Passons vers l'autre bord
15 - 2010, une année pour
apprendre à compter ce qui doit être
compté. - 2010 , une année pour apprendre à
marcher là où l'on doit marcher.
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l'intelligence, une amie qui nous veut du bien. B -
Passons vers 2010 en apprenant à vivre un
jour après l'autre.
La semaine passée, le calendrier nous a
donné l'occasion d'apprendre à bien
compter nos jours. Il nous a aussi permis de
demander à Dieu qu'il "nous ENSEIGNE à bien compter
nos jours"
(Psaume 90: 12).
Depuis notre dernière rencontre, avons-nous
pris conscience du besoin de cet
enseignement ?
Avons-nous compris que nous devons être
vigilants afin de ne pas dilapider le temps qui est
mis à notre disposition, nous qui sommes
devenus VOLONTAIREMENT "esclaves de
Jésus-Christ", nous qui avons
accepté de LE servir
(1 Corinthiens 7: 22) ?
"Rachetons le temps, car les
jours sont mauvais"
(Éphésiens 5:
16) !
Soyons disponibles : " La bonne volonté, quand elle
existe, est
agréable en raison de ce qu'elle peut avoir
à sa disposition, et non de ce qu'elle n'a
pas"
(2 Corinthiens 8. 12).
Ne manquons pas de faire le bien, "ne nous lassons pas de faire le
bien", dit la Parole de Dieu", "car nous moissonnerons au temps
convenable, SI nous ne nous relâchons
pas"
(Galates 6. 9).
Dieu vit dans l'éternité et,
ce qu'il ne peut pas faire avec nous en raison de
notre tiédeur, sans doute le fera-t-il avec
quelqu'un d'autre qui sera "selon SON coeur" !
afin d'accomplir toutes SES volontés
(Actes 13: 22).
Dieu a toute l'éternité, mais
le temps de la Terre est limité puisqu'elle
est réservée pour le feu :
"Les cieux et la terre
d'à présent sont gardés et
réservés pour le feu, pour le jour du
jugement et de la ruine des hommes impies
(2 Pierre 3: 7).
Dieu a toute l'éternité, mais les
jours de ma vie sont comptés.
Combien de temps me reste-t-il pour apprendre
à le connaître ? Combien de temps
me reste-t-il pour le servir, pour être son
témoin ?
Il me reste..., maintenant ! Il me
reste le temps présent le seul moment
où je puisse me tourner vers lui pour
recevoir ses instructions, pour étudier SA
parole, pour faire SA volonté comme le
ferait un bon et loyal serviteur.
Certes la soumission n'est pas toujours
aisée pour notre vieille nature ! Une
vieille nature éprise d'une liberté
dont les effets ont toujours été
néfastes depuis que l'homme a choisi de se
séparer de Dieu en écoutant la voix
du serpent, la voix du diable.
Les uns comme les autres nous sommes à
même de constater qu'il y a encore des
conflits entre la chair et l'esprit, entre notre
vieille nature et celle que le Seigneur nous a
donnée. Sans doute avons-nous parfois subi
des défaites amères en
privilégiant la chair à l'esprit et
avons-nous dû nous repentir afin de
retrouver la joie de notre salut !
Oh ! si tu
étais attentif à mes
commandements !
Ton bien-être serait comme un fleuve, Et ton
bonheur comme les flots de la mer... Esaïe 48: 18 (v. L. S)
Notre Père céleste ne
soupire-t-il pas lorsqu'il nous rappelle ce
passage ? "Si tu
étais attentif... !"
Ne soupire-t-il pas en voyant la peine que nous
nous donnons pour chercher le bonheur alors qu'il
est à portée de notre main, là
dans la simple obéissance à ses
commandements ? Adam et Eve
n'étaient-ils pas heureux avant... avant ce
que vous savez ?
Oui..., c'est en revenant, une fois de plus, dans
le jardin d'Éden que nous pourrons mieux
comprendre que les avertissements et les conseils
de Dieu, ne sont pas donnés en vain et que
le bonheur dépend uniquement de
l'observation de SA Parole.
Qu'importe ce que l'adversaire de nos âmes
peut dire ! Qu'importe ce que les hommes
peuvent penser de nous ! Qu'importe les cris
de la chair qui réclame sa
portion !
Qu'importe ce que l'adversaire de nos âmes
peut suggérer par le biais des hommes ou de
notre vieille nature, l'Éternel reste le
seul Dieu tout-puissant qui a établi des
lois qui ne peuvent être transgressées
sans conséquences.
Adam et Eve pourraient, mieux que quiconque, nous
dépeindre comment leur vie a basculé
lorsque leurs pensées se sont jointes
à celle du serpent.
Séduits, par l'espérance de devenir
mieux que ce qu'ils étaient, ils ont
pensé que l'expérience
proposée valait la peine en dépit de
l'avertissement solennel de l'Éternel.
L'Éternel, auteur de toute vie !
L'Éternel qui a donné des lois, aussi
bien à tout ce qui vit et respire,
qu'à ce qui semble sans vie : "C'est moi qui ai donné
à la mer le sable pour limite, Limite
éternelle qu'elle ne doit pas
franchir..."
(Jérémie 5: 22)
Satan, comme n'importe quelle créature, a
été soumis à des lois.
Il a voulu faire les siennes (tout comme nous
pouvons faire les nôtres) et, quoiqu'ayant
été suivi par un tiers des anges
(quoique des hommes puissent nous suivre dans notre
raisonnement), il ne put instaurer une nouvelle
législation, il ne put prendre la place de
Dieu tout comme nous ne pourrons jamais avoir de
meilleures pensées, de meilleurs sentiments
que le Seigneur.
Tous les transgresseurs (le diable et les anges qui
l'ont suivi) ont été
condamnés !
La sentence qui a été
prononcée s'exécutera au moment
opportun : "le feu
éternel... a été
préparé pour le diable et pour ses
anges"
(Matthieu 25: 41) ; " Et le diable, qui les
séduisait, fut jeté dans
l'étang de feu et de soufre"
(Apocalypse 20: 10).
Si les "lois" du diable n'ont pu prévaloir
sur celles de Dieu, à plus forte raison les
lois des hommes qui sont contraires aux
commandements de Dieu ne pourront jamais
l'emporter.
À plus forte raison, MES lois, MA
façon de penser, Ma façon
d'interpréter l'Écriture ne pourra
jamais être prise en considération
puisque c'est Dieu qui veut m'instruire de SES
lois, de SES commandements qui sont
"vérités" et "justes"
(Psaume 119: 151 &
172).
Jamais je ne pourrai instruire Dieu sur quoi que
ce soit !
Ceins tes reins comme un
vaillant homme ; Je
(l'Éternel)
t'interrogerai, et tu m'instruiras.
Où étais-tu quand je fondais la
terre ? Dis-le, si tu as de l'intelligence.
Job 38: 3-4 (v. L. S)
Gardons bien en mémoire que ce sont les
hommes qui passeront en jugement selon les lois
que Dieu a établies et non Dieu qui
passera en jugement devant les hommes selon leurs
règles : " il est
réservé aux hommes de mourir une seule
fois, après
quoi vient le jugement"
(Hébreux 9: 27).
Soyons donc conscients que tous nos "moi
je pense que" deviendront des actes de
rébellion si nous n'avons pas la sagesse
de chercher à savoir ce que le Seigneur
pense.
Et qu'après l'avoir fait, nous serons
d'autant plus coupable si nous ne cherchons pas
à nous adapter à SA façon de
penser. C'est-à-dire, si nous ne faisons
pas plier notre volonté à la
sienne
(Job 23: 12).
Tous les habitants de la
terre ne sont à ses yeux que
néant : il agit comme il lui
plaît avec l'armée des cieux et avec
les habitants de la terre, et il n'y a personne qui
résiste à sa main et qui lui
dise : Que fais-tu ? Daniel 4: 35 (v. L. S)
Ces petites répétitions ne sont pas
inutiles après ce temps de fêtes
où il y a peut-être eu un peu de
laisser-aller dans la discipline !
Des répétitions qui doivent nous
aider à remettre nos idées en place
tout en nous réjouissant que "Dieu use de
patience envers
ses bien-aimés, ne voulant pas qu'aucun
périsse, mais voulant que tous arrivent
à la repentance"
(2 Pierre 3: 9).
En comprenant que nous ne pourrons JAMAIS renverser
l'ordre des choses que Dieu a établi, nous
devons être d'autant plus attentifs aux
conseils qu'il nous donne au travers de SA parole.
Voilà pourquoi nous poursuivrons notre
marche dans le Livre des Proverbes dont chacune des
règles de conduite est en plein accord avec
l'enseignement du nouveau Testament. Les Proverbes
qui sont comme un mode d'emploi pour notre vie afin
de :
- Connaître la sagesse et l'instruction, pour
comprendre les paroles de
l'intelligence.
- Recevoir des leçons de bon sens, de
justice, d'équité et de
droiture.
- Donner aux simples du discernement, au jeune homme de la connaissance
et de la réflexion. Proverbes 1: 1-4 (v. L. S)
Vouloir ignorer ces enseignements ou ne pas
chercher à les connaître ou refuser de
les comprendre, ne nous disculpera pas aux yeux du
Seigneur !
Les avertissements sont là pour nous
protéger des "désagréments"
terrestres - dans un premier temps -
occasionnés par les conséquences de
l'insoumission.
"Désagréments" qui, à eux
seuls, confirment le bien-fondé de la
sagesse divine lorsqu'elle recommande de ne pas
faire telle ou telle chose.
"Désagréments" susceptibles de nous
amener à la réflexion et de nous
permettre ensuite de rejoindre le droit chemin de
l'obéissance.
La sévérité du Seigneur
n'est-elle pas le garant de son amour lorsque
l'on sait qu'un poison reste un poison aussi bien
pour l'ignorant que pour celui qui a de la
connaissance ? Lorsque l'on sait que ses
effets restent identiques même si on en
change l'étiquette ? "Malheur à ceux qui appellent
le mal bien, et le bien mal..."
(Esaïe 5: 20).
Dieu a parlé, cela doit nous suffire
pour comprendre que nous devons être
attentifs à ce qu'il demande d'autant plus
que le Seigneur Jésus lui-même, porte
une grande attention à notre
obéissance : "Vous êtes mes amis,
SI vous faites ce que je vous
commande"
(Jean 15: 14).
Toutes nos envies d'indépendance à
l'égard de tel ou tel commandement divin, si
elles se concrétisent, ne feront que nous
éloigner, au moins pour un temps, de la
présence du Seigneur, de son conseil, de sa
garde bienveillante. La seule chose qu'il pourra
alors nous demander, c'est de revenir à
lui !
L'obéissance est une
sécurité ! Elle nous permet
de rester sous l'abri des ailes du Très-Haut
(Psaume 91: 4).
La désobéissance, quant à
elle, nous fait fuir sa présence et
oblige d'abord Dieu à aller à la
recherche de celui qui s'est égaré
dans le péché : Adam où
es-tu
(Genèse 3: 9) ?
Aujourd'hui encore il désire que le
pécheur revienne de sa mauvaise voie, c'est
pourquoi il nous invite à confesser notre
péché et à
l'abandonner :
Celui qui cache ses
transgressions ne prospère point, Mais celui
qui les avoue et les délaisse obtient
miséricorde. Proverbes 28: 13 (v. L. S)
Je t'ai fait connaître mon
péché, je n'ai pas caché mon
iniquité ; J'ai dit : J'avouerai
mes transgressions à l'Éternel !
Et tu as effacé la peine de mon
péché. Psaume 32: 5 (v. L. S)
Si nous confessons
nos péchés, il
est fidèle et juste pour nous les
pardonner, et pour
nous purifier de toute iniquité.
1 Jean 1: 9 (v. L. S)
Adam a pu répondre à l'Éternel
quoique sa conscience le condamnait. Sachons faire
comme lui si nous nous sommes égarés,
si nous avons fui la face l'Éternel.
Ne restons pas silencieux pour éviter
d'avoir des comptes à rendre (tout de suite)
en croyant qu'avec le temps, notre
"désertion", notre
désobéissance, nos indisciplines
seront oubliées. "Nulle créature n'est
cachée devant lui, mais tout est à nu
et à découvert aux yeux de
celui à qui
nous devons rendre compte"
(Hébreux 4: 13).
Quelle grâce ! Quel privilège de
savoir que le Dieu qui a créé le Ciel
et la Terre s'intéresse à la
misérable créature que nous
sommes ! Il veut lui faire du bien et RIEN QUE
DU BIEN, même au travers des
épreuves ! Il veut TOUT faire pour la
conduire vers l'autre bord, là où une
place a été préparée
dans son Royaume éternel, là
où il n'y aura plus ni deuil, ni larme, ni
souffrance !
Merveilleux rêve sans doute ! Mais
rêve accessible !
Rêve dont nous pouvons déjà
jouir partiellement si nous avons donné
notre coeur au Seigneur et s'il a la liberté
de nous conduire, de nous conseiller.
Voulons-nous nous laisser conduire ?
Si oui, écoutons et retenons ce qu'il a
à nous dire :
JE TE
MONTRE la voie de
la sagesse, JE TE
CONDUIS dans les
sentiers de la droiture.
Si tu marches, ton pas ne sera point
gêné ; Et si tu cours, tu ne
chancelleras point.
Retiens
l'instruction,
ne t'en dessaisis
pas ;
Garde-la, car elle
est ta vie. Proverbes 4: 11-13 (v. L. S)
Ce texte de l'ancien Testament convient
parfaitement à ceux et celles qui sont au
bénéfice de la nouvelle Alliance, car
le principe reste le même : Dieu veut
conduire son peuple pour l'amener
là où il lui a
préparé une place.
Dieu veut lui apprendre à marcher dans SES
voies. Et, entre parenthèses, lui rappeler
qu'il a peu de temps pour le faire étant
donné que les jours de l'homme sont comme
"l'ombre qui passe"
(Psaume 144: 4)
Comme le premier dimanche de la nouvelle
année était propice pour nous
rappeler que nous devions apprendre à
compter nos jours, il est bon de revenir sur ce
texte des Proverbes (je te montre...) que nous
avions simplement survolé, texte où
l'on trouve trois pensées fortes.
1) Si le Seigneur nous indique la voie
à suivre, nous remarquons qu'il ne se
contente pas de nous désigner une direction
comme le ferait quelqu'un à qui nous
demanderions notre route et qui, une fois les
instructions données, nous laisserait nous
débrouiller
Non, loin de là ! Son intention est
de nous conduire lui-même dans le chemin
qu'il nous a montré. Un chemin où
nous aurons toujours besoin de sa
présence : "... voici, je
(Jésus)
suis avec
vous tous les
jours, jusqu'à la fin du monde
(Matthieu 28: 20).
"Tous les jours !" Cela veut dire que le
passage d'une année à l'autre n'a
rien changé, Jésus étant le
même hier, aujourd'hui et
éternellement
(Hébreux 13: 8).
Cela veut encore dire que nous ne serons jamais
seuls !
Normal..., mais normal seulement si nous
marchons sous son joug !
C'est peut-être là qu'il faut faire
attention : suis-je bien sous le joug de
Christ ?
Suis-je encore sous sa discipline ?
Le souhait que l'apôtre Paul exprime dans
l'épître aux Romains
(15: 33) "Que
le Dieu de paix soit avec vous tous", est un
souhait, une prière, pas un
constat !
En effet l'apôtre ne saurait avancer
l'idée que Dieu est avec nous si nous ne
sommes pas avec lui : "Je suis à mon
bien-aimé, et mon bien-aimé est à
moi" (Cantique des cantiques 6: 3). Image
saisissante qui dépeint l'attachement que
l'un a vis-à-vis de l'autre et
réciproquement !
Demeurez-en
moi
(Jésus),
et je demeurerai en
vous. Jean 15. 4 (v. L. S)
2) Vient ensuite SA promesse :
"si tu marches..., si tu cours" !
Quelle que soit la cadence à laquelle nous
allons avancer, nous pouvons avoir la certitude
qu'aucun obstacle ne viendra arrêter notre
marche.
Si tu marches, si tu cours...., dans le chemin
où Dieu te conduit, dans ce
chemin-là, pas dans un autre !
Combien d'enfants de Dieu se sont-ils
engagés dans des chemins de traverse et s'en
sont mordus les doigts quoi qu'ils aient
prié pour être bénis dans leur
marche ?
Comme beaucoup, il m'est arrivé d'oublier de
demander à mon Père céleste
s'il approuvait mes choix, mes décisions, me
contentant simplement de le prier pour qu'il me
bénisse dans la voie que j'avais choisie et
qui me semblait la bonne.
Bien sûr, notre Père céleste ne
nous abandonne pas tout à fait lorsqu'il
constate que nous avons suivi notre propre route,
il se tient un peu à l'écart et il
attend..., il attend...
Il attend que l'on crie à lui pour qu'il
nous sorte de l'embarras dans lequel nous nous
sommes enlisés.
Il attend qu'on reconnaisse notre manque de sagesse
et qu'on ait une meilleure disposition de coeur
pour chercher SA volonté et
reconnaître que SES VOIES ne sont pas nos
voies
(Esaïe 55: 8) !
Apprenons à prendre le temps d'avoir du
temps ! Du temps pour exposer à notre
Père céleste les projets que nous
pouvons avoir afin de ne pas perdre du temps
à revenir en arrière pour
s'être engagés dans une voie où
il ne pouvait pas nous bénir.
"... ton pas ne sera point
gêné..., tu ne chancelleras
point ! " Dieu ne saurait mentir, mais
il ne peut agir comme il l'a promis qu'à la
condition que nous marchions là où
nous devons marcher ! Rien n'est plus facile
à comprendre ! Non ?
3) Enfin, la troisième pensée
forte de ces versets est une recommandation qui ne
nous est pas étrangère.
Une recommandation qu'il nous appartient de
connaître par coeur, car elle est
applicable jusqu'à la fin de nos jours pour
que nous passions vers l'autre bord en
vainqueurs:
1) Retenir ses instructions !
2) Ne pas les abandonner, mais au contraire les
garder. (Les mettre en pratique)
Est-il nécessaire de développer
davantage cette pensée ?
En comparaison, à quoi pourrait bien nous
servir d'apprendre le code de la route si ensuite
nous oublions les règles de conduite ou si
nous ne les mettons pas en pratique ?
Dieu nous a donné des enseignements pour que
nous vivions heureux ici-bas et que nous
connaissions, par la suite, un bonheur
éternel dans son Royaume.
Alors..., cela vaut-il la peine de retenir ses
instructions ? À chacun de
répondre pour lui-même ! En ce
qui me concerne je désire rester dans le
camp de ceux et celles qui désirent
être enseignés : "Enseigne-moi tes sentiers..., tes statuts..."
Psaumes 25:4 ; 27: 11 ; 86: 11 ; Psaume 119.
Si nous sommes du même avis, restons à
l'école du Seigneur. Efforçons-nous
d'apprendre et de comprendre sa Parole. Ne
craignons pas de lui demander la sagesse,
l'intelligence et le discernement afin que nous
tirions un profit maximum de ses enseignements.
Amen ? ? ?
La semaine prochaine, si Dieu nous prête vie,
nous nous intéresserons aux bonnes et
mauvaises compagnies :
- Ne vous y trompez
pas : les mauvaises compagnies corrompent les
bonnes moeurs
(1 Corinthiens 15: 33).
- N'entre pas dans le sentier
des méchants, Et ne marche pas dans la voie
des hommes mauvais
(Proverbes 4: 14).
***
... quiconque
m'écoute demeurera en
sécurité, exempt de la crainte du
malheur.
Proverbes 1: 33 (v. Sefarim, Bible du Rabbinat
français)
A suivre: 16 - Les mauvaises compagnies
corrompent les bonnes moeurs. J-M Ravé 9 janvier 2010 - CP 474 - 2300
Chaux-de-Fonds - Suisse
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