>

Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
Cela me suffit...
REGARD
Bibliothèque chrétienne online
EXAMINEZ toutes choses... RETENEZ CE QUI EST BON
- 1Thess. 5: 21 -
(Notre confession de foi: ici)
Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE
(Jean 17.17)
Cela me suffit...



Passons vers l'autre bord


15 - 2010, une année pour apprendre à compter ce qui doit être compté.
      - 2010 , une année pour apprendre à marcher là où l'on doit marcher.

Message précédent: 14 - Avec l'intelligence, une amie qui nous veut du bien. B - Passons vers 2010 en apprenant à vivre un jour après l'autre.

La semaine passée, le calendrier nous a donné l'occasion d'apprendre à bien compter nos jours. Il nous a aussi permis de demander à Dieu qu'il "nous ENSEIGNE à bien compter nos jours" (Psaume 90: 12).

Depuis notre dernière rencontre, avons-nous pris conscience du besoin de cet enseignement ?
Avons-nous compris que nous devons être vigilants afin de ne pas dilapider le temps qui est mis à notre disposition, nous qui sommes devenus VOLONTAIREMENT "esclaves de Jésus-Christ", nous qui avons accepté de LE servir (1 Corinthiens 7: 22) ?

"Rachetons le temps, car les jours sont mauvais" (Éphésiens 5: 16) !
Soyons disponibles : " La bonne volonté, quand elle existe, est agréable en raison de ce qu'elle peut avoir à sa disposition, et non de ce qu'elle n'a pas" (2 Corinthiens 8. 12).
Ne manquons pas de faire le bien, "ne nous lassons pas de faire le bien", dit la Parole de Dieu", "car nous moissonnerons au temps convenable, SI nous ne nous relâchons pas" (Galates 6. 9).

Dieu vit dans l'éternité et, ce qu'il ne peut pas faire avec nous en raison de notre tiédeur, sans doute le fera-t-il avec quelqu'un d'autre qui sera "selon SON coeur" ! afin d'accomplir toutes SES volontés (Actes 13: 22).

Dieu a toute l'éternité, mais le temps de la Terre est limité puisqu'elle est réservée pour le feu : "Les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies (2 Pierre 3: 7).

Dieu a toute l'éternité, mais les jours de ma vie sont comptés.

Combien de temps me reste-t-il pour apprendre à le connaître ? Combien de temps me reste-t-il pour le servir, pour être son témoin ?
Il me reste..., maintenant ! Il me reste le temps présent le seul moment où je puisse me tourner vers lui pour recevoir ses instructions, pour étudier SA parole, pour faire SA volonté comme le ferait un bon et loyal serviteur.

Certes la soumission n'est pas toujours aisée pour notre vieille nature ! Une vieille nature éprise d'une liberté dont les effets ont toujours été néfastes depuis que l'homme a choisi de se séparer de Dieu en écoutant la voix du serpent, la voix du diable.
Les uns comme les autres nous sommes à même de constater qu'il y a encore des conflits entre la chair et l'esprit, entre notre vieille nature et celle que le Seigneur nous a donnée. Sans doute avons-nous parfois subi des défaites amères en privilégiant la chair à l'esprit et avons-nous dû nous repentir afin de retrouver la joie de notre salut !

Oh ! si tu étais attentif à mes commandements !
Ton bien-être serait comme un fleuve, Et ton bonheur comme les flots de la mer...
Esaïe 48: 18 (v. L. S)

Notre Père céleste ne soupire-t-il pas lorsqu'il nous rappelle ce passage ? "Si tu étais attentif... !"
Ne soupire-t-il pas en voyant la peine que nous nous donnons pour chercher le bonheur alors qu'il est à portée de notre main, là dans la simple obéissance à ses commandements ? Adam et Eve n'étaient-ils pas heureux avant... avant ce que vous savez ?

Oui..., c'est en revenant, une fois de plus, dans le jardin d'Éden que nous pourrons mieux comprendre que les avertissements et les conseils de Dieu, ne sont pas donnés en vain et que le bonheur dépend uniquement de l'observation de SA Parole.

Qu'importe ce que l'adversaire de nos âmes peut dire ! Qu'importe ce que les hommes peuvent penser de nous ! Qu'importe les cris de la chair qui réclame sa portion !
Qu'importe ce que l'adversaire de nos âmes peut suggérer par le biais des hommes ou de notre vieille nature, l'Éternel reste le seul Dieu tout-puissant qui a établi des lois qui ne peuvent être transgressées sans conséquences.
Adam et Eve pourraient, mieux que quiconque, nous dépeindre comment leur vie a basculé lorsque leurs pensées se sont jointes à celle du serpent.
Séduits, par l'espérance de devenir mieux que ce qu'ils étaient, ils ont pensé que l'expérience proposée valait la peine en dépit de l'avertissement solennel de l'Éternel.
L'Éternel, auteur de toute vie ! L'Éternel qui a donné des lois, aussi bien à tout ce qui vit et respire, qu'à ce qui semble sans vie : "C'est moi qui ai donné à la mer le sable pour limite, Limite éternelle qu'elle ne doit pas franchir..." (Jérémie 5: 22)

Satan, comme n'importe quelle créature, a été soumis à des lois.
Il a voulu faire les siennes (tout comme nous pouvons faire les nôtres) et, quoiqu'ayant été suivi par un tiers des anges (quoique des hommes puissent nous suivre dans notre raisonnement), il ne put instaurer une nouvelle législation, il ne put prendre la place de Dieu tout comme nous ne pourrons jamais avoir de meilleures pensées, de meilleurs sentiments que le Seigneur.

Tous les transgresseurs (le diable et les anges qui l'ont suivi) ont été condamnés !
La sentence qui a été prononcée s'exécutera au moment opportun : "le feu éternel... a été préparé pour le diable et pour ses anges" (Matthieu 25: 41) ; " Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre" (Apocalypse 20: 10).

Si les "lois" du diable n'ont pu prévaloir sur celles de Dieu, à plus forte raison les lois des hommes qui sont contraires aux commandements de Dieu ne pourront jamais l'emporter.
À plus forte raison, MES lois, MA façon de penser, Ma façon d'interpréter l'Écriture ne pourra jamais être prise en considération puisque c'est Dieu qui veut m'instruire de SES lois, de SES commandements qui sont "vérités" et "justes" (Psaume 119: 151 & 172).
Jamais je ne pourrai instruire Dieu sur quoi que ce soit !

Ceins tes reins comme un vaillant homme ; Je (l'Éternel) t'interrogerai, et tu m'instruiras.
Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le, si tu as de l'intelligence.
Job 38: 3-4 (v. L. S)

Gardons bien en mémoire que ce sont les hommes qui passeront en jugement selon les lois que Dieu a établies et non Dieu qui passera en jugement devant les hommes selon leurs règles : " il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement" (Hébreux 9: 27).

Soyons donc conscients que tous nos "moi je pense que" deviendront des actes de rébellion si nous n'avons pas la sagesse de chercher à savoir ce que le Seigneur pense.
Et qu'après l'avoir fait, nous serons d'autant plus coupable si nous ne cherchons pas à nous adapter à SA façon de penser. C'est-à-dire, si nous ne faisons pas plier notre volonté à la sienne (Job 23: 12).

Tous les habitants de la terre ne sont à ses yeux que néant : il agit comme il lui plaît avec l'armée des cieux et avec les habitants de la terre, et il n'y a personne qui résiste à sa main et qui lui dise : Que fais-tu ? Daniel 4: 35 (v. L. S)

Ces petites répétitions ne sont pas inutiles après ce temps de fêtes où il y a peut-être eu un peu de laisser-aller dans la discipline !
Des répétitions qui doivent nous aider à remettre nos idées en place tout en nous réjouissant que "Dieu use de patience envers ses bien-aimés, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance" (2 Pierre 3: 9).

En comprenant que nous ne pourrons JAMAIS renverser l'ordre des choses que Dieu a établi, nous devons être d'autant plus attentifs aux conseils qu'il nous donne au travers de SA parole. Voilà pourquoi nous poursuivrons notre marche dans le Livre des Proverbes dont chacune des règles de conduite est en plein accord avec l'enseignement du nouveau Testament. Les Proverbes qui sont comme un mode d'emploi pour notre vie afin de :

- Connaître la sagesse et l'instruction, pour comprendre les paroles de l'intelligence.
- Recevoir des leçons de bon sens, de justice, d'équité et de droiture.
- Donner aux simples du discernement, au jeune homme de la connaissance et de la réflexion. Proverbes 1: 1-4 (v. L. S)

Vouloir ignorer ces enseignements ou ne pas chercher à les connaître ou refuser de les comprendre, ne nous disculpera pas aux yeux du Seigneur !
Les avertissements sont là pour nous protéger des "désagréments" terrestres - dans un premier temps - occasionnés par les conséquences de l'insoumission.
"Désagréments" qui, à eux seuls, confirment le bien-fondé de la sagesse divine lorsqu'elle recommande de ne pas faire telle ou telle chose.
"Désagréments" susceptibles de nous amener à la réflexion et de nous permettre ensuite de rejoindre le droit chemin de l'obéissance.

La sévérité du Seigneur n'est-elle pas le garant de son amour lorsque l'on sait qu'un poison reste un poison aussi bien pour l'ignorant que pour celui qui a de la connaissance ? Lorsque l'on sait que ses effets restent identiques même si on en change l'étiquette ? "Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal..." (Esaïe 5: 20).

Dieu a parlé, cela doit nous suffire pour comprendre que nous devons être attentifs à ce qu'il demande d'autant plus que le Seigneur Jésus lui-même, porte une grande attention à notre obéissance : "Vous êtes mes amis, SI vous faites ce que je vous commande" (Jean 15: 14).

Toutes nos envies d'indépendance à l'égard de tel ou tel commandement divin, si elles se concrétisent, ne feront que nous éloigner, au moins pour un temps, de la présence du Seigneur, de son conseil, de sa garde bienveillante. La seule chose qu'il pourra alors nous demander, c'est de revenir à lui !

L'obéissance est une sécurité ! Elle nous permet de rester sous l'abri des ailes du Très-Haut (Psaume 91: 4).

La désobéissance
, quant à elle, nous fait fuir sa présence et oblige d'abord Dieu à aller à la recherche de celui qui s'est égaré dans le péché : Adam où es-tu (Genèse 3: 9) ? Aujourd'hui encore il désire que le pécheur revienne de sa mauvaise voie, c'est pourquoi il nous invite à confesser notre péché et à l'abandonner :

Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, Mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde. Proverbes 28: 13 (v. L. S)

Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité ; J'ai dit : J'avouerai mes transgressions à l'Éternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché.
Psaume 32: 5 (v. L. S)

Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. 1 Jean 1: 9 (v. L. S)

Adam a pu répondre à l'Éternel quoique sa conscience le condamnait. Sachons faire comme lui si nous nous sommes égarés, si nous avons fui la face l'Éternel.
Ne restons pas silencieux pour éviter d'avoir des comptes à rendre (tout de suite) en croyant qu'avec le temps, notre "désertion", notre désobéissance, nos indisciplines seront oubliées. "Nulle créature n'est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte" (Hébreux 4: 13).

Quelle grâce ! Quel privilège de savoir que le Dieu qui a créé le Ciel et la Terre s'intéresse à la misérable créature que nous sommes ! Il veut lui faire du bien et RIEN QUE DU BIEN, même au travers des épreuves ! Il veut TOUT faire pour la conduire vers l'autre bord, là où une place a été préparée dans son Royaume éternel, là où il n'y aura plus ni deuil, ni larme, ni souffrance !
Merveilleux rêve sans doute ! Mais rêve accessible !
Rêve dont nous pouvons déjà jouir partiellement si nous avons donné notre coeur au Seigneur et s'il a la liberté de nous conduire, de nous conseiller.
Voulons-nous nous laisser conduire ?
Si oui, écoutons et retenons ce qu'il a à nous dire :

JE TE MONTRE la voie de la sagesse, JE TE CONDUIS dans les sentiers de la droiture.
Si tu marches, ton pas ne sera point gêné ; Et si tu cours, tu ne chancelleras point.
Retiens l'instruction, ne t'en dessaisis pas ; Garde-la, car elle est ta vie. Proverbes 4: 11-13 (v. L. S)

Ce texte de l'ancien Testament convient parfaitement à ceux et celles qui sont au bénéfice de la nouvelle Alliance, car le principe reste le même : Dieu veut conduire son peuple pour l'amener là où il lui a préparé une place.
Dieu veut lui apprendre à marcher dans SES voies. Et, entre parenthèses, lui rappeler qu'il a peu de temps pour le faire étant donné que les jours de l'homme sont comme "l'ombre qui passe" (Psaume 144: 4)

Comme le premier dimanche de la nouvelle année était propice pour nous rappeler que nous devions apprendre à compter nos jours, il est bon de revenir sur ce texte des Proverbes (je te montre...) que nous avions simplement survolé, texte où l'on trouve trois pensées fortes.

1) Si le Seigneur nous indique la voie à suivre, nous remarquons qu'il ne se contente pas de nous désigner une direction comme le ferait quelqu'un à qui nous demanderions notre route et qui, une fois les instructions données, nous laisserait nous débrouiller
Non, loin de là ! Son intention est de nous conduire lui-même dans le chemin qu'il nous a montré. Un chemin où nous aurons toujours besoin de sa présence : "... voici, je (Jésus) suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde (Matthieu 28: 20).

"Tous les jours !" Cela veut dire que le passage d'une année à l'autre n'a rien changé, Jésus étant le même hier, aujourd'hui et éternellement (Hébreux 13: 8).
Cela veut encore dire que nous ne serons jamais seuls !

Normal..., mais normal seulement si nous marchons sous son joug !
C'est peut-être là qu'il faut faire attention : suis-je bien sous le joug de Christ ?
Suis-je encore sous sa discipline ?

Le souhait que l'apôtre Paul exprime dans l'épître aux Romains (15: 33) "Que le Dieu de paix soit avec vous tous", est un souhait, une prière, pas un constat !
En effet l'apôtre ne saurait avancer l'idée que Dieu est avec nous si nous ne sommes pas avec lui : "Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi" (Cantique des cantiques 6: 3). Image saisissante qui dépeint l'attachement que l'un a vis-à-vis de l'autre et réciproquement !

Demeurez-en moi (Jésus), et je demeurerai en vous. Jean 15. 4 (v. L. S)

2) Vient ensuite SA promesse : "si tu marches..., si tu cours" ! Quelle que soit la cadence à laquelle nous allons avancer, nous pouvons avoir la certitude qu'aucun obstacle ne viendra arrêter notre marche.
Si tu marches, si tu cours...., dans le chemin où Dieu te conduit, dans ce chemin-là, pas dans un autre !

Combien d'enfants de Dieu se sont-ils engagés dans des chemins de traverse et s'en sont mordus les doigts quoi qu'ils aient prié pour être bénis dans leur marche ?
Comme beaucoup, il m'est arrivé d'oublier de demander à mon Père céleste s'il approuvait mes choix, mes décisions, me contentant simplement de le prier pour qu'il me bénisse dans la voie que j'avais choisie et qui me semblait la bonne.

Bien sûr, notre Père céleste ne nous abandonne pas tout à fait lorsqu'il constate que nous avons suivi notre propre route, il se tient un peu à l'écart et il attend..., il attend...
Il attend que l'on crie à lui pour qu'il nous sorte de l'embarras dans lequel nous nous sommes enlisés.
Il attend qu'on reconnaisse notre manque de sagesse et qu'on ait une meilleure disposition de coeur pour chercher SA volonté et reconnaître que SES VOIES ne sont pas nos voies (Esaïe 55: 8) !
Apprenons à prendre le temps d'avoir du temps ! Du temps pour exposer à notre Père céleste les projets que nous pouvons avoir afin de ne pas perdre du temps à revenir en arrière pour s'être engagés dans une voie où il ne pouvait pas nous bénir.

"... ton pas ne sera point gêné..., tu ne chancelleras point ! " Dieu ne saurait mentir, mais il ne peut agir comme il l'a promis qu'à la condition que nous marchions là où nous devons marcher ! Rien n'est plus facile à comprendre ! Non ?

3) Enfin, la troisième pensée forte de ces versets est une recommandation qui ne nous est pas étrangère.
Une recommandation qu'il nous appartient de connaître par coeur, car elle est applicable jusqu'à la fin de nos jours pour que nous passions vers l'autre bord en vainqueurs:

1) Retenir ses instructions !
2) Ne pas les abandonner, mais au contraire les garder. (Les mettre en pratique)

Est-il nécessaire de développer davantage cette pensée ?
En comparaison, à quoi pourrait bien nous servir d'apprendre le code de la route si ensuite nous oublions les règles de conduite ou si nous ne les mettons pas en pratique ?

Dieu nous a donné des enseignements pour que nous vivions heureux ici-bas et que nous connaissions, par la suite, un bonheur éternel dans son Royaume.
Alors..., cela vaut-il la peine de retenir ses instructions ? À chacun de répondre pour lui-même ! En ce qui me concerne je désire rester dans le camp de ceux et celles qui désirent être enseignés : "Enseigne-moi tes sentiers..., tes statuts..." Psaumes 25:4 ; 27: 11 ; 86: 11 ; Psaume 119.

Si nous sommes du même avis, restons à l'école du Seigneur. Efforçons-nous d'apprendre et de comprendre sa Parole. Ne craignons pas de lui demander la sagesse, l'intelligence et le discernement afin que nous tirions un profit maximum de ses enseignements. Amen ?  ?  ?

La semaine prochaine, si Dieu nous prête vie, nous nous intéresserons aux bonnes et mauvaises compagnies :
- Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes moeurs (1 Corinthiens 15: 33).
- N'entre pas dans le sentier des méchants, Et ne marche pas dans la voie des hommes mauvais (Proverbes 4: 14).

***

... quiconque m'écoute demeurera en sécurité, exempt de la crainte du malheur.
Proverbes 1: 33 (v. Sefarim, Bible du Rabbinat français)

A suivre: 16 - Les mauvaises compagnies corrompent les bonnes moeurs.

J-M Ravé 9 janvier 2010 - CP 474 - 2300 Chaux-de-Fonds - Suisse


 

- haut de page -