Il est écrit:
TA PAROLE EST LA VERITE  (Jean 17.17)
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(Jean 17.17)
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LA PALESTINE AU TEMPS DE JÉSUS-CHRIST


LIVRE SECOND - LA VIE RELIGIEUSE

CHAPITRE XI
LE TEMPLE. - LES PARVIS

(Suite)

LA COUR DES FEMMES
(Azarath Naschim)

Pénétrons maintenant dans la partie du Temple qui n'était accessible qu'aux Juifs.
La première cour dans laquelle nous entrons est appelée « cour des femmes ». Tous les Israélites, hommes ou femmes, y circulent librement, mais les femmes ne peuvent aller plus loin, et de là vient le nom de ce parvis. Il est carré et a cent trente-cinq coudées (60 m. 75) de côté. Il est séparé de la cour extérieure ou parvis des Gentils par deux murs parallèles et J'espace compris entre ces murs qui a dix coudées (4 m. 50) de largeur porte le nom de Hel (espace entre les murs). Le premier, celui qui sépare le Hel de la cour des païens, n'aurait eu, d'après la Mischna, que dix palmes de hauteur et n'aurait été qu'une simple barrière (34). Josèphe nous indique un chiffre plus probable quand il lui donne trois coudées (1 m. 35). C'était une balustrade de pierre, travaillée avec art, et percée de treize portes. Devant elles, de distance en distance, treize colonnes portaient une inscription, probablement en grec et en latin, défendant aux païens, sous peine de mort, de pénétrer plus avant. Josèphe, qui nous décrit ces petits monuments, nous dit que les Romains les respectaient (35). On a mis en doute cette assertion de l'historien juif; mais si saint Paul fut un jour accusé d'avoir laissé des Grecs entrer dans le Temple (36), cette accusation suppose bien une défense formelle et écrite. Philon, du reste, parle aussi de ces inscriptions (37) ; et M. Clermont-Ganneau a précisément découvert, il y a quelques années, l'une de ces stèles gravées en caractères grecs. On peut supposer que Jésus l'a vue, l'a lue; il est certainement passé devant (38).

On entrait dans le Hel par les treize portes placées derrière les treize colonnes. La principale était à l'Est et avait un escalier de quatorze marches. Chacune d'elles ayant une demi-coudée de hauteur (0 m. 22 c. 1/2), on montait en tout 3 m. 15 ; puis on traversait le Hel et alors venait une seconde porte donnant accès dans la cour des femmes. Cette porte aussi avait un escalier de douze marches (2 m. 30 environ). La cour des femmes était donc plus élevée de 5 m. 45 que la cour des Gentils. La porte dont nous venons de parler s'appelait la Belle (39) ou la Corinthienne (40). Ses deux battants ensemble avaient trente coudées de hauteur (13 m. 50) et quinze de largeur (6 m. 75); à l'intérieur de la voûte deux colonnes de douze coudées (5 m. 40) de circonférence supportaient la tour. Le mur qui séparait la cour des femmes du Hel avait vingt-cinq coudées (11 m. 25) et neuf portes, quatre au Nord, quatre au Sud et la Belle à l'Est. Un portique semblable à ceux de la cour des païens, mais plus simple régnait à l'intérieur de la cour (41).

Devant les portes treize troncs appelés dans les Talmuds Schoupheroth (trompettes), à cause du goulot étroit qui les surmontait, recevaient les sommes offertes pour les divers services du Temple. Chacun avait sa destination différente indiquée par une inscription en langue hébraïque (42). Le premier portait : sicles nouveaux, c'est-à-dire sicles consacrés aux dépenses de la présente année; le second : sicles anciens, c'est-à-dire sicles consacrés aux dépenses de l'année précédente; le troisième portait : colombes et tourterelles ; l'argent qu'on y mettait servait à couvrir le prix à payer par celui qui avait à offrir deux tourterelles ou deux colombes, l'une en holocauste, l'autre en sacrifice pour le péché. Au-dessus du quatrième tronc, était écrit : Holocaustes, c'était l'argent couvrant les dépenses des autres holocaustes. Le cinquième portait le mot : Rois, il renfermait les dons des fidèles destinés à acheter du bois pour l'autel. Le sixième : Encens (argent pour acheter l'encens); le septième : Pour le sanctuaire (argent pour le propitiatoire); les six derniers portaient l'inscription dons à volonté (43).
Nous savons leur destination : lorsqu'on avait acheté ce qu'il fallait pour offrir un sacrifice et qu'il restait quelque chose, on mettait ce surplus dans l'un de ces troncs. L'un recevait ce qui restait après un sacrifice pour le péché, l'autre après un sacrifice pour une maladie ou pour la purification d'une femme récemment accouchée; un autre ce qui restait après un sacrifice offert par un lépreux guéri, etc., etc. Devant un de ces treize troncs s'est passée la scène racontée par l'Evangile et où Jésus vit une pauvre veuve jeter une pite, tout ce qui lui restait, tout ce qu'elle avait pour vivre (44). « Jésus regardait ce que chacun mettait; » les offrandes étaient, en effet, toutes volontaires (45); cependant, si l'on donnait pour le bois ou pour l'encens, il y avait un minimum au-dessous duquel on ne devait rien offrir. Il fallait donner au moins ce qui était nécessaire pour une poignée d'encens ou pour deux morceaux de bois longs d'une coudée (0 m. 45) et gros en proportion. Tous ces dons réunis constituaient le Corban (46), c'est-à-dire l'argent consacré à Dieu, et la partie de la cour des femmes, où se trouvaient les Schoupheroth, était appelée le trésor. Lorsqu'il nous est dit : « Jésus parla ainsi enseignant dans le trésor (47), » cela signifie enseignant dans la cour des femmes et près des treize Schoupheroth.

Dans ce parvis, les femmes Israélites remplissaient leurs devoirs religieux. Elles s'avançaient à l'extrémité du côté du sanctuaire jusqu'à une balustrade qui était assez basse pour leur permettre de voir plus loin. L'entrée de la cour des femmes était interdite à quiconque avait contracté une souillure et s'en était purifié le jour même (48).

Aux quatre angles de ce parvis, se trouvaient quatre chambres (lischca en hébreu), oui plutôt quatre petites cours, car elles étaient à ciel ouvert, et jusqu'ici, sauf les portiques, nous n'avons rien remarqué qui ne fût en plein air.
Elles avaient quarante coudées de côté (18 mètres) et étaient carrées (49). Celle du Nord-Est était la chambre du Naziréat c'est là que les Naziréens cuisaient leurs repas de sacrifice, se faisaient couper les cheveux et les livraient pour être brûlés (50). Au Sud-Est était la chambre du Bois. Les prêtres y visitaient celui qu'on apportait pour les sacrifices et s'assuraient qu'il n'était pas piqué des vers. Le bois reconnu attaqué ne pouvait servir à l'autel. Au Sud-Ouest était la chambre des Lépreux. C'était là, et aussi à la porte de Nicanor, que se pratiquaient les rites ordonnés pour leur purification.
Nous les avons décrits (51). Enfin, la cour du Nord-Ouest était appelée chambre du Vin et de l'Huile.

 

COUR DES ISRAÉLITES
(Azarath Yisraël)

Elle était très étroite, elle n'avait que onze coudées (4 m. 95) de profondeur. Sa longueur était naturellement la même que celle du côté ouest de la cour des femmes, cent trente-cinq coudées (60 m. 75). C'était moins une cour qu'un emplacement réservé aux hommes qui se tenaient devant les femmes. On y entrait par une porte appelée de Nicanor ; elle était de bronze, tandis que toutes les autres étaient de bois et revêtues d'or et d'argent (52). La tradition disait qu'elle avait été apportée d'Alexandrie par un certain Nicanor et miraculeusement sauvée d'un naufrage. A cette porte on montait un escalier de quinze marches en demi-cercle, mais ces marches étaient peu élevées. Elles n'étaient pas plus hautes, dit Josèphe (53), que cinq des autres.

La cour d'Israël n'était donc que de deux coudées (1 m. 12) plus élevée que la cour des femmes. D'après les Talmuds on aurait chanté sur ces quinze marches les quinze Psaumes dits des degrés (54).

La tour qui surmontait la porte de Nicanor avait cinquante coudées (22 m. 50) de hauteur et quarante coudées (18 mètres) de largeur (55).

C'est à cette porte qu'on donnait à boire les eaux amères aux femmes soupçonnées d'infidélité (56). Cette singulière cérémonie, qui est décrite dans la Mischna (57), était devenue extrêmement rare. Elle n'est mentionnée que deux fois dans les traditions rabbiniques et Rabbi Johanan ben Zaccaï l'abolit tout à fait au premier siècle. On pratiquait aussi à cette porte de Nicanor la purification de la femme accouchée et, en partie, celle du lépreux (58).

La limite extrême de la cour d'Israël était marquée par une balustrade au milieu de laquelle se trouvaient trois marches et une estrade où se plaçaient les prêtres pour prononcer la bénédiction sur le peuple (59).

 

COUR DES PRÊTRES
(Azarath Cohanim)

Nous approchons du sanctuaire; nous voici à la dernière cour, celle des prêtres, le parvis où ceux-ci pouvaient seuls pénétrer. Au milieu s'élevait le le Temple au sens strict de ce mot, bâtiment couvert et dont nous parlerons plus loin. En entrant dans le parvis des prêtres on montait une marche d'une coudée (45 cent.), Si nous y ajoutons les trois marches de l'estrade du haut de laquelle les sacrificateurs bénissaient le peuple et qui avaient chacune une demi-coudée de hauteur, nous arrivons à un total de trois coudées (1 m. 35) pour l'élévation de la cour des prêtres sur la cour d'Israël. Ce dernier parvis était immense ; il avait cent trente-cinq coudées de largeur (60 m. 75) et une profondeur de cent quatre-vingt-sept coudées (84 m. 15). Le mur intérieur était entouré d'une colonnade.

Derrière l'estrade des bénédictions et devant la porte du sanctuaire s'élevait le grand autel des holocaustes, bâti de pierres non polies. Il était au milieu de la cour en face de l'entrée. Il était carré. Les Talmuds lui donnent trente-deux coudées (14 m. 40) de côté. Josèphe lui en donne cinquante (22 m. 50) et ajoute qu'il avait quinze coudées de hauteur (6 m. 75) ; cette différence s'explique aisément. Josèphe comprend dans son évaluation les gradins qui donnaient accès à l'autel, les Rabbins ne les ont pas comptés dans la leur. Les prêtres y montaient par une pente douce ménagée du côté du Midi. Les pointes des quatre angles de l'autel se terminaient en forme de corne. On avait ménagé un conduit au Sud-Ouest par lequel le sang s'écoulait et allait se perdre dans le torrent de Cédron. Au Nord de l'autel plusieurs tables de marbre servaient à déposer la chair des victimes.

Au Nord et au Sud de la cour des prêtres et le long des portiques s'ouvraient plusieurs salles couvertes ; chacune avait une destination spéciale. La plus importante était celle des séances du Sanhédrin ou salle en pierres de taille (Lischeat-ha-Gazith); nous l'avons déjà décrite (60). Elle avait deux entrées : l'une par la cour, l'autre par le Hel (61). Comme il n'était permis qu'au roi de s'asseoir dans la pur d'Israël, les membres du Sanhédrin ne pouvaient le faire dans la salle (te leurs séances que lorsqu'ils se tenaient dans la partie comprise dans le Hel, c'est-à-dire dans la première moitié. On s'est demandé où était Jésus enfant lorsqu'il « s'assit (62) » au milieu des docteurs. Il y avait trois endroits dans le Temple où l'on pouvait s'asseoir pour discuter, le premier à la porte de Suse, le second à la porte de la cour des Gentils et le troisième ici dans la première moitié de la salle en pierres de taille ; c'est dans l'un ou l'autre de ces endroits que Marie retrouva Jésus. Cette salle des séances du Sanhédrin avait assez la forme d'une basilique. Elle était exactement placée à l'angle Sud-Est de la cour des prêtres (63). A côté d'elle et plus à l'Ouest était la salle dite de la Source. Elle renfermait un puits surmonté d'une poulie. On y puisait l'eau nécessaire dans la cour des prêtres (64).

La porte des eaux, donnant directement par le Hel dans le parvis des Gentils, était contiguë. Son nom lui venait sans doute de sa situation, à côté de la salle de la source. Il est possible aussi que l'on passât par cette porte l'eau dont on avait besoin dans certaines fêtes, les Tabernacles par exemple, où celle fournie par le puits ne suffisait pas (65).

Après cette porte, venait la salle du bois. Le bois trouvé pur, c'est-à-dire qui n'était pas attaqué par les vers, y était déposé avant d'être brûlé sur l'autel. Au-dessus de cette salle, au premier étage, s'en trouvait une autre où les prêtres se réunissaient pour discuter les questions relatives aux divers services. Enfin venaient les portes de l'oblation et de l'incendie. Les deux entrées correspondantes, placées exactement en face au Nord, avaient le même nom.

De ce côté nous trouvons d'abord une porte et une salle où étaient de garde les prêtres et les lévites. On l'appelait Nitsots et aussi porte du choeur (66).

Ensuite venaient la salle où on lavait les entrailles des victimes, et celle où on salait les peaux (67). Au-dessus d'elles se trouvait une chambre où se baignait le grand prêtre au jour solennel des expiations (68).

Plus loin, s'ouvraient les portes de l'oblation et de l'incendie, comme au côté Sud de la cour. Elles étaient séparées par la chambre du sel où l'on déposait le sel des oblations. La porte de l'oblation s'appelait aussi porte des femmes.

Son premier nom venait de ce que les bêtes destinées aux sacrifices entraient par là, et le second de ce qu'elle servait en particulier aux femmes pour y livrer aux prêtres les victimes qu'elles désiraient offrir sur l'autel.

La porte de l'incendie tirait son nom de l'usage auquel était consacrée la salle contiguë. On y entretenait le feu perpétuel dont avaient besoin les sacrificateurs. On donnait aussi à ces deux portes (de l'oblation et de l'incendie) le nom de portes du Corban, parce que le trésor du Temple se trouvait tout auprès. On réunissait là, sous le nom d'argent sacré ou Corban, le produit des treize troncs dont nous avons parlés, ainsi que l'impôt direct d'un demi-sicle par tête et par année (69).

C'était la caisse générale. Les Romains ne se faisaient pas faute d'y puiser de temps en temps et nous avons raconté comment Pilate se rendit odieux en prenant le Corban pour payer la construction d'un aqueduc amenant à Jérusalem les eaux des étangs de Salomon (70).

Le Corban était très considérable; « l'or de chaque collecte, disait-on, remplit trois immenses cuves creusées dans les souterrains du Temple (71). » Cet argent servait avant tout à payer le sacrifice quotidien. On l'employait aussi pour le salaire des fonctionnaires subalternes, de ceux qui décidaient si les animaux amenés étaient purs ou impurs, des Scribes attachés au sanctuaire et chargés officiellement de faire des copies de la Loi, des boulangers qui faisaient les pains de proposition, des préparateurs d'encens, etc., etc. (72).

Enfin, à côté de la porte de l'incendie, étaient quatre salles:

1° celle des agneaux où étaient les agneaux réserves pour les sacrifices;
2° celle des pains de proposition ;
3° la salle où les Asmonéens avaient déposé les pierres de l'autel après que les rois successeurs d'Alexandre l'eurent profané ;
4° une salle de bains.

Il ne nous reste plus qu'à mentionner au sud-est du sanctuaire, dans la cour, un grand bassin d'airain semblable à celui qui avait été dans le Tabernacle et dans le Temple de Salomon. Un certain Ben-Katon y fit mettre douze robinets pour que douze prêtres pussent s'y laver à la fois. Le même personnage y fit installer un appareil y amenant directement l'eau du puits.

Telle était la cour des prêtres. L'impression première qui se dégage de la description succincte que nous venons d'en faire, impression irrésistible, est qu'elle devait ressembler beaucoup à l'intérieur d'un abattoir.

La bergerie pour les moutons qui sont amenés, la salle où on lavera leurs intestins, celle où on salera leurs peaux, rien n'y manque. Voici six rangées de quatre anneaux chacune auxquels on attache les victimes pour les égorger, voici huit tables de marbre sur lesquelles on dépose la chair des animaux sacrifiés, voici huit colonnes auxquelles on suspend les quartiers de viande pour les dépouiller et les écorcher. Sur l'autel ce sont des scènes de boucherie que nous avons peine a imaginer et qui contrastent étrangement avec l'idée que nous nous faisons aujourd'hui d'un culte, d'un sanctuaire, d'une cérémonie religieuse, sans parler de l'odeur écoeurante de la graisse brûlée. Il nous est difficile, impossible même, à cause des longs siècles écoulés depuis que les religions où de tels sacrifices étaient pratiqués ont disparu, de donner à ces scènes d'abattoir un caractère sacré, de nous représenter à la fois les beuglements des victimes, le sang qui coule, le bois qui s'allume et le sacrificateur en costume, le décorum accompagnant chaque acte de ce culte sanglant, la solennité avec laquelle tout s'accomplit, malgré l'inévitable désordre de certains sacrifices, Mais que nous puissions ou non nous faire une idée de ce culte des Juifs, il se pratiquait cependant ; il est vrai qu'il était aux dernières années de sa vie, mais il avait derrière lui un long passé de plusieurs siècles.


Table des matières

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34 Middoth, ch. 12, bal. 3 - « Cet espace était large de dix coudées, séparé de la cour commune par une barrière haute de dix palmes. »
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35 Jos., D. B. J., V, 5, 2; Ant. Jud., XV, 14; D. B. J., VI, 2, 4.
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36 Actes des apôtres, XXI, 28.
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37 Legat. ad Caïum, § 31.
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38 Voir Rev. polit. et litt., No du 21 déc. 1872. En voici la teneur « Que nul étranger ne pénètre à l'intérieur de la balustrade et de l'enceinte autour du Sanctuaire. Celui donc qui serait pris serait cause (responsable envers lui-même) que la mort s'ensuivrait. »
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39 Actes des apôtres, III, 2.
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40 Jos., D. B. J., V, 14, 3.
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41 Jos., D. B. J., V; 14, 3.
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42 Schekalim, VI, hal. 1, 5, etc.
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43 Id. ch. VI, hal. 5; Middoth, loc. cit., hal. 5; Babyl., Joma fol. 16, 1.
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44 Ev. de Marc, XII, 41 et suiv.
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45 Schekalim, fol. 8, 4.
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46 Ev. de Matth., XV, 1 et suiv.
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47 Ev. de Jean, VIII, 20.
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48 Maimon., in Beth habbeeh.
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49 Voir Ezéchiel, XLVI, 21 et 22.
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50 Nombres, ch. VI, 1-22.
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51 Voir livre 1, ch. XIV, La lèpre
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52 Joma, ch. III, § 10; Jos., D. B. J., V, 5, 3.
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53 Jos., D. B. J., V, 14.
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54 Ps. CXX (à 130) à (131 à) Ps. CXXXV. Le fait est douteux. Nous croyons que ces Psaumes étaient avant tout les cantiques des pèlerinages, c'est-à-dire chantés par les pèlerins qui montaient à la Ville sainte.
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55 Jos., Ant. Jud., XII, 17. Nous croyons, en effet, que dans ce passage il décrit la porte de Nicanor. Voir Munk, la Palestine, p. 553.
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56 Nombres, V, 19-22.
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57 Sotah, III; voir E. Weil, La femme juive, p. 58 et suiv.
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58 Sotah, ch. I, hal. 5.
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59 Mischna, Middoth, ch. II: § 6.
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60 Livre I, chap. IV, le Sanhédrin.
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61 Middoth, ch. 5.
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62 Ev. de Luc, II, 46.
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63 Le Traité Middoth dit : Au Sud de la cour des prêtres étaient la salle du bois, celle de la source et celle en pierres taillées. La Guemara de Babylone et Maimonide précisent davantage, et c'est du Traité Joma (fol. 25, 1) que nous concluons qu'elle était à l'angle sud-est.
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64 Middoth, V, hal. 3; Joma, fol. 19, 1.
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65 Babyl., Joma, fol. 31. Ce passage semble indiquer qu'un conduit d'eau de source passait par cette porte.
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66 Middoth, 1, hal, 5.
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67 Babyl., Joma, 35, 1.
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68 Middoth, 5, hal. 2.
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69 Voir livre I, chap. XI. La vie publique; les impôts.
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70 Voir livre I, chap. III. Ponce Pilate.
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71 Schekalim, 6 a
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72 Graetz, Gesch. der Juden, III, 124.

 

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