l'acceptais et croyais qu'il en serait toujours ainsi. Cependant, après la conversion de mes filles, je constatai que j'étais guérie des maux chroniques qui me tenaient depuis la naissance de Confiance, et cela aucune intervention humaine. Mon mari, porté au noir, fut aussi délivré.

Dieu nous envoya beaucoup de pensionnaires cette année-là, mais les ruches étaient vides. Or, un jour, l'inspecteur des abeilles gronda mon mari de ce qu'il ne s'occupait pas assez d'elles, en lui disant que le soin des abeilles lui rapporterait davantage que le jardinage, etc. Celui-ci vint me le dire tout déconfit.
- Quand tu t'occupes des légumes et des fruits pour la pension, tu sais que c'est pour Dieu que tu le fais... et tu sais : « Dieu en donne autant à Ses bien-aimés pendant leur sommeil » Ps. 127. 2. C'est Lui qui a soin de tes abeilles puisque tu ne peux être partout à la fois. Effectivement, à son grand étonnement, l'inspecteur dut constater, lors d'une inspection, que nos abeilles étaient plus avancées et en meilleure forme que les siennes si bien soignées.

Vers la fin de l'été, mon mari me dit un jour « Il faut que j'aille voir ce que font mes abeilles là-haut. » (Elles sont à une heure de marche du village, au bord de la forêt.) J'étais au jardin cueillant des haricots lorsqu'il revint :
- Sais-tu, me dit-il, il me faut vite prendre du miel, les ruches sont complètement pleines ! Il s'en alla me laissant stupéfaite :
- Que signifie ceci ? Veux-tu nous éprouver par la prospérité, Seigneur ? Tu verras qu'elle ne réussira pas davantage à nous séparer de Toi que l'adversité !
- Non, me fut-il répondu, mais maintenant tu reçois le « par-dessus » !
- Ah ! il y a un « par-dessus » que l'on reçoit ici-bas déjà ?

Et désormais, à tous ceux qui venaient me demander conseil, je disais de rechercher premièrement le royaume de Dieu et Sa justice, et plusieurs virent des résultats dans leurs vies.

Cet automne-là, une amie vint un matin, tout en pleurs, m'informer que le docteur venait de lui dire que son fils unique, ayant une méningite, était perdu sans espoir :
- Mais je me soumets, ajouta-t-elle ; j'accepte la volonté de Dieu.
- Ne pourrait-on pas lui imposer les mains pour la guérison ? demandai-je.
- Mais il est à l'hôpital et seuls la soeur et le docteur osent entrer dans la chambre, me dit-elle. Ne comprenez-vous pas, il n'y a plus d'espoir !

Tout à coup je m'entendis dire :
- Dieu ne veut pas la mort de votre fils. Il a besoin de lui vivant pour Son royaume et pour Sa gloire, et nous allons prier dans ce sens. Permettez-moi de téléphoner au pasteur V. et de lui demander de nous aider à prier ainsi ! »

Elle acquiesça et, après avoir téléphoné, nous nous mîmes à genoux et priâmes de tout notre coeur, puis elle s'en alla.
J'étais extrêmement étonnée de ce qui venait de se passer, c'était la première fois que je demandais une guérison directe, car ce n'était pas dans mes principes. Néanmoins, nous apprîmes que le jeune homme allait de mieux en mieux. Quinze jours plus tard, allant au village voisin, je passai chez ces gens pour prendre des nouvelles ; et qui vint m'ouvrir ? le jeune homme en question encore tout faible et pâle, mais tout heureux d'être encore sur la terre des vivants.

Il avais été placarder l'annonce d'une réunion de jeunesse dans notre village. Or, l'instigateur, un de nos jeunes amis, venait de nous avertir que son congé militaire ne pouvait coïncider avec la réunion, qu'il lui serait impossible d'être présent le dimanche et qu'il nous fallait trouver un autre président. « Cela aussi est impossible, dis-je. Qui demanderions-nous ? Dieu n'en est pas à un miracle près, et au nom de Son royaume et pour Son avancement, nous demandons que tu aies quand même congé pour dimanche. » Et nous refusâmes de chercher quelqu'un d'autre. Et voici, le samedi soir, notre ami arriva tout simplement en congé jusqu'au lundi soir et nous eûmes une magnifique concentration de jeunes pleins d'ardeur pour le Maître.
Mais à ce moment-là, nous nous demandâmes : « Qu'est-ce donc que ce royaume que nous devons chercher premièrement ? » Peu à peu, dans notre inconscient, nous avions pensé que c'était le ciel et le royaume du Millénium, mais plusieurs versets ne jouaient plus avec cela. En prenant le thé, une pensionnaire nous dit tout à coup :
- N'empêche que le Seigneur Jésus s'est trompé parfois (C'était une chrétienne très dévouée cependant.)
- Mais comment ? fis-je étonnée.
- Il a dit entre autres : « je vous le dis en vérité, quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront point, qu'ils n'aient vu le royaume de Dieu venir avec puissance. » Marc 9. 1 ; Luc 9. 27. Or, il y a longtemps qu'ils sont morts et le royaume de Dieu n'est pas encore venu !

Interdits, nous nous regardâmes l'un l'autre. C'est un de ces versets sur lesquels on passe comme chat sur braise.
- Madame, répondis-je, j'ai expérimenté que Dieu savait tout d'avance, donc Il ne peut s'être trompé ; mais je reconnais qu'il y de l'ignorance de notre part et maintenant nous n'aurons pas de cesse que cette question du royaume de Dieu ne soit tirée au clair.

Peu de temps auparavant, nous avions assisté à de grandes réunions et je me décidai à aller interroger un des prédicateurs que nous connaissions déjà. Je passai aussi chez une de nos amies qui me raconta que son mari lui avait dit ce matin-là : « Que fait-il, votre Dieu ? passe encore qu'Il laisse martyriser des adultes, mais des enfants ! Que fait-Il donc ? » Que fallait-il lui répondre ? C'était vers la fin de la guerre et nous étions tous navrés des horribles choses qui se passaient dans le Montbéliard proche de nous. J'élevai mon coeur à Dieu pour recevoir la réponse et elle vint ainsi :
« Je m'en vais vous dire une parabole : Si le roi d'Angleterre faisait dire à Hitler, l'usurpateur qui était encore au pouvoir, qu'il maltraite et fait souffrir ses sujets, celui-ci serait en droit de lui répondre : Je fais ce que je veux dans mon royaume comme vous dans le vôtre ! Et tout au plus le roi d'Angleterre pourrait inviter les victimes à passer dans son royaume au moyen de ses ambassadeurs... »
Alors ce verset me vint à la mémoire : « Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ... » Il Cor. 5. 20.
- Vous voyez, m'écriai-je, c'était à nous à prier pour empêcher Satan de faire ce qu'il voulait et nous ne l'avons pas fait ou pas de la bonne manière. Satan a trouvé autant de gens qu'il a voulu et même des nations pour les posséder et faire sa volonté. Et le grand Dieu des cieux ! Qui veut se laisser posséder par Lui afin que Sa volonté soit faite et le Diable tenu en échec ?

Toute bouleversée par cet aperçu et de réaliser comme nous avions peu su être à la disposition de notre Père, ce qui avait eu de si tragiques conséquences dans le monde et autour de nous, je me rendis alors vers le prédicateur que je voulais interroger. Il m'expliqua un grand tableau qu'il avait dans sa salle. C'était un schéma des prophéties de la Bible dès avant la Création jusqu'au rétablissement de toutes choses. Nous avions un tableau presque pareil, dans notre chambre, fait par un ami de mon beau-père. Il était resté là lorsque nous avions emménagé, mais je n'y avais jamais prêté grande attention. Lorsque ce monsieur eut terminé son exposé, je lui dis : « C'est très bien et je crois tout cela, mais il y a encore quelque chose que nous entrevoyons, une attitude de vie à prendre maintenant et je ne serai tranquille que lorsque j'aurai trouvé ! » De retour à la maison, je vis la cuisine pleine de jeunes gens et jeunes filles qui se retrouvaient là sans aucune préméditation.
- Que sais-tu de nouveau ? me demanda mon aînée.
- On m'a expliqué notre grand tableau, répondis-je.

Et lorsque j'eus mangé quelque chose, notre fille alla chercher le tableau et le posa sur la table :
- Dis-nous maintenant ce qu'on t'a expliqué.

Je m'exécutai et, lorsque j'eus terminé, elle dit
- Et maintenant, voyons ce que dit la Parole de Dieu.

Elle nous distribua à chacun une Bible, et, ouvrant la Concordance, elle nous indiqua tous les versets parlant du royaume de Dieu, ou des cieux. Et comme chacun lisait ce qu'il avait trouvé, tout à coup, le plan de Dieu se révéla à nous. Tout au travers des âges, nous vîmes le fil d'or de Sa volonté, ce qu'Il avait prévu dès avant la création du monde, ce à quoi Il avait toujours travaillé et comment toutes choses se réaliseraient selon Sa Parole jusqu'à la fin.
Nous étions hors de nous-mêmes, émerveillés de la splendeur de la volonté bonne, agréable et parfaite de notre Père, émerveillés d'apprendre enfin ce que le Seigneur attendait de nous, et émerveillés de savoir que cela nous serait enfin possible de vivre sciemment une vie à la louange de Sa gloire et d'accomplir ainsi notre destinée selon Son dessein.

Les trois soirs suivants nous nous retrouvâmes nombreux pour creuser plus avant les Écritures et plus nous avancions, plus nous trouvions la réponse à bien des questions que nous nous posions depuis longtemps. Tout s'harmonisait ! Plus de versets qui s'opposaient les uns aux autres ! Tout avait sa raison d'être. Tous les mystères n'étaient pas éclaircis, mais le grand mystère du royaume de Dieu, comme l'appelait saint Paul, nous était révélé dans sa beauté, sa majesté, sa primauté, à tel point que nos coeurs brûlaient d'adoration envers le Dieu de sagesse qui nous était plus compréhensible. Nous comprenions pourquoi notre Seigneur nous demandait de rechercher premièrement le royaume de Dieu puisque tout était prévu en vue de cela dès avant la fondation du monde.

Nous gardons un souvenir ému de ces soirées où tous ensemble nous creusions la Parole de Dieu pour trouver la perle de grand prix, et il ne nous était pas difficile de lâcher toute notre ancienne manière de voir pour acquérir la nouvelle. Notre Seigneur a dit : « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira. » Jean 8. 32. Ce fut en effet une libération pour la plupart d'entre nous, libération pour tous ceux qui acceptèrent la Bonne Nouvelle du salut de tout leur coeur.

Pour mieux exprimer ce que nous comprîmes alors, nous employâmes le tableau qui se trouvait devant nous, tel un plan d'architecte qui n'est pas la maison même, mais donne un aperçu de ce que sera la maison et de sa disposition intérieure. Je vais essayer de mettre en mots ce que nous vîmes alors, mais que celui qui lit ces lignes demande au Seigneur de lui faire voir par son Esprit les merveilles de Sa loi.

1. DIEU TOUT ET EN TOUS : En lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui, nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d'adoption par Jésus-Christ, selon le bon plaisir de sa volonté, à la louange de la gloire de sa grâce qu'il nous a accordée en son bien-aimé. Ephés. 1. 4-6.
Toi, Seigneur, tu as au commencement fondé la terre, et les cieux sont l'ouvrage de tes mains ; ils périront, mais tu subsistes ; ils vieilliront tous comme un vêtement, tu le rouleras comme un manteau et ils seront changés ; mais toi, tu restes le même, et tes années ne finiront pas. Héb. 1. 10-12.
Ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l'agneau qui a été immolé. Apoc. 13 .8.
Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. Matth. .
Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous. I Cor. 15. 28.

2. TERRE PRIMORDIALE
. Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. Gen. 1. 1.
Tu mettais le sceau à la perfection, tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. Tu étais en Eden, le jardin de Dieu ; tu étais couvert de toute espèce de pierres précieuses... tu marchais au milieu des pierres étincelantes. Tu étais intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. Ez. 28. 12-15.

3. ÉTAT CHAOTIQUE
 : Te voilà tombé du ciel, astre brillant (Lucifer), fils de l'aurore ! Tu es abattu à terre, toi, le vainqueur des nations ! Tu disais, en ton coeur : je monterai au ciel, j'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu ; je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, à l'extrémité du septentrion ; je monterai sur le sommet des nues, je serai semblable au Très-Haut. Mais tu as été précipité dans le séjour des morts, dans les profondeurs de la fosse. Es. 14. 12-15.
Et je te fais disparaître, chérubin protecteur. Ez. 28. 16.
La terre était (Original hébreu : devint.) informe et vide ; il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme. Gen. 1.2.

4. EDEN
 : Lorsque l'Éternel Dieu fit une terre et des cieux, aucun arbuste des champs n'était encore sur la terre, et aucune herbe des champs ne germait encore : car l'Éternel Dieu n'avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n'y avait point d'homme pour cultiver le sol. Mais une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol. L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant. Gen. 2. 5-7.

5. SATAN 
: Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre. Apoc. 12. 9.
Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre le prince de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. Ephés. 6. 12.
Vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Jean 8. 44.

6. NAISSANCE DE JÉSUS: Un astre sort de Jacob, un sceptre s'élève d'Israël, il perce les flancs de Moab... Israël manifeste sa force. Celui qui sort de Jacob règne en souverain. Nomb.24. 17-19.
Et toi, Bethléem Ephrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi celui qui dominera sur Israël, et dont l'origine remonte aux temps anciens. Michée 5. 1.

7. LA CROIX 
: Car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple et de toute nation, tu as fait d'eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu et ils régneront sur la terre. Apoc. 5. 9-10. Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Jean 3. 14-16.

8. ASCENSION 
: Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts. Héb. 1. 2-3.
Le Dieu de nos pères a ressuscité Jésus, que vous avez tué, en le pendant au bois. Dieu l'a élevé par sa droite comme Prince et Sauveur. Actes 5. 30-31.
Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ (Christ du grec Khristos, oint), ce Jésus que vous avez crucifié. Actes 2. 36.
C'est moi qui ai oint mon roi sur Sion, ma montagne sainte ! Ps. 2. 6.

9. PENTECÔTE
 : Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues semblables à des langues de feu leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit et se mirent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer. Actes 2. 1-4.
Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu en appellera. Actes 2. 38-39.
Il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, et il sera en vous. Jean 14. 16-17.

10. AVÈNEMENT DU SEIGNEUR 
: Voici, en effet, ce que nous vous. déclarons par la parole du Seigneur ; nous les vivants, restés pour l'avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui sont restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux dans des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. 1 Thess. 4. 15-17.
Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés en un instant, en un clin d'oeil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. 1 Cor. 15.51-52.

11. CHRIST ENTRE DANS SON RÈGNE
. Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles. Apoc. 11. 15.
Nous te rendons grâce, Seigneur Dieu tout-puissant, qui es, et qui étais, de ce que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne. Apoc. 11. 17.
Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'agneau sont venues, et son épouse s'est préparée. Apoc. 19. 7.
Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de Dieu, et l'autorité de son Christ. Apoc. 12. 10.

12. SATAN PRÉCIPITÉ SUR LA TERRE
 : Car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et qu'ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. Apoc. 12. 10-11.
Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. Apoc. 12. 12.

13. DEUXIÈME VENUE DE CHRIST
: Voici il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, et ceux qui l'ont percé. Apoc. 1. 7. Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des Oliviers... et l'Éternel, mon Dieu, viendra et tous ses saints avec lui. Zach. 14. 4-5.
Lorsque le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s'assiéra sur le trône de sa gloire. Toutes les nations seront assemblées devant lui. Matth. 25. 31-32.

14. SATAN LIÉ 
: Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme et une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Apoc. 20. 1-3.

15. RÈGNE DE MILLE ANS
 : Mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans. Apoc. 20. 6.

16. SATAN JETÉ DANS L'ÉTANG DE FEU 
: Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison... Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, ... et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. Apoc. 20. 7-10.

17. GRAND JUGEMENT 
: Puis je vis un grand trône blanc. Je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts... Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. Apoc. 20.11-15.

18. NOUVELLE JÉRUSALEM 
: Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre... la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s'est parée pour son époux... Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux... Il essuyera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus. Apoc. 21. 4.
Il faut aussi que j'annonce aux autres villes la bonne nouvelle du Royaume de Dieu ; car c'est pour cela que j'ai été envoyé. Luc 4.43.
Après qu'il eut souffert, il leur apparut vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu. Actes 1. 3.
Pendant trois mois il discourut sur les choses qui concernent le royaume de Dieu. Actes 19. 8.
Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière, qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour. Col. 1. 12.

ORDRES
 : Cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Matth. 6. 33.
... vous exhortant, vous conjurant de marcher d'une manière digne de Dieu, qui vous appelle à son royaume et à sa gloire. I Thess. 2. 12.
Laisse les morts ensevelir leurs morts ; et toi, va annoncer le royaume de Dieu. Luc 9. 60.
Il les envoya prêcher le royaume de Dieu, et guérir les malades. Luc 9. 2.

COMMENT ENTRER 
: Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme de petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume de cieux Matth. 18. 3.
En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Jean 3. 5.
Ne vous y trompez pas : ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu. 1 Cor. 6. 10.
C'est pourquoi, frères, appliquez-vous d'autant plus à affermir votre vocation et votre élection ; ... c'est ainsi, en effet, que l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ vous sera pleinement accordée. 2 Pierre 1. 10- 11.
Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux Matth. 7. 21.
C'est par beaucoup de tribulations qu'il nous faut entrer dans le royaume de Dieu. Actes 14. 22.
Qu'il sera difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le royaume de Dieu. Marc 10. 23.

PROMESSES
 : Heureux vous qui êtes pauvres, car le royaume de Dieu est à vous ! Luc 6.20.
Le règne, la domination et la grandeur de tous les royaumes qui sont sous les cieux, sont donnés au peuple des saints du Très-Haut. Son règne est un règne éternel, et tous les dominateurs le serviront et lui obéiront. Dan. 7. 27.
Ne crains point, petit troupeau ; car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume. Luc 12. 32.

PRIÈRE
 : Que ton règne (royaume) vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel... car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, la puissance et la gloire. Amen ! Matth. 6.10-13.

Une parfaite harmonie régnait primitivement dans l'univers de Dieu qui est de toute éternité. Dieu est amour et Son amour passait dans chacune de Ses créatures et revenait à Lui. Dieu est lumière et chacune de Ses créatures était lumière. L'archange Lucifer régnait sur la terre. Créé par Dieu, il était parfait en beauté et en sagesse. L'orgueil monta en lui et il voulut être lui-même Dieu et s'asseoir à la place de Dieu. Il ne pensait pas qu'en se séparant du Dieu lumière pour le supplanter, il deviendrait alors le prince des ténèbres entraînant d'autres êtres angéliques avec lui dans sa révolte. (Satan = l'Adversaire, Diabolus = le Diviseur.) Esaïe 14 ; Ezéch. 28.
« ... et la terre devint (le verbe hébreux indique plutôt le passé simple que l'imparfait employé communément) informe et vide. » Genèse 1. 2.
Elle n'avait pas été créée ainsi, mais elle fut mise tohu-bohu par la révolte probablement. Dieu élabora un plan avec Son Fils, l'Agneau immolé dès avant la fondation du monde. Il prévoyait qu'en créant l'homme pour Son champion, Il aurait un peuple de franche volonté qui serait parfait dans l'amour, car Il habiterait en eux, qui serviraient à la louange de Sa gloire, et rachetés eux-mêmes par le Sang précieux de Son Fils, ils serviraient au rachat de la possession acquise. Ephés. 1. 1-14.
L'homme et la femme placés par Dieu en Eden pour dominer sur cette terre recréée et rénovée, lui désobéirent en prenant du fruit défendu, et en obéissant au Tentateur ils lui passèrent leurs droits. On est esclave de celui auquel on obéit (voir Rom. 6. 16). Qui pratique le péché est esclave du péché (voir Jean 8. 33). On est asservi à celui par lequel on est subjugué (voir Il Pierre 2. 19). Satan redevint le Prince de ce monde comme l'appelle notre Seigneur. Jean 12. 31.
Mais Dieu ne se laissa pas sans témoignage. Il se choisit un homme selon son coeur, Abraham, et fit de lui une nation à part destinée à révéler Dieu aux autres nations. Quand les Israélites obéissaient à Dieu, tout allait bien pour eux, mais lorsqu'ils servaient les idoles, et derrière les idoles c'était Satan qu'ils adoraient, alors tout allait au plus mal pour eux.
Le règne de Salomon, si bien commencé, fut une belle réussite, mais hélas, ce roi aussi se laissa entraîner par ses femmes à se courber devant l'Ennemi. Tout ce qui est de la terre est sujet à corruption, les meilleures choses d'ici-bas se gâtent à la longue, c'est pour cela qu'il fallut que Dieu fasse une chose nouvelle quoique prédite dès avant le commencement du monde.

Si notre Seigneur était né comme David ou Gédéon, Il n'aurait pu accomplir toute Son oeuvre. Il fallait qu'Il vienne d'En haut, d'auprès du Père pour pouvoir tenir tête jusqu'au bout à l'Adversaire. Mais pour cela aussi il fallait la collaboration de l'homme ; pour que le Christ puisse venir dans le royaume de Satan, des hommes et des femmes devaient prendre parti pour Lui et demander Sa venue : Siméon et Anne étaient continuellement dans le Temple, priant nuit et jour, attendant la consolation d'Israël et grande fut leur joie de voir leur Messie quoique sous la forme d'un petit enfant. Nous lisons aussi (Luc 2. 26) que L'Esprit Saint était sur Siméon pour l'avertir de cette venue, et Jean-Baptiste fut envoyé le premier pour préparer le chemin du Seigneur. Peut-être étaient-ils nombreux en Israël ceux qui étaient dans l'attente du Christ et qui priaient pour cette venue.
Nous voyons là aussi un des mystères de la prière. Dieu ne fait rien sans l'avoir auparavant communiqué à Ses serviteurs les prophètes, et Il dit : « Commandez-moi, touchant l'oeuvre de mes mains. » Esaïe 45. 11, version anglaise, Darby et Osterwald.

Certains prétendent que Dieu pourrait faire sans nous, mais le fait est que le grand Dieu des cieux, le Roi des rois, n'agit ici-bas que par l'intermédiaire de l'homme. D'ailleurs Satan n'agit pas autrement et il lui faut aussi des corps humains obéissants pour faire le mal.

Prenons maintenant notre Seigneur au commencement de Son ministère. Il y aurait beaucoup plus à dire mais que chacun, avec les grandes lignes données ici, étudie la Parole de Dieu lui-même et la splendeur du Plan divin apparaîtra à ses yeux.
« Et Jésus parcourait toute la Galilée enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume. » Matth. 4. 23. « Évangile » en grec veut dire « bonne nouvelle » et c'était en réalité une bonne nouvelle pour ces Juifs écrasés sous le joug des Romains et sous le joug de leurs passions et maladies. C'était la bonne nouvelle que dans ce royaume de Satan, un autre royaume, celui de Dieu, allait commencer et que tous ceux qui le voudraient pourraient y entrer sans argent ni or.

On comprend que les disciples quittèrent tout et Le suivirent, et que des multitudes ne voulaient pas lâcher Celui qui les avait nourries et guéries. Les hommes voulurent même devancer les temps et l'enlever pour le faire roi prématurément et à la manière terrestre habituelle. Jean 6. 14 et 15. Notre Seigneur allait avec la force et la sagesse d'En haut et savait toujours ce qu'Il devait faire, car Il obéissait parfaitement à Son Père. Avec l'autorité reçue,

Il chassait les mauvais esprits qui avaient pris possession des corps, et lorsque les scribes et les pharisiens l'accusent de chasser les démons par le Prince des démons, Il répond alors : « ... mais si c'est par l'Esprit de Dieu que je chasse les démons, alors le royaume de Dieu est donc venu vers vous. » Matthieu 12. 28. Et dans Luc 4. 43, nous lisons qu'Il dit à ceux qui voulaient Le retenir auprès d'eux : « Il faut aussi que j'annonce aux autres villes la bonne nouvelle du royaume de Dieu car c'est pour cela que j'ai été envoyé. »

Notre Seigneur envoie soixante-dix de ses disciples deux à deux avec l'ordre de guérir les malades et d'annoncer la bonne nouvelle du royaume. Luc 10. 1 et 9. « Or les soixante-dix revinrent avec joie en disant : Seigneur, les démons mêmes nous sont assujettis en ton nom. Alors Jésus leur dit : je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. Voici que je vous ai donné le pouvoir de fouler aux pieds les serpents, les scorpions, et toute la puissance de l'ennemi et rien ne pourra vous nuire. » Luc 10. 17-20. N'est-ce pas une merveilleuse promesse ? Mais auparavant nous n'aurions jamais osé nous l'approprier.

Dans la parabole du bon Berger (Jean 10), notre Seigneur nous dit qu'Il donne Sa vie pour Ses brebis. « Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. » Jean 10. 18. C'est volontairement qu'Il se mit entre les mains de Satan et de la mort, non sans de terribles souffrances et angoisses car ce n'est pas peu de chose que de prendre sur soi les péchés du monde entier (I Jean 2. 2), et d'être ainsi séparé, ne fût-ce que peu de temps de Son Père.

Satan croyait tenir sa proie, enfin il allait régner sur la terre pour toujours sans conteste ; mais voici, il n'avait aucun droit légal sur son prisonnier, car celui-ci ne lui avait jamais obéi comme nous le voyons lors de la tentation au désert où l'Ennemi lui offrit tous les royaumes du monde, sans la croix, à condition qu'Il l'adore lui plutôt que Yaweh. Mais la réponse avait été instantanée : « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu le serviras lui seul. » Matth. 4. 10. Au chapitre 4, verset 13, de l'Évangile selon Luc, il est dit : « Après l'avoir tenté de toutes ces manières, le diable s'éloigna de lui jusqu'à un moment favorable. »

Il y eut d'autres tentations, mais toutes furent repoussées victorieusement jusqu'à ce que Jésus rendît Son Esprit à Son Père. L'Ennemi déçu avait trouvé plus fort que lui, quelqu'un qui est resté entièrement loyal à son Maître, envers et malgré tout.

Et à cause de son obéissance, Dieu ressuscita Jésus d'entre les morts ; la mort ne put le retenir et Il s'échappa de Ses mains consacrant Sa victoire. Le sceptre du prince de ce monde lui est arraché et Jésus. le Messie, redevient le Seigneur de l'univers qui avait été créé par Lui et pour Lui. Col. 1. 15-21.

Mais notre terre Lui ayant échappé par la désobéissance de Ses intendants, Il est aussi appelé le second Adam (Rom. 5. 14 ; 1 Cor. 15. 45, venu pour défaire l'oeuvre du premier.

Nous sommes au Seigneur, car c'est pour cela que Christ mourut et qu'Il se releva et reprit la vie, afin de dominer et sur les morts et sur les vivants. Rom. 14. 9. La domination est sur son épaule, mais nous ne voyons pas encore que toutes choses lui soient assujetties, et c'est ici que devient compréhensible Éphésiens. 1. 14, car ce sont les rachetés, ceux qui se considèrent comme tels, qui sont les instruments de la libération totale par leur loyauté à leur Seigneur, refusant toute ingérence de l'Ennemi dans leur vie. Car, à celui-ci, quoique dépossédé de son trône, est laissé un sursis afin que notre loyauté soit éprouvée et nos mains dressées pour le combat.

Satan a été vaincu au Calvaire par notre Seigneur Jésus-Christ, et, désormais, en fait de droits légaux, il n'a plus que ceux que nous lui laissons par ignorance ou déloyauté envers Celui qui nous aime. Plus encore, notre Maître compte sur nous pour que nous résistions à l'Ennemi sachant la victoire gagnée déjà, et s'Il permet à Satan de nous tenter d'une manière ou d'une autre, c'est pour nous donner une occasion de victoire. Ne l'oublions pas et ne cédons en rien.

Écoutons le cantique nouveau d'Apoc. 5. 9-10 « ... car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu, par ton sang, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; tu as fait d'eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre. »

Tous nous sommes esclaves de Satan ; combien de fois lui avons-nous obéi ? À la Croix, Jésus-Christ a racheté tous les hommes par Son Sang. Par Sa mort, Il reprend Ses droits sur nous. Je dis « reprend », car de droit tous les hommes appartiennent à Dieu. L'Éternel dit dans Ezéchiel 18. 4 : « L'âme du fils comme l'âme du père l'une et l'autre sont à moi ». Mais, par la chute d'Adam et d'Eve, nous avons été asservis à Satan. Toutefois, au Calvaire, l'homme fort a été vaincu et l'homme plus fort a pris et distribué ses dépouilles.


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