Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



LA MAISON SUR LE ROC


Marie conservait toutes ces choses dans son coeur.

Luc 2: 19

 

Lecture: Luc 2: 15-20

LE Noël que nous venons de célébrer appartient déjà au passé ; les symboliques lumières de nos arbres se sont éteintes, mais non pas l'étoile qui scintille au firmament des âmes. Elle nous invite à garder fidèlement le souvenir de la «fête heureuse». Ne cessons pas de rendre grâces à Dieu pour le don suprême par lequel il a voulu susciter, au sein d'une race déchue, un peuple régénéré. Il a envoyé son « Fils unique». A Noël, en Christ, l'humanité est née à nouveau.

Chaque fois que revient l'époque bénie de Noël, la chrétienté retourne à son humble origine. L'immense famille des consolés, des affranchis, des sanctifiés, se penche sur les temps anciens et s'incline devant le mystère de la grâce. Elle revit l'épopée palestinienne, depuis les jours clairs des Béatitudes jusqu'aux heures douloureuses de la Passion. Elle se redit l'Evangile tout entier, toutes les paroles prononcées par celui qui fut la «parole faite chair » et conservées par l'Eglise comme un trésor impérissable.

Plaignons ceux pour qui Noël n'évoquerait que le souvenir, si touchant soit-il, de l'étable et de la crèche. En réalité, ce que Noël rappelle à nos âmes, c'est toute la vie du Christ et son oeuvre rédemptrice. Et voilà aussi ce que nous voulons conserver toujours, suivant l'exemple de Marie, dans la reconnaissance et l'adoration. Demeure, ô mon âme, dans la lumière de Noël; ne te laisse pas reprendre les espérances, les promesses, les certitudes dont cet anniversaire t'a ouvert le trésor. Souviens-toi de tout ce que tu as reçu de Dieu. En te donnant Jésus-Christ, il a brisé pour toi la menace implacable du péché et de la mort et t'a ouvert libre accès à la vie éternelle. Noël! Ton Roi s'est approché de toi. Tu l'as accueilli, garde-le et ne te détache jamais de lui.

Prière.

Seigneur, notre Dieu, nous joignons nos actions de grâces aux louanges qui, de toute la terre, montent vers toi. Tu nous as envoyé un Sauveur, et nous avons « tout pleinement en lui». Tu as tracé et éclairé pour nous le chemin de la joie, de la paix et de l'espérance. En ramenant Noël à notre foyer, tu as voulu raviver encore la flamme de notre foi. Tu nous as tant aimés que tu nous as donné ton Fils. nous voulons aussi t'aimer de tout notre coeur, de toute notre âme et de toute notre pensée. Amen.


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Souviens-toi.

Deutéronome 8 : 2

 

Lecture : Deutéronome 8: 1-5

 

C'EST une grande bénédiction que Dieu nous accorde en nous groupant devant lui en cette fin d'année. L'heure est propice aux souvenirs. Les jours de l'an qui s'achève se rappellent à notre mémoire l'un après l'autre, et, comme Israël en Canaan, nous nous souvenons de tout le chemin par lequel l'Eternel notre Dieu nous a fait passer. Nous le parcourons à nouveau par la pensée et nous évoquons nos joies et nos tristesses, nos échecs et nos réussites, nos soucis et nos délivrances. Tout au long de ce chemin, nous nous retrouvons nous-mêmes, avec nos défauts et nos manquements, nos tentations et nos défaillances; mais nous y trouvons aussi Dieu qui malgré tout ne nous a laissé manquer de rien; Dieu qui s'est penché sur nous à l'heure de la souffrance et du deuil ; Dieu qui nous a encouragés et relevés. Il est bon d'évoquer ce passé, car il nous montre à chaque pas la sollicitude et l'amour de notre Dieu, en même temps que notre ingratitude et notre manque de foi. Il faut que le passé nous instruise et prépare l'avenir. Cette année dans laquelle nous allons entrer est pour nous comme une inconnue au visage fermé, indéchiffrable. Nos souvenirs de l'an qui s'achève vont éclairer la route sur laquelle nous nous engageons.

Ils sont la preuve certaine que, quoi qu'il arrive, la bonté de Dieu sera sur nous, l'indice sûr que, même dans les circonstances les plus douloureuses, nous pourrons compter sur son secours et sa fidélité. Si les années passent, Dieu, lui, ne change point. En celui que les croyants ont toujours appelé l'Eternel, il n'y a ni changement ni ombre de variation. Nous pouvons donc en toute sécurité mettre en lui notre confiance et nous appuyer sur lui comme sur le Rocher des siècles, le Père d'éternité.

Prière.

Seigneur, en parcourant du regard le chemin du passé, nous y trouvons de grands encouragements. Tu nous as donné les forces nécessaires à l'accomplissement de notre travail quotidien, et si tu nous as éprouves, tu as mis dans chacune de nos souffrances un fruit de repentir et d'affermissement. C'est pourquoi nous te disons notre reconnaissance pour le passé et notre confiance pour l'avenir. Amen.


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Ma destinée est dans ta main.

Psaume 31 : 15

 

Lecture : Psaume 31 : 2-4, 15-16, 20

UNE année est passée. Elle nous a apporté des joies et des douleurs. Mais dans nos jours difficiles, Dieu a été près de nous; il ne nous a pas laissés, même dans nos deuils. Au moment de commencer une nouvelle année, il est précieux de se souvenir que jusqu'à maintenant, Dieu nous a secourus.

L'avenir s'ouvre devant nous, mystérieux. Que nous réserve-t-il? Nous n'en savons rien. Mais certainement il y aura des jours où la joie remplira nos coeurs et d'autres où nous pleurerons. Nos enfants continueront à sourire, et il y aura toujours des malades dans les hôpitaux. Mais quand l'avenir est sombre et inquiétant, quand nous' nous demandons ce que demain nous réserve, la Bible nous répond: «Nous allons où Dieu le veut, nos destinées sont dans sa main».

C'est lui le Maître, il nous mène et il nous garde.

Un acte de foi nous est demandé aujourd'hui. Faisons confiance à notre Père. Notre vie n'est pas l'effet du hasard. Tout ce qui nous arrive à une raison, que nous ne comprenons pas toujours immédiatement. Mais nos destinées sont dans la main de Dieu; notre devoir est donc de rechercher la volonté du Père et de nous y soumettre.

Dieu a fait de nous des créatures immortelles et nous sommes entrés dans l'éternité en entrant dans cette vie terrestre; chaque jour et chaque heure passés ici-bas appartiennent déjà à l'au-delà. C'est pourquoi soyons vigilants et souvenons-nous que tout dépasse le temps présent; nous devons agir, parler et vivre dans la pensée de l'éternité. Devant l'avenir qui nous trouble et vers lequel nous devons aller, réjouissons-nous cependant, car chaque jour nous rapproche du moment où nous serons pour toujours avec Dieu, et dans cette attente, remettons nos destinées entre ses mains.

Prière.

O Père, nous te remercions de nous permettre de commencer une nouvelle année. Si tu nous maintiens sur cette terre, c'est parce que tu nous confies une tâche; montre-la nous clairement et donne-nous la force de l'accomplir. Quoi qu'il nous arrive, des joies ou des épreuves, que nous restions toujours en étroite communion avec toi, par Jésus-Christ, dans la certitude que «nos destinées sont entre tes mains». Amen.


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Oubliant ce qui est en arrière...

Philippiens 3 : 14

Lecture: Philippiens 3: 12-16

 

UNE année encore vient de s'écouler et par la pensée nous la revivons, avec les joies et les souffrances qu'elle nous a apportées.

Nous remercions Dieu pour les joies et nous comprenons mieux la valeur enrichissante des souffrances passées. Mais cet examen, comme c'est devant un Dieu saint que nous le faisons, il nous conduit à passer en revue toute la longue série de nos infidélités, de nos manquements, de nos défaites. Que d'heures sombres... Que d'heures que nous voudrions effacer... Elles nous obsèdent. Ce fardeau qui continue à peser sur nos épaules faudra-t-il le conserver avec l'an qui vient? Les forces nous manquent à cette perspective. Mais Dieu demande de nous une autre attitude. Avec lui tout peut recommencer. Il nous suffit de lever les yeux, de les détacher de ce qui fait notre honte, notre désespoir, pour les fixer sur Celui qui pardonne les iniquités reconnues sincèrement, humblement.

Oubliant ce qui est en arrière, me portant vers ce qui est en avant, je veux courir vers le but, je veux remonter jusqu'à la source, allégé du fardeau qui me retenait dans la plaine. Entre le bas de la pente où je suis et le sommet si lointain que m'arrivera-t-il? Questions multiples dont Dieu connaît les réponses. je veux faire confiance à Dieu; j'accepte de ne rien savoir puisqu'il m'attend au but. Je sais seulement qu'avec Christ, libéré par lui, je puis aspirer à une vie plus noble, plus saine, plus parfaite, je puis y croire. Fort du sentiment de ma faiblesse, je marcherai avec lui d'un pas plus égal, plus ferme, plus assuré.

Prière.

Père, je dépose devant toi ce fardeau de péchés que tu connais; que ce pardon que tu me donnes et que je saisis avec joie me fasse oublier ce qui est en arrière. Fais de moi dès aujourd'hui une créature nouvelle, consciente de ses faiblesses passées, présentes et à venir, si consciente qu'elle ne cherche un refuge qu'en toi, la seule force. Tout ce que j'ignore de cet avenir qui m'attend, tu le sais et cela me suffit. Tiens-moi près de toi, à ta disposition, pour ton service. Amen!


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Partage ton pain avec l'affamé.

Esaïe 58 : 7

 

Lecture : Romains 10: 12-15

LE croyant est comblé en Jésus-Christ des biens les plus précieux. Il a «tout pleinement en lui». Délivré des craintes et des superstitions, pardonné, régénéré, il a la paix avec Dieu, avec ses frères, et la promesse de la vie éternelle. Pour recevoir le pain de vie, il n'a qu'à tendre les mains par la prière, ouvrir la Bible, participer aux cultes de son Eglise.

Mais ces millions d'êtres humains qui ignorent encore l'Evangile n'ont pour satisfaire leur âme affamée de vérité et de secours spirituel, que les pauvres rudiments de leur religion païenne. Ils sont nos frères.

Ils ne se rendent souvent pas compte de leur état, mais ils souffrent.

Quelles farouches cérémonies ou quels terribles sacrifices ne font-ils pas, dans l'espoir toujours déçu d'amener la paix dans leur âme?

Il est impossible au chrétien de rester indifférent devant ces incommensurables détresses. L'évangélisation en terre lointaine n'est pas seulement un ordre du Maître, elle est une nécessité de la foi : tous les hommes doivent être conduits à la vérité. Elle est un devoir de la charité : le croyant doit porter secours a ceux qui souffrent. Elle est un acte de reconnaissance: touchés de la bonté de Dieu, nous devons le servir jusqu'aux extrémités de la terre.

Comment partager notre pain avec l'affamé des pays païens? Par la sympathie, l'amour et la foi qui dictent et inspirent nos prières ; par la fidélité de nos intercessions ; par l'intérêt que nous portons à l'oeuvre missionnaire ; par notre générosité.

Sachons soutenir la mission par nos dons et nos prières.

Prière.

O notre Dieu, nous te bénissons pour les grâces que tu nous as accordées en Jésus-Christ. Apprends-nous à partager notre pain avec l'affamé. Soutiens notre intercession, écoute nos prières, rends-nous généreux. Ouvre nos coeurs, pour que nos dons correspondent aux besoins de ton oeuvre. Que ton règne vienne. Amen.


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Enseignez toutes les nations.

Matthieu 28: 19

 

Lectures: Matthieu 9: 35-38 ; 28: 19-20

TOUTES les nations! Comment une pareille pensée a-t-elle pu être formulée par un humble prophète, en Palestine, au sein d'un peuple qui était séparé du monde par une muraille de préjugés? Etait-ce une ambition démesurée ou une espérance légitime?

Notre Seigneur voyait les âmes de tous les hommes, dans tous les temps, leurs souffrances, leur péché, leur salut. Il entrait dans la pensée de Dieu qui, plusieurs siècles auparavant, avait déjà enveloppé l'humanité entière dans un même amour, en disant à Abraham: «Toutes les familles de la terre seront bénies en toi ».

Les apôtres ont accepté ce programme de salut universel qui s'élevait infiniment au-dessus de leur temps et que les hommes, aujourd'hui, réalisent encore si difficilement. Ils ont obéi à l'ordre de Jésus. Ils ont proclamé ses enseignements et les ont fait pénétrer dans tous les milieux. Ils ont introduit des moeurs nouvelles dans le monde païen, et pour cette oeuvre surhumaine ils ont été soutenus par la puissance de Dieu. L'apôtre Paul s'est écrié un jour : « Il n'y a plus ni Juif, ni Grec; il n'y a plus ni esclave, ni libre; il n'y a plus ni homme, ni femme; car tous, vous êtes un en Christ ».

Voilà l'oeuvre qui, aujourd'hui encore, s'impose aux Missions du XXe siècle, en faveur de tous les peuples, même les plus déshérités et les plus éloignés, car le salut n'est pas réservé à quelques privilégiés. Secouons donc notre indifférence, élargissons notre intérêt, prenons au sérieux la volonté de Dieu, qui est le salut de tous les hommes.

Faire connaître l'Evangile aux nations, au lieu de les assujettir; les enrichir du vrai trésor qui est en Christ, plutôt que de les exploiter; les baptiser au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, au lieu de les inonder de sang, comme on l'a fait trop souvent, n'est-ce pas la tâche glorieuse à laquelle nous devons tous contribuer avec zèle et fidélité?

Prière.

Seigneur notre Dieu, apprends-nous à aimer l'oeuvre que tu poursuis dans le monde par le moyen de tes serviteurs. Convertis-nous à toi pour que nous entrions, nous aussi, à ton service. Bénis tous ceux qui travaillent à l'avancement de ton Règne, dans notre pays et au milieu des païens. Au nom de Jésus. Amen.


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Ta vocation.

Je vous exhorte à vous conduire d'une manière digne de la vocation qui vous a été adressée. Ephésiens 4: 1

 

Lecture : Tite 2 : 11-14

JEUNES gens, la fête de la réception signifie que Dieu vous appelle à vivre en chrétiens. Une telle vocation n'est pas au-dessus de votre portée. Un chrétien n'est pas un parfait, il n'est pas un vainqueur, mais un combattant. A l'encontre de tous les lâches qui s'abandonnent sans résistance au courant qui les entraîne, un chrétien bataille pied à pied contre le péché. « Le sort de l'homme sur la terre est celui d'un soldat. » Soldat du Christ, le chrétien ne s'avoue jamais vaincu, il ne capitule jamais devant l'ennemi. Répondant à Jésus qui vous appelle, ayez pour devise: En avant!

Cette vocation de chrétien doit être réalisée dans votre existence quotidienne. Vous allez exercer un métier qui peut paraître vous éloigner du service de Dieu, en vous entraînant à des actions incompatibles avec la profession chrétienne. Mais en fait que vous soyez paysan, ouvrier, employé, votre métier est une vocation spéciale de Dieu, au même titre que la vocation de «serviteur de Dieu ». Et Dieu, qui vous confie cette tâche précise, vous exhorte en même temps à l'accomplir en chrétien.

Il n'y a pas deux vocations, distinctes sinon contradictoires, celle du chrétien et celle de l'homme, l'une religieuse et l'autre profane. Tous vous entrez dans la vie avec une vocation particulière dans laquelle Dieu vous appelle à combattre le bon combat. Luttez pour incarner dans la plus humble vie les plus nobles pensées d'une âme illuminée pair Jésus-Christ; luttez pour que la gloire de Dieu rayonne dans votre labeur quotidien : tel est l'appel qui vous est adressé ; il est glorieux et digne de Dieu. Soyez digne de lui.

Prière.

O Dieu, avant d'entreprendre notre tâche d'homme et de chrétien, nous implorons de toi la grâce qui nous est nécessaire. Toi qui rends les tiens vaillants et forts, soutiens-nous dans nos luttes, donne-nous la claire vision de notre vocation et que l'esprit du Christ ennoblisse notre travail. Humbles combattants d'une grande cause, nous regardons à toi, le grand Vainqueur, afin de rester fidèles jusqu'à la mort. Amen.


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Je ne te prie pas de les ôter du monde.

Jean 17 : 15

 

Lecture: Jean 17 : 15-19, 24-26

QUE deviendront ces jeunes, qui sont dès maintenant de nouveaux membres de l'Eglise? Seront-ils forts devant la tentation et devant l'épreuve? A notre joie se mêle de l'anxiété. Nous aimerions pouvoir les préserver de tout mauvais contact, de toute influence dangereuse. Mais gardons-nous de déformer le christianisme et d'en faire une religion de moines enfermés dans leurs couvents ou de sectaires étroits fuyant le monde.

Envisageons la vie de ces jeunes membres de l'Eglise. elle se déroulera parmi les hommes, dans un monde où se poursuit sans cesse la lutte du bien et du mal, où se rencontrent journellement les belles âmes et les esprits tarés. Il est vain de se retirer du monde pour échapper au mal: celui-ci existe en l'homme, il l'accompagne même dans le désert le plus reculé. OÙ qu'on soit, la lutte est inévitable ; il faut donc accepter d'être jeté en pleine mêlée et de prendre part avec les armes de Dieu à la lutte, qui meurtrit et qui aguerrit.

Sachant combien dur sera ce combat, faisons monter vers Dieu la prière du Christ, comme une intercession pour ceux que nous aimons : «Je ne te prie pas de les ôter du monde». Car nous avons à l'égard de ces jeunes une grande responsabilité : nous sommes leurs aînés, leurs parents, leur prochain ; ils regardent à nous, et notre exemple peut ou bien les fortifier dans la foi et les rapprocher de Dieu, ou bien leur être une funeste tentation et une occasion de chute.

Mettons-nous toujours avec eux sous l'inspiration divine; tenons-nous près de Dieu par le coeur et la pensée, dans la prière ; ainsi ils seront préservés du mal. Ils resteront dans le monde: non pas pour en subir l'influence mauvaise, mais pour agir au nom de Dieu et faire rayonner dans le monde l'esprit chrétien.

Prière.

Seigneur, inspirateur et soutien de l'Eglise, regarde en ta bonté les jeunes gens qui confirment aujourd'hui l'engagement de leur baptême. Nous les aimons et te prions pour eux; dans la mêlée humaine, garde leur âme. Donne-leur une vie utile, heureuse et sainte. Fais qu'ils te glorifient par leur foi, leur espérance et leur charité. Et que nous soyons pour eux, par nos actes et nos paroles, un appui et un exemple, sur le chemin qui conduit à toi. Amen.


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