Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Quel cas doit-on faire
de l'homme ?



CHAPITRE 3

Contraste entre Christ et l’homme.

Ne soyons pas étonné des difficultés à entrer dans le sujet de l’incarnation de Dieu, "Dieu a été manifesté en chair" (1 Timothée 3.16) Elles sont liées au fait que notre vieille nature ne peut ni ne veut le concevoir, car "la pensée de la chair … ne le peut pas" (Romains 8.7).
Pour cela, il faut le secours de l’Esprit de Dieu car
"personne ne connaît le Fils, si ce n'est le Père’" (Matthieu 11.27).

Christ, a été "en toutes choses comme nous à part le péché", révèle l’Épître aux Hébreux.
Cette expression "comme nous " produit un mélange d’incompréhension et d’émerveillement ! Mais n’omettons jamais ce que la Parole ajoute " à part le péché".
La condition d’homme, Christ l’a prise volontairement, "en entrant dans le monde", pour nous secourir et nous sauver. Pour cela il a été tel que nous sommes physiquement avec les besoins liés au corps que nous connaissons, la faim, la soif, la douleur. Pour devenir homme, afin qu’un homme parfait soit introduit dans les sanctuaires célestes, avec à sa suite tous ceux qui ont la vie divine, il fallait que semblablement à nous il connaisse en pratique l’humanité afin de participer au sang et à la chair (Hébreux 2.14).

Dans les Écritures, l’Ancien Testament suggère bien des types de Christ. Ils sont très utiles pour nous faire saisir certaines des multiples facettes de sa gloire. Ces types sont présentés avec des caractères divers afin d’illustrer des côtés différents que nous sommes incapables d’embrasser dans leur ensemble.
Un des plus profond, est celui que nous présente la scène de Morija avec Isaac, type de Christ, devant être offert en sacrifice pour le péché, l’Agneau offert en holocauste. La vie de Joseph représente une suite remarquable d’exemples moraux et de dévouement pour Dieu. Plus loin David évoque le type du Roi choisi par Dieu, comme Salomon incarne le Roi de gloire. Mais tous ces personnages, choisis ainsi par Dieu comme type de Celui qui devait venir, ne sont que des hommes. Ils ont tous faillis, quelques-uns uns de manière tragique, manifestant leur propension à pécher. Jésus est, et restera le seul homme n’ayant qu’une nature, la nature divine.

- Nos mobiles - Ceux de Jésus :

Nous sommes installés sur la terre pour y vivre et c’est bien légitime, puisque la volonté de Dieu est que nous menions "une vie paisible, tranquille en toute honnêteté et piété" (1 Timothée 2.2).
En cela nous marquons déjà une énorme différence avec Jésus qui n’avait pas un lieu pour reposer sa tête (Luc 9.58) ; Mais là où la différence devient gigantesque c’est lorsque nous analysons un instant nos mobiles, c’est à dire ce qui nous fait agir. Sur la durée d’une journée, en ce qui concerne choix, décisions et activités. Combien de fois n’ai-je pas été trouvé manquant dans ce que la Parole enjoint :
"Faites tout pour la gloire de Dieu’" (1 Corinthiens 10.31). Et dans les journées qui ont suivi ai-je mieux fait ? Recherchons dans les Évangiles, les faits et gestes du Seigneur. Nous n’en trouverons aucun qui n’ait été accompli pour Dieu dans une parfaite consécration.

Sur les sentiers de cette terre,
Sa joie était de le servir.
Et de la crèche au mont Calvaire,
En lui Il trouva son plaisir


- Lutte contre Satan et le mal.

Pour ce qui concerne nos luttes contre l’ennemi de nos âmes, nous devrions passer ce paragraphe sous silence, si Jésus lui-même n’avait réglé à tout jamais la question, en remportant à la croix une victoire absolue. Par ce fait, maintenant, le croyant est délivré de la puissance mortelle de Satan. Mais même si Satan est vaincu, il continue ses attaques de déstabilisation contre ceux qui portent le nom de Christ. De quelle manière lui résistons-nous ? Christ est un modèle pour chacun. Redisons le, durant son jeûne au désert, il est présenté dans la condition la plus indigente qui soit : un désert austère, pas de compagnie, ni eau, ni pain. Un gouffre de différence avec la condition originelle d’Adam !

Pour les hommes, pécheurs de naissance, la tentation vient du dedans : "Chacun est tenté, étant attiré et amorcé par sa propre convoitise". De la convoitise procède le péché et Satan a dès le début trouvé cette faille chez l’homme. Il a agi sur Eve par la convoitise, puis s’est servi des choses extérieures pour l’attirer. L’imagination des pensées de notre coeur naturel se complaît ainsi dans les vanités et les passions coupables, et notre orgueil cherche à être satisfait.
Pour Jésus, Être saint dès sa naissance, rien de semblable. Il n’y avait en Lui aucune convoitise. Ce qui n’enlève en rien la réalité des tentations qu’Il a dû endurer, mais pour Lui, la tentation venait exclusivement de dehors. Il n’a jamais été attiré et amorcé par sa propre convoitise. Satan s’est approché de Lui, pour essayer de faire entrer en Lui une pensée de doute, de volonté propre ou d’orgueil, chose absolument introuvable en Jésus. En cela Christ a remporté une première victoire sur l’ennemi. Son coeur était armé contre toute attaque de Satan. Cette arme, La Parole de Dieu était aussi sa nourriture. Sa détermination "était de faire la volonté du Père " (Jean 4.34). On peut remarquer, plus particulièrement dans l’Évangile de Luc, que le Seigneur s’est nommé et présenté très souvent avec le titre de :
"Fils de l’homme" ;
Or il semble que c’est ce titre même qui ait le plus contré Satan. Les faits le démontrent lorsque, à plusieurs reprises, les démons – qui connaissaient Christ (Marc 1.34) - le révèlent publiquement comme
" Fils de Dieu",
mais jamais comme
"Fils de l’homme".
Nous pouvons en comprendre une des raisons. C’est en tant que "Fils de l’homme" que, refaisant l’histoire de l’homme, Christ pouvait vaincre à tout jamais la puissance du diable.

- Le moi
Toutes les fois où le Seigneur utilise ce pronom personnel, c’est pour diriger les âmes vers sa Personne, ou pour répondre à des questions précises, mais jamais pour afficher une volonté propre. Regardons quel cas il fait de lui-même, de sa volonté d’homme parfait à Gethsémané, quand, surmontant sa terrible angoisse, il s’écrie : " non pas ce que je veux moi, mais ce que tu veux toi " (Marc 14.36). C’est sans doute l’expression d’obéissance parfaite la plus forte de l’Écriture au moment le plus solennel de la vie de Christ. Obéissance de Christ déterminé à accomplir l’oeuvre de la rédemption, sans laquelle nous n’aurions jamais connu la vie.
Quant à nous-mêmes, "moi", ce n’est certainement pas le mot que nous employons le moins ! Quelle entrave plus dérangeante pour le croyant que ce petit mot. Nous le prononçons tous des millions de fois depuis la petite enfance jusqu’à la mort ! Ce "moi" avec lequel je suis si souvent en osmose n’est pas autre chose que le vieil homme dissimulé derrière toutes mes pensées inconvenantes, égoïstes, malsaines. Son seul but est de me contraindre à me replier sur moi-même.

Plusieurs objections peuvent se faire entendre : " vous devez vivre, et ne pas vous contraindre en vous tourmentant constamment ! " ;" comment savez-vous si vous êtes occupé de ce qui est de l’Esprit ou de la chair, puisque celle-ci est tellement trompeuse ? "
À ces remarques mon âme répond : " mon coeur ne sera jamais autant rempli de paix et de bonheur que s’il reste dans la proximité de Christ ". Une bonne conscience, basée sur la Parole, avec la paix du coeur est un gage d’une marche au côté du Seigneur.

La marche du croyant fidèle pour Christ, d’un coeur pur et d’une bonne conscience (1 Timothée 1.5), pourrait-elle être présenter ambiguïté quant aux actions et aux mobiles ? Les oeuvres de la chair énumérées dans l’épître aux Galates, à qui profitent-elles, à Christ ou moi ?
Ont-elles des points communs avec le fruit de l’Esprit ? Personne ne peut s’y tromper. Ces deux produits bien séparés l’un de l’autre, ont des origines tellement différentes, avec les résultats divergents. Consultons la récapitulation dans le chapitre 5 de l’épître aux Galates.
"Les oeuvres de la chair sont …
Mais le fruit de l’Esprit est… " (v19, 22).

Les oeuvres de la chair servent le "moi" qui n’a de cesse de les utiliser.
Le fruit de l’Esprit est tout pour servir Dieu, et pour me rendre heureux en Lui.
Par son rôle, chargé de préparer le chemin du Sauveur, Jean Baptiste avait côtoyé la personne de Christ, son coeur en avait été profondément impressionné. De cette contemplation, résultait l’adoration liée à une profonde humilité. Ses paroles en témoignent :
"Il faut que Lui croisse et que moi je diminue " (Jean 3.30).
Les premiers chrétiens vivaient dans ce contexte, Christ était tout pour leur coeur, il n’y avait que peu de place pour leur personne. Mais le monde n’est jamais en aide au chrétien. Au fil des générations nous avons un peu oublié tout cela dans la pratique. Non dans la connaissance, car nous sommes souvent des théoriciens, or ce qui est important, c’est de laisser Dieu produire en nous "le vouloir et le faire" (Philippiens 2.13). Le monde, la société nous ont un peu contraints à nous considérer comme des gens importants, tout cela nous pousse ainsi à être imbus de nous-mêmes et suffisants. Dans le milieu du travail, nous entendons même dire depuis quelques années, qu’il faut " se vendre", c’est à dire se mettre en valeur !

Dans le domaine de ce que nous avons à accomplir pour le travail de Dieu, que le Seigneur nous accorde la grâce, lorsque nous avons achevé un service, d’oublier le bien qu’on a fait. On ne se nourrit pas de soi-même, alors oublions-nous ! On ne se nourrit pas de ce qu’on a fait, alors oublions le aussi ! Le serviteur fidèle se cache derrière son Maître. Le service accompli, il s’efface et disparaît. Le récit du livre de Actes concernant l’activité de Philippe auprès de l’Éthiopien est une illustration parfaite de l’ouvrier fidèle.

Invitons de bonne heure nos enfants à se méfier du "moi", surtout si ce sont des jeunes engagés à servir le Seigneur. Paul évoque, dans sa première lettre à Timothée, la forte potentialité du péché d’orgueil chez les jeunes convertis.

- Les conséquences de notre nature.
Nous revenons souvent et facilement à l’état qui a conduit nos premiers parents à l’écueil. Leur attention a été détournée à cause de la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, parce qu’ils n’ont pas pris Dieu au mot. Ils ont écouté le menteur. Depuis l’homme s’est installé un univers qui n’est pas dans le vrai, "sous un abri de mensonge" (Esaïe 28.15). C’est un monde fabriqué par ses désirs, ses envies, ses ambitions, un monde illusoire. C’est un lieu au sol maudit, une terre de souffrance, de maladie, d’angoisse, de violence. De violence, certes encore contenue par la Grâce de Dieu pour ne pas sombrer dans un désastre qui est programmé pour la fin de l’exercice de la patience divine.

Si Christ a revêtu la nature humaine, en venant ici bas, sur cette terre de péché, les conséquences de sa venue ont une importance infinie. Dieu est glorifié, par l’Homme parfait alors que la créature avait bafoué les droits de son créateur. Le dessein de Dieu, que nous ne sommes pas en mesure de percevoir tant il dépasse la pensée humaine, est accompli. Ce propos de Dieu comprenait la victoire sur la mort : Christ a vaincu la mort. La pensée de Dieu était d’avoir des adorateurs qui l’adorent en Esprit et en vérité : Christ a rassemblé tous les enfants de Dieu en UN, constituant des myriades d’adorateurs du vrai Dieu.

Le contraste saisissant entre la nature humaine que Christ a prise et la nôtre est dans le fait qu’Il a dû naître pour mourir. Nous, nous devons mourir dans notre vieille nature - laisser notre vieil homme crucifié (Romains 6, 6) - pour connaître une nouvelle naissance.

La venue de Jésus a eu l’ineffable conséquence de réjouir le coeur de Dieu, alors qu’il avait été affligé après la désobéissance de l’homme (Genèse 6). Si du côté de l’homme nous ne trouvons que peine, tristesse, larmes tout ce qui aboutit à la mort et dont l’origine est dans nos coeurs, la venue de Christ laisse apparaître un nouvel horizon, celui de la paix de la joie du bonheur éternel.
Dés l’annonce de sa naissance il est question de ravissement, d’allégresse, tel un antidote contre tout ce que l’homme avait apporté jusque là. Mais les ténèbres du monde ne peuvent, ni ne veulent laisser cette lumière franchir le seuil des pénates des ouvriers d’iniquité. Christ luira seul laissant derrière Lui un faisceau lumineux, à l’abri duquel se réfugieront tous ceux qui sont ses rachetés. Pour eux Il sera l’Astre lumineux, l’Étoile brillante du matin luisant dans leur coeur, en attendant que le plein jour soit établi (Proverbes 4.18).

Les paroles de Jésus ont été des paroles de grâce
"Ils s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche" (Luc 4.22)
La Parole prophétique du Cantique des Cantiques indiquait déjà :
"Ses lèvres sont des lys, distillant une myrrhe limpide".
Telle une révélation d’amour de la part de Dieu à tous ceux qui le recevraient le Sauveur. Au moment de son passage terrestre, Jésus s’adressa à tous les hommes, sans exception, puisque Dieu a tant aimé le monde…
"Il a passé de lieu en lieu, faisant du bien, et guérissant tous ceux que le diable avait asservis… " (Actes 10 ; 38)

Le Seigneur était parfait, et tout ce qui sortait de sa bouche reflétait en pleine cohérence ce qui était dans son coeur. Le Psaume 17 le traduit remarquablement bien :
"Ma pensée ne va pas au delà de ma parole ". Quel homme pourrait dire que ses paroles sont en pure conformité avec sa pensée ? Christ était vu tel qu’Il était et tel que ce que sa bouche annonçait. Ainsi à la question qui lui fut adressée : " Qui es-tu ? " Il répondit" Absolument ce que je vous dis " (Jean 8.25).
Nous pouvons comprendre facilement l’expression stupéfaite des huissiers accusateurs :
Jamais homme ne parla comme cet homme " (Jean 7.46). De Lui seul il est dit "qu’il n’y avait pas de fraude dans sa bouche". (1 Pierre 2.22).

Il est très difficile de réaliser les perfections d’un tel modèle, pour nous qui sommes si prompts à défendre nos intérêts propres, nos légitimités et nos droits, lorsque si souvent nous parlons pour ne rien dire, ou pire pour nous justifier, ou pis encore pour critiquer, condamner, juger. Pourtant nos paroles devraient être, à l’instar de celles du Seigneur, des paroles de grâce assaisonnées de sel (Colossiens 4.6). La Parole nous enseigne à faire toutes choses en parole ou en oeuvre au nom du Seigneur (Colossiens 3.17).
Connaissant donc nos coeurs, la faiblesse de la chair, la promptitude de notre esprit, désirons l’état de coeur du psalmiste lors de sa prière :
Mets, ô Éternel ! Une garde à ma bouche, veille sur l'entrée de mes lèvres " (Psaume. 141. 3).

La lecture de l’Évangile de Luc décrit Christ, homme parfait, abaissé, obéissant, dans une marche absolument à la mesure de son coeur rempli d’amour pour Dieu et pour l’homme. Sa vie était la manifestation permanente de l’Homme - Dieu, Lumière-Amour.
Toute sa Personne était mue par la puissance de l’Esprit habitant en Lui en permanence.

Un tableau comparatif entre L’Homme parfait et l’homme charnel ne peut contenir de thème concernant les péchés quels qu’ils soient ( impureté, impudicité, idolâtrie, inimitiés, querelles, jalousies, colères, envies divisions, sectes). L’Homme Jésus n’avait pas de défauts, et ces tares humaines ne se rapportent qu’à la nature de l’homme pécheur, la nôtre.

Jésus était ici bas le seul Homme Juste, Saint, Parfait. Puisqu’il a été manifesté pour ôter nos péchés, il n’y avait pas de péché en Lui (1 Jean 3.5).
À ce sujet, prenons garde ! Dans les temps fâcheux auxquels nous sommes parvenus, il y a une très forte montée du mal blasphématoire. Le monde, qui ne reconnaît en Jésus qu’un homme comme les autres, voudrait considérer ou étudier sa vie dans cet esprit. Or l’esprit du monde est dirigé par Satan qui est le menteur depuis le commencement. Nous comprenons alors facilement quel est le but poursuivi : jeter du déshonneur sur la Personne de Christ. Le comble est rapidement atteint lorsqu’on ose imputer au Seigneur des péchés et une vie équivalente à la nôtre, faibles mortels. Actuellement des ouvrages, des films, débitent des blasphèmes innommables sur la vie de Christ. Il est très probable que cette tendance s’accentue, le monde a rejeté Christ, il est de plus en plus sous la poussée de Satan qui sait qu’il a peu de temps. N’approchons rien de tout cela, détournant nos regards de toute curiosité, n’essayons même pas de savoir ce que Satan, le menteur, veut dire sur la personne de Jésus, par l’intermédiaire de journaux, films ou même documentaires.
Christ est saint :
- II n’a pas commis de péché (1 Pierre 2.22) ;
- Il n’a pas connu le péché (2 Corinthiens 5.21) ;
- Il n’y a point de péché en Lui (1 Jean 3.5) ;

Ces trois affirmations bibliques suffisent à établir toute certitude sur l’homme Christ Jésus. Pourtant comme Sainte Victime, Il a porté le péché de ceux qui le reçoivent comme Sauveur. Il a été traité comme le péché même, lorsque sur la croix, durant les heures de ténèbres, Il confessait nos fautes et nos iniquités comme étant les siennes, "Ce qu’Il n’avait pas ravi, Il l’a alors rendu" (Psaume 69.4). Ce que nous devions à Dieu, une dette d’offense à sa sainteté, a été acquittée par Christ.
À nombreuses reprises Paul s’adresse dans ses épîtres ‘aux saints’ dans le Christ Jésus. Si par grâce nous pouvons être dès maintenant appelés ainsi, "saints" c’est bien parce que le Saint nous a associés à lui-même.
Le faîte du contraste entre l’Homme Parfait et l’homme de la terre, hors des dimensions humaines, nous est fourni par l’appréciation de Dieu.

Pour l’homme Dieu a déclaré :
" L’imagination des pensées de son coeur n’est que méchanceté en tout temps".
Pour Christ :
" En lui j’ai trouvé mon plaisir ".
En tant qu’enfants de Dieu pensons souvent à cet immense contraste.
L’homme en Adam a subi l’influence du diable. Celui-ci après avoir inoculé le péché à l’homme, a conçu en lui un vecteur du mal, de la méchanceté et de la mort. Il fallait que Christ soit manifesté pour détruire les oeuvres du diable. (1 Jean 3.8).


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