Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



SAINT PIERRE A ANTIOCHE.


II.

Je passe maintenant à la deuxième leçon, savoir : Qu'il est plus important pour une Église d'y sauvegarder la vérité que d'y conserver la paix.

Je suppose qu'aucun homme ne connut mieux que Paul le prix de la paix. C'était cet apôtre qui écrivait aux Corinthiens cette belle peinture de la charité. - Ce fut lui qui disait : « Soyez d'un même sentiment les uns envers les autres, - soyez en paix entre vous, - pensez aux mêmes choses. - Le serviteur de Dieu ne doit pas contester. - Il y a un seul corps et un seul esprit, de même vous êtes appelés à une seule espérance par votre élection. - Il n'y a qu'un Seigneur, qu'une foi et qu'un baptême. » Ce fut encore cet apôtre qui disait : « Je nie fais tout à vous, afin d'en sauver quelques tins. » Toutefois, voyez comment il agit dans cette occasion. - Il résiste à Pierre en face ; il le reprend publiquement ; il court le risque de toutes les conséquences qui peuvent s'en suivre ; il assume la responsabilité de tout ce que les ennemis pourront dire de l'Église d'Antioche. Voyez surtout comme il écrit ce fait, pour être un perpétuel mémorial qui ne pourra jamais être oublié, afin que partout où l'Évangile sera prêché dans le monde, ce reproche publie, adressé par un apôtre à un apôtre qui se trompait, pût, être lu et arriver à la connaissance de tous les hommes.

Maintenant, pourquoi agit-il ainsi ? Parce qu'il redoutait par-dessus tout la fausse doctrine, - qu'il savait qu'il ne faut qu'un peu de levain pour faire lever toute la pâte, - qu'il voulait nous apprendre qu'il faut être ému à jalousie pour la vérité, et craindre davantage de perdre la liberté que la paix.

Lecteur, l'exemple de Paul est un de ceux dont nous devons nous souvenir de nos jours. Beaucoup de gens accepteront toute chose en religion, pourvu qu'ils mènent une vie paisible. lis ont une terreur maladive pour ce qu'ils appellent « la controverse, » pour ce qu'ils désignent d'une manière vague sous le nom « d'esprit de parti, » quoiqu'ils ne définissent jamais clairement ce que c'est que cet esprit de parti.

Ils sont possédés d'un désir fiévreux de conserver la paix, de faire que toutes choses soient douces, agréables et faciles, fût-ce même aux dépens de la vérité. Pourvu qu'ils aient l'ordre à l'extérieur, ils sont contents de renoncer à tout le reste. Je crois qu'ils auraient admis avec Achab qu'Elie était un trouble paix en Israël, et qu'ils auraient prêté assistance aux princes de Juda quand ils mirent Jérémie en prison pour lui fermer la bouche. « Je ne mets pas en doute que bon nombre de ces hommes dont je parle n'eussent pensé que Paul à Antioche s'était conduit en imprudent, et qu'il avait été trop loin. »

Je crois que c'est un tort ; nous n'avonsnul droit d'exiger autre chose que le pur Évangile de Christ, - sans mélange et sans altération, le même Évangile qu'ont enseigné les apôtres pour faire du bien aux âmes des hommes. Je crois que pour conserver cette pure vérité dans l'Église, chacun devrait être prêt à faire toute espèce de sacrifice, à compromettre la paix, à risquer la dissidence et même à courir la chance de la séparation. - On ne doit pas plus tolérer les fausses doctrines qu'on ne tolérerait le péché. Il faut résister à toute addition comme à tout retranchement qu'on ferait subir au pur message de l'Évangile de Christ.

C'était par amour pour la vérité que notre Seigneur Jésus-Christ dénonçait les pharisiens, quoiqu'ils fussent assis sur la chaire de Moïse et qu'ils eussent été autorisés et choisis pour enseigner les hommes. « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! » C'est ainsi qu'il les interpelle huit fois dans le XXIIIe chapitre de Matthieu. Et qui osera soupçonner que notre Seigneur ait eu tort ?

Ce fut pour l'amour de la vérité que Paul reprit et blâma Pierre, quoiqu'il fût un frère. À quoi eût servi l'unité si la pure doctrine avait disparu. Et qui osera dire que Paul ait en tort ?

Ce fut pour l'amour de la vérité qu'Athanase lutta contre le monde pour maintenir la pure doctrine de la divinité de Jésus-Christ, et soutint une controverse contre la grande majorité de l'Église qui portait le nom de chrétienne. - Et qui osera dire qu'il ait eu tort ?

Ce fut pour l'amour de la vérité que Luther rompit l'unité de l'Église dans laquelle il était né, qu'il attaqua le pape dans tontes ses erreurs, et qu'il posa le fondement d'un enseignement nouveau. Et qui osera dire que Luther ait eu tort ?

Ce fut pour l'amour de la vérité que Cranmer, Ridley et Latimer, les réformateurs de l'Angleterre, donnèrent à Henri VIII et à Édouard VI le conseil de se séparer de Rome et de risquer les conséquences de cette division. Et qui osera dire qu'ils eurent tort ?

Ce fut pour l'amour de la vérité que Whitefield et Wesley, il y a un siècle environ, attaquèrent la prédication de simple morale du clergé de leur temps, et se répandirent dans les grands chemins et les lieux écartés pour sauver les âmes, sachant bien qu'ils allaient être excommuniés de leur Église. Et qui osera dire qu'ils eurent tort" !

Oui ! lecteur, la paix sans la vérité est une fausse paix, c'est la paix du démon. - L'unité sans l'Évangile est une unité sans valeur, c'est l'unité même de l'enfer. Ne nous laissons jamais endoctriner par ceux qui en parlent avec douceur et ménagement Rappelez-vous ces mots de notre, Seigneur Jésus-Christ ; « Ne croyez pas que je sois venu pour apporter la paix sur la terre ; je suis venu apporter non la paix, mais l'épée. » - Rappelez-vous les éloges qu'il donne à l'une des sept Églisesde l'Apocalypse : « Je sais que tu ne peux souffrir les méchants, que tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres et qui ne le sont pas, et que tu les as trouvés menteurs. » Souvenez-vous du blâme qu'il jette sur une autre de ces Églises : « Tu souffres que la femme Jézabel enseigne. » - Ne vous rendez jamais coupable de sacrifier la moindre portion de la vérité sur l'autel de la paix. Imitez les Juifs, lesquels, s'ils trouvaient dans une copie manuscrite des Écritures de l'Ancien Testament une erreur d'une seule lettre, jetaient toute la copie au feu plutôt que de courir le risque de perdre un point ou un signe de la Parole de Dieu. N'exigez rien de moins que l'Évangile complet de notre Seigneur Jésus-Christ.

Où en êtes-vous, lecteur, quant à l'usage pratique des principes généraux que je viens de vous exposer ? Je vous donnerai un simple avertissement sur ce sujet : croyez-moi, il est digne de votre sérieuse attention.

Je vous engage donc, par amour pour la vérité, d'être très précautionnés quant, à là prédication que vous allez entendre régulièrement et au lieu de culte où vous assistez d'ordinaire. Gardez-vous avec soin de vous placer volontairement sous les soins d'aucun pasteur dont la doctrine soit notoirement reconnue mauvaise. Je n'ai jamais hésité de proclamer hautement mon opinion sur ce point. Je sais fort bien que beaucoup de gens regarderont comme une chose choquante d'abandonner l'Église dans sa paroisse ; niais je pense tout différemment. J'établis sans doute une grande différence entre l'enseignement qui laisse à désirer et celui qui est entièrement faux, - entre l'enseignement qui erre du côté négatif et celui qui est positivement anti-scripturaire. Mais je crois que si une fausse doctrine est invariablement prêchée dans une Église paroissiale, un paroissien qui aime son âme a tout à fait raison en ne s'y rendant pas. - Entendre une prédication anti-scripturaire cinquante-deux fois par année, est une chose sérieuse. C'est infiltrer continuellement une goutte de poison lent dans l'âme.

Il me semble presque impossible qu'un homme puisse s'y soumettre volontairement sans en souffrir. Je vois que le Nouveau Testament nous dit clairement « Éprouvez toutes choses et retenez ce qui est bon. » Je vois dans le livre des Proverbes qu'il nous est, ordonné « de cesser de prêter l'oreille à l'instruction qui nous écarte des sentiers de la connaissance. » Si ces paroles ne justifient pas l'homme qui abandonne son Église, quand la doctrine qu'on y prêche est manifestement fausse, - je ne sais pas ce que ces paroles signifient.

Quelqu'un nous dira-t-il qu'assister à l'Église de sa paroisse est une chose absolument nécessaire pour le salut ? S'il existe un tel homme, qu'il l'avoue et qu'on nous le nomme Quelqu'un osera-t-il affirmer qu'il suffit qu'un homme aille à l'Église de sa paroisse pour sauver son âme, s'ilmeurt inconverti et sans connaître Christ ? - qu'on nous le montre et qu'il se nomme. Si quelqu'un prétend que d'assister au culte dans l'Église de sa paroisse suffira pour lui donner la connaissance de Christ, la conversion, la foi ou la repentance, quoique ces sujets soient à peine nommés dans la dite Église et n'y soient jamais clairement enseignés, qu'on nous le montre et qu'il se nomme. - Enfin, si quelqu'un prétend dire qu'un homme qui se repent et qui croit en Christ, qui est converti et sanctifié, est dans le cas de perdre son âme s'il abandonne son Église paroissiale et va recevoir sa nourriture ailleurs, qu'on nous le montre et qu'on nous dise son nom. Pour moi, j'ai en horreur des doctrines aussi monstrueuses et aussi extravagantes. Je n'y trouve pas un iota de fondement dans la Parole de Dieu, et j'espère que le nombre de ceux qui y tiennent est extrêmement faible.

Par exemple, il est bien des paroisses en Angleterre où l'enseignement religieuxn'est guère meilleur que celui du catholicisme romain. - Or, des laïques devront-ils s'asseoir sur les bancs de ces Églises, être satisfaits et recevoir tranquillement ce qu'on leur donne ? - Non, ils ne le doivent pas. Et pourquoi cela ? parce qu'à l'instar de saint Paul le devoir est de préférer la vérité à la paix.

Il y a d'autres paroisses où l'enseignement n'est guère que de la morale, où les doctrines distinctives du christianisme ne sont jamais clairement proclamées. - Platon ou Sénèque auraient enseigné presque les mêmes choses, - un laïque devra-t-il s'en contenter ? Certainement non. Et pourquoi ? Parce qu'à l'instar de Paul ils ont dû préférer la vérité à la paix.

Lecteur, j'emploie un langage bien sévère en traitant ce sujet. Je le sais. Je marche sur un terrain glissant. - Je touche à des matières qu'on laisse généralement de côté et qu'on passe sous silence. Je la sais ; mais ce que je dis, je le dis avec le sentiment de mon devoir envers l'Église dont je suis pasteur. Je crois que les circonstances du temps présent et la position des laïques dans quelques parties de l'Angleterre exigent que je m'explique clairement. Dans plusieurs paroisses, des âmes périssent par ignorance, - d'honnêtes membres de l'Église anglicane sont scandalisés et inquiets. Ce n'est donc plus le temps des paroles douces. - Je n'ignore pas ces expressions : « le système paroissial, l'ordre, la division, le schisme, l'unité, la controverse, etc., etc. » Je connais l'influence sourde et silencieuse qu'elles exercent sur quelques esprits. - J'ai moi-même envisagé ces expressions avec calme et réflexion, et je suis prêt à dire mon opinion sur chacune d'elles.

Le système paroissial de l'Angleterre est quelque chose d'admirable en théorie, pourvu qu'il soit bien administré et dirigé par des ministres vraiment spirituels, et alors il est fait pour conférer les plus grandes bénédictions au pays. Mais c'est en vain qu'on attendra l'attachement à une Église de paroisse, dont le ministre ne connaît pas l'Évangile ou est un mondain. Dans un cas pareil, nous ne devons pas nous étonner si des hommes abandonnent leur Église de paroisse, et vont chercher la vérité là où elle se trouve. - Si le pasteur de la paroisse ne prêche pas l'Évangile et qu'il n'y puise pas sa vie, les clauses au nom desquelles il réclame l'attention de ses paroissiens sont virtuellement enfreintes, et son droit d'être écouté ne subsiste plus. C'est absurde de compter qu'un chef de famille mettra en danger les âmes de ses enfants et la sienne propre, par amour pour l'ordre paroissial. Il n'est pas fait mention de paroisses dans la Bible, et nous n'avons aucun droit d'obliger des hommes à vivre et à mourir dans l'ignorance, pour qu'ils puissent dire à la fin : « J'ai toujours fréquenté l'Église de ma paroisse. »

Les divisions et les séparations sont les plus fortes objections en matière religieuse.Elles affaiblissent la cause du vrai christianisme. Elles fournissent aux ennemis de toute piété l'occasion de blasphémer contre lui ; mais avant de distribuer le blâme, nous devons nous enquérir soigneusement pour savoir à qui il doit être imputé. La fausse doctrine et l'hérésie sont pires que, le schisme. Des gens qui se séparent d'un enseignement positivement faux et anti-scripturaire, méritent plutôt la louange que le blâme. Dans un cas pareil la séparation est une vertu et non un péché. Il est aisé de faire des remarques moqueuses « sur la démangeaison des oreilles, - et sur l'amour des émotions ; » mais il ne l'est pas autant de convaincre un simple lecteur de la Bible qu'il est de son devoir d'entendre prêcher chaque dimanche une fausse doctrine, quand, à l'aide d'un petit dérangement, il peut entendre la vérité : l'on ne doit jamais oublier ce vieux dicton : - « C'est celui qui cause le schisme qui est schismatique. »

L'unité, l'ordre et la tranquillité parmiles chrétiens sont de puissantes bénédictions. Elles donnent à la cause de Christ force, efficace et beauté, mais l'or lui-même peut-être payé plus qu'il ne vaut. - L'unité qui est acquise au prix du sacrifice de la vérité est sans aucune valeur. ce n'est pas par une telle unité qu'on peut plaire à Dieu. L'Église de Rome se vante hautement d'une unité qui n'en mérite pas le nom. C'est une unité qui est obtenue en cachant au peuple la Bible, en s'appuyant sur une autorité humaine, en encourageant l'ignorance, et en défendant aux hommes de penser par eux-mêmes. Semblables aux anciens guerriers qui exterminaient tous ceux qui leur résistaient, l'Église romaine « crée une solitude et appelle cela, paix. » - Il y a assez de calme et de silence dans le tombeau ; mais ce n'est pas le calme de la santé, c'est celui de la mort. C'étaient de faux prophètes qui criaient : « Paix, paix, où il n'y avait point de paix. »

La controverse en religion est une chose odieuse. Il est déjà assez pénible de combattre contre Satan, le inonde et la chair, sans établir des luttes dans notre propre camp, Mais il y a une chose qui est pire que la controverse ; c'est une fausse doctrine tolérée, avouée et établie sans protestation ni résistance. C'est la controverse qui a amené le triomphe de la réformation protestante. Si les vues que professent aujourd'hui quelques hommes étaient justes, il est clair que nous n'aurions jamais dû avoir la réforme. Pour l'amour de la paix, nous aurions dû adorer la Vierge et fléchir les genoux devant des images et des reliques, et nous y serions encore soumis aujourd'hui. Arrière de nous d'aussi inadmissibles prétentions ! Il est des temps où la controverse est non seulement un droit, mais une bénédiction. Je préfère l'orage et le tonnerre à la malaria pestilentielle. Cette dernière marche dans les ténèbres, nous empoisonne en silence et nous perd pour toujours, tandis que le premier nous effraie et nous trouble pour un peu de temps ; mais bientôt après l'air recouvresa pureté et sa sérénité. C'est un devoir formellement enseigné dans l'Écriture : « Que nous devons combattre avec ardeur pour la foi, jadis apportée aux saints. »

Je suis convaincu d'avance que les choses que je viens de dire sont excessivement déplaisantes à plusieurs esprits. Je crois qu'il en est beaucoup qui sont satisfaits d'un enseignement qui ne renferme pas toute la vérité, et qui s'imaginent qu'à la fin ce sera « la même chose. » Je m'en afflige pour eux, et je suis convaincu que la vérité, et rien que la vérité, peut seule, en règle générale, faire du bien aux âmes. Je suis certain que ceux qui retranchent volontairement quelque portion de la vérité, se trouveront à la fin avoir fait tort à leurs âmes. Il y a trois choses avec lesquelles les hommes ne doivent pas plaisanter : - un peu de poison, - un peu de fausse doctrine, - et un peu de péché...

Je ne me dissimule pas que quand un homme exprime des opinions telles que celles que je viens d'exposer, plusieurs personnes seront prêtes à dire : Cet homme n'est pas de l'Église ; mais ces accusations me touchent peu. Le jour du jugement montrera quels étaient les vrais amis de l'Église et ceux qui ne l'étaient pas. J'ai vu, depuis ces dernières années, qu'on appelle un bon homme d'Église, - un ministre qui mène une vie paisible, qui laisse tranquille la partie inconvertie de son troupeau, et qui prêche de manière à ne blesser et a n'édifier personne. Et j'ai été également témoin, qu'un homme qui prêchait les doctrines vitales de l'Évangile, qui travaillait avec constance à la conversion des âmes, était appelé un boutefeu, une occasion de trouble en Israël, et qu'on lui refusait le titre de bon homme d'Église. - En effet, j'ai pu voir clairement que les meilleurs de ces derniers n'étaient pas ceux qui parlaient le plus haut sur les matières d'Église. - Je me souviens aussi que nul ne cria plus fort « trahison, » qu'Athalie, et cependant c'était elle qui trahissait. - J'ai observé que dans l'Églised'Angleterre plusieurs de ceux qui élevaient le plus la voix pour exalter les privilèges ecclésiastiques, ont fini par abandonner l'Église d'Angleterre pour se joindre à celle de Rome. Les hommes peuvent dire ce qu'ils veulent ; mais les plus vrais amis de l'Église anglicane sont ceux qui travaillent le plus à la conservation de la vérité.

Lecteur, je mets ces choses devant vos yeux, et j'appelle sur elles votre sérieuse attention. Je vous supplie de n'oublier jamais que la vérité est d'une plus haute importance pour une Église que la paix - soyez prêts à proclamer les principes que je viens de développer, et à combattre avec zèle, s'il le faut, pour la vérité. faites-le, et vous aurez tiré quelque profit de ce qui s'est passé à Antioche.


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