Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
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Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Méditations sur le Cantique de Salomon



CHAPITRE III

Versets: 1, 2 & 3, 4,

VERS. 1.
« Sur mon lit, durant les nuits, j'ai cherché, Celui qu'aime mon âme; je l'ai cherché, mais je ne l'ai pas trouvé. »

Le coeur de l'épouse ressent la solitude de la nuit, en attendant l'aurore. Elle pense à celui qui amène avec lui la lumière du jour. Mais elle a perdu le sentiment de sa communion ; c'est là sa faute. Sa conscience n'est pas endormie, son affection est vivante: « J'ai cherché celui qu'aime mon âme.» Et pourtant elle est malheureuse, affligée. Pourquoi cela, ô mon âme?

D'où peut provenir cette tristesse ? Dans le cours de tes méditations, aurais-tu découvert la cause secrète d'un semblable état? Comment concilier ces sentiments contraires ? Il ne saurait y avoir d'autres raisons que celles-ci : le regard de l'épouse ne repose pas sur le bien-aimé lui-même. On peut trouver d'autres motifs apparents; celui-là est le vrai. Son oeil s'est porté sur d'autres objets, et la voilà plongée dans les ténèbres, dans une profonde solitude.

Elle est en repos quant à son salut ; « mon lit », un lieu de repos; et cependant, pour le moment, son âme se trouve dans la nuit.

Il importe peu à l'ennemi, pour l'exécution de ses projets, de quel côté se dirige le regard, pourvu seulement qu'il soit détourné de Christ. Il peut se porter sur ce qu'il y a de meilleur, par exemple sur l'oeuvre du Seigneur, sur nos frères, sur l'amour fraternel, sur la communion des saints, le baptême, la tempérance, le salut du pécheur, la sanctification, etc. Ces choses elles-mêmes, si bénies qu'elles soient, amèneront une chute, si l'une d'elles, usurpant la place qui n'appartient qu'à Christ, devient l'objet dominant du coeur. Et que dirons-nous quand, sous mille formes variées, c'est à soi-même ou au monde que l'on s'attache ? Oh ! alors, ce qui en résulte ce sont d'épaisses ténèbres, une grande faiblesse et une déplorable confusion.

Quelques-uns, je le sais, excusent un pareil état de l'âme en disant que c'est le Seigneur qui cache sa face, qu'il veut nous éprouver et ranimer notre affection pour lui. Rien dans le Cantique des Cantiques ne nous prouve que le bien-aimé ait recours à de tels moyens. Ici, comme dans son symbole de l'offrande du gâteau, il demeure parfaitement le même, malgré ses variations, à elle. Et sûrement une telle idée serait en contradiction avec l'enseignement renfermé dans les épîtres. Le jugement qui a frappé l'Agneau, a déchiré aussi le voile, de sorte que Christ et ses rachetés ont pu entrer dans le saint des saints, et sont dans la lumière comme Dieu est dans la lumière. Assurément Christ demeure dans la lumière; il n'est jamais dans les ténèbres; et nous, nous sommes là où il est et tels qu'il est. « Les ténèbres sont passées », ainsi que s'exprime Jean, « et la vraie lumière luit déjà »; et il ajoute: « Tel qu'il est, tels nous sommes dans ce monde. » Une fois en Christ, il n'y a plus de voile.

Quand elle est entourée de ténèbres, je l'admets, il semble à l'âme que Christ s'est retiré lui-même d'elle, et l'a délaissée. Mais en pareil cas, c'est l'âme qui s'est éloignée de lui. Il est évident qu'elle ne jouit pas de la manifestation de l'amour divin lorsqu'elle perd Christ de vue, comme lorsqu'elle le suit de près. Ainsi que le dit le Seigneur: « Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole et mon Père l'aimera; et nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. » (Jean XIV, 23.) Ceci me paraît suffisamment clair. Le Seigneur est toujours le même; Il ne change pas. Quand il s'opère un changement dans notre communion, dans notre jouissance de Christ, il provient uniquement de nous-mêmes. Nous pouvons être persuadés qu'il nous donnera le plus de témoignages possibles de son amour, aussi longtemps que nos yeux demeureront sur lui; et aussi longtemps qu'il sera l'objet, le centre de nos affections, la lumière, l'amour, la paix et la joie rempliront notre âme.

Mais dès l'instant où l'oeil perd sa simplicité, les ténèbres s'épaississent autour de l'âme; et bientôt, grâce à la ruse de l'ennemi, arrive le train des perplexités, des agitations, des incertitudes, dans les pensées et les sentiments. « La lumière dit corps, c'est l'oeil; si donc ton oeil est net, tout ton corps sera éclairé. » (Matth. VI, 22-23.)

Retire donc, ô mon âme, des expériences de l'épouse, cette leçon dont tu as tant besoin, à savoir, que « rien de moins que la personne du Seigneur Jésus-Christ, ne, peut satisfaire les affections du nouvel homme. » « N'avez-vous point vu Celui qu'aime mon âme, tel est son cri, son cri spontané. La forme du cri peut différer selon les individus, mais la cause de leur inquiétude est la même chez tous. Un oeil simple n'a pas en vue deux objets. L'épouse est demeurée occupée pendant la nuit d'autre chose que de son bien-aimé. Peut-être songeait-elle à la solitude, aux fatigues de la route; peut-être entrevoyait-elle par anticipation les splendeurs de l'aurore prête à paraître ; mais à coup sûr, ce n'était pas sur Christ Lui-même que se portait directement sa pensée, comme lorsqu'elle s'écriait. bien-aimé est avec moi, comme un sachet de myrrhe; il passera la nuit entre mes seins. » Alors la paix inondait son âme et elle répandait autour d'elle le doux parfum de son nom. Maintenant elle est en proie à l'agitation et an trouble, et sa chute est manifeste.

VERS. 2, 3.
« Je me lèverai maintenant, et je ferai le tour de la ville dans les rues et dans les places; je chercherai celui qu'aime mon âme. Je l'ai cherché, mais je ne l'ai pas trouvé. Les gardes qui font la ronde par la ville m'ont trouvée. Avez-vous vit celui que mon âme aime ?

La position de l'épouse a changé, mais elle n'a pas encore trouvé le repos. Elle a secoué sa nonchalance; son langage est celui de la passion. Mais ce n'est pas dans les rues et les places de la ville, où les gardes sont chargées de maintenir l'ordre, que se trouve son bien-aimé. «Il paît son troupeau parmi les lis. »

Elle le savait très bien, mais elle était honteuse et troublée, comme beaucoup le sont en de semblables circonstances. Les traces du troupeau, les habitations des bergers, l'herbe tendre et fraîche, la montagne de myrrhe, la colline de l'encens, la campagne, le jardin, les aromates, les scènes champêtres, étaient les lieux de prédilection de l'époux, et c'est là qu'il se tenait. C'est pourquoi, si l'inaction de l'épouse était une chute, l'activité qu'elle déployait ensuite était une faute, faute qui aurait pu être évitée si elle s'était humiliée et avait confessé son péché. Cependant, oh ! qui pourrait ne pas admirer la ferveur de son amour, l'abondance de son coeur, la sincérité de sa confession ? Quatre fois dans ces quatre versets, elle parle de « Celui qu'aime son âme. » Elle prétend ne jamais l'avoir trouvé Jusqu'à ce qu'elle l'ait, ou être heureuse tant qu'elle ne l'est pas réellement. Plaise à Dieu que dans nos chutes nous déployions autant d'affection, autant d'ardeur, autant de loyauté. C'était la vivacité même de sa tendresse qui révélait sa chute. Oh ! puissions-nous toutes les fois que nous nous éloignons de Dieu, être découverts par le moyen de notre affection profonde pour la personne adorable et bénie de Christ!

Mais telle est l'intensité de la tendresse de l'épouse pour son bien-aimé que rien de ce qui n'est pas lui-même ne peut répondre aux besoins de son coeur. Eût-elle été dans le ciel, au lieu d'aller dans la ville, si elle ne l'y avait pas trouvé, il en eût été absolument de même ; elle aurait passé successivement de scène en scène et de gloire en gloire, en adressant à tous ceux qu'elle aurait rencontrés sur son chemin la même question : « N'avez-vous point vu celui qu'aime mon âme? » Les cieux avec toutes ses splendeurs, lui, absent, auraient été impuissants à satisfaire les affections de son âme renouvelée. C'était lui-même qu'elle cherchait ; c'était, la personne de son Seigneur adoré, et rien autre, non, rien au monde n'aurait pu prendre sa place. Seul l'amour du Rédempteur peut satisfaire l'amour de l'épouse. Tel est l'ordre céleste, l'ordre voulu par la sagesse et la bonté de Dieu. Ainsi le Seigneur devient l'objet et le centre de tous les coeurs renouvelés, comme il l'est de Dieu, et aussi l'objet et le centre de toutes leurs voies, comme il a été et sera toujours l'unique objet, le centre de toutes les voies de Dieu.

Nous pouvons retirer une leçon profondément précieuse et très pratique de cette vérité, capitale. « L'amour est de Dieu; et quiconque aime, est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour.... Par ceci nous savons que nous demeurons en lui, et lui en nous, (c'est) qu'il nous a donné de son Esprit. » (1 Jean IV, 7-19.) Au jour de notre régénération, quand nous sommes « nés de l'Esprit, » l'âme reçoit une nouvelle vie qui ne trouve son repos qu'en Jésus. « Venez à moi, je vous donnerai du repos.» Repos de la conscience, puis, repos du coeur. C'est au-dessus du monde, au-dessus des nuages et des tempêtes, au-dessus des cieux, sur le sein du bien-aimé qu'elle a son repos. Comment donc se fait-il que tant de chrétiens sincères soient étrangers à une paix solide et au repos, pour ne pas parler de la joie et de l'amour ? Tout simplement parce que Christ n'est pas lui-même l'objet de leur esprit et de leur coeur, dans toutes leurs voies, qu'il s'agisse de Dieu ou des hommes. C'est cette raison seule qui explique l'état d'inquiétude, d'agitation de véritables chrétiens. Du moment que Christ obtient dans le coeur la place qui lui appartient, toutes les autres choses ont aussi chacune la leur propre, conformément à l'ordre divin. Mais si on laisse s'interposer quelque chose entre le coeur et Christ, le Saint-Esprit est attristé, les ténèbres - envahissent l'âme, suivent la faiblesse et la confusion, et l'être moral tout entier est dans un état de désordre.

VERS. 4.
« A peine avais-je passé plus loin, que j'ai trouvé celui qu'aime mon âme ; je l'ai saisi et je ne l'ai pas lâché que je ne l'aie amené dans la maison de ma mère, et dans la chambre de celle qui m'a conçue. »

Grande fut la joie de l'heureuse Sulamite, lorsqu'elle trouva son bien-aimé. « Je l'ai trouvé », précieuse parole ! moi, la pauvre, la faible, l'errante, l'indigne créature, «je l'ai trouvé », je «l'ai trouvé », celui qui est la source de toute joie, la fontaine de toute bénédiction. La voilà récompensée de sa recherche ardente, pleine de tendresse. Il en est toujours ainsi. « Qui cherche, trouve. » Un coeur réellement tourné vers le Seigneur le trouve bientôt. Il prend son plaisir à se révéler à des coeurs pareils, comme il fit à Marie. Elle le voit, elle l'embrasse, elle le prend, elle ne le lâchera point. qu'elle ne l'ait amené à. la maison de sa mère.

Mais quelque grande que fût sa joie, elle n'était rien en comparaison de celle du bien-aimé. À première vue, il peut sembler que la joie est toute d'un côté, mais il n'en est pas ainsi. Notre douleur de la perte de celui que nous aimons, et notre joie de le retrouver, seront proportionnées à l'amour que nous avons pour Lui. Vérité précieuse, quand on. la voit en Christ ! Quel champ elle offre a notre méditation, quels trésors à y découvrir ! Nous pouvons y apprendre bien des choses sur les affections du Seigneur et ses profondes sympathies pour son peuple. Prenez un exemple.

Supposé que l'amour de l'époux soit, cent fois plus grand que celui de l'épouse, la douleur qu'il éprouverait en la voyant ainsi errer serait-elle cent fois plus profonde que la douleur de celle qui s'est égarée? Très certainement. Le degré de l'affection fait le degré de la peine ou de la joie. Quelle proportion y avait-il entre la joie du père et celle du fils prodigue, quand ils se rencontrèrent? ou plutôt quelle différence ? Infinie ! Et il en doit être toujours ainsi, entre le coeur du Seigneur et le coeur des siens. Oh! combien irons devrions être attentifs et vigilants de peur d'errer, d'attrister et de froisser par là le coeur si tendre, si aimant de Jésus. Et quel motif aussi pour nous repentir et revenir à lui, quand nous avons erré loin de lui, l'affligeant et déshonorant son saint nom !

Mais qui est la mère, demandera-t-on peut-être, et que faut-il entendre par la maison de la mère ? Les prophéties d'Osée nous fournissent pleinement la réponse : « Appelez vos frères, Hammi; et vos soeurs, Ruhama. Plaidez, plaidez avec votre mère. Israël, en tant que nation, est la mère. Et quand les relations longtemps interrompues de l'Eternel avec son ancien peuple seront établies, l'Eternel sera entré dans la maison de la mère. Mais, nous nous sommes arrêtés déjà à diverses reprises sur ces points dans nos méditations, et il n'est pas nécessaire de nous y arrêter davantage ici.

L'épouse, ou le résidu fidèle de la nation, connaissant l'amour de son époux, se jette dans ses bras. Il ne pouvait. y avoir pour elle de lieu de repos jusqu'à ce qu'elle l'eût trouvé. Et maintenant, épuisée et lasse de ses égarements, semblable au fils prodigue dans le pays éloigné, elle trouve son parfait repos dans son immuable amour. Le coeur du bien-aimé est le seul lieu de repos de son coeur. « Filles de Jérusalem, je vous adjure par les gazelles ou par les biches des champs que vous ne réveilliez point celle que j'aime, que vous ne la réveilliez point jusqu'à ce qu'elle le veuille. » Nous avons considéré cette adjuration en méditant le chap. II, vers 7. Elle se retrouve encore chap. VIII, 4, et chaque fois qu'elle est reproduite, la venue du Seigneur suit immédiatement. Dans le chap. II, 7, c'est la révélation de sa personne elle-même: «C'est ici la voix de mon bien-aimé; le voici qui vient. » C'est de lui-même personnellement qu'il est question là. Au chap. III, 11, c'est le Messie venant en cortège royal, comme le vrai Salomon, couronné roi d'Israël par le coeur de la nation. « Sortez, filles de Sion et voyez le roi Salomon, avec la couronne dont sa mère l'a couronné au jour de ses fiançailles, et au jour de la joie de son coeur. » Le chap. VIII, 4, nous montre l'épouse quittant le désert unie à l'époux. Le progrès est manifeste. « Qui est celle-ci qui monte du désert s'appuyant sur son bien-aimé ? »

C'est là tout ce que le coeur désire, c'est le comble de la félicité. Être avec Christ - un avec lui - et semblable à lui, constitue la pleine, parfaite et éternelle bénédiction de tous les siens.

La fin du chapitre, à partir du sixième verset, nous présente le tableau prophétique de la venue de l'époux montant du désert avec son épouse. «Qui est celle-ci qui monte du désert comme des colonnes de fumée, parfumée de myrrhe et d'encens, et de toutes sortes de poudres des marchands ?»

Les Juifs ne s'élèvent pas, comme l'église, à la rencontre du Seigneur, en l'air. Le Seigneur vient là. où ils sont eux-mêmes. L'Esprit de prophétie nous apprend qu'ils étaient ensemble dans le désert. C'est là qu'il s'est révélé à elle comme le vrai Messie, dans son immuable amour: «Voici, je l'attirerai, je l'amènerai au désert, et je lui parlerai au coeur. » - « Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme (au résidu juif), afin qu'elle s'envolât dans le désert, en son lieu, où elle est nourrie un temps et des temps et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent.» (Osée II, 14; Apoc. XII, 14.)

Et maintenant, à l'heure où s'accomplit la prophétie que nous méditons, ces « temps » sont écoulés. Les solennels événements accumulés dans ces années si remplies se sont rapidement succédés. Le serpent ancien a été enfermé dans l'abîme, la bête et le faux prophète ont été jetés dans le lac de feu, et les nations rebelles ont été jugées. « Le balai de la destruction » (Esaïe XIV, 23) a balayé l'empire de la bête. Ce que l'homme est, a été pleinement démontré. Désormais il est mis de côté pour toujours comme vaisseau de témoignage, et Christ vient prendre la place de fidèle et véritable témoin pour Dieu sur la terre. La scène étant ainsi purifiée, le trône du fils de David, du prince de paix, est établi; et l'épouse du roi est amenée avec les honneurs royaux du lieu où elle était cachée dans le désert. Glorieux spectacle ! Le jour paraît ! Le soleil levant inonde de ses rayons le pays. Jérusalem est pleine de joie. Et d'un commun accord tous s'écrient désormais, sans que le cri expire comme jadis sur leurs lèvres : « Hosannah ! Béni soit le Roi qui vient au nom du Seigneur ! le roi d'Israël ! » Le cortège royal s'avance. C'en est fait pour toujours du désert. Nous pouvons voir dans le verset sixième la description des grâces qui brillent dans l'épouse, la fumée d'encens et les drogues aromatiques symbolisant la louange, l'action de grâce, et les autres fruits de l'Esprit. Les versets 7, 8, 9, 10 disent plus particulièrement les dignités, les grandeurs et les gloires du roi. Le palanquin est l'ouvrage du roi lui-même. «Le roi Salomon s'est fait un palanquin de bois du Liban. » Christ pourvoit à tout et prépare tout pour les siens. Il ne nous laisse rien à faire, qu'à jouir de. ce qu'il a fait. Le bois de cèdre est le symbole de ce qui est incorruptible et de bonne odeur; les colonnes, celui de la force ; « l'argent », celui de la pureté; «l'or», celui de la justice divine; la «pourpre », celui de la royauté. «L'amour » est la source de tout; Dieu est amour. «Les filles de Jérusalem » et « les filles de Sion » renferment une allusion aux villes et aux tribus d'Israël, en faveur de chacune desquelles l'amour divin a frayé la voie à la dignité nationale, et à la gloire du millénium.


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