AVENEMENT
Octobre 1991
No
No 31 - 32
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La rage Slave 1991
- Malgré les trêves, la
Yougoslavie connaît une véritable guerre
civile. L'armée fédérale, à
majorité Serbe, étrangle peu à peu la
Croatie, sous le regard impuissant des
Européens.
L'universitaire Dusan Sidjanski nous
donne son éclairage sur ce grave conflit.
- Eglises
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AVENEMENT
Juin
1992 No 46
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L'émiettement yougoslave
1992
- Une fédération en sang
et en cendres
- Depuis plus d'un an, la situation en
Yougoslavie ne cesse d'empirer. la sale guerre n'arrive pas
à prendre fin: de la Croatie, elle s'est simplement
déplacée en direction de la Bosnie
Herzégovine. Même les médiateurs (ceux
de l'ONU ou ceux de la communauté européenne)
sont découragés par la haine qui fait rage
entre Serbes, Croates et Musulmans
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AVENEMENT Décembre 1992
No
54
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Ex-Yougoslavie: de "purs" en pire
1992
- Depuis 18 mois, chaque jour, les
médias nous parlent de la "guerre en Yougoslavie"; ce
pays n'existe plus si ce n'est sous la forme d'une
fédération réduite à la Serbie
et au Monténégro.
Le monde a redécouvert
l'incroyable enchevêtrement de ces états que le
passé a longtemps opposés, que l'histoire a
voulu fédérer et que le présent
déchire haineusement.
- Sur les ruines de l'ancienne
fédération, personne n'est plus innocent que
son voisin
- Cause
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AVENEMENT
Mai
1994 No 71
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Deux ans après
1994
- Depuis quelques années la
chaudière balkanique explose dangereusement en Europe
du sud-est, dans un pays en pleine
désagrégation: l'Ex-Yougoslavie.
Un slogan le définissait bien
avant que n'éclatent les conflits: "un état,
deux alphabets, trois religions, quatre langues, six
républiques, et des territoires autonomes".
La république
fédérale de Yougoslavie, fondée par
Tito en 1946, a été mise au banc du socialisme
continental par Staline trois ans plus tard.
Le particularisme de ces populations
tenait à l'héritage de quatre
caractères combinés résultant
d'invasions successives: Slave, Bysantine orthodoxe,
Ottomane islamique, enfin Léniniste.
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AVENEMENT
Décembre 1994
No
78
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Les plaies de l'histoire
1994
- L'attitude partisane des nations
Unies obstrue l'horizon 95 des pays de
l'ex-Yougoslavie
- "Les grands médias semblent
curieusement amnésiques quant aux causes
réelles du conflit"
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Nouvelles d'Israël
03 /
1983
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Campagne d'agitation au moyen du
mensonge Eva Szpiro-Burke, Toronto
En Amérique, le journalisme,
comme bien d'autres activités, s'est
transformé, dans bien des éditions, en un
article de consommation sans valeur.
Les communiqués sont
changés en «Stories», les rapports
objectifs en pièces à sensation, la
vérité devient tromperie, et les faits sont
déformés en mensonges. Toute cette propagande
massive est distribuée à vil prix au peuple,
dont le besoin de suspense et de violence est ainsi
satisfait. Des journaux qui, jusqu'à présent,
pouvaient se féliciter de leurs reportages exacts et
objectifs des faits, ne se fient plus uniquement à
leur propre témoignage oculaire n'ayant subi d'autres
influences, mais acceptent les diffamations contre
Israël, fournies par l'OLP, comme monnaie
courante.
Le correspondant qui, autrefois,
présentait des articles équilibrés, est
devenu un rapporteur de publicité payé.
Ainsi, 20 000 réfugiés
deviennent tout d'un coup 600 000 sans patrie; ainsi, des
femmes et des enfants mouraient dans un village dans lequel
aucun coup de feu n'avait été tiré. Les
journaux nous renvoient des images d'innombrables ruines
avec des enfants ensanglantés, images qui en
réalité, sont les résultats de la
guerre au Liban, qui avait duré sept ans. Elles n'ont
rien à voir avec les récents
événements au Proche-Orient.
On ne s'étonne pas de ce que
l'ensemble du public refuse de mettre en question la
crédibilité des reportages pour
connaître la vérité.
La
«Story»
La réalité
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Nouvelles d'Israël
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Nouvelles d'Israël
Février 1986
Texte intégral
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«Hetzbollah»
Les chi'ites (90 millions contre 400
millions de sunnites) constituent un véritable
fléau en Orient depuis la prise du pouvoir par
Khomeyni. L'organisation de contrôle de ces chi'ites
fondamentalistes, appelée «Hezbollah» - le
parti de Dieu - se manifeste de manière très
variée bien au-delà des frontières du
Proche-Orient, comme, par exemple, la
«Révolution islamique». Leur programme
vise, entre autres, les objectifs suivants:
1. La proclamation d'une
«République islamique» dans tous les pays
musulmans, avec une juridiction basée sur le
Coran.
2. Reprise du pouvoir gouvernemental
au Liban, après la destitution et le jugement
définitif du président chrétien Amin
Gemayel et de ses adeptes.
3. L'expulsion de
«l'impérialisme occidental» du Liban et la
liquidation des Américains et des Français
résidant au Liban.
4. La lutte contre Israël -
jusqu'à l'effacement total de l'Etat d'Israël,
et l'assujettissement de Jérusalem à
l'Islam.
Afin d'atteindre ce but, le groupe
terroriste suicidaire YIHAD (guerre sainte) accomplit de
temps à autre des attentats comme, par
exemple:
Le 18. 4.1983 - contre l'ambassade des
USA à Beyrouth, 61 morts, 120 blessés
Le 23.10.1983 - contre les marines
américains à Beyrouth, 239 morts, 40
blessés
Le 23.10.1983 - contre l'armée
multinationale française, à Beyrouth, 74
morts, 15 blessés
Le 4.11.1983 - contre le quartier
israélien à Tyr, 30 morts, 29
blessés
Le 20. 9.1984 - contre l'ambassade des
USA à Beyrouth, 20 morts, 16 blessés
Le 10. 3.1985 - contre un convoi
israélien à Metullah, 12 morts, 20
blessés
... et le kidnapping, à
Beyrouth, de l'avion de la TWA par des chi'ites
d'AMAL.
De telles informations nous font
penser au triste événement dont parle
Genèse 16, où Abraham, le père du
peuple d'Israël et de tous les croyants, avait voulu
«donner un coup de pouce» à son Dieu,
c'est-à-dire, «hâter l'exaucement de la
prière». S'il avait su patienter, dans la foi,
Il n'existerait pas actuellement, pour Israël, des
adversaires islamo-arabes. Mais, qui sommes-nous pour juger,
nous, dont la confiance dans le Seigneur est si souvent
ébranlée? Cependant, Esaïe 64, 3 est
toujours valable: «Jamais on n'a appris ni entendu
dire, et jamais l'oeil n'a vu qu'un autre dieu que toi
fît de telles choses pour ceux qui se confient en
lui»! W.M.
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Nouvelles d'Israël
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Nouvelles d'Israël
06 /
1994
Texte intégral
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Changements au sein du monde
arabe
La visite de la
délégation israélienne à Oman
est un des signes les plus tangibles de la chute du mur de
haine qui opposait le monde arabe à Israël.
D'autres symboles de ce processus se sont manifestés
début avril à l'occasion d'une
conférence rassemblant les ministres des Relations
extérieures de la Ligue arabe au Caire,
organisée à la suite de la tuerie
d'Hébron et éclipsée par ce dernier
événement. Lors de cette conférence,
les ministres des Relations extérieures des 22 pays
arabes ne sont toutefois pas parvenus à prendre des
décisions communes concernant des sujets tels que le
renforcement du boycott arabe contre Israël, la
sécurité nationale des Arabes ou la
désignation d'Israël en tant qu'ennemi
commun.
Au cours des négociations,
certains des ministres présents, surtout Farouk
A-Shara (Syrie), ont tenté de renforcer le blocus
arabe contre Israël. Le ministre syrien, fervent
partisan du maintien du boycott tant qu'Israël n'aura
pas abandonné les territoires
«occupés», a toutefois vu sa proposition
rejetée, au lieu de quoi les participants sont
convenus que chaque Etat pourrait décider en
conscience s'il souhaitait assouplir le boycott voire
renouer des contacts avec des entreprises entretenant
ouvertement des relations commerciales avec Israël. De
même, toutes les tentatives visant à
définir Israël comme l'ennemi commun de tous les
Arabes ont été rejetées. En
définitive, les participants ont décidé
de reporter de six mois toutes les décisions
relatives aux questions centrales et, dans l'intervalle,
d'accélérer les négociations de paix
avec Israël et ses voisins arabes.
A l'opposé de ces voix en
faveur de la paix, les résultats d'une enquête
effectuée en Israël ont soulevé une
grande inquiétude; selon celle-ci, trois quarts des
Arabes seraient favorables à une confrontation
militaire immédiate avec Israël, les autres
souhaitant le maintien de la situation actuelle entre la
guerre et la paix.
Cette étude, publiée
récemment dans le journal «Middle Bast»,
portait sur 1000 musulmans libanais, syriens et
palestiniens. Le Professeur Hilal Kashan, de
l'Université américaine de Beyrouth, a
prédit que les politiciens arabes de haut niveau
disposés à négocier avec Israël
risquaient d'être déposés par leur
propre peuple dans la mesure où ils assujettissaient
la politique de leur gouvernement à
Israël.
Selon le Professeur Kashan, aucun des
participants interrogés n'a été capable
de citer ne fût-ce qu'une raison positive justifiant
la paix avec Israël. Selon l'opinion dominante, la paix
est un moyen tactique provisoire permettant aux Arabes de se
réorganiser pour pouvoir infliger
ultérieurement un coup destructeur à
Israël. Quatre-vingt-dix pour cent de ceux qui, dans
l'enquête, soutiennent le processus de paix admettent
qu'ils changeraient d'avis si Israël s'affaiblissait
dans l'avenir.
La pire conséquence de la
tuerie de Hébron est peut-être, à long
terme, la possibilité d'une scission au sein de
l'armée. Il circule des bruits opiniâtres selon
lesquels le gouvernement préparerait
l'évacuation des juifs vivant dans la ville arabe de
Hébron. A la suite de ces rumeurs, trois rabbins
connus appartenant à l'aile
COMMENTAIRE
Ces informations confirment à
nouveau tout le mensonge que dissimule le monde arabe et
cette prétendue «paix». Mais tout doit
être préparé pour le royaume de
l'Antichrist - la fausse paix entre Israël et ses
voisins arabes se concrétise de plus en plus. Le fait
qu'Israël ne puisse s'appuyer sur d'éventuelles
«garanties de sécurité»
américaines s'illustre d'une part au vu du
passé, d'autre part par les derniers
événements en ex-Yougoslavie. Mais l'ennemi de
toujours voudrait affaiblir et «bercer»
Israël jusqu'à ce que les adversaires
héréditaires arabes puissent le battre
militairement. Dans son coeur, Arafat n'a pas renoncé
à son objectif: détruire Israël. Il ne
fait aucun doute que les Arabes éradiqueraient
Israël s'ils le pouvaient - qu'il y ait ou non accord
de paix. Le fait qu'Arafat souligne que ce qui a
été réalisé jusqu'ici est le
début de la voie qui mène à un Etat
palestinien autonome (à côté
d'Israël) se passe de commentaires.
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Nouvelles d'Israël
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Appel de
Minuit
10/98
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120 Etats pour la Cour de justice
mondiale -Comment Rome gagne
en puissance
En dépit de la
résistance des USA et de quelques autres pays, une
cour de justice internationale va sévir à
l'avenir dans des crimes de guerre commis partout dans le
monde. Lors de la signature solennelle du document sur la
colline du Capitole à Rome, le Secrétaire
général de l'ONU, Kofi Annan, a parlé
d'une «victoire historique» et d'un «moment
de grand espoir».
La Cour de justice, qui doit avoir son
siège à La Haye, ne pourra fonctionner que
quand 60 Etats au moins auront ratifié le
traité. Cela peut prendre des années.
La Cour, avec ses 18 juges et son
accusateur public indépendant, devra intervenir dans
des affaires de génocide, de crimes de guerre, de
crimes contre l'humanité et, sous certaines
conditions, pour des faits de guerre d'agression.
Après des débats qui se
sont déroulés à Rome et qui ont
duré des semaines, une conférence onusienne a
fixé les statuts de la nouvelle Cour de
justice.
120 délégations ont
voté le projet; 21 se sont abstenues et sept se sont
prononcées contre. Les USA ont dit «non» en
raison, selon eux, des trop grandes compétences dudit
tribunal. La Chine et Israël se sont aussi
déclarés contre le projet.
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JOURNAL
D'INFORMATION PAR E-MAIL D'AROUTS-7 EN FRANCAIS
mardi 12juin 2001 - 21/22 sivan 5761
Texte intégral
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Des membres de l'Autorité
palestinienne volent du matériel médical aux
Palestiniens
(12/06 - 15h 40)
Des employés du
ministère de la Santé de l'Autorité
palestinienne se sont plaints d'importants vols de
matériels médicaux et de médicaments
qui avaient été offerts par des donateurs
étrangers aux Palestiniens.
Cette affaire s'est aggravée
lorsque huit ambulances données par l'Egypte et
l'Arabie Saoudite ont disparues. Elles ont été
retrouvées plus tard sur un garage de voiture
près de Bir Naballa, au nord de Ramalla, ou elles
étaient exposées à la vente.
Les responsables seraient des membres
du ministère de la Santé qui auraient vendu le
matériel à des privés et garde l'argent
pour eux mêmes. Une plainte a été
déposée a l'Autorité palestinienne,
mais aucune mesure n'a encore été prise.
©
Arouts-7
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