Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



LA MAISON SUR LE ROC


Le bon Berger.

Jean 10: 11

 

Lecture: Jean 10 : 11- 16, 27-29

IL n'est pas facile de se diriger ici-bas, de suivre sans s'égarer le droit chemin. Que de tâtonnements et de détours chez ceux-là même qui mettent leur volonté à marcher dans la bonne direction ! Nous avons besoin d'un guide. Livrés à nous-mêmes, nous nous connaissons imparfaitement, notre chemin demeure mal tracé et notre but imprécis.

Dieu nous a donné un guide parfait, Jésus-Christ, le bon Berger.

Jésus est le Chemin, la Vérité et la Vie. Il connaît exactement la personnalité et les circonstances de chacun. Il sait, mieux que nous-mêmes, la direction que nous devons prendre, l'aide qui nous est nécessaire.

Celui qui se soumet à Jésus et se laisse conduire par ses enseignements et par son Esprit, ne tarde pas à découvrir qu'il avance à travers tous les obstacles de la vie, avec le plus sûr des guides. Il ne se sent jamais seul; une présence divine le soutient, le réconforte, le sanctifie, le conduit aux sources même de la Vie.

A ceux qui écoutent sa voix et le suivent, Jésus promet plus encore:

«Je leur donne la vie éternelle, elles ne mourront Jamais et nul ne les ravira de ma main». Quelle puissance dans ces mots, quelle plénitude de grâce, quel triomphe d'amour! Quand il s'agit de la vie, il dit toujours; quand il s'agit de la mort, il dit jamais; quand il s'agit des ennemis, il dit personne !

Notre Maître a donné sur la croix la preuve suprême de sa fidélité et de son total dévouement. Il a livré sa vie pour nous. Désormais, nous ne pouvons plus douter de son amour.

Emparons-nous de ses promesses, elles sont pour tous. Jésus nous appelle, écoutons sa voix ; Jésus marche devant nous, suivons-le; Jésus est mort pour nous, vivons pour lui.

Prière.

Seigneur, nous avons reconnu en toi le bon Berger de nos âmes. Nous voulons nous laisser conduire par ton Esprit. Donne-nous la force de t'être fidèles et d'obéir à ta voix. Amen.


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Le cep.

Jean 15 : 1

 

Lecture: Jean 15 : 1-9

PORTER du fruit qui rende gloire à Dieu, telle est la vocation que Christ nous adresse dès que sa grâce nous fait passer des ténèbres à sa merveilleuse lumière. Rendre témoignage à la puissance de Dieu par la sainteté de notre vie, tel est le magnifique devoir présent qu'il propose à notre effort.

Christ nous a rachetés, mais connaissant notre faiblesse il ne nous abandonne pas à nous-mêmes. Devenu notre Sauveur, il veut être la source de nos forces, le principe générateur de nos vies. Il est le cep dont nous sommes les sarments. Il est l'unique cep.

Comme le pied de vigne alimente ses rameaux de la sève généreuse par lui puisée dans les profondeurs du sol, ainsi Jésus veut nourrir les siens afin que, croissant et se fortifiant toujours davantage, ils soient en mesure de résister aux orages.

Le sarment a besoin du cep pour vivre; souvent à peine visible, le cep a besoin du sarment pour manifester extérieurement sa puissance. Une tige forte, ferme et recouverte d'un opulent feuillage ne lui rendrait aucun témoignage si elle ne portait des grappes abondantes. Jésus attend de ses disciples qu'ils portent du fruit, qu'ils le confessent non seulement par leurs lèvres, mais surtout par la consécration de leur vie.

Seule une union organique ininterrompue avec la souche dont il procède permet au sarment de vivre et de se couvrir de fruit en sa saison. Comment en irait-il autrement dans notre relation avec le Fils de Dieu? Une union imparfaite ne saurait être féconde.

Jésus est tous les jours avec nous ; demeurons tous les jours en lui, puisant uniquement en lui notre vie spirituelle: alors pourra se manifester en nous, à la gloire de Dieu, l'action sanctifiante de sa personne.

Prière.

Tu attends de nous, Seigneur notre Dieu, que nous te glorifiions en portant du fruit. Incapables par nous-mêmes de te rendre cette gloire, nous te supplions de nous unir à ton Fils d'une manière si étroite que guidés, nourris et par lui soutenus, nous puissions, dans toutes nos circonstances, te consacrer la vie que nous tenons de toi. Amen.


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Témoin de la Vérité.

 

Je suis venu pour rendre témoignage à la Vérité. Jean 18: 37

 

Lecture : Jean 8: 30-32 ; 40-42

DIEU avait dit à Moïse : « L'Eternel est riche en grâce et en fidélité ». Cette révélation ne fut accomplie qu'au jour où la Parole faite chair vint habiter parmi nous «pleine de Grâce et de Vérité ».

Dès ce jour, toute la miséricorde et toute la compassion qui brûlaient dans le coeur du Père, apparurent dans la personne du Fils: dès lors, il suffit de demeurer dans son amour pour avoir la vie.

Dès ce jour, toute la vérité répandue dans la création, c'est-à-dire la sainteté même du Créateur, descendit dans un fils des hommes : dès lors, il suffit de croire pour recevoir la lumière.

En Jésus, la sainteté du Père rayonne et devient accessible à toute âme croyante. La sainteté est un être vivant que le coeur peut aimer, un bon berger qu'on peut suivre aisément.

Par ses lèvres, Jésus rend témoignage à la vérité: et c'est elle-même qui prononce les paroles de vérité dans les synagogues et les demeures des humbles, aux confins des déserts et sur les rivages.

Par ses actions, Jésus rend témoignage. C'est la vérité même qui impose le silence aux démons en furie et aux flots déchaînés. C'est elle qui rend la vie aux corps et aux âmes, qui ressuscite et qui pardonne. C'est elle qui, acceptant la couronne d'épines et les clous de la croix, accomplit l'acte suprême de la Révélation: le sacrifice du Fils unique.

Par les paroles de ses lèvres et le sang de ses plaies, Jésus a rendu témoignage. Lorsque l'Evangile fut annoncé et le sang versé, il a dit simplement: «Tout est accompli».

Prière.

O Dieu, je t'adore avec la soumission que m'inspire ta souveraine grandeur, je crois en toi, parce que tu es la vérité. je crois en Jésus, parce que toute ta vérité resplendit en lui. Notre Père...


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Venu pour servir.

Marc 10. 45

 

Lecture : Marc 10: 35-45

LES disciples eux-mêmes ne pouvaient comprendre que le plus grand parmi les fils des hommes fût un serviteur. Nous les voyons attachés à des idées de gloire, de prestige, de supériorité. Il y a longtemps qu'ils sont avec le Maître, mais ils ne l'ont pas encore compris.

Jésus parle, et toutes ses paroles sont au service des âmes. Ses discours ne sont pas faits pour éblouir et susciter des admirateurs ; ils ne renferment pas de trompeuses promesses destinées seulement à gagner les suffrages de la foule. Ils n'ont d'autre but que d'éclairer, de réveiller, de purifier, de consoler. La parole de Jésus est un instrument sacré pour atteindre et sauver les hommes. Elle est la semence de vie jetée par une main fidèle quoiqu'il arrive au semeur. Les uns diront: « Cette parole est dure, qui peut l'écouter? » et d'autres : « Seigneur, a qui irions-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle ». Ses paroles sont des actes de l'amour divin.

Jésus agit, et le mot de ministère par lequel on désigne son activité veut dire service. D'autres déploient toute leur énergie pour acquérir la richesse, la puissance ou simplement pour subsister. Lui, sans un lieu où reposer sa tête, alors même que les Juifs voudraient le faire roi, il ne songe qu'à accomplir l'oeuvre du salut. Il est le médecin qui répond aux appels de la souffrance, l'ami des abandonnés, des déshérités et des déchus, le bon berger qui cherche inlassablement les égarés. Il prend sur lui toute la peine des hommes.

Jésus meurt, et sa mort, librement acceptée par amour, est le suprême service. Il donne sa vie, parce que Dieu la lui demande et que le salut des hommes est à ce prix. Il est serviteur jusqu'à la mort et par sa mort. Même dans les affres de l'agonie, il porte le monde sur son coeur et il accomplit ce service sublime qui s'appelle l'intercession.

Comment se fait-il que le service le plus dévoué soit en même temps la gloire la plus authentique? Parce qu'il s'adresse à Dieu ; il n'est pas à la merci de volontés misérables et dévoyées; il n'est soumis qu'à Dieu.

Prière.

O Christ, serviteur fidèle de Dieu et Sauveur des hommes! Dissipe les erreurs de notre orgueil et de notre vanité. Fais-nous comprendre le néant de l'égoïsme et la beauté d'une vie consacrée à Dieu et vouée au bien du prochain. Amen.


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Un feu sur la terre.

Luc 12: 49

 

Lecture: Matthieu 3 : 7-12

LE feu que Jésus est venu jeter sur la terre n'est pas éteint. Un feu qui transforme, qui purifie, qui réchauffe, voilà ce que l'Evangile représente pour un chrétien demeuré fidèle.

Et sa foi, telle une flamme, doit contribuer à entretenir ce grand foyer destiné à s'étendre sur toute la terre. Tâche conquérante du chrétien, tâche indispensable !... Cette flamme que j'ai reçue avec Joie et reconnaissance brille-t-elle encore? Les recoins sombres de mon être intérieur en sont-ils éclairés? Cette lumière divine me réchauffe-t-elle dans les moments de froidure spirituelle? Rayonne-t-elle dans mon regard, mes gestes, mes sentiments et mes paroles? Ma foi?... Une flamme? Si elle ne l'est pas, elle doit le devenir, car je ne veux pas que par ma faute le grand feu allumé il y a dix-neuf siècles diminue et même s'éteigne. Aujourd'hui des hommes cherchent à réduire et à circonscrire le grand incendie du Christ, le jugeant malfaisant. Nous donc, chrétiens, devons d'autant plus chercher à le propager.

Si les flammes demeurent isolées, sans contact entre elles, jamais le feu ne pourra briller haut et clair et embraser tous les coeurs qui souvent sans le savoir soupirent après sa chaleur.

Puisse notre flamme si chétive soit-elle mais appelée à grandir, en attirer d'autres vers Christ !

Prière.

Père, pour que ton règne vienne, il te faut des instruments dociles et chacun de ceux que tu as créés a son utilité. Avec ta grâce qui nous sanctifie et ton amour qui nous guide nous voulons être ces témoins rayonnants qui ont abandonné leur vie pour te la remettre. Amen.


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Ma nourriture.

Jean 4: 34

 

Lecture : Jean 4: 31-34

QUI parle de nourriture pense aussitôt aux aliments : ne faut-il pas continuellement recréer les forces usées par une journée de travail? Aussi les disciples ont de la peine à comprendre que Jésus ne prête aucune attention aux mets qu'ils sont allés chercher à la ville voisine.

Le Christ n'a pas méconnu les besoins du corps; il nous enseigne à prier: «Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien». Mais à cette heure, le Maître a une autre préoccupation : il doit laisser de côté l'urgente nécessité du pain, les soucis immédiats de la vie, pour affirmer avec plus de force ce qui demeure: la volonté de son Père.

Jésus réalise une telle communion avec Dieu, qu'il n'y a pas place dans sa vie, pour deux volontés, une seule domine: la volonté divine. Pas de compromis, pas d'hésitation. Et cette volonté de Dieu est si tenace, si nette, si importante qu'elle devient pour le Maître sa nourriture.

Pour le Christ, vivre c'est agir toujours selon la volonté de son Père. Qu'importent les convenances, les habitudes de son temps, les exigences de la Loi, les appels du Tentateur? Sa force demeure dans la connaissance de la volonté de Dieu.

Dans les heures où il prie, où il dit à Dieu son angoisse, sa souffrance, où tout semble perdu, c'est encore ce cri: «Non pas ce que je veux, mais ce que tu veux ».

C'est ainsi que Jésus a accompli notre salut.

Prière.

Père, au milieu de tant de préoccupations qui nous assaillent ici-bas, Christ ne s'est laissé accaparer que par une seule: Ta volonté. Et c'est ainsi qu'il répond à tous nos besoins et qu'il est notre Sauveur. Donne-nous donc de faire de ta volonté notre pain quotidien. Amen.


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Qui de vous me convaincra de péché ?

Jean 8 : 46

 

Lecture : Jean 8 : 43-47

LA contemplation du Christ vivant de nos Evangiles provoque en nous un sentiment d'adoration et de respect. Nous nous sentons attirés par sa sainteté calme et rayonnante, qui s'épanouit en pleine humanité, au sein des pécheurs.

Mais bientôt, un trouble qui devient une souffrance envahit nos consciences. Face à la sainteté de Jésus, notre péché nous apparaît dans toute son étendue: égoïsme, orgueil, paresse, actes répréhensibles, pensées coupables... Cette sainteté de Jésus deviendra-t-elle donc la cause de ma condamnation? Non, Jésus n'est pas venu pour me perdre, mais pour me sauver! S'il hait le péché, il aime les pécheurs. Si sa sainteté me convainc de mon indignité, son amour me rapproche de la Croix sur laquelle il a été cloué pour moi. C'est pour me libérer qu'il a prié, lutté et souffert.

«Qui me convaincra de péché? » demande Jésus à la foule incrédule qui le prend pour un imposteur.

Si je ne réponds pas à l'appel de Dieu qui m'ordonne de reproduire dans ma vie la vie sanctifiée du Christ, je rends inutile son sacrifice; comme la foule, je mets en doute sa sainteté et je la méprise.

Ce que Dieu demande de moi, ce n'est pas que le péché disparaisse à tout jamais de mes pensées et de mes actes, il réclame une plus grande obéissance à sa volonté, une consécration plus complète à la tâche qu'il m'a dévolue.

Comme le Christ, je veux apprendre à aimer les pécheurs plus que moi-même, jusqu'au sacrifice si Dieu me le demande.

Prière.

O Dieu, garde-moi de rester insensible à l'appel que tu m'adresses par ton Fils. Fais que, prenant en horreur le péché qui m'éloigne de toi, je marche avec fidélité sur les sentiers sanctifiés qu'il m'a tracés. Amen.


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Celui qui m'a vu a vu le Père.

Jean 14: 9

 

Lecture: Hébreux 1 : 1.4

SI vous supprimiez le Christ et l'Evangile, que sauriez-vous de Dieu?

Sans doute, comme le dit saint Paul, «ses perfections invisibles, sa puissance éternelle et sa divinité se voient comme à l'oeil depuis la création du monde, quand on le considère dans ses oeuvres ». Mais l'Etre suprême qu'adorent les païens et que les philosophes se sont efforcés de dépeindre est une image bien lointaine de ce Père saint et miséricordieux dont nos âmes ont besoin.

Le Christ est venu non pour nous parler de Dieu comme l'avaient fait les sages et les philosophes, mais pour être parmi nous l'image du Dieu vivant.

Dès lors l'homme n'a plus à chercher Dieu dans l'infini des cieux ; Dieu ne se trouve ni par la raison, ni par l'intuition. C'est en Christ que nous le voyons.

«Celui qui m'a vu a vu le Père»...

Celui qui m'a vu commander aux puissances démoniaques a vu la puissance de Dieu.

Celui qui m'a vu dénoncer l'hypocrisie des pharisiens a vu comment Dieu juge.

Celui qui m'a vu relever la pécheresse a vu la miséricorde de Dieu, qui ne veut pas la mort du pécheur, mais son salut et sa vie.

Celui qui m'a vu sur la croix n'a pas vu un amour humain, mais la souffrance même de Dieu et son sacrifice.

Quand nous lisons l'Evangile, nous n'y cherchons pas seulement le récit d'une vie d'homme, nous y cherchons Dieu lui-même au travers de tous les gestes et de toutes les paroles du Christ.

«Personne n'a jamais vu Dieu », excepté le Fils et ceux qui, en contemplant le Fils, voient en lui l'image vivante de son Père, notre Père céleste.

Prière.

Eternel, notre Dieu, nous te louons de ce que tu ne te sois pas révélé aux sages et aux intelligents, mais aux humbles, aux petits qui se sont approchés du Sauveur, à nous dans la mesure où nous cherchons à te voir en Christ. Si Moïse était tout rayonnant d'avoir entendu ta voix sur le mont Sinaï, quelle ne sera pas notre joie de t'avoir contemplé toi-même, en Christ. Loué sois-tu! Amen.


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Qui dites-vous que je suis?

Luc 9: 20

 

Lecture: Luc 9: 18-26

CETTE question directe et précise fut posée par Jésus, peu de temps avant de mourir, à ses disciples réunis, et Pierre y répondit, d'un seul élan: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ».

La même question nous est adressée aujourd'hui. Il ne faut pas dire, pour éluder la réponse, que le mystère de Jésus nous dépasse... La question n'est pas de savoir qui est le Christ en soi, mais ce qu'il est pour nous. Aucune formule ne peut contenir la plénitude du Seigneur, de même qu'aucun temple ne peut enfermer le Créateur de l'univers. Mais le Sauveur sollicite notre témoignage, il attend de nous une réponse qui exprime notre émerveillement en sa présence, un cri joyeux comme celui d'André, le premier disciple: Nous avons trouvé le Messie! - Celui de Marie, à l'aube de Pâques: Rabbouni, Mon maître! - ou celui de Thomas, enfin convaincu. Mon Seigneur et mon Dieu!

Pour parler ainsi, il suffit de suivre fidèlement Jésus-Christ et de vivre avec lui. Cette intimité nous apprend à le connaître, en comptant ses bienfaits. Nous découvrons en lui l'Ami, dont la sollicitude sait admirablement épanouir la joie et consoler la douleur; et cet Ami est notre Sauveur, celui qui fait tomber nos chaînes et nous appelle à la vie libre et glorieuse des enfants de Dieu. Sa gloire resplendit plus radieuse que l'éclat d'un vitrail soudain illuminé par le soleil. Et une voix divine, qui murmure : C'est le Seigneur ! révèle à notre esprit ce que la chair et le sang sont incapables de nous enseigner.

Inoubliable instant, où s'évanouissent notre ignorance et nos tourments. Alors un chant s'élève de nos coeurs en fête à la louange du Roi pour lequel nous voulons vivre et donner notre vie. Dans l'attente de le connaître comme nous avons été connus, parce que nous le verrons face à face, nous nous joignons au peuple innombrable des rachetés et nous redisons dans l'adoration, le mot qui exprime tout et que saint Paul a formulé définitivement pour tous les âges : Christ est ma vie!

Prière.

O Père, nous fléchissons les genoux devant toi, afin que tu nous fortifies dans la foi par ton Esprit. Que le Christ habite en nos coeurs et nous révèle son amour qui dépasse toute connaissance. Ouvre nos yeux afin que nous sachions l'espérance qui s'attache au nom de Jésus et le magnifique et impérissable héritage que notre Sauveur nous a acquis par son sang. Amen.


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